Amina 4
Jentrai dans le Mcdo affamé comme jamais. Je fis la queue, pressé de pouvoir passer commande. Lorsque ce fut à moi de me présenter à la caisse, jeus une sacré surprise : celle qui prenait les commande des clients du Mcdo nétait autre quAmina une fille très sexy, avec qui javais déjà couché. Elle était assez grande, la peau noire, un beau visage, et de magnifiques formes, une grosse poitrine (90D), une taille fine, et de très belles fesses. Lorsquelle me reconnut elle eut un grand sourire.
« Salut tu vas bien ? »
« Ouais pas mal, et toi ? »
« Ca peut aller. Tu veux quoi ? »
Je passai ma commande, et elle transmit aux cuisines. Deux ou trois minutes plus tard, ma commande arriva, et Amina me la donna, un grand sourire aux lèvres. Je la remerciai et minstallai pour manger. Au bout dun moment, je vis quelle mavait laissé un petit message, griffoné à la hâte sur un bout de papier, laissé sur le plateau. « Je finis mon service dans une demi-heure, retrouve moi sur le parking. » Je me sentis aussitôt très excité : ce nétait sûrement pas pour discuter poliment, quelle me donnait rendez vous
Je finis mon repas, en prenant tout mon temps. Une fois la demi-heure passée, je me rendis sur le parking, toujours affamé. Javais mangé certes, mais javais à présent faim dautre chose
Amina mattendait là, sur le parking, près dune voiture rouge aux vitres teintées. Elle sétait changée, et était vêtue dune chemise qui moulait parfaitement son imposante poitrine, et dun jean qui mettait en valeur son fessier. Je sentis mon sexe se raidir légèrement à sa vue
En me voyant, elle sourit, et ouvrit la portière de sa voiture.
« Vas y, entre, assis toi. »
Sans discuter, je massis sur le siège passager. Au lieu daller sasseoir sur le siège conducteur, Amina vint me rejoindre sur le siège passager, sinstallant sur moi. Après avoir refermé la portière, elle se mit à membrasser avec fièvre, me plaquant contre le dossier du siège, frottant son imposant fessier contre mon sexe, qui devint vite très dur.
« Je te préviens, je suis morte de faim, ça fait trois heures que je sers des frites, maintenant, jen veux pour moi ! »
« Tu vas en avoir une bien grosse, répondis-je en souriant. »
Souriant à son tour, elle me retira mon jean, puis mon caleçon, avec impatience. Elle se dévêtit également, ne gardant que sa chemise. Puis, sans plus tarder, elle sempala sur moi. Elle devait être en manque depuis un moment, car elle semblait impatiente, et très sensible. Rien quen sempalant sur moi, elle poussa un grand gémissement. Et, quand, poussée par son impatience, elle se mit à sauter sur mon sexe de haut en bas, très vite, elle poussa des cris de plaisir qui devaient sentendre jusqu à lautre bout du parking. Elle était vraiment en mode sauvage, me baisait très fort, membrassait comme une folle, et me mordait le menton, le tout en me souriant dun air vicieux, et en me regardant droit dans les yeux comme pour me provoquer. Je frissonnais et gémissais doucement sous ses assauts, ce qui la poussait à me baiser encore plus fort. Décidé à participer un peu, je saisis ses hanches, et cherchai à contrôler le rythme de la baise. Mais elle me saisit les mains, et me les colla contre ses cuisses, memprisonnant littéralement.. Je tâchai de me débattre pour libérer mes mains, mais la posture était en sa faveur, et je perdis lépreuve de force, ce qui lui tira un sourire ravi. Elle put alors se déchaîner sur moi comme elle le voulait, bondissant et rebondissant sur mon sexe, faisant de moi un sex-toy à sa disposition. Nous gémissions de concert, et je prenais fortement mon pied à être baisé comme ça. Mais mon orgueil de mâle, ne tarda pas à reprendre le dessus. Alors quelle était appliquée à me sauter comme une folle, sa pression sur mes mains diminuait. Je pus donc me les libérer, et participer plus activement à la baise. Je lui saisis les hanches, et diminuait le rythme de sa baise, lui souriant dun air moqueur.
Je la rejoignis sur la banquette arrière, et retirai mon t-shirt, parce que je commençai à sacrément être en sueur. Elle navait jamais été aussi dominante quà linstant, et je devais absolument la corriger. Je voulus dabord la prendre en levrette, mais je me dis que ce nétait pas suffisant. Je pris mon sexe, et lui enfonçai dans lanus, sans douceur. Elle poussa un cri, mais ce nétait pas de douleur, elle ne devait pas en être à sa première sodomie.
« Oh bordel cétait tellement bon ! Souffla-t-elle. »
« Je ne te le fais pas dire ! Répondis-je. »
Après mêtre reposé un moment, je rentrai chez moi, heureux de cette nouvelle aventure.
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