La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°826)
Marion au Château (suite de l'épisode N°821)
- Bien alors nous ferons en sorte que cela soit possible ! Pour le moment, nen parle pas à ton mari, tes supérieurs directs nétant pas au courant évidemment ! Et maintenant, il va être lheure de déjeuner ! Je vais te détacher, je tinvite au restaurant !
Je me demandais où jallais pouvoir lamener ! Ayant passé beaucoup de temps sans travail, je navais pas lhabitude de fréquenter dautres restaurants que les cafétérias ou autres modestes restaurants peu chers. Mais Monsieur le Marquis interrompit mes questionnements.
- Allons dans ta chambre et montre-moi ta garde-robe !
Nous sommes donc montés à létage, moi à quatre pattes tenue en laisse derrière Lui, montant chaque marche des escaliers doucement en quadrupédie jusquà ma chambre. Toutes les deux marches environ, je reçu une délicieuse petite tape sur les fesses afin de me faire avancer, ce qui me fit mouiller de plaisir ! Une fois dans ma chambre, cela me fit un effet bizarre de faire entrer un autre homme que mon mari ici, et qui plus est le Maître ! En ouvrant la porte, nous étions de suite au pied du lit. Le Noble qui tenait ma laisse tira sur celle-ci pour me positionner face au lit, plaqué au montant du pied, les seins écrasés sur le bois, la tête seule en dépassant.
- Ouvre grand la bouche ! (Il me fixa de longues minutes ainsi agenouillée.) - Humm un jour, je baiserai cette sublime bouche dans cette position ! Mais là, nous navons pas le temps, nous devons être au restaurant dans trois quarts dheure ! Alors voyons ce que tu vas mettre
Et après avoir inspecté tout ce que je possédais, Il retira de la penderie une robe rouge, avec un profond décolleté, bordé de noir entre les deux seins, cette robe marrivant légèrement au-dessus du genou. Cétait la robe que je mettais pour les soirées salsa. Je me demandais en la voyant si le Châtelain dansait cette danse
Il sortit également un ensemble de lingerie rouge en dentelle.
- En route ! Je veux te faire une surprise, je vais donc te bander les yeux pour que tu ne saches rien du lieu où je te mène.
Le Noble me banda donc les yeux et me guida jusquà Sa voiture. Au moment de masseoir, je Le sentis en train de relever ma jupe, mon shorty descendit sur mes chevilles et Il me fit asseoir sur un plug assez épais et long. Celui-ci sintroduit facilement dans mon anus car il était préenduit de gel lubrifiant, ce qui me donna une agréable sensation, en effet je me sentis bien remplie par mon cul encombré et me fait mouiller dexcitation également par le fait davoir les yeux bandés... La route quIl prit était cahoteuse, et je sentais le plug de plus en plus enfoncé dans mon cul, le comblant totalement. Et le trajet dura, comme lavait-il annoncé, un bon trois quart dheures ! Régulièrement, une main inquisitrice se glissait sur ma jambe gauche, remontait vers mon entrejambes et me forçait à bien écarter les cuisses par de petites claques. Puis cette main me caressait du bout des doigts mes lèvres intimes me provoquant des frissons tout le long de mon échine, surtout quand Il me doigtait franchement la chatte, triturant au passage mon clito si réceptif à ce genre de savoureux traitement. Mon bas-ventre en était véritablement excité, ce qui néchappait pas au Maître :
- Humm, jaurai peut-être du prévoir une serviette pour que tu ne fasses pas de tâches sur le cuir du fauteuil ! dit-il dune voix froide.
Je me sentais mal ! Je ne pouvais contrôler mes sécrétions vaginales dues à mon excitation, et au ressenti de Ses attouchements, je ne pouvais pas ne pas être excitée ! Jessayais de contracter tous mes muscles pour couler le moins possible, mais Il sacharnait délicieusement par Ses doigts inquisiteurs via son doigtage profond et lent, ne me facilitant ainsi pas la tâche à essayer de peu couler ! Je navais pas le droit de le regarder, dailleurs je ne le pouvais pas avec le bandeau, mais jétais sûre quIl avait un air plus que satisfait !
De temps en temps, Il retirait Ses doigts pour me faire lécher ma cyprine déposée sur sa main.
