La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°823)

Fanny au Château – (suite) -

- Bienvenue dans mon château, chienne Fanny. Tu sais quand tu y es entrée, tu ne sais pas encore quand tu y en ressortiras. Mais je te laisserai dès demain matin le choix de partir ou de rester, mais avant cela tu vas découvrir un petit échantillon de ce que tu es vraiment… Une soumise … une vraie soumise … ma soumise …

Elle sentit une main lui caresser les cheveux, puis cette main descendit sur ses épaules, s’attarda sur sa nuque s’engagea sur les seins pour venir vriller chaque téton. Puis d’un coup le jour se fit ! Le bandeau fut retiré d’un coup et Fanny pu enfin voir son Maître. Elle avait bien eu des photos de lui via internet, mais l’homme qu’elle avait en face d’elle ne ressemblait en rien au visage qu’elle avait tant regardé sur les images virtuelles.
Fanny ne pu retenir un cri de stupeur, voire d’effroi, quand l’homme élancé, légèrement féminisé lui sourit et lui dit d’une douce voix :

- Je suis David, le compagnon de ton Maître. Je dois te mener à lui. Mais avant tu vas porter ça !
Il joignit alors la pause d’un collier et d’une laisse qu’il avait en main, sur le cou de la soumise tout en disant ces paroles, d’un ton des plus aimables :
- Excuse-moi de ma petite blague, à t’avoir laissé penser que j’étais le Marquis d’Evans. Il me le reproche d’ailleurs souvent, mais je suis du genre ‘’cabotin’’ et j’aime bien me faire passer pour lui, ne serait-ce qu’un instant… Allez debout, je te même en laisse à ton Maître… Ah un conseil … Tu ne parleras que si on te pose des questions et tu dois toujours garder la tête baissée sauf si on exige de toi de lever la tête, allez suit-moi, dit-il en l’aidant à se relever et en commençant à tirer sur la laisse.

Mains liées derrière le dos, nue, en laisse, fanny fut bien obligée de suivre. Son visage marquait d’abord la déception, car l’excitation était montée très haut et cette mauvaise blague avait bien refroidi ses pulsions.

Et il faut avouer qu’elle n’avait pas du tout apprécié la plaisanterie de ce David. Mais 2 choses étaient en train de l’émoustiller de nouveau : Ce collier et cette laisse n’étaient pas pour lui déplaire car elle en avait toujours rêvé mais également le fait que le compagnon du Marquis l’emmenait à son Maître. Enfin, elle l’espérait car elle douta quelques secondes que ce ne soit encore une autre blague de ce ‘’cabotin’’ de David. Mais celui-ci avait deviné les pensées de Fanny et il tint à la rassurer comme s’il souhaitait s’excuser de nouveau de son usurpation d’identité :

- Soit sans crainte, ma belle, tu vas voir ton Maître d’ici quelques minutes. Il est à la grande salle du casino, située à l’aile droite du château. Nous allons donc traverser multiples couloirs pour y accéder. Si par hasard, on croise du monde, ne rougis pas, ici, tu sais ici, les gens ont l’habitude de voir des femelles menées en laisse, comme des mâles d’ailleurs, dit-il d’un ton narquois.

La traversée du château a permis à Fanny de se rendre compte de la beauté des lieux et des impressionnants espaces. Chaque couloir traversé était d’une hauteur équivalente à 5 ou 6 mètres où moulures sculptées et énormes chandeliers étaient flanqués de chaque côté des murs. Comme elle l’avait déjà remarqué en arrivant, partout où elle passait, elle découvrit ce même faste. Cette demeure était un vrai bijou de multiples richesses, quasi à l’excès. Richesses architecturales, culturelles, artistiques, des meubles anciens, aux tentures, aux tableaux, aux lustres. Tout était disposé judicieusement et provoquait cette forte sensation qu’on se trouvait à Versailles sous le Grand Louis Soleil, tant ces richesses abondaient dans des espaces aux longueurs interminables. Tous les sols étaient feutrés par l’immense tapis épais et donnaient aux couloirs la sensation d’être dans des pièces à part entière. Mêmes les plafonds des couloirs étaient ornés de peintures, de fresques aux multiples couleurs.
Fanny était très impressionnée par tant de luxe déployé et cela lui en donnait presque le tournis.

