Aprés-Midi Très Chaud

Aujourd'hui j'ai décidé de m'éclater. Raz le bol des plans foireux sur internet et des mythos qui veulent une photo de ton sexe. Direction le sauna, au moins là bas tout le monde est là pour la même chose, et même si parfois tu croises des mecs dans les couloirs qui jouent les vierges effarouchées, tu es sur de ne pas faire chou blanc. Début d'aprem il y a bousculade au vestiaire.

Je ne sais pas pourquoi, ils ont cette sale manie d'attribuer les casiers dans l'ordre croissant. Ce qui fait que comme il y à 3 casiers sur la même descente, c'est un peu la bousculade quand on arrive. C'est pas très grave, tout le monde en rigole. Après le passage aux toilettes et à la douche, je vais au hammam. Un bon bain de vapeur pour commencer. Il y a une dizaine de mecs à l'intérieur et c'est coton dans le noir pour trouver une place inoccupée. Par contre coté sexe, l'activité est plus que fébrile. Après dix minutes je ressort pour me diriger vers le fond dans la back room. Je distingue trois silhouettes dans la pénombre et la main en avant je tâte un sexe de belle ampleur. Le mec fait un bon mètre quatre vingt cinq, je lui donne 35 ans environ. Il se fait palucher par deux autres mecs plus âgés. Il me semble qu'il tâte aussi le boule d'un autre. En tous cas il est positionné debout sur le flanc du mec. Déjà un type m’agrippe. Je passe ma serviette autour de mon cou et il empoigne vigoureusement mon manche. Moi je palpe la queue bien épaisse du mec précédemment décrit. Mais il ne semble pas s’intéresser à moi.
Qu'importe celui qui me branle, est déjà à genoux pour téter mon membre. D'ailleurs je distingue qu'un autre c'est emparé de la même façon de la queue du mec que je visais. Cela dure une dizaine de minutes. Le mec qui me suce se redresse et me présente son boule. Ma queue est à son maximum 20x5 et je m'introduis sans ménagement dans le cul tendu qui m'est offert. Le mec s'exclame et cela ne manque pas de surprendre les autres.

«Oh putain cette bite, elle est trop bonne». Je le ramone en profondeur et ne me gène pas pour donner des grands coups de reins. Au bout de quelques minutes, il semble ne plus en vouloir et se dessoude de mon emprise.
Le mec que je visais depuis le début, passe sa main et me palpe. Il frotte très vite son arrière train à mon sexe. J'étais sur sa hanche gauche et j'ai biffé pour qu'il la sente bien. Et là par surprise il me colle le dos à la paroi qui est derrière moi et viens s'empaler sur mon zob. Il a fait ça en se courbant puisqu'il est plus grand que moi. Mais alors il y va d'un coup franc, et je tape le fond de son fion. Il se retire de suite et déroule un préservatif sur ma queue, puis revient très vite se remboîter sur mon vit. Je ne vous parle pas du pieds que je prends. Il fait ça tout en douceur et profondeur. Et nous allons ainsi naviguer plusieurs minutes. Je m'exclame tant cette douce cadence me fait grimper aux rideaux. Lui soupire à chaque fois que j'arrive au plus profond de sa chair. J'ai passée une main autour de sa taille et je caresse son mandrin qui n'a rien à envier au mien. Il est ferme et bien alerte. Quand il fait ressortir ma queue de son emprise, tout son corps se redresse, puis il se baisse pour venir prendre mon sexe en profondeur. Je ne sais combien de minutes se sont écoulées ainsi. Mon souffle est à hauteur de sa nuque à chaque fois qu'il se baisse et se colle au maximum à moi. Je mordille son coup et son oreille gauche. Il se tourne vers moi et nos bouches se soudent. Il fini par me dire: «Viens, allons dans une cabine» Il est vrai qu'il commence à y avoir une forte promiscuité dans cette petite pièce sombre. Je lui emboîte le pas, ma serviette toujours autour du cou, nous n'allons pas très loin car la cabine du sling située juste en face est libre. A peine le temps de verrouiller, nous nous embrassons. Je crois que nous sommes en osmose. Il s'installe sur le sling, il veut très vite sentir mon engin revenir en lui. Pas la peine d'user du gel, le conduit est bien ouvert. Jambes écartées plaquées de chaque coté des chaînes, je le fais balancer pour venir l'embrocher sur mon dard. Il couine, je m'accroche aux chaînes et le balance. Il ressort presque entièrement et je le ramène vers moi dans un balancement pour m'enfoncer au plus profond. «Tu aimes ça, elle te plaît ma queue?».
«Trop bonne, elle me ramone bien» Je stoppe le balancement pour venir grimper sur lui sur le sling, et le prendre au maximum. J' accélère la cadence. C'est trop bon. Son fion est à la fois ouvert et resserré. Au bout d'un moment il me demande d’arrêter car cela le chauffe. Tu m'étonnes?

