Passage À L Heure D Hivers ....
Changement d'heure
auteur : Laurencec
Cette année cest un samedi, enfin la nuit du samedi au dimanche du 30 octobre...
Une heure de plus au lit à récupérer ce nest jamais négligeable ! Cest peut-être pour cela que je me sens en forme et disons-le, excitée en ce début de semaine. Mardi cest la Toussaint, encore une bonne journée de repos supplémentaire.
Nous arrivons au mercredi 2 novembre.
Un réveil en super forme, bien reposée, je me suis levée tôt et je me prépare tranquillement pour aller travailler. Seule à la maison je nai que cela à faire et jy trouve du plaisir. Tout commence par une bonne douche et un entretien de mon épiderme, toute fraîche, toute lisse, je passe de longues minutes devant le miroir à peaufiner des éléments de mon corps que seule je connais ; mais je suis ainsi, le souci du détail ! Se faire le maillot doit être parfait, Non ?
Jopte ensuite pour cette robe noire que jadore porter. Bon, lété ordinairement, car elle nest pas très épaisse, mais mon humeur coquine me pousse me rappelant de bons souvenirs.
Cette robe, je ladore, son tissu noir est très moelleux, elle est d'une légèreté incomparable et tombe sur mes hanches à merveille. Nue dessous cet été, elle me procurait des sensations quelque peu coquines, comment expliquer cela ? Ce tissu en Lycra très fin est dune douceur infinie, il ne se chiffonne jamais ! Je lenfile et hop, elle tombe sur mes hanches comme de source, rien à corriger ou à repositionner. Pire, puisquen étant nue dessous, cest comme une seconde peau, je ressens amplement la douceur de la matière qui me caresse le corps et me titille les pointes des seins qui sagitent en marchant.
Bref, devant la glace de ma grande armoire il ne me fallut que quelques secondes avant de la prendre en main en me disant pourquoi pas ! Cest également une robe pour le moins classique qui me rend élégante et sexy à la fois mais sans exagérer.
Toujours dans le même état desprit, jai enfilé une superbe petite culotte de dentelle rouge qui ma sauté aux yeux dans le tiroir à moitié ouvert, puis, une jolie paire de bas noirs à large jarretière, jétais parfaite ! Seule ce soir, mon mari en déplacement, je dois avouer que lidée dune soirée en bonne compagnie a fait irruption dans un coin de ma tête. Doù peut-être cette attention particulière à ma tenue.
Ma journée sest déroulée tout à fait normalement, avec à peine le temps de mamuser un peu sur la route en relevant juste ce qu'il fallait de ma robe sous le nez des chauffeurs de poids lourds que je doublais. Rien que de faire glisser le tissu sur mes jambes gainées de soie me donnait cette sensation de légèreté, au point de contribuer au plaisir de mexciter quelque peu. Hélas pour moi, en cours de journée mes espoirs de soirée coquine se sont envolés, mon ami habituel me faisait faux bond pour des raisons que je me garderais de divulguer ici.
Accaparée par un dossier épineux, je ne me suis pas rendu compte du temps qui passait, noyant ma solitude dans le travail pour ne pas penser à la chance qui me fuyait. Pourtant, en levant la tête, je me suis rendu compte que la nuit était tombée, je me suis alors inquiétée de lheure : 18h30, pas si tard, mais oui, on a changé dheure
Grrrr ! Je ramasse mes documents et range un peu mon bureau avant de quitter les lieux, résignée à passer la soirée seule comme depuis quelques jours.
Il devait approcher 19h00 lorsque je suis monté dans ma voiture. Inutile de songer à samuser un peu, vu la nuit tombée. Cependant, lambiance est tout autre une fois que lobscurité nous a envahis. Il fait noir et pourtant la vie sagite en ville, tout est animé, bouge, et en me stationnant près du débit de tabac, un frisson me transperce : lair frais sur mes jambes peut-être. Je sors de la voiture et je traverse la route, tête baissée, regardant mes jambes éclairées par les phares des véhicules arrêtés pour me laisser passer.
Pour ne rien cacher ce petit épisode na fait quajouter à mon excitation grandissante, et je passe sous silence ma pilosité fraîchement éliminée, qui là aussi me donnait quelques petits frissons de par cette sensation de nudité. Je reprends donc la route pour le moins troublée, les hormones en fusion, me mordillant les lèvres, contractant le bas-ventre comme pour retenir les flots de plaisir qui poussent la porte. Jen suis même à penser : vivement que je sois rentrée pour me jeter sur le lit et lâcher cette tension !