Par deux fois, David et Fanny croisèrent des esclaves également menés à la laisse par de robustes noirs torse nus à la musculature généreuse. Seul un pagne cachait leurs parties génitales. La première fois, il y avait un couple nu et enchaîné, un mâle encagé et évoluait à ses côtés, une femelle avec une cage de chasteté digne de celles du temps des Croisades. Il marchaient tête baissée, Des traces de fouet recouvraient leur corps tandis que le nègre devant tirait les 2 laisses avec fierté, la tête haute. La deuxième fois, derrière un autre black, il y avait, à la file indienne, tous encordé à la suite, une demi-douzaine d’esclaves qui évoluait également sans le moindre mot. Fanny ressentait cette docilité, cet avilissement que faisait ressortir cette scène qu’au aurait cru toute droit sortit d’un péplum, de les voir marcher ainsi. Tous portaient des colliers aux armoiries des Evans. Alors elle regarda de plus près son collier, qu’elle avait négligemment omis d’observer pour s’apercevoir que le sien aussi était marqué à l’effigie des Evans.

Après d’interminables dédales entre couloirs, David s’arrêta enfin devant une immense double-portes en chêne massif verni aux moulues sculptées d’époque. Une musique de chambre douce parvenait aux oreilles de fanny, probablement du Bach, quand le compagnon du Marquis lui dit :

- Je vais ouvrir et te laisser seule. Ne t’inquiète pas, tout est prévu ! Derrière cette porte deux femelles t’attendent pour t’emmener devant ton Maître. Tu vas voir certainement des choses que tu n’as encore jamais vu, dit-il en ricanant et s’en allant après avoir frappé de son poing à la porte.

La porte s’ouvrit doucement comme par enchantement. Et ce que aperçut Fanny dépassait ce qu’elle avait imaginé. Une pièce immense aux décorations également luxueuses.

* A sa gauche un immense bar massif verni, tels ceux que l’on trouve dans les discothèques haut de gamme.
Ce bar tenant toute la largeur de la pièce, d’environ une quinzaine de mètres était magnifiquement décoré. Au mur derrière, des glaces sur toutes la longueur et toutes les boissons largement fournies et exposées comme dans les bistrots. Il y avait des serveuses ou plus exactement des esclaves femelles qui servaient nues des Maîtresses et Maîtres. Ces derniers étaient soit accoudés au bar soit assis sur de haute chaises. Mais ce qui interpella Fanny, c’était que chaque ‘’client » de ce bar avait en laisse une ou un esclave qui attendait docilement nu et à 4 pattes, tenu en laisse, pendant que leur Maître buvaient au bar. Certains esclaves avaient une petite écuelle pleine d’eau, comme si on avait donné à des chiens de quoi boire, à même la moquette qui recouvrait d’ailleurs toute la pièce. Il y avait même une femelle en train de sucer un Maître tandis que celui-ci bavardait avec une Maîtresse accoudée au bar. Et celle-ci grignotant des olives, s’amusait dans la conversation à griffer le dos de la femelle agenouillée et occupée à sucer. Quand au Maître, Il ne faisait même pas cas qu’on était en train de lui faire une fellation.

* A droite de la pièce un immense espace dédié au casino, ou de longues tables disposées étaient occupées par des Maîtres et Maîtresses à jouer à la roulette. Le croupier, également un grand noir, nu, tournait la roulette et ramassait les mises perdues à l’aide de son ‘’bâton raclette’’ sur le tapis vert. Sous cette grande table Fanny aperçut également 2 ou 3 esclaves agenouillés en train de lécher ou sucer ce qui se présentait à leur bouche. Ainsi les amateurs de la roulette pouvaient se soulager tout en se divertissant au plaisir de ce casino que personne aurait soupçonné exister dans ce château.

* Au centre une piste de danse où évoluait des Maîtresses et Maîtres qui dansaient tranquillement enlaçant pour chacun d’eux une ou un esclave nu sous le rythme calme de Bach. Ce que remarqua Fanny et qui lui parut très étrange, c’était que chaque danseur portait un masque.


