M.A.K. My Life... Ou Presque. Xi Bis

fin écrite en 2016
Avant de reprendre ce récit, je voudrais vous remercier chaleureusement pour vos commentaires. Bon ou mauvais un commentaire et un signe d’intérêt pour un auteur. Vous avez aussi été nombreux à écrire sur mon mail et j’en suis très touché.
Je n’avais pas prévu d’écrire de fin. Je n’en éprouvais ni l’envie ni le besoin.
Vous m’avez posé une question essentielle sur la véracité.
La réponse est dans le titre.
J’ajouterais simplement que quelques fois la réalité dépasse la fiction.
Je vous dédie cette suite que je me suis senti obligé d’écrire pour vous bien, longtemps après les faits.

Reprise.
oooOOOooo
Ils ont mis deux jours pour refaire la chambre et n’ont pas voulu que je les aide.
- Tu vas voir mec, on va te faire un vrai cocon. Laisse nous faire
- Ouais, tu vas être nickel dans cette piaule. Une bonbonnière pour notre suceuse.
- Et nous aussi dans la tienne. Hein Mathieu?
- Pas de lézard Kemb. Je vais soigner le pinceau.
- Lequel?.
Ils ont éclaté de rires.
J’avais honte. Margot était heureuse.
- Venez les garçons on va choisir mon lit maintenant.
Ils sont revenus deux heures après avec une estafette et dedans un lit King-size.
- On peut dormi à l’aise à trois là-dessus.
Oui, c’est vrai qu’on pouvait dormir à trois, mais je savais que ce ne serait plus moi le troisième. Ils rigolaient et travaillaient les trois à l’aménagement des deux chambres. J’étais exclu de la bande.
Le dimanche soir, Margot m’a tiré par le poignet.
- Viens voir Didou... C’est super.
Kemb a ouvert la porte du dressing:
Chambre de 3 mètres sur 3. Murs peints en bleu clair, moquette bleue foncée. Notre vieux lit acheté à notre mariage, un chevet assorti aux murs, une petite armoire, une table. Rien d’autre. Margot avait rangé une partie de mon linge dans l’armoire.
- C’est plus pratique pour toi Didou d’avoir tes affaires sous la main.


Kemb m’a donné une tape sur l’épaule:
- Chouette hein? Tu l'étrennes cette nuit P’ti mâle..
- Déjà!
- Ben ouais mec ! Tu ne crois pas qu’on s’est fait chier deux jours pour rien.
- T’étais O.K. Didou ! Non???
- Oui mais pas si vite.
- Casse pas les burnes mec. Ça change quoi ce soir ou le week-end prochain.
Ils sont partis me laissant seul dans cette chambre. Mon nouveau territoire de cocu.
Je les ai entendus toute la nuit. Les cris conquérants des hommes. Les gémissements de ma femme. Des fois les voix devenaient compréhensibles.
- Suce nous ensemble ma Gazelle. Oui comme ça. C’est bien.... Gobe-moi les couilles. Lèche bien tout le long. Vas sur Mathieu. Oui. Penche-toi. Super. Il est super ce nouveau pieu.
Les gémissements continus de ma femme. Ses petits cris.
Impossible de me retenir. Plus fort que moi. Je sors mon sexe de mon pyjama et me branle lentement en les écoutant. Mais je ne bande pas je me branle mou !
J’aimerais les sucer aussi.
Être avec eux.
A côté de ma femme. Comme avant.
J’ai joui avec ma bitte molle.
Ils ont dormi ensemble pratiquement toutes les vacances. Toutes les nuits Margot était prise et ses gémissements de jouissance raisonnaient jusque dans ma chambre. Je participais peu à leurs ébats et plus comme un troisième mâle.
Si Margot n’insistait pas, je pense qu’ils m’auraient carrément viré.
Les jours se suivaient, identique pour moi, à ne rien faire à part quelques tâches ménagères. Eux bossaient beaucoup er révisait aussi énormément.
