La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°824)
Fanny au Château (suite) -
Une fois le silence absolu soudainement installé, ce qui fit vite comprendre à Fanny labsolue autorité du Maître des lieux vis-à-vis des invités comme des esclaves, le Marquis prit la parole et sadressa dune voix claire et forte à lassemblée :
- Mes Amis
Mes Amis
Je vous présente ma dernière acquisition, ma petite chienne Fanny... Jaurai du travail, certes, pour léduquer, mais jen fais mon affaire
Pour le moment que chacune et chacun dentre-vous récupère son ou ses esclaves. Tenez-les au pied et en laisse et si vous voulez bien, je vous propose, comme nous avions convenu ensemble, dimproviser un défilé de chiens. Si vous voulez bien vous mettre au fond de la salle
Walter vous annoncera au fur et à mesure et prendra des photos pour chacun de vous. Merci chers Amis de votre participation
Un copieux applaudissement général et enthousiaste suivit les paroles du Marquis. Et Fanny pu remarquer lextrême organisation des Maîtresses et Maîtres présents qui, dun claquement de doigts pour certains, dun coup de sifflet pour dautres, firent ramener les esclaves à leur pieds, pour ceux qui étaient éparpillés ayant été prêtés pour la plupart. Tous les esclaves mâles portaient une cage de chasteté. Puis tous se rassemblèrent au fond de la pièce à la file indienne dans un ordre apparemment déjà ordonné. Suite à un signe de tête dune Maîtresse en tête de la file dattente, on entendit une voix théâtrale annoncer :
- Madame la Duchesse de Vermont et son chien Edgart
A ces mots, la Duchesse relevant hautainement la tête, secoua la laisse et lesclave Edgart se mit à avancer à 4 pattes. Arrivés sur la piste de danse, le duo en fit le tour sous les applaudissements de tous. Puis la Duchesse fièrement sapprocha en bout de piste face au trône, pour faire arrêter son esclave-chien et fit mettre à celui-ci la tête et les coudes touchant le sol, lui fit écarter les jambes et cul relevé en levrette.
- Monsieur le Vicomte de la Verdière et ses deux chiennes Olga et Anita
- Madame la Marquise de Berlenac et son couple de chien-chienne Hermont et Tania
- Madame la Baronne du Plantier et son chien noir Doudou (un robuste et musclé black esclave)
- Monsieur le Maréchal Dumart et son quatuor de chiens muselés
Etc
etc
Le défilé dura environ une bonne demi-heure et Fanny était comme subjuguée par les avilissements extrêmes de ces esclaves qui docilement venaient de passer tour à tour devant ses yeux. Elle compris alors, ce qui lattendait et elle fut rattrapée par deux sentiments puissamment étranges se mélangeant : A la fois, elle prenait peur et se dit quelle ne pouvait pas devenir comme cela et à la fois cela lexcitait fortement car elle sentait son bas ventre humide et ces sensations sentrechoquèrent dans son esprit.
Quand le défilé fut terminé et suite à un signe de la main du Marquis dEvans, tous les Maîtres et esclaves se regroupèrent sur la piste de danse, pour une photo souvenir de groupe. Le Marquis se leva alors de son trône, tira sur les chaînes et les 2 chiennes Jeanne et Christelle se tinrent, sans dire mot, prêtes à avancer toujours 4 pattes. Il regarda Fanny et avant de commencer à descendre les marches du trône, il lui dit calmement mais autoritairement :
- Je veux que tu sois sur la photo, alors je vais prendre le bout de ta laisse et tu avanceras au côté de mes deux chiennes, toi aussi à 4 pattes. Et je ne veux pas tentendre. Allez avance petite chienne
Alors Fanny craintive ne put quobéir et pour la première fois de sa vie, elle ressentie vraiment sa véritable condition.
Fanny qui devait comme ses congénères baisser la tête, sentit une main lui caresser les fesses. Elle faillit instinctivement se retourner quand la Marquis tira sur la laisse ce qui fit comprendre à la soumise de ne pas bouger. Elle comprit que le Noble légèrement penché sur le côté lui passait la main vicieusement sur sa croupe. Elle aperçut également que son Maître alternait ce geste sur Jeanne et Christelle. Ces deux dernières ne bronchèrent point et restèrent impassible comme habituée à ce genre de chose.
Quand Walter finit les photos, il fit signe au Marquis et ce dernier prit de nouveau la parole :
- Merci à tous. Et maintenant tous au buffet. Buvez et mangez à volonté mes amis, un apéritif dînatoire vous attends !
Il frappa de nouveau dans les mains et les femelles-serveuses du Marquis qui attendaient sagement derrière le long bar, déposèrent de nombreux plats exquis, quun traiteur de la haute société avait préalablement préparé et livré, sur toute la longueur du comptoir. Un brouhaha de satisfaction générale se fit entendre et tous se dirigèrent vers le buffet. La Duchesse de Vermont entraînant son chien Edgart sapprocha du Marquis dEvans et lui dit :
- Mon cher Edouard, que vous avez là une bien belle chienne ! Jaurai plaisir à ce que vous me la prêtiez à loccasion car je suis certaine quelle ne connaît pas le dressage dune Maîtresse
- Ma chère Antoinette, jy ai déjà pensé et soyez certaine que dans son éducation, jai bien prévu que cette Fanny passe entre vos mains.
- Merci mon ami
. Ho mais regardez moi ça, dit la Duchesse, qui avait vu le manège de son esclave, mon Edgart qui serait en chaleur, votre petite chienne lui fait de leffet. Ha ha ha ! Si vous voulez accoupler votre chienne cest le moment, dit t-elle en boutade !
- Et pourquoi pas ! Répondit le Marquis tout à fait sérieusement ! Loffrir à un esclave aussi musclé que le votre, démarrerait bien son éducation.
Ils ne restèrent queux sur la piste de danse, tous avaient rejoint le bar. La Duchesse sortit une clé de la poche de sa belle robe satinée, ainsi quun préservatif.
- Je nai quà enlever sa cage de chasteté et lui enfiler cette capote. Ca fait 15 jours quil na pas éjaculé et il doit commencer à avoir les couilles pleines. Ca le vidangera ! ha ha ha !
Non, pensa Fanny, mon Maître ne peut pas me faire ça, ce nest pas possible ! Elle leva la tête pour protester quand elle vit les yeux inquisiteurs du Marquis. Elle nosa alors dire mot mais de son regard attristé elle suppliait son Maître. Celui-ci plia les genoux, lui prit le menton entre les doigts de sa main et la regarda droit dans les yeux.
- Je vais être très clair petite chienne. Cest maintenant que tu dois te décider. Je ne vais pas tobliger à te faire baiser par ce chien soumis dEdgart. Alors soit tu acceptes, soit tu quittes cette pièce et ce château. Walter te rendra tes habits, enlèvera ton collier et ta laisse. Il te reconduira à la gare, te fera monter dans le premier train, et tu rentres chez toi. Et on en parle plus
Alors écoute bien, je vais aller offrir une collation à Madame la Duchesse. Ce qui te laisse quelques minutes pour réfléchir
Si tu décides de partir, tu nauras quà te lever, te mettre debout et dans la minute qui suivra,Walter te ramènera sans aucun problème et tu nentendras plus jamais parler du Marquis dEvans.
(A suivre
)
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