Les observations de Fanny furent brusquement interrompues par les deux femmes qui se trouvaient devant elles. Parfumées, maquillées, nues, grandes, d’une silhouette digne des plus grands mannequins, elles étaient d’une extrême beauté. Il y avait une brune et une blonde. Aux poitrines généreuses, elles avaient une boucle-anneau à chacun de leur téton et les lèvres de leur sexe étaient également annelées. Leur collier était la seule chose qui les recouvrait. Et c’est donc dans cette nudité, que souriante à Fanny, elle la prirent délicatement par les bras, sans un mot, pour la convier à les suivre. Fanny remarqua qu’aucune des deux n’avaient empoigné la laisse, certainement qu’elles en n’avaient pas le droit.

Le trio traversa la piste de danse et personne ne fit mine de les regarder, à croire que l’arrivée de Fanny passait complètement inaperçue. Ce que Fanny n’avait pas remarqué dans sa première observation, c’était le haut trône flanqué juste derrière l’espace du casino et d’où l’on pouvait de là-haut superviser l’ensemble des lieux. C’est dans cette direction qu’on emmena Fanny. Elle aperçut alors (et enfin) son Maître qu’elle reconnu aussitôt. C’était lu son visage identique à la photo qu’elle avait de lui, pas de doute, elle ne douta plus cette fois que ce n’était pas un éventuel mauvais tour de David.

Elle remarqua alors qu’au pied du trône de chaque côté était postées deux femmes réduites à l'état d'animaux de compagnie qui se tenaient docilement et immobiles à ses pieds à 4 pattes. Elles étaient enchaînées au bas de la demi-douzaine de marches d’escalier que comportait ce haut siège sur lequel, le Marquis d’Evans trônait tel un monarque. Assis il supervisai l’ensemble de l’immense salle du casino

Le Maître des lieux était richement habillé, d’un costume noir d’une étoffe raffinée, il regardait majestueusement Fanny s’approcher. Le visage figé, le Marquis d’Evans n’exprima aucune joie à l’arrivée de la soumise. Et ce qui interpella le plus Fanny, ce fut les yeux du Marquis au regard dominateur. Un regard que Fanny ne pourrait désormais jamais oublier. Un regard fixe aux yeux bleus brillants d’un éclat pur. Ce simple regard faillit faire tomber Fanny d’émotion, ces jambes chancelantes ne la tenaient plus. Ce fut les 2 femelles qui la soutenaient pour effec les derniers mètres.

Et c’est donc très impressionnée que Fanny se trouva au pied du trône. Les 2 chiennes attachées à celui-ci ne firent pas cas de la présence de Fanny, elles restaient totalement impassibles. Fanny baissa la tête plus par instinct, que par obligation quand elle entendit, la voix du Maître lui dire :

- Regarde moi petite chienne. Je vois que tu as suivi mes instructions à la lettre. Voila désormais ton monde, lève la tête et regarde autour de toi et découvre ton nouvel univers … Oui regarde et décontracte-toi, lui dit le Marquis, personne ici ne te mangera …

- Bon… bonjour… Maî… Maître …, balbutiait Fanny trop impressionnée pour répondre, tant l’émotion l’étranglait autant que de ce retrouver devant celui pour lequel, elle avait fait ce long voyage. Elle se mit alors à regarder tout ce qu’elle avait déjà furtivement observé, les joueurs à la roulette, dont certain exprimai sur leur visage la jouissance, ils devaient à ce moment là éjaculer dans des bouches sous la table, les danseurs, qui d’ailleurs sur la piste de danse, certains étaient en train de sodomiser quelques esclaves exposés en levrette. Le bar où les boissons coulaient à flot par des serveuses qui se faisait peloter les seins par des clients pervers. Et enfin son regarde se tourna vers les 2 chiennes au pied du trône. Ce que remarqua le Noble :

- … Je te présente deux de mes plus fidèles femelles, Jeanne et Christelle … Elles ont le grand honneur d’être devenues mes animaux de compagnie … Mais j’ai prévu un petit spectacle pour ton arrivée… Alors agenouille-toi entre mes 2 femelles, oui ici à mes pieds et regarde… Et le Maître frappa fortement dans ses mains et à ce moment là, tous arrêtèrent leur activité pour regarder, pour se retourner en direction du Marquis. La musique s’arrêta également et pendant quelques secondes un silence total empli les lieux, ce qui impressionna encore plus Fanny, surtout quand elle constata que tout le monde la regardait dans ce silence quasi inquiétant …

(A suivre …)

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