L'occasion est trop bonne j'ai envie de goûter à son membre. Je lui demande s'il est partant. Sa réponse positive me ravie et me voilà à mon tour grimpé sur le sling. J'ai précédemment attrapé un sachet de gel, et je me doigte désormais pour m'en enduire l'anus. Pendant ce temps il a positionné un petit capuchon en latex sur son beau membre. J'enroule mes chevilles aux chaînes. Et je sens son bas ventre avancer. Sa tige entre en moi. Quel bonheur! Il commence le pilonnage intensif de mon conduit. Les anneaux métalliques teintent au rythme des aller retours de mon partenaire. Et je pousse des soupirs et des couinements de chienne en rut. Il me baise, c'est trop bon d'ouvrir les cuisses sur un si beau mandrin. Par moments ses burnes claquent sur mon arrière train. Et il me pine fermement. «Il est trop bon ton cul», Je vais finir par le croire puisqu'ils me la servent tous, celle là. En attendant je le sens sur le point de venir. Il palpite, se positionne sur ses pointes de pieds, il s'affale sur moi, c'est le coup de grâce. Je sens les contractions de son sexe qui atteint la jouissance. C'était trop bon. Quelques minutes plus tard je redescend du sling comme sonné. Il a quitté la cabine. Je positionne la serviette et me dirige vers les douches. Humm j'ai bien aimé.

J'erre une bonne demie heure entre le sauna et le hammam en passant par les douches. Rien en vue. Alors je me dirige vers le glory hole. J'entre dans une cabine. Aujourd'hui je suis en rut il me faut du sexe. J'attends quelques minutes. Juste le temps de mettre du produits désinfectant sur les parois de bois. Car je me méfie quand même. Avec l'essuie tout imbibé je suis le contour du trou et je nettoie. Un sexe pratiquement au repos se présente devant le trou. Mes doigts commencent par palper légèrement. Puis la pointe de ma langue sonde. Mon nez me permets de détecter la propreté du pénis. Je peux y aller. Rien de suspect. J'introduis le petit morceau de chair dans ma bouche. Je le sens déjà plus enclin , et en quelques dizaines de secondes il va prendre de l'ampleur. Bon ce n'est pas non plus le morceau du siècle. N'exagérons rien je dirais 16-17 sur 3,5. Je le suçote, le lèche. J'aperçois un autre sexe trois trous plus loin. Je sonde de ma main droite. J'humecte mon majeur pour titiller le méat. Finalement je préfère conserver celui dont je m'occupe. Néanmoins le mec qui s'est positionné sur l'autre trou, commence à faire du rentre dedans à celui que je suce. Je maintiens le membre bien fermement dans ma bouche et m'active. J’accélère la cadence. Hors de question que cette queue m'échappe.
J'entends le mec qui siffle entre ses lèvres et soupire . Je sais qu'il apprécie. Il fait par ailleurs des allers retours comme s'il pénétrait un cul. Il tape dans le contre plaqué qui bouge sous ses vas et vient. Que c'est excitant de ne rien voir qu'un zob turgescent. On peut palper au travers des autres trous. Je ne m'en suis pas privé. Mais on ne voit pas le visage de celui qui est de l'autre coté. Oh putain ça y est il joui dans ma bouche. Un, puis deux et un troisième jet. Je garde tout en bouche. Le temps de titiller en douceur le gland relâché. Le mec se recule. Moi je choppe de l'essuie tout pour cracher dedans. J'ai aimé néanmoins cette liqueur à la fois acre et sucrée. Je vais me diriger aux douches pour me rincer la bouche. Ce fut un bon trip. Et je ne compte pas m’arrêter en si bon chemin.

