La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°825)
Fanny au Château (suite) -
Et Monsieur le Marquis lui tourna les talons sans un mot de plus, conviant la Duchesse à sapprocher du buffet. Fanny maintenant seule sur la piste de danse, agenouillée sur ce parquet éclate en sanglots, recroquevillée la tête sur ses genoux, les mains sur ses joues, ce sont de chaudes larmes qui mouillent son fin et beau visage.
- Antoinette, je sais que vous appréciez mon Champagne 1957 avec une noisette de mon meilleur Caviar. Ce Caviar est un pur joyau, je le fais tout spécialement venir du meilleur producteur de Russie, venez vous délecter, vous men direz des nouvelles !
Après quelques minutes où plus personne ne faisait cas de fanny, une plainte dune grande douleur morale se fit entendre et tous se retournèrent dans sa direction située au centre de la salle. Fanny explosait de chagrin doù ce hurlement quelle ne put contenir. Mais ce que tous remarquèrent, cest quelle était debout, tête baissée à pleurer de plus belle. Les seuls mots sortant de sa bouche étaient :
- Je ne peux pas
Je ne peux pas
.
Le Marquis ne tarda pas à réagir et cest avec des yeux de colère contenue et sans concession, quil sadressa à Walter, sans regarder plus que ça la pauvre jeune femme :
- Walter, prenez la Rolls et ramenez-moi tout de suite cette petite fantasmeuse à la gare. Elle na plus rien à faire ici. Mettez là dans le train et que je nentende plus jamais parler.
Puis le Marquis lui tourna le dos avec dédain, se remettant à discuter avec la Duchesse comme si rien ne sétait passé. Un brouhaha général de mécontentement de la foule suivit cette scène. Les commentaires allaient bon train.
Walter sapprocha énergiquement de fanny. Lempoignant par le bras, il lemmenait dans la pièce attenante prestement, pièce où on avait tout prévu pour ce cas de figure, car toutes les affaires de fanny étaient posées sur une chaise.
- Habille-toi et ne traîne pas, dit Walter froidement tout en lui ôtant son collier et regardant sa montre.
Il fallu quelques minutes à fanny pour quelle se retrouve habillée comme elle était arrivée et cest les yeux rougis quelle suivit Walter en direction de la Rolls. Elle pleurait encore quand Walter la fit monter dans le véhicule et quil démarra en direction de la grille du château pour prendre la route départementale menant à la gare SNCF. Assise devant à côté de Walter, elle sadressa dans son désespoir à celui-ci. Elle avait besoin vider son sac, de parler de son blocage soudain, de son refus de rester, de cette décision quelle avait prise dans lémotion et plus surprenant de son regret. Oui elle regrettait maintenant sa décision. Et cest en essuyant ses larmes et dun ton angoissé, quelle exprima sa supplique :
- Je ne pouvais pas
non
je
je voulais que ce soit Monsieur le Marquis qui
qui
qui me fasse lamour dabord
pas un autre
non
pas un autre en premier
Après jaurai tout accepté de ses exigences
avec nimporte qui
oui jaurai été une bonne chienne soumise
jen suis certaine
mais la seule chose que je voulais
Cétait lui le premier
Jy ai trop cru en virtuelle
Je suis venue pour que ce soit lui dabord
Et les pleurs redoublaient dintensité tant son chagrin était puissant
Sans concession, Walter lui dit :
- Monsieur le Marquis na jamais personne. Mais une fois quune décision est prise, elle est prise.
- Je vous en supplie Monsieur Walter, téléphonez-lui
Dites-lui que je voulais simplement que ce soit lui dabord, je suis certaine quil comprendra
Javoue quavant de quitter cette salle, ne pas avoir eu le courage de le lui dire devant toute cette foule
Appelez-le, sil vous plait
Je veux quil sache que je suis prête à revenir sil accepte que ce soit lui le premier
Cest tout ce que je demande
Sil vous plait
, dit-elle en suppliant le domestique.
- Non, trop tard, il fallait décider quand cétait le moment
On ne revient pas sur les ordres de Monsieur le Marquis
- Je
Je ferais ce que vous voulez, mais il faut quil sache que tout mon amour que je ressens est pour lui dabord
et quensuite
jaccepterai tout de lui, par amour pour lui
- Tu ferais tout ce que je voudrais si je lappelle ? Dit Walter presque séduit par les propos de fanny, vraiment, tu es consciente de ce que tu viens de me dire ?
