Fuck Again In Cannes Near Monte-Carlo
La fille roulait des hanches sur la Croisette. Robe légère blanche presque virginale. Fesses lourdes qui vrapaient le coton clair comme cloche. Et le son dans ma tête du battoir qui faisait résonner l'airain en harmonies libidineuses hautes sans fin.
Je bandais.
La fille vaquait en baladant devant tous, sur deux cuisses fines, un postérieur callipyge en rythme lent comme ressac de Méditerranée. Elle vaquait, vaquait, vaquait. Tout du long de la grève.
Et nous, tous, on bandait.
Le soleil était bas. C'était le soir, c'était l'hiver. La robe était bien trop fine bien trop légère pour la saison.
On comprenait que cette fille en voulait, là sur horizon de mer grise et de la plage un peu figée de novembre. Elle promenait son cul pour dire au monde entier son attente de main au panier et même plus si affinité.
Moi je pensais aux flippers Bally et leurs semi-holes qui donnaient un max de points, tambours tournant longuement, avant d'éjaculer la bille pour la renvoyer au jeu. Je pensais aussi à l'infâme trou gobeur qui donnait les points et même parfois faisait claquer la machine mais ne rendait pas la bille. Frustrant.
Le trou gobeur de cette fille, je l'imaginais sans peine avec plein de poil autour, sombre, gothique, démoniaque et profond. Enfin conforme à mes fantasmes habituels.
Une petite voix néanmoins me sussurait troublante, et si tout ceci n'était pas vrai et si sa fente était toute lisse, géante, béante, luisante d'humeurs baveuses et visqueuses comme celle de Kim Kardashian sous la langue incisive de l'autre Jay dans leur sextape diffusée des millions de fois sur YouTube.
Enfin, mes copains et moi, à l'unisson, on bandait ferme à mater cette gonzesse et ses fesses qui faisaient éclater le tissu pourtant chaste de sa robe claire.
Son minois était plaisant. Cheveux blonds en casque façon Cameron et lippe gourmande de fêleuse en vocation sincère.
Il fallait se lancer, alors je me suis dévoué. Modeste mais fier de l'être... Les copains en étaient fort dépités.
J'ai couru près d'elle et lui ai pris la main. Elle n'a pas refusé. Nous avons joggé longuement de concert et, à la jetée, j'ai pris sa taille pour marcher plus doucement hanche contre hanche dessus la mer. Sous le teeshirt sa peau était nue, élastique et mouillée. Ma main a filé sous l'étoffe empaumer le creux d'elle entre côtes et bassin.
Au bout de la jetée il a fallu s'arrêter. Tout était désert, la mer, la plage, le pier. Une baraque en planches close avec enseigne de pèche en haute mer nous a fait abri et je me suis assis sur le banc face à la mer.
À genoux entre mes cuisses elle a baissé le zip et extirpé la bête qui ne demandait qu'un peu d'air pour s'épanouir. Son air gourmand devant le gland turgescent et son coup de langue gourmet m'ont convaincu de son extrême consentance.
Elle m'a tourné le dos en disant, moi j'aime voir la mer, et s'est posée sur moi comme un hélico atterrit sur son ère, très exactement empalée sur l'engin, train Messier souple et ouvert.
Ses intérieurs étaient accueillants de liquidités et vrombissaient comme alouette à turbine Turboméca.
A l'instant exact où mes neurones libidineux donnaient ordre à l'équipée sauvage de lâcher les gaz, elle s'est baissée, mains au sol, pour présenter, au creux d'elle, son col dur utérin face au méat karchériseur afin de n'en rien perdre.
Ses chairs serrées autour de moi refusaient de me rendre liberté et moi, tout ému, je serrais ses seins fort dans mes mains, comme pour dire, toi aussi tu m'appartiens.
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