La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°820)
Marion au Château (suite de l'épisode N°812)
Et sans autre parole, sans un regard, le Maître quitta ma maison. Je me sentais humiliée mais paradoxalement heureuse de lui avoir apporté des jouissances même si javais fauté trois fois mais surtout de lui avoir obéi jusquà à avoir réussi à en accepter lhumiliation. Mais je n'avais pas le temps de m'appesantir sur mon sort chocolat, ma vie vanille m'appelait !... Une fois toutes mes obligations vanilles respectées, je repensais à cette journée. Je savais que faire des erreurs faisaient partie dune relation de Domination/soumission, jétais loin de la soumise parfaite, pour moi, je me considérais encore comme une soumise novice ! Après 3 ans à létranger à lautre bout de la terre, je navais vu que deux fois le Maître en réel, incluant aujourdhui. Même si léloignement navait pas empêché Monsieur le Marquis dEvans dêtre un Maître exigeant et intransigeant ! Et Il mavait fait découvrir plein de choses, avait exigé beaucoup de ma personne. Mais pour autant je ne me considérais pas comme expérimentée, car derrière la protection dun écran, je ne pensais pas que cétait aussi « vrai » quen réel ! Il y a toujours une partie de moi cachée, Il ne peut pas vérifier lapplication de toutes Ses exigences, même si jamais je nai essayé de me soustraire à lune dentre elles ! Pour vivre ma soumission en réel, il fallait vraiment un total et complet lâcher-prise et une confiance sans limite de ma part, et des barrières tombées en virtuel pouvaient très bien revenir une fois les exigences devant être faîtes en réel !
Mais malgré cet état de fait, javais limpression davoir gâché notre deuxième rendez-vous réel ! Nous navions pas pu aborder les sujets professionnels pour lesquels Monsieur le Marquis voulait mentretenir, javais raté loccasion dun bon repas en Sa compagnie, et Il était parti dun air tellement indifférent et froid, que même maintenant y repenser me donner des frissons ! Le Maître ne mavait même pas donné loccasion de Lui implorer Son pardon! Men voulait-il ? Je me sentais mal ! Je décidais donc de Lui envoyer un message, après avoir regardé si le Maître était en ligne au Château, pour savoir sil y avait une chance quIl puisse me lire rapidement.
« Maître, je Vous prie de bien vouloir daigner me lire, Cher Maître Vénéré, Nayant pas eu loccasion dimplorer Votre pardon tout à lheure, je viens Vous supplier, par écrit, de bien vouloir daigner mexcuser pour mes nombreuses erreurs daujourdhui ! Je suis sincèrement désolée de Vous avoir autant mécontenté ! Je suis consciente de mériter le fait que Vous men vouliez, mais je Vous avoue que jai beaucoup de mal à le supporter
Cela me rend malade au sens propre ! Je Vous supplie de me laisser une chance de me rattr et de Vous montrer que je peux être une meilleure soumise. Votre esclave-soumise à Vos pieds »
Je restais un moment à fixer lécran de mon ordinateur. Je rafraichis de nombreuses fois la page qui mindiquerait que le Maître avait pu lire mon message. Au bout dune longue demi-heure, le message disparu enfin des messages envoyés non lus du Château. Je me demandais sIl allait me répondre de suite, ou non, si je devais attendre une réponse en ne bougeant pas de derrière mon écran, ou sil valait mieux que je vaque à mes occupations
Point de vue de Monsieur le Marquis dEvans : Je ressentais à travers son message son mal être. Jétais plutôt content de ce sentiment à bien faire pour Me satisfaire qui se renforçait chez Ma nouvelle petite chienne. Mon Emprise sur elle samplifiait ! Elle était de plus en plus à Moi, et ce nétait encore quun début ! Ce quelle ne sait pas, cest que je ne lui en veux pas, un Maître digne de ce nom ne peut pas en vouloir à Sa chienne. La rancur ne peut pas exister, le courroux peut être possible mais jamais de rancune. Je décidais donc de ne pas lui répondre de suite, pour quelle puisse ressentir au plus profond delle sa totale appartenance, mais surtout ressentir que je ne suis pas à sa disposition mais que cest plutôt linverse et ainsi quelle doit être patiente et savoir attendre que je daigne lui répondre quand bon il me plaira. Jattendais donc un bon trois quart dheure pour lui répondre :
« Ma chienne, Je te rassure, je ne t'en veux pas ! Tu fais des erreurs, c'est comme cela qu'on avance.
Point de vue de Marion : Je n'ai réussi à me fixer sur rien ! Je suis totalement incapable de me concentrer sur quoi que ce soit ! Le temps me semble tellement long en attendant cette réponse qui ne viendra peut-être pas ! Tout est prétexte à repasser devant l'ordinateur pour vérifier mes messages ! Je me rendais vraiment compte que j'étais totalement dépendante du Maître ! Je ne pouvais plus envisager ma vie sans Sa présence Dominante ! Quoiqu'Il exige, je le ferais pour avoir la chance de continuer ma vie chocolat à Ses pieds ! En dehors de mes filles, Il était devenu ma raison de vivre ! Ma vie ne serait plus jamais la même s'Il devait la quitter un jour !
Quand je reçus enfin Sa réponse, je fus soulagée ! Je n'étais pas encore pardonnée, mais le Maître ne m'en voulait pas et ne remettait pas en cause ma période d'essai ! Ne pas savoir quand est ce que je pourrais le supplier de me pardonner me laisser une boule à l'estomac. Mais j'étais sûre de pouvoir le faire à un moment ou à un autre ! Je me décidais à aller me coucher. Mais la nuit ne fut pas bonne. Je ne fis que des rêves d'abandon, où je me retrouvais seule dans un endroit désert, quasi fantomatique, au bord d'un chemin.