- Oui monsieur Walter, je vous demande sil vous plait simplement de lui téléphoner
cest tout
Walter qui, pour ceux du château et qui le connaissent savent quil est pervers à souhait et que malgré quil soit entièrement dévoué à son patron de Marquis, quil ne rate jamais une occasion se présentant de profiter dune soumise ou dun soumis. Il regarda avec gourmandise la jeune femme éplorée et lui dit vicieusement :
- Si tu veux absolument que ce soit Monsieur le Marquis qui soit le premier à te baiser ta petite chatte de putain ou ton petit cul de salope
Peut-être que pour ta bouche ce serait différent ? Taille-moi une pipe, ici maintenant pendant que je conduis et jappelle mon patron tout de suite, petite garce
Fanny changea de couleur tant elle était sidérée par laplomb du majordome. Profiter de la détresse de la jeune femme pour quelle lui fasse une fellation, elle nen revenait pas. Elle resta bouche béée. Puis après quelques minutes, où tout se bousculait dans sa tête, elle était dans une intense réflexion à remuer le pour et le contre. Le visage fixe, les yeux grands ouverts rivés sur la route quelle ne regardait même pas, elle se décida subitement et cest sans dire aucun mot en réponse, quelle se pencha près du volant et porta ses mains à la braguette du conducteur. Toujours en silence, elle dégrafa les boutons et une main dans le slip, elle sortit le sexe mou de Walter pour le mettre en bouche et commencer son travail de langue et de succion.
- Vous êtes toutes les mêmes, dit Walter ironiquement, toutes des salopes
Suces moi bien
Oui cest ça
Continue
Je te préviens, ce nest pas gagné
En principe le Marquis ne revient jamais sur une décision
Mais bon, je nai quune parole, di-t-il en sortant son portable de sa poche poitrine, tout en composant les numéros de celui de son patron
. Allo
Monsieur le Marquis
Oui cest Walter
Non pas encore
il y a du brouillard et je roule doucement
Voila ce qui se passe
Et il lui expliqua la situation en quelques mots.
- Non cest non, répliqua le Noble. Elle avait le choix, elle na pas su saisir sa chance. Trop tard. Et le téléphone coupa net.
- Cest non
Je tavais prévenu, que Monsieur le Marquis ne revenait que très rarement sur sa décision.
A entendre ces mots, fanny voulu relever la tête pour stopper la pipe quelle exécutait jusque là avec application tant quelle croyait quelle serait la solution à son retour au château. Mais Walter ne lentendait pas de cette oreille, il avait fait ce que la jeune femme lui avait supplié, elle se devait de finir son travail de langue. Alors il appuya dune forte main sur la tête de fanny qui fut obligée dengouffrer le volumineux sexe devenu raide au risque de s.
- Jai fait ce que tu mas demandé maintenant il faut me faire juter et tout avaler, compris salope ! dit-il.
Ceci ne tarda pas, en effet fanny nayant pas le choix, compris vite que plus il éjaculera vite, plus vite le domestique lui ficherait la paix. Alors malgré sa grande tristesse, elle sappliqua à pomper, sucer, lécher dans des va-et-vient buccaux de plus en plus accentués. Et ce fut par jets abondants de sperme que Walter jouis dans la bouche de la jeune femme qui bien obligée à avaler le foutre.
Se relevant sur son confortable siège, fanny sessuyait avec un mouchoir en papier que Walter lui tendit sans dire un seul mot. Le reste du voyage se passa dans un silence absolu.
Fanny effondrée moralement, monta les quelques marches du wagon de tête quand tout dun coup, le portable de Walter sonna. Celui-ci décrocha. Fanny, à la porte du wagon et gênant les autres usagers au passage, stoppa net comme tétanisée par ce subite et inattendu coup de fil. Elle nentendait pas qui parlait. Etait-ce le Marquis ? Non pas possible. Alors au bout de quelques secondes cest sans illusion et voyant quelle était mal placée, quelle entra dans le wagon. Assise cest tristement derrière la vitre, quelle regarda Walter sur le quai. Quand celui-ci lui fit un grand signe de revenir tout en raccrochant son portable. Il nen fallu pas plus. Dun bond, elle bouscula les gens et eut tout juste le temps de descendre avant que les portes se refermèrent et que le train démarra.
Elle compris tout de suite le sens du geste du domestique, qui lui dit en lui souriant (le sourire était rare chez Walter)
- Eh bien on peut dire que tu as de la chance, il vient de se passer quelque chose dexceptionnel, de très rare devrais-je dire. Monsieur le Marquis a réfléchi et me demande de te ramener au château, de tinstaller dans la salle SM suspendue et bondagée à la balancelle montée daccoudoir. Tu devras lattendre ainsi et il te certifie quil viendra seul soccuper de toi. Ainsi il sera bel et bien le premier et répond favorablement à ta demande
Jen reviens pas quil ait changé davis. En dix ans à son service, ce nest jamais arrivé. Allez vient, on retourne au château.
Tellement émue, fanny ne pu répondre tout de suite, son cur battant à mille à lheure. Elle aurait embrassé le monde entier à ce moment là. Et cest instinctivement quelle bondit sur Walter pour lembrasser sur la joue car elle ne pouvait contenir son bonheur de ce revirement de situation
(A suivre
)
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