Arrêtée au pied dun feu rouge, dans la campagne quelque peu isolée sur la route que jemprunte quotidiennement, dans cet état dexcitation, je dois dire que mes pensées sont très réactives. Parmi elles, ce parc à quelques pas de là, sur ma route : une friche aménagée en espace vert, clairsemée de bosquets où il fait bon se balader lété. Un endroit réputé dans le secteur pour ses fréquentations de voyeurs et autres couples libertins et même, je pense dhomosexuels. Je my suis promené par curiosité à plusieurs reprises et jai eu plaisir à croiser des types pas trop nets qui me regardaient avec insistance. Peut-être se demandaient-ils ce quune femme seule faisait là, en jupe et talons hauts. Ils étaient en droit de se poser la question ! Ceci dit cest par curiosité que je me promenais dans cet endroit pendant une pause boulot : prendre lair entre deux rendez-vous nest pas un péché !
My balader dans le noir donnerait ment un autre sentiment ! Ladrénaline que jaime tant me donner !.
Dès larrêt du moteur lambiance lugubre du coin me donne des palpitations. Aucun éclairage public à moins de deux cents mètres, là où se trouvent les derniers pavillons. Le parking est désert, mis à part une vielle Polo garée dans un petit renfoncement en lisière du site. Je descends de voiture doucement scrutant vers cette voiture à priori vide. La nuit est profonde, il me faut un moment pour que mes yeux shabituent à cette obscurité quasi complète. Heureusement que je connais les lieux, car il fait si noir que je naurais pas retrouvé le petit chemin entre les buissons qui s'engouffre dans la partie boisée ou je me baladais parfois.
Je respire à plein poumons et prenant mon courage à deux mains je mengage dans ce chemin bien plus lugubre de nuit que ce que je connaissais. Il me faut quelques minutes encore pour me sentir un peu mieux, pour évacuer une partie de cette crainte que lon peut avoir lorsque lon se met dans de telles situations ! Je sais, certains diront que je devais être folle pour me rendre seule dans un pareil endroit, mais cest justement le côté excitant de la chose, se balader sur un chemin de cailloux au milieu de la nature en pleine obscurité me procure de tels frissons ! Une force invisible ma toujours poussée dans ce sens... Dans ma petite robe sexy laissant passer une certaine fraîcheur, la douceur du tissu effleurant mon corps, très vite je me suis franchement régalée, seule au milieu de nulle part dans la profondeur obscure dun bois...
Une fois bien avancée et plus relaxée, je me prenais au jeu, mamusant à remonter ma robe sur mes jambes. La fraîcheur de l air ,la douceur du tissu, mon plaisir était palpable ne serait-ce que par mes seins que je sentais douloureux et durcis. Jai marché ainsi 20 minutes, marrêtant ci et là à laffût du moindre craquement de branche ou de la moindre ombre que jaurais pu entrevoir en mouvement.
En sortant du chemin sur le parking, celui-ci me paraissait moins sombre. Certainement le fait dêtre depuis de longues minutes dans une obscurité totale ; la robe remontée haut sur mes hanches, je regardais mes jambes, me trouvant de beaux atouts malgré mes quarante-sept Printemps. Jouvris ma voiture à la télécommande et déposais ma pochette sur le siège après avoir sorti une cigarette. La petite dernière de la journée avant de rentrer, histoire de profiter encore un peu de ce moment tellement agréable.
Cest là, après avoir allumé ma cigarette que jai vu ce type venir vers moi tout en disant à voix haute : « Isabelle ». Je me retournais, pensant quune autre personne était présente mais non, le type sadressait bien à moi ! Un homme petit et plutôt rond, en jeans et chemise ; un type un peu quelconque en somme. Étonnée de le voir arrivé ainsi tout sourire dehors, je souriais moi aussi, attendant den savoir plus. À quelques mètres de moi, il affirmait le sourire ébahi que jétais encore plus sexy quen photo ! Je nai pu mempêcher de rire, ce drôle de type au crâne rasé maccostait les yeux exorbités, comme sil me connaissait. Jétais sur le point de lui dire quil faisait erreur, lorsque jai compris quil me prenait pour une callgirl ou un truc du genre. Visiblement pas méchant, mais plutôt subjugué par ma personne, je le laisse croire sans le contrarier, le remerciant même pour les compliments. Je me montre tout aussi souriante que lui et je suis pour le moins étonnée par sa façon de me regarder sous toutes les coutures. Joserais dire que ce type ne ressemblait à pas grand-chose, mais son regard était dune telle intensité ! Je ne voyais que ses gros yeux qui sans gêne me déshabillaient !