"Sois disponible à 10h."
Ce mail me glaça de l'intérieur. Pas de "bonjour", pas de "Ma chienne", pas de signature... Effectivement je n'étais pas encore pardonnée et le Maître me le faisait sentir ! Dix minutes avant l'heure, je reçus un message sur mon téléphone :
"Laisse ta porte déverrouillée, agenouille-toi face à l'entrée, au milieu de la pièce, les yeux bandés."
Je m'équipais et attendais dans la position exigée. Je pensais entendre rapidement le Maître arriver. Mais aucun son audible pendant ce qui me sembla durer une bonne heure ! Je commençais à avoir les genoux douloureux, j'hésitais à quitter la position pour aller voir le téléphone et l'ordinateur au cas où j'aurais raté un message. Mais au moment où jallais bouger, je sentis une main se poser sur mes cheveux ! Pourtant jétais sûre de ne pas avoir entendu le moindre bruit
Mais quand jentendis cette voix tant adorée, je neus plus aucun doute ! Le Maître était rentré chez moi sans faire le moindre bruit et qui sait depuis combien de temps Il mobservait !
- Bien Ma chienne ! Je suis fier de toi, tu viens de passer une heure immobile, tu as bien respecté Mes exigences ! Maintenant mets-toi en position, je crois que tu as quelque chose à me demander
- Maître, je Vous prie de bien vouloir mexcuser pour les fautes que jai commises hier, à savoir ne pas avoir gardé la position quatre pattes et Vous regarder dans les yeux, dis-je après mêtre prosternée en direction de Sa voix. Et je Vous remercie pour les sanctions que Vous avez bien voulu daigner maffliger, car elles me permettront de maméliorer pour toujours mieux Vous satisfaire et donc devenir une bonne chienne soumise MDE.
Et sans que je my attende, sans me répondre, Il se déplaça derrière moi, pesa sur mon corps... je compris qu'Il défit son propre pantalon, écarta mes cuisses, cracha sur ma raie et écarta mes fesses, poussa un premier doigt, puis un autre dans mon anus. Je me raidis... je me cambrais, ça faisait un peu mal ! Je gémissais, mais sans oser faire plus malgré la petite douleur que je ressentis dans mon cul si étroit ... Mais Il poussa... Ses doigts m'écartaient, m'ouvrirent... Puis dun coup, Il les retira et je sentis autre chose... Son gland ! Je sentis le fier membre du Maître appuyer sur ma rosette. Il prit son temps pour bien me dilater, et quand Il décida de me prendre plus virilement alors Il poussa... poussa... et me pénétra dun coup puissant et profond ! Je criai de douleur mais aussi de plaisir ! Mais ça y est, il était en moi et me possédait... Il allait et venait entre mes fesses, avec une force, une autorité qui me firent comprendre qu'il ne me baisait pas seulement le cul, mais qu'il prit réellement possession de moi jusqu'au plus profond de mon être. Il s'était saisi de mes poignets et les réunit dans mon dos en les maintenant d'une seule main... Tandis que de l'autre, il me masturbait le clitoris, mes lèvres intimes. Tandis qu'il se joua ainsi de mes orifices, je compris, au-delà de la douleur de mon cul défoncé, que je subis un véritable acte initiatique... Je suis comme marquée par cette pénétration qui fait de moi une autre femme, une soumise possédée par le Maître...
Alors je me mis à pleurer doucement, je pleurai de bonheur plus que de douleur sur ce nouveau destin de soumission... Tout en m'enculant profondément, le Maître me donna une forte volée de fessées de sa main libre. Les claques vinrent s'ajouter à cette saillie fulgurante... J'imagine que mon cul allait en porter les traces rougies pendant un bon moment... et mes gémissements se mêlèrent : Gémissements sous les coups qui s'abattirent, gémissements à chaque coup de reins qui enfonçait dans mon anus. La queue épaisse et dure du Maître me besognait sans concession, bestialement, sauvagement ! Et quand Il fut proche de la jouissance, il me frappa encore les fesses de sa large main, alors que je gémissais toujours et de plus en plus du plaisir qui me gagnait au-delà de la douleur, plaisir d'être ainsi traitée et plaisir de sentir sa Main me fesser durant ses vas-et-viens... Soudain sur Ses derniers coups de boutoirs, il éjacula abondamment et je sentis un épais flot de semence qui se répandit entre mes entrailles. Le Maître dit dune voix forte, tout en lâchant de longs râles de plaisirs jouissifs :
« Je
te
pardonne
Ma
chienne
Ma
propriété
Tu
es
à
Moi ! »
Puis de pousser fortement encore une fois un profond râle guttural et de se vider de Sa dernière saccade de sperme au fond de mes entrailles par un puissant coup de reins bien séparé des précédents. Ensuite, il resta un long moment immobile en coït anale profond avant de nous fit glisser au sol, me tenant tendrement dans Ses bras tout en restant toujours profondément enfoncé en moi.
- Voilà ce que jaurai voulu comment, jaurai voulu finir mon passage chez toi hier, Ma chienne ! Mais je te le répète, je te ten veux pas ! dit-Il dune voix douce. Et maintenant, voyons les sujets plus professionnels que nous aurions du aborder hier ! Mais avant nettoies-moi bien Ma verge qui ta posséder si profondément
(A suivre
)
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