Qui L'Eut Cru Ix La Belle Nuit De Noël Continue

Qui l'eut cru IX La belle nuit de noël continue

Jeudi 25 décembre 2014 3 h 50

Françoise est dans l’obscurité, seule dans son lit, le radio réveil marque trois heures cinquante, elle pense à cette soirée.
Que d’émotions pour elle, d’abord ce qui s’est passé avant l’arrivée des s, comment ont-ils pu ? Comment a-t-elle pu ?
Elle ferme les yeux, essaie de retrouver la sensation de cette langue qui s'enfouissait dans son vagin, de cette bouche qui venait aspirer ses lèvres alors qu'elle se touchait le clitoris.
Elle se rend compte qu'elle est encore en train de le frotter avec son doigt, elle devient folle.
Elle mouille, ses tétons sont durs, sensibles, elle éprouve le besoin de les pincer.

Puis le repas, il n’y a pas eu de couac, en tout cas elle ne pense pas.
Stéphane a été à la hauteur, elle appréhendait tellement.
Il est de plus en plus imprévisible, cela est à la fois angoissant et excitant.
Elle lui en veut d’avoir passé son pied sous sa jupe pendant le repas, elle ne savait plus où se mettre, ce qui d’ailleurs n’a pas échappé à Alexandra.
Ils étaient assis face à face, il est remonté lentement le long de sa cuisse gainée de soie noire jusqu’à son entrejambe, quel risque inutile !
Elle aurait pu l'en empêcher, et pourtant, elle n'a pas serré les cuisses, elle s'est même légèrement laissée glissé de sa chaise pour aller au contact du gros orteil qui faisait pression sur sa vulve à travers le collant et la culotte noire en satin.
Encore une fois, elle s'est mise à mouiller, et cette fois en présence de sa fille et de son gendre, c'est comme si Stéphane avait pris le pouvoir sur tout son corps, comme s'il n'y avait plus de limites.
Tout cela lui fait peur, car elle se rend compte qu'elle ne peut résister à cet homme.

Il est trois heures cinquante-huit, Françoise aux aguets, regarde vers la porte.
« A quatre heures je viendrai te rejoindre » c'est le texto qu'il lui a adressé alors qu'elle se déshabillait.


C'est encore de la folie, elle a tout de suite pensé fermer sa porte à clé, au lieu de cela elle a enfilé sa nuisette la plus sexy.
Il est quatre heures, son cœur bat très fort, va-t-il venir ? Elle n'attend que ça en fait, elle ne pense qu'à ça, ou alors était-ce une plaisanterie, elle espère que non, elle a envie de se faire prendre, peu importe les conséquences.

Il se glisse enfin dans les draps, c'est à peine si elle l'a entendu entrer dans l'obscurité
Leurs lèvres se cherchent puis se trouvent, leurs langues s'emmêlent.
La main de Stéphane remonte sur les cuisses, passent sous la nuisette, caresse les fesses.
Sans s'en rendre compte, Françoise se retrouve au dessus de Stéphane.

- Hum Tu m'excites tout le temps, murmure-t-il.
- Chut, il ne faut pas faire de bruit ils sont à côté.
- Ok … Si tu ne veux pas que je fasse de bruit, il va falloir que tu sois très cochonne ma chérie, allez montres-moi tes talents !

Françoise lui donne à nouveau un baiser, Stéphane sort sa langue qu'elle suce longuement.

- humm pas mal et ensuite ? dit-il en allumant la veilleuse.

Sans hésitation, Françoise passe sous le drap, elle lui suce les tétons, les mordille, puis lèche son torse et son ventre en descendant lentement jusqu'à son caleçon qu'elle déboutonne, la queue jaillie aussitôt.
Françoise l'embouche, se met à pomper, puis joue avec sa langue, sur le gland, lèche la hampe plusieurs fois.
Elle fait descendre le caleçon, l'enlève.
Elle masse les boules en pompant de nouveau lèvres bien serrées, puis joue de nouveau avec sa langue

- humm ! Oui suces moi les boules aussi.

Françoise hésite à peine et descend vers les bourses, elle aspire la peau, elle perçoit le testicule dans sa bouche, c’est un peu mou, cela lui fait une drôle d'impression, Stéphane semble apprécier d’après ses gémissements, elle change de côté, puis remonte en léchant la hampe, joue de nouveau avec le gland en malaxant les couilles.

Françoise ne pense plus qu’à ce vit qui s’offre à elle, qu’elle a envie de sentir en elle.

Elle ôte sa nuisette et vient frotter sa chatte sur le dard ruisselant de salive, se souvenant l’espace d’un instant qu’elle faisait cela avec Jean-Pierre lorsqu’elle était d'humeur coquine.

- Humm.

Stéphane surpris, apprécie la douceur humide des lèvres qui enserrent sa queue, certain dorénavant que Françoise est maintenant folle de sa bite et qu’il va pouvoir lui en demander encore plus.
Rapidement, son mandrin est aspiré par le vagin affamé.

- Ohhh c’est bon Françoise !

Françoise ne réfléchit plus, n’entend plus, elle se penche en avant et se démène comme une possédée sur le pieu sur lequel elle s'est empalée, alternant de petits coups de bassin d'arrière en avant avec des mouvements plus amples au cours desquels le dard ressort presque entièrement avant de s'engouffrer à nouveau dans le con baveux.

Stéphane se régale, sa bite dans le fourreau chaud et humide ressent bien les contractions vaginales de la mature enfiévrée qu'il accompagne en empoignant ses fesses jusqu'à l'explosion finale.


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- Hum
…...........................................................................
- Hum....non.
- Alexandra,....réveille toi chérie.
- Hein !
- Tu faisais un cauchemar, ça va ?
- Oui, oui, ça va....quelle heure est-il ?
- Sept heures....c'était quoi ce rêve ?
…..........................................
- Alex ?
- Hein....je ne me souviens plus.

Alexandra se tourne vers le mur, passe discrètement sa main sous l'élastique de son pantalon de pyjama, comme elle le craignait, son minou est tout mouillé.
Elle ne se souvient pas de l'intégralité de son rêve, seules les dernières images lui reviennent, elle faisait l'amour avec... Stéphane, dans le salon, sous le regard de sa mère et d'Antoine.

Vexée elle se recroqueville machinalement comme pour se protéger.
Pourquoi faut-il donc qu'elle soit comme ça, à se sentir attirée par n’importe qui ?
Elle a pourtant tout ce qu'il lui faut dans la vie, un mari qu'elle aime, aux petits soins pour elle, son petit garçon, un métier qui la passionne.
Pourquoi a-telle toujours ces idées perverses ?
Dès l'adolescence, il lui a fallu lutter contre cette partie d'elle même qu'elle a presque toujours réussi à contenir, mais pourquoi doit-elle livrer ce combat qui la mine tellement souvent.
Elle se souvient honteusement de chacune de ses défaites, Bernard le meilleur ami de son père qui l'a déflorée un soir de quatorze juillet, l'été de ses seize ans, cela s’est fait sur la banquette arrière de sa Mercedes, ils ont baisé ensemble pendant plusieurs mois, il lui a tout appris, puis, ce militaire martiniquais qui l’a abordé dans un parc à Paris et qu'elle avait ramené dans sa chambre d'étudiante.
Elle a été secrètement sa maîtresse pendant deux ans.
Ce sont ses deux défaites, mais pour combien de combats péniblement gagnés contre ses envies, contre elle-même ?



A suivre

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