Petit passage dans le hammam pour se détendre. Toujours rien d’intéressant ne s'y passe. Je me délasse un petit moment. Puis je retourne vers la back room qui se situe dans le fond. Celle ou il y a aussi un glory hole. Je me faufile contre la paroi qui rétrécie la cabine. Il n'y a personne. Je positionne mes yeux au niveau du glory hole d’à coté et je vois un mec grand collé au mur d'en face à l'intérieur. Cette fois ci c'est moi qui introduit mon sexe. La réaction est immédiate. Ses mains le tâte. Puis une sensation de chaleur envahie mon bas-ventre. La douceur et la tiédeur de son palais. Humm ! Oui , je bande instantanément . Mon sexe se déploie dans cet antre feutré. La langue se fait câline. Je palpe les cuisses de ce mec au travers de deux trous. Mes doigts s’agrippent à ses poils, j'adore la toison de son torse. Et il me tête le jonc avec hardeur. Il stoppe, et je vois son sexe apparaître dans l'ouverture contiguë. J'ai compris c'est à mon tour de jouer. Je sors mon membre de l'ouverture et je m’accroupis à mon tour pour emboucher son engin. Humm ça me plaît, sa tige est d'un bon diamètre, je dirais 4 voir 4,5 pour 20 bons centimètres. On a beau dire ce n'est ni la grosseur ni la longueur qui comptent, tah tah tah … C'est quand même bien agréable de téter un bon phallus. Ma bouche est déjà remplie, mais celui là je le veux. Je vais lui montrer mes talents de bon suceur. Je kiffe un bon membre comme celui ci. Il bande ferme et je le fais descendre dans ma gorge jusqu'à m'en . J'ai des hauts le cœur mais je bave sur ce bon manche. J'adore. Et vu ce que je perçois au travers de la cloison, mon acolyte n'y est pas insensible. Et mes mains sont passées chacune dans un trou et je palpe les jambes et le torse de ce mec jusqu'à faire rouler la pointe de son téton. J'adore il a de la moumoute sur son torse et ses jambes sont velues également. Je suis chaud bouillant, je veux le toucher en face à face. Il faut que j'entre dans cette cabine. Mon cerveau est en effervescence. Je sais par la palpation qu'il n'y a rien à jeter, j'ignore sa tête et son age mais peu importe. Le contact est essentiel. Je dois tenter ma chance pour entrer dans cette cabine. La plupart des mecs qui vont au glory hole, recherchent l'anonymat. Donc ce n'est pas gagné. La bouche pleine de son sexe qui fait des allers retours, j'arrive à articuler que je veux entrer, que j'ai trop envie de lui. Je me relève, aucun mec n'est présent dans le glory au risque de prendre ma place et de l'emboucher. Je repasse très vite dans le couloir et frappe à la porte. Super il déverrouille.

Il m'ouvre les bras et nos bouches se mêlent. Quelle sensualité! Nous kiffons la même chose. Je peux enfin caresser son corps à ma guise et nos étreintes se font passionnées. Il fait 1,90 est blond , belle gueule , je dirais tout juste trente ans. Ce mec est une bombe. Nos mains parcourent mutuellement tout le moindre centimètre carré de notre peau. De vrais décharges d'adrénaline. Et ses poils me rendent dingue, il a une magnifique toison sur le torse, et mes doigts sont captivés, d'une main ils fourragent dedans de l'autre je pétris désormais ses fesses. Et nous sommes plaqués l'un contre l'autre. Sa main s'active sur ma gaule et l'autre me maintient ardemment. Et pourtant je n'ai pas l'intention de m'enfuir. Au bout d'un long moment de câlins et de frottis frottas, je tâte la bête et constate que son mandrin est prêt à l'emploi. D'ailleurs depuis le début. Je pivote pour venir frotter mon postérieur que je sens avide de davantage. Il me doigte savamment depuis un bout de temps et je sens que je mouille d'envie de m'offrir à sa belle queue. Il ne se fait pas prier je suis debout devant lui et je me penche pour faciliter la pénétration. Pas besoin je suis trop chaud, je veux qu'il m'éclate. Sa tige vient se lover entre mes deux lobes. C'est trop bon , je le sens forcer pour y rentrer entièrement. Et bien sur comme je me suis déplacé. Je suis face au mur de trous et des mains sont tendues et touchent ma peau. Une att ma queue et me branle sans vergogne. L'effet conjugué de la pénétration magnifique que je subie et du palpage par des mains inconnues, m'excitent au plus haut point. Mes soupirs se font entendre. C'est une longue litanie de bien être.

Mon partenaire s'enfonce en moi en de savantes ondulations. Je le sens prêt à décharger. La pression devient plus forte et le voilà qu'il pousse un rugissement alors qu'il accélère la cadence, puis se fige. Le temps de récupérer à peine quelques secondes. Il se retire, ôte la capote. Nous nous embrassons à nouveau. Et je lui demande si je peux le prendre à mon tour. Mon sexe est toujours à la verticale. Il me répond: «Je ne suis pas sur que ça rentre» Il se tourne à son tour et je fourrage son anus avec du gel. Un puis un second et un troisième doigts entrent et tapissent le conduit de gel. Le temps de me couvrir et je me présente, j'entre mon gland mais je sens qu'il bute. Et me voilà maladroit et je force un peu. Et la il pousse un cri. Il a trop mal. Je me retire tout de suite. Malheureusement j'ai voulu y aller comme un bourrin. Tant pis pour moi. Il a ouvert la cabine et se précipite aux douches pour se soulager le rectum. Je le rejoins et m'excuse de mon empressement et de ma brusquerie. Je décide de regagner le vestiaire à regrets, mais j'avoue avoir passé de bons moments en cette journée.

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