Lorsque le moteur stoppa, je sentis très vite un baiser très doux, très sensuel, se poser délicatement sur ma bouche. Cela me faisait penser à un encouragement. Une douce caresse de Sa part sur mes joues marqua une tendresse appréciée. Aucun mot ne fut prononcé, ce qui minquiéta encore plus. Le Châtelain me conduisit, le cul toujours plugué, le shorty remonté, toujours les yeux bandés à lintérieur de ce que je supposais être un restaurant, puisque nous devions aller déjeuner. Une fois entrés à lintérieur, au lieu de menlever le bandeau, Il me dirigea à travers ce qui me sembla être une grande salle au bruit que faisait la clientèle qui semblait être nombreuse. Une fois quIl meut installé sur une chaise, il môta le bandeau. Je découvris un lieu que je ne connaissais pas, dans une lumière un peu tamisée qui donnait une ambiance intime au lieu. A première vue, rien ne minterpella. Je ne voyais pas en quoi consistait la surprise du Maître et à quoi avait servi le bandeau. Monsieur le Marquis sétait assis en face de moi. Nous étions tous les deux de profil par rapport au reste de la pièce. Un homme vint à nous, sûrement le patron de létablissement.
- Monsieur le Marquis, vous voici de retour ! Cest toujours un privilège et un grand honneur de vous recevoir. Soyez le bienvenu. Vous êtes en bien agréable compagnie, me semble-t-il ! dit dune voix respectueuse lhomme. Finalement, vous avez trouvé quelque chose dintéressant dans notre « petit coin paumé » ?
Il me semblait quune subtilité méchappait, mais je ne voyais absolument pas laquelle ! Et comment le Maître pouvait-Il être connu ici ?
- Ah Alexandre ! vous nêtes pas très fair-play de me ressortir ce « petit » mot prononcé il y a maintenant un bout de temps ! Effectivement mes affaires ont fini par me mener près dici ! Je ne pouvais pas être dans votre belle région sans venir vous y rendre une petite visite !
- Je vous en remercie Monsieur le Marquis ! Je vous laisse, le travail mappelle ! Je repasserai certainement tout à lheure ! Profitez bien de tous les délices que pourrait vous apporter ce repas ! ajouta-t-il avec un sourire énigmatique.
- Jen ai bien lintention ! répondit le Maître avec le même sourire, si ce nétait peut-être une petite pointe de perversité en plus? Mais venez donc boire le café à ma table tout à lheure, si votre travail vous le permet bien sûr !
- Avec grand plaisir Monsieur le Marquis ! Jen suis très honoré ! Je suis sûr que ce sera un moment fort réjouissant !
- Bien, alors à tout à lheure, cher ami !
Et Alexandre repartit vers laccueil. Une serveuse vint prendre nos commandes, le Noble commandant pour moi, sans me demander mon avis, ce qui me surprit sur le moment, mais je ne dis rien. Il nous prit également un apéritif. Une fois la serveuse partit, il sortit de la poche intérieur de sa veste un écrin, et le poussa vers moi. Je le regardai dun air interrogatif.
- Je veux que tu prennes cette boîte et que tu te diriges vers les toilettes, qui se trouvent tout là-bas au fond du restaurant. Une fois enfermée, tu enlèveras ton shorty, tu ouvriras cet écrin et tu mettras en position ce qui sy trouve. Tu reviendras à notre table, ton bas dans ta main droite, et tu viendras le poser au centre de la table. Exécution !
Ces mots avaient été prononcés dune voix monocorde, lair impassible, une voix qui nautorise pas la réplique. Je me mis à trembler. Il fallait que je traverse la totalité du restaurant. Et si le Châtelain avait choisi la main droite pour que je ramène mon bas, ce nétait pas pour rien, les toilettes et le mur se trouveraient au retour sur ma gauche, donc tout le monde pourrait voir, si je ny prenais pas garde ce que contenait ma main
Jhésitais à me lever, jétais tellement stupéfaite que je ne me demandais même pas ce que pouvait contenir la boîte qui mattendait toujours sur la table. Devant mon incertitude, Son regard se glaça, ainsi que Son ton lorsquIl parla !
- Eh bien ! Quattends-tu pour obéir ? Préfères-tu être sanctionnée, ici, maintenant, en public, Ma chienne ?
Je nhésitais plus à Ses mots, alors, je me levais et je pris la direction des toilettes.
(A suivre
)
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