Le Sauna Libertin.
(fiction partielle écrite en 10.2010).
Dans ce récit, je vais tenter de resti les confidences faites par un couple damis bisexuels qui fréquentent un sauna-club de la ville, ouvert deux soirées par mois aux adeptes du « tout nu » des deux sexes. Je vais laisser parler celui qui men a raconté le plus sur cette soirée bien particulière.
----===o===----
Ludovic et moi, nous assumons pleinement notre orientation à la fois homosexuelle et bisexuelle car nous ne refusons pas des aventures féminines. Agés tous deux dune trentaine dannées, nous sommes cadres dans deux entreprises différentes du port de Rouen.
Nous nous connaissons depuis de longues années puisque nous avons fréquenté le même lycée de la ville où nous avions découvert nos penchants homosexuels. Après nous être perdus de vue pendant quelques temps le temps de nos études supérieures nous nous sommes retrouvés un peu par hasard en découvrant que, sans le savoir, nous travaillions à proximité lun de lautre. Les souvenirs de jeunesse sont remontés et nous ont rapprochés.
Nous nous retrouvons parfois dans un club pour profiter des installations de sauna, hammam et détente de cet établissement bien fréquenté par les libertins de la région rouennaise à qui il ouvre ses portes deux fois par semaine à partir de 21 heures. Nous y rencontrons des coquins de toutes sortes qui partagent ou non nos goûts pour le sexe mais surtout lenvie dévoluer dans le plus simple appareil lors des mois dhiver.
Il y a plusieurs semaines, nous nous sommes retrouvés pour aller y passer la soirée. Cétait un vendredi, nous pouvions en profiter pleinement jusquà la fermeture à minuit. Après avoir fait plusieurs passages au sauna suivi du traditionnel bain froid, nous sommes allés dans la pièce où se trouvent deux grands jacuzzis.
Nous étions seuls car nous étions arrivés dès louverture et nus bien évidemment... Après quelques moments de détente dans les remous et les jets de massage, nous avons commencé à chahuter.
Cétait une sorte de lutte aquatique dont le but était de plonger la tête de lautre sous leau tout en échangeant des caresses. Lun et lautre nous étions bien chauds, nos bites tendues à lenvie. Cétait à qui placerait lautre en position dans leau pour se glisser entre ses fesses. Cette joute déterminerait celui qui, ce soir, prendrait le cul de lautre.
Nous étions tellement pris par notre jeu que nous navons pas remarqué tout de suite que nous étions observés. Appuyée contre un pilier au bord dun bassin, il y avait une silhouette longiligne. A première vue, rien ne permettait de savoir sil sagissait dun homme ou dune femme : les cheveux noirs pratiquement rasés, le torse caché par un long teeshirt un peu ample laissant deviner deux tétons légèrement proéminents sur ce qui sest avéré être deux seins à peine dessinés, des hanches étroites au sexe masqué par le bas du teeshirt. Son visage ovale avec des pommettes un peu marquées et dimmenses yeux noirs en amande lui faisait un type asiatique assez marqué.
Enlevant son teeshirt notre voyeuse (car cétait une toute jeune fille) sest approchée de notre jacuzzi et dune main, elle a commencé à caresser sa chatte alors que de lautre, elle faisait rouler entre ses doigts des tétons gros comme un pois chiche. De nous voir, cela devait lexciter et dêtre observés, cela nous excitait aussi.
Elle est venue sasseoir sur le rebord du bassin et a enjambé le rebord tout en nous regardant. Ma bite était dans la bouche de Ludovic pour une fellation lente. Nous nétions pas pressés.
Soudain la fille a ôté la main qui caressait sa chatte au dessus de laquelle se trouvait une petite touffe de poils taillée en rectangle.
Elle sest glissée dans le bac à côté de Ludovic. De sa main droite elle a saisi son sexe auquel elle a imprimé de lents va-et-vient en partageant ma bite avec lui, nous la passant de lun à lautre. Que cétait bon de pomper ainsi. Après quelques temps, elle a plongé la tête sous leau et cest ainsi quelle a commencé à me sucer. Bien sur, elle devait reprendre sa respiration. Je pouvais voir combien ses yeux brillaient dexcitation à chaque fois que sa tête émergeait.
Nous sommes sortis tous les trois du jacuzzi. Prenant nos bites dans ses mains, elle nous a entraînés vers un des lits de massage dissimulés derrière un paravent :
- Vous êtes bien chauds, vous allez pouvoir baiser et me baiser !
Elle a allongé son torse sur le lit, les hanches au niveau de lextrémité, les jambes à demi fléchies. Elle nous présentait ses fesses de garçon manqué :
- Lequel de vous deux veut en profiter ? Vous pouvez me prendre la chatte ou le cul, choisissez !
Je me suis mis derrière elle, jai couvert ma bite dun préservatif (cest imposé par le règlement de létablissement mais cest surtout une sage précaution) et je me suis introduit dans son cul. Oulla ! Quelle était ouverte. Je nai pratiquement pas eu à forcer pour la pénétrer jusquà la garde. Ludovic sest protégé à son tour et a commencé à me sodomiser. Nous navions jamais pratiqué ainsi à trois lun dans lautre, et encore moins avec une partenaire féminine.
Nous avons accordé nos mouvements. Je sentais les muscles intimes de la fille me masser la bite chaque fois quelle arrivait au fond de sa gaine étroite et chaude qui la serrait au plus près. Chaque poussée de Ludovic mempalait un peu plus dans ce cul accueillant. Les fellations qui avaient précédé avaient fait monter la sève.
Nous sommes revenus tous ensemble dans la salle des jacuzzis où nous avons repris nos caresses en triangle. Pendant que Ludovic faisait un cunnilingus à la fille, elle me pompait la bite et je pompais celle de Ludo. Nous étions encore plus excités quavant mais le summum, çà a été lorsquelle nous a demandé :
- Vous me faites trop envie, prenez moi en double !
Nous avons disposé un des matelas de repos sur le sol. Ludovic sest allongé sur le dos. Elle sest immédiatement empalée sur la bite dressée qui soffrait à elle. Après quelques va-et-vient, elle sest arrêtée, sallongeant de dos sur Ludovic. Elle me présentait sa chatte lisse et rose avec juste ce petit toupet de poils noirs :
- Viens maintenant ! Baise-moi !
Enjambant les cuisses emmêlées, jy ai introduit ma bite. Quelle était humide. Dune poussée mon pubis sest collé au sien. Nous avons rapidement trouvé notre rythme, alternant les mouvements de pénétration jusquà la jouissance ultime et partagée.
Nous navons jamais su le prénom de la fille avec laquelle nous navons pratiquement pas parlé. Cest elle seule qui sest exprimée pour soffrir à nous. Nous ne lavions jamais vue et jusquà aujourdhui, nous ne lavons plus croisée.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!