J'Ai Revu Mon Amant Pierre

Bonjour,
Quelque temps après avoir connu mon voisin Mathieu, j'ai revu mon ex-amant Pierre. Voici comment cela s'est passé.

Nous étions au mois de juillet passé. Pierre avait fini la première partie de son stage, et devait rentrer pour une semaine. Ensuite il était prévu qu'il rejoigne son amie aux Etats-Unis, afin de passer quelques vacances avec elle et sa famille.
Leur histoire était sérieuse, puisqu'il était prévu qu'à la fin du stage d'une année il aille travailler pour la filiale américaine et trouve une maison où emménager avec Jennifer. Pour le moment, ils iraient faire quelques recherches dans la région où ils iraient s'établir. Sa mère avait prévu d'organiser un repas de retrouvailles, et puisque sa soeur (à Isabelle donc) serait dans la région, elle viendrait avec son mari, et donc moi en plus comme invitée.

Nous nous sommes tous retrouvés dans la maison d'Isabelle en ce début d'après-midi d'un samedi au début de juillet. Je suis arrivé un peu en avance afin d'aider ma meilleure amie à préparer la table et une partie du repas. Pour l'occasion je
m'étais faite belle, du moins l'espérai-je, en me vêtant d'un nouveau tailleur de couleur bleu foncé, assorti d'un joli chemisier blanc. J'avais sorti mes plus beaux sous-vêtements, même si j'imaginais que personne d'autre ne les verrait sur moi:
un ensemble de couleur crême en dentelle, ainsi qu'une paire de bas auto-fixants noir clair, même s'il faisait peut-être un peu trop chaud pour cela. Nous avons parlé de tout et de rien en préparant les festivités, et en attendant les invités.
La soeur d'Isabelle fut la première à nous rejoindre avec son mari. Nous étions en train de boire un verre de mousseux lorsque Pierre s'est joint à nous. Je dois avouer que j'ai ressenti des picotements dans mon bassin en le voyant entrer.
Il avait un peu changé, sa coiffure était différente, et sa manière de se mouvoir et de se tenir avait également changé.

Je me suis surprise à envier Jennifer, son amie, qui allait sûrement passer des merveilleuses soirées au lit avec lui.

Le repas s'est très bien passé, et nous avons rattrapé le temps en parlant de nos vies respectives. Pierre nous a expliqué comment il avait rencontré son amie, et comment la suite de sa vie se passerait pendant les mois suivants. Il se réjouissant
de vivre une nouvelle expérience à la fois tant professionnelle que personnelle, et j'étais sincèrement heureuse pour lui.

Après le plat principal, Isabelle à demandé à son fils d'aller chercher une bouteille de vin doux à la cave, pour notre dessert. Pierre m'a lancé en rigolant :

- Karen, tu viens m'aider à choisir le vin ?

Je savais que la cave d'Isabelle contenait quelques très bons crus, et bien qu'étant assez novice dans le domaine, c'est volontiers que j'acceptai de descendre au sous-sol avec Pierre. Une fois les escalier descendus, et lorsque nous avons atteint
le local faisant office de cave à vin, un simple regard de notre part à suffi à faire comprendre à l'autre de quoi nous avions envie.

Sans un mot, j'ai levé ma jupe au niveau de hanches, et ai baissé ma culotte au niveau des chevilles, pour me pencher en avant en me tenant à une pile de cartons de vin. Pierre, pendant ce temps, à défait sa ceinture pour baisser son pantalon également.
Il est venu se positionner derrière moi, et sa queue semi-bandée n'eut aucun problème pour me pénétrer d'un coup, tant je mouillais. Quel délice de sentir un sexe gonfler et prendre vigueur en soi ! Après quelques mouvements je sentis que son
membre était devenu totalement dur, et il m'a prise sauvagement en m'agrippant mes hanches. Mon état d'excitation était tel que j'aurais pu me laisser emporter par la jouissance dès cet instant, mais je préférai me retenir pour essayer de jouir