Il leur arrivait aussi de décompresser avec insouciance et même un soupçon de violence. Quand Kemb attrapait ma femme pour la coucher sur le canapé et lui écarter les cuisses. A la maison Margot portait invariablement une robe légère et rien d’autre. Je voyais les mecs lui remonter la jupe et lui ouvrir les cuisses.
Elle se débattait, criait puis riait quand une des épée prenait possession de son corps devant moi.
Ils usaient et abusaient d’elle pendant toutes ses vacances. Ils s’en foutaient de moi. Je ne bandais pas et je ne disais plus rien.
ooOOOooo
Fin Août
Dernière semaine du mois, les s rentrent dans huit jours.
Je descends, Margot est au téléphone avec notre voisine.
- Oui Madame Nivalle, c’est terrible ce qu’on entend. Tant de morts. En fin de compte on ne regrette pas de pas être parti en vacance.. Avec le chômage d’André c’était difficile de toute façon. Non non, pourtant il cherche.. Je pense que je vais reprendre un mi-temps comme avant la naissance des s. Qui ?. Ah oui !. Deux grands jeunes hommes…. Oh Madame Nivalle, je suis mariée voyons. Mais c’est vrai que ce sont de beaux garçons. Oui c’est sûr qu’ils doivent avoir beaucoup de succès avec les filles.. Voyons c’est plus de mon âge ce genre de chose et de toute façon j’ai mon André.. Ils sont internes à l’hôpital. Oui les deux. Mathieu est le fils d’une grande amie qui vit dans le sud. Il a une chambre d’étudiant en ville.. Et son ami noir ?... On va lui louer une chambre chez nous. Cela nous fera un petit pécule. De nos jours il faut rien refuser. Surtout avec la situation de mon mari.. Remarquez, il ne nous dérangera pas beaucoup, il vient juste en fin de semaine en fonction de ses gardes. Bien sûr Madame Nivalle.. Faudra pas hésiter voyons. Au moindre bobo venez les voir. Ils sont adorables les deux. Allez à bientôt. Embrassez toute votre famille.
Elle raccroche et vient me faire un bisou.
- Bavarde comme elle est, tout le quartier sera au courant qu’on héberge un jeune médecin charmant ami du fils d’une amie. Plus de risque du qu’en dira-t-on. Ils pourront venir comme ils veulent.
- Et cette histoire de travail, c’est vrai ?...
- Lundi prochain je commence à bosser trois jours par semaine. A l’association.
- Là où tu l’as connu ?... Là où il te baisait. Tu vas faire quoi ? En trouver un de plus.
- Essayer de nourrir notre foyer à ta place !
Elle venait de me crucifier !
- Tu t'occuperas de la maison.
Ils continueront à amener leur linge. C’est plus simple pour tous.
Elle me fait un bisou sur la bouche puis un beau sourire de tendresse.
- Tu vas devenir une vraie femme au foyer mon ange. Vas prendre tes cachets. C’est l’heure.
Je suis au lit avec Margot. J'ai envie. Tout le temps envie de son corps de sa peau, de son odeur. Envie de tout d’elle. Mais je ne bande plus du tout. Kemb a changé mon traitement que je prends très régulièrement.
- C’est plus fort. Mais il te conviendra mieux. Avec ça tu te sentiras nettement plus en forme et tu auras moins de migraine.
Une fois j 'ai voulu arrêter. J'ai été tellement mal que j'ai cru mourir sous les idées noires qui frappaient mon cerveau. C'est à cette occasion que j'ai compris que Margot surveille mes prises de médicament. C'est elle qui m'a dit que je ne devais pas stopper ce traitement. Que cela risquait de me pousser au suicide. Qu'elle ne voulait en aucun cas me perdre et que je souffrirais trop sans mes pilules quotidiennes.
- J'ai envie de toi Margot. J'ai envie de ma femme.
- Mais je suis là Didou ! Dans le même lit que toi.
- Tu sais bien de quoi je veux parler Margot. Je suis las. Tellement fatigué de tout ça.