Pour tout dire, il nen fallait guère plus pour me remettre une pression et même relever encore mon niveau dexcitation. Mon imagination reprenait de lélan. Ce type que je ne connaissais pas se penchait pour me mater les fesses sans aucune gêne et débitait des phrases sans même me laisser le temps dintervenir ! Visiblement il parlait dune nana lui ayant envoyé des photos sexy et avec qui il avait rendez-vous : heureux davoir attendu, il ny croyait plus ! Jétais enfin là depuis tout ce temps quil attendait.
Il se frottait les mains tout en me répétant que javais des jambes bien plus jolies que sur les photos. Comble de laudace, il relevait délicatement ma robe, me demandant si javais mis de jolis bas comme promis ! Je me contentais de sourire sans même le repousser, puisqu'il ne me touchait pas pour autant, mais montrait une passion débordante envers son « Isabelle » que visiblement jincarnais... En le laissant parler, japprenais même que selon lui, je lui avais envoyé de nombreuses photos et qu'il rêvait denfin pouvoir caresser mes jambes comme prévu. Mon imagination prenait le dessus : Isabelle ? Caresser ses jambes ? Après tout, pourquoi pas... !
« Bon on va dans ma voiture » me dit-il, tout en se retournant vers la Polo. Je nai pas réfléchi longtemps ! Certes le type nétait pas mon genre, pratiquement chauve, un ventre assez mis en avant, mais il me semblait tellement accro. Puis, excitée comme je létais, jétais curieuse et envieuse de connaître la suite ! Cet homme bedonnant nétait pas un Apollon, mais vu son enthousiasme, il aurait peut-être des doigts, une langue de velours et qui sait ? Je le suivais donc jusquà sa voiture sous le regard de braise qui ne quittait pas mes jambes. Jétais visiblement le genre de femme dont il rêvait et il le disait du reste.
Très relax et sans gêne mon nouvel ami ma ouvert la porte : un coupé Polo, je vous laisse imaginer, les sièges étaient déjà pliés et avancés au maximum, il était donc bien en attente de sa belle dont il me parlait. Je mengouffrais dans la voiture avec une jolie main aux fesses au passage. Il ferma la porte et fit le tour pour me rejoindre.
Étrangement, je n'étais pas inquiète. Sympa, souriant et plus lair bête quautre chose, je sentais, je savais que je n'avais rien à craindre de ce type. Javais même limpression davoir un homme très soucieux de mon bien-être et vu ma liberté du moment et mon état desprit, jespérais qu'en passant pour cette « Isabelle », jaurais loccasion dobtenir du plaisir... Cest au fond tout ce que jattendais de lui !
Son regard me touchait beaucoup ! Il était en admiration et jimaginais quun type comme lui navait pas souvent loccasion de batifoler avec une femme qui à ses yeux était dun autre monde (pourtant loin de moi cette idée). Il fixait mon corps comme peu dhommes lont fait. Je lisais dans ses yeux toute lenvie quil avait de me manger. Très agréable de se sentir comme une confiserie, la plus belle et la dernière du paquet. Lespace était restreint dans la voiture, jétais dans le fond du siège à droite, les jambes serrées et légèrement tournées vers lui.
Lil rivé sur mes jambes, je le sentais aux anges. La situation bien quétrange mamusait et cest en souriant, lorsquil a posé la main sur mon genou que jai levé la jambe comme pour le laisser inspecter son cadeau. Avec une extrême douceur, il a accompagné ma jambe, la posant sur son genou tout en caressant de la cheville au mollet avec une admiration sans faille. Je tendais le pied, tournais la cheville sous ses yeux écarquillés et ses caresses fébriles.
Avachie dans le fond du siège, je me laissais ainsi caresser le bas des jambes espérant secrètement quil remonte vite ! Malgré sa corpulence, il a réussi à se recroqueviller par terre ne cessant de caresser mes pieds, mes mollets flirtant avec les genoux. Il posait parfois mes pieds sur ses épaules, ses yeux brillaient fixant entre mes cuisses mon petit bout de tissu rouge que je ne cachais plus le moins du monde. Je fondais sous ses caresses le laissant gagner du terrain à son rythme, mais ne manquant pas douvrir les jambes à loccasion !
Son regard, sa respiration, la situation mexcitait et lorsquil sest mis à embrasser mes genoux, jai ouvert les cuisses espérant lattirer plus haut. Le bougre tournait autour alors que je montais en pression au point de me mettre à me caresser, dessus, puis dans le string sous ses yeux exorbités. Le pauvre avait ouvert son pantalon et je le voyais se triturer la queue entre deux caresses ! Son haleine bouillante sur lintérieur de ma cuisse me donnait une furieuse envie, ma robe soyeuse me permettait doucement de glisser les fesses sur le siège et ainsi amener le bas de mon ventre vers ses lèvres fiévreuses.
Cest près de vingt minutes plus tard, quenfin sa langue me brûlait la peau à la lisière de mes bas, je ronronnais de plaisir, cuisses bien ouvertes, un pied contre la vitre gauche, lautre à hauteur de lappui-tête du siège passager. Tout en me caressant, je me tortillais sous ses petits coups de langue, sursautant même parfois lorsquil me mordillait quasiment à hauteur de laine. Je ne comprenais pas trop cette retenue, malgré mes gestes, mes manières qui clairement linvitait. Jétais sur mon nuage, les yeux au trois quarts clos, lorsque jai senti quil se redressait, tout en baissant son pantalon de toile, dans un long soupir il me dit qu'il n'en pouvait plus et que malgré ses promesses, il aimerait me goûter le minou...
Je nai pas compris ses propos ! Il avait certainement convenu avec cette Isabelle quil ne toucherait ou embrasserait que ses jambes, il se retenait donc de soccuper de ma grotte damour qui ne demandait que cela. En guise de réponse, la main dans mon string, du bout des doigts je lui ai caressé la joue, alors quil revenait, visage en avant membrasser lentrejambes...
Sa légère barbe, sa bouche venant me lécher les doigts, les choses se sont enfin précipitées. De ma main libre je lattirais, lui caressant le crâne tout en cherchant à le pousser vers mon intimité trempée... Enfin, je sentais sa langue me fouiller, me mordiller les lèvres : un pur bonheur ! Je mouvrais le plus possible, tout en lui disant que cétait bon, aidée par ses mains qui mécartaient la vulve, je criais mon plaisir. Ses doigts me pénétrant, ses râles et compliments, je fondais tout en me pinçant les seins. Linstant était magique et jose dire que je me suis sentie partir très loin. Il nétait peut-être pas un Apollon, mais Dieu quil était habile. Je lui ai pourtant écrasé la tête lorsque cet orgasme est arrivé ! Jai serré les fesses tant que jai pu, accrochée à lépaule de sa chemise. Lorsquil ma enfin lâchée en se redressant, jai continué mes soupirs, quasiment allongée sur la banquette. Jai ouvert les yeux quelques secondes plus tard, il était à genoux, la verge en main à se masturber, tout en me regardant, et quelle queue ! Un dard bien droit et épais, de taille moyenne, mais dun calibre rarement vu !
Le pauvre, je ne pouvais ni ne voulais le laisser dans cet état, je lui ai alors souri tout en me redressant, lui demandant de sasseoir sur la banquette. Le type sest exécuté le pantalon sur les chevilles. Je me baissais non sans peine entre ses jambes, posant les fesses sur la console centrale tant bien que mal, vu le manque de place. Lui essayait de me faire le plus de place possible et visiblement mattendait avec impatience.
Une fois à peu près installée, jai réussi à magenouiller pour lui saisir la queue. Quelques allers et retours dans ma main, observant son regard médusé, il ne men fallait pas plus pour reprendre ma place de princesse ! La queue memplissait la main, il aurait été dommage de ne pas en profiter, en r. Quelques petits coups de langue en la tenant bien à la base, ses grondements, ses mercis ont eu vite fait de me convaincre que je devais me lâcher. Une fellation comme rarement jen ai faite ! Cette queue memplissait la bouche comme aucune jusque là ! Ses doigts mêlés à mes cheveux défaits, je me déchaînais sur cette verge qui bandait pour moi, au point même quaprès un passage entre mes seins et une excitation renaissante, dans mon esprit, jétais décidée à le laisser se vider dans ma bouche. Il faut dire que ses mots, ses mains et ses compliments mavaient donné envie et tout en mappliquant à alterner ma façon dentreprendre sa queue dans ma bouche, je tortillais des fesses tout en me frottant sur langle de la console centrale ! Je me concentrais sur sa hampe de chair qui me déformait la bouche. Par instant jouvrais les yeux, plongeant mon regard dans le sien. Il retenait mon attention complétement séduit par ma façon de faire jimagine, les yeux exorbités il me fixait, grognant, respirant très fort comme à la limite de la rupture. Je lui passais la langue sur les parties génitales, remontant sur la tige fièrement dressée. Je me faisais salope et cela me rendait folle, me frottant davantage les fesses sur le coin de plastique !
Je ne savais que faire ! Poursuivre mon action au risque de le voir me décharger au visage ou lui proposer de me prendre ? Lun comme lautre me faisaient envie pour des plaisirs différents. Je neu pas à choisir ! Mon gros vicieux ny tenant plus et lorsquil m'a repoussé je me suis laissée aller me redressant droite sur mes genoux, arborant une poitrine arrogante. Il sest alors immédiatement redressé comme perdant la tête, grognant que jétais une sacrée coquine, les mains sous mes aisselles, il sest alors rué sur mes seins, les léchant, les mordillant
Une fois de plus je me tortillais, minclinant volontiers au gré de ses caresses. Dans le chahut, je me suis retrouvée assise sur laccoudoir central, cuisses grandes ouvertes, légèrement penchée en avant, lui offrant ma poitrine quil dégustait avec rage pendant que ses doigts me fouillaient lentrecuisse. Inconsciemment, je bombais le torse me délectant de sa langue, de ses succions
Il me dévorait littéralement les seins sans retenue avec gourmandise. Jondulais dans cet espace restreint, cherchant juste à suivre ses baisers fous, me perdant dans le plaisir inouï quil me donnait. Le peu de lumière dans lhabitacle me renvoyait mes seins dressés, luisants de salive, alors que la langue ne cessait de sactiver, accompagnée des grondements, témoins de son excitation folle.
Je me suis laissée guider par cette pression quil mettait sur ma poitrine et doucement je me suis laissée aller en arrière jusquà me retrouver pratiquement couchée sur la console centrale... Il mavait accompagnée, les avant-bras en appui sur les deux sièges repliés, me sentant mal installée, il a saisi son blouson sur l'avant du siège passager et me la glissé sous les épaules, avant de redescendre sur mon corps dans une multitude de baisers.
Jétais bien, je ne bougeais pas à la recherche dun énième souffle. Je devais avoir la position idéale à ses yeux. Il ma alors saisi les cuisses me relevant les fesses. Javais les coudes en appui sur les assises avant et dun coup, alors qu'il cherchait la bonne position, le siège conducteur a reculé. Mon réflexe a été de baisser les jambes comme pour me rattr. Oh ! Miracle ! Mon mollet droit sest posé sur le haut du siège, blotti contre lappui-tête. Le bougre a vite compris, me demandant de reculer lautre siège. Je me suis exécutée avec peine, vu ma position, mais une fois en place, jétais bien calée, les mollets bien reposés sur le haut des sièges avant. À genoux face à mon intimité grande ouverte, il cherchait à se positionner au mieux tandis que je me sentais on ne peut plus offerte !
Comment décrire ce que jai ressenti lorsque jai senti sa grosse queue mécarter les lèvres doucement et gagner centimètre par centimètre. Lorsquavant cela, ses mains puissantes m'ont saisi les hanches, je savais évidement quil allait me prendre et même, je nattendais que cela ! Mais un tel sentiment de force, de puissance, cette queue qui avançait en moi, pendant que respiration bloquée, yeux clos, jappréciais cette intrusion au plus haut point. Après quelques mouvements de mise en position, lorsque jai senti mon corps entier coulisser dans ma robe, le bas du dos sur laccoudoir, aller et venir sur le tissu glissant. Jétais repoussée, rejetée vers lavant par ses coups de reins, je gémissais de plaisir à chaque fois quil venait buter au plus profond de mes entrailles ! Le rythme sest accéléré doucement, seins sortis, je me suis mise à me palper tout en me laissant coulisser sur sa bite qui me rendait folle. Jai hurlé, crié sous les jouissances qui se sont succédées durant dix minutes sans relâche. Bien maintenue, il me plantait sur sa queue et me repoussait à grands coups de reins. Il accélérait le rythme, ralentissait, se faisait doux, puis violent, soufflait le chaud et le froid, mentraînant dans un plaisir inouï !
Bouche ouverte, yeux mi-clos, javais les tempes bourdonnantes et le peu que jouvrais les yeux tout en me mordant la main, le plafond allait et venait, les vitres perlaient de condensation, une boule de chaleur se promenait dans mon ventre et je la sentais grossir et me brûler chaque minute un peu plus ! Bien calé au fond, le type me maintenait les fesses ouvertes, les mains mécartant bien et maintenait ses allers retours gigantesques ! Par deux fois, jai crié « Oh mon Dieu ». Il ma alors demandé si jallais jouir, sans doute sans imaginer un instant que cet orgasme approchant était sans doute le clou de ma soirée, le feu dartifice ou plutôt le bouquet final !
Je navais jamais connu pareille sensation ! Perdu entre deux mondes, mon corps subissait les vagues imposées par cette marée de plaisir. Ma robe soyeuse que jadore se prêtait particulièrement bien à cet instant magique. Je passais alors les mains par-dessus la tête et prenais appui sur lautoradio où je ne sais quoi dans le centre de la console. Bras quasiment tendus, je me cambrais le bas du dos en appui sur laccoudoir et mécartais de plus belle, accompagnant ses coups de boutoirs. Il me repoussait violemment, butant le fond de ma chatte à grands coups de queue. Je criais mon plaisir tout en me repoussant des mains en appui sur la console , sur sa tige tendu qui memplissait le con !
Lorsquil sest mis à gémir accélérant à nouveau le mouvement, je me suis sentie emporter par une vague immense nommée orgasme... Je lui hurlais de me baiser fort, cambrée comme jamais, ouverte et offerte à ce pieu de béton qui me limait sans relâche ! Ses pouces enfoncés dans ma hanche, sa jambe que je sentais trembler très fort, son foutre minondant dans des râles couvrant les miens. Deux à trois minutes de folie complète avec l'impression de me vider sur lui, en lui, me dégonfler de ce plaisir trop longtemps enfermé et maintenu en moi, une explosion des sens, mon corps bondissait comme électrocuté par le plaisir... Lorsque mes jambes sont retombées amorphes, je les sentais bondir toutes seules sans que je ne puisse les contrôler ; mon bas-ventre brûlant se relâchait, tandis que je respirais à pleins poumons des étoiles plein la tête
Il me fallut de longues minutes avant de reprendre mes esprits... Je me suis redressée avec peine souriant à mon complice, robe pratiquement sur les hanches, je remontais mes bas... Nous sommes sortis nous disant quil serait plus aisé de nous revêtir correctement. Pour ne rien cacher, jétais toute courbaturée et engourdie en mextirpant de la voiture. Je me suis de suite appuyée sur le montant tellement la tête me tournait. Lair frais ma néanmoins fait le plus grand bien...
Nous nous faisions de petits sourires complices tout en remettant nos affaires respectives. Jai récupéré mon string rouge dans le fond du siège avec au passage une petite tape sur les fesses en me penchant pour le reprendre. Repasser son string debout à côté de la voiture sous lil aiguisé du type qui vous la enlevé quelque temps avant est tout aussi troublant...
Nous avons plaisanté un peu tout en fumant une cigarette ! Javais encore la tête dans les nuages, mon cavalier se nommait Denis et effectivement avait rendez-vous avec une Isabelle pour son fétichisme des jambes gainées. Jai ri en lui disant quil avait fait erreur, que je me prénommais Laurence et que jaimais juste prendre lair parfois après le travail. Nous étions tous les deux morts de rire, mais ni l'un ni l'autre ne regrettait cette rencontre.
Nous avons échangés nos numéros de téléphone portable et nous nous sommes quittés tous les deux satisfaits de ce super moment !
Javais encore les jambes chancelantes en descendant de voiture à la maison. Je me sentais dégouliner de nos plaisirs ! Face au miroir de la salle deau, je voyais limage dune blonde aux joues rouges, toute ébouriffée
Une belle bouille de salope !
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