- Fatigué de quoi Chéri ? D'être au chomdu ? De ne pas être capable de nourrir sa famille ? De pas être fichu de garder sa femme, de l'honorer correctement.... Dis-moi Didou ? De quoi es-tu las ? De moi ?... Des s ?...
Les mots sont cruels, sa voix dure, impérieuse. Ne supportant aucune réplique. Une nouvelle Margot devant moi.
- Regarde-toi Didou. Regarde ce que tu es devenu. Incapable de partager les moments intenses que nous traversons. Incapable de comprendre l'amour que je te porte. Et toi il est ou ton amour pour moi ?... Tu ne me veux pas heureuse ? Tu ne penses qu’à toi, à eux. Jamais à moi. Tu n'as rien à dire ni demander mon amour.... Crois-moi tu as juste à te taire. Si tu m’aimes autant que tu le dis, fait ce qu'on te demande.
Moi je ne pourrais pas vivre sans toi. Et toi sans moi tu pourrais ?
Elle venait de prendre le pouvoir total sur moi et notre famille.
Après une très longue minute de silence, à ma grande surprise, sa main a glissé sous mon pantalon de pyjama pour se saisir de mon sexe. J’avais une furieuse envie de bander. Mais c’était impossible. Elle a commencé à branler ma bitte molle. Sans succès.
- Je t’aime Didou. Ce n’est pas grave si tu peux plus. Ils sont là pour ça.. Il y a d’autres moyens de m’aimer Didou. D’autres moyens de se retrouver.
Elle s’est levée pour se mettre nue. Son corps sublime se découpait dans le contre-jour d’une fin d’été. Elle est venue se pencher sur moi, seins à hauteur de mon visage puis de ma bouche.
- Commence par me câliner les seins mon Chéri. Je sais que t’adore ça.
J’ai obéis avec avidité. Je me suis mis à têter ses tétons avec passion. Ils durcissaient lentement sous mes coups de langues. J’aspirais goulument les pointes. J’étais affamé de ses seins.
- Attends Chéri on va changer de position. On sera mieux.
Elle a voulu un soixante-neuf. Elle au-dessus. Je pensais qu’elle aller me sucer.. Je léchais son intimité coulante. C’était bon. Tellement bon.
- Suce-moi Margot. S’il te plaît.
- Non Chéri. Tu connais la règle. J’ai donné ma parole mon ange. Comprends-moi. Mais ce n’est pas grave. Viens te branler au-dessus de mon visage.
J’ai obéis à contrecœur, mais l’excitation était la plus forte, elle me caressait et lécher les couilles pendant que je branlais ma bitte molle. Puis un de ses doigts s’est glissé entre mes fesses pour me titiller l’anus.
- Margot… !
C’était plus un gémissement qu’une interdiction. Elle a continué. Je sentais le doigt déflorer mon cul. Mélange de honte, d’irritation et d’excitation. Elle le faisait coulisser lentement en moi. Elle laissait couler de la salive dans ma raie au-dessus de son doigt qui me perforait en douceur mon anus. Le doigt allait de plus en plus loin. Sa langue sur mes couilles. J’ai ramené mes talons vers mes fesses pour mieux sentir l’intromission.
- J’ai l’impression que tu aimes bien ça Chéri.
J’ai jouis sur son visage et ses seins avec son doigt profondément enfoncé dans mon cul. J’avais honte et j’étais bien. Mais j’avais jouis mou.
- Super Chéri ! Tu vois que ça revient… A mon tour maintenant. Viens me nettoyer avec ta bouche mon Chéri.
J’ai léché de ma langue sa peau si douce à la recherche de la moindre trace de sperme et quand elle m’a tendu son doigt maculé, après un échange de regard, le sien curieux, le miens pensif, je l’ai sucé aussi pour le nettoyer.
- Tu vois qu’on peut s’amuser les deux mon Chéri.
- Et toi.
- Mais tu vas venir me faire la minette du siècle mon Chéri.
Elle a écarté ses grandes lèvres pour ouvrir sa fleur trempée. Je me suis jeté dessus comme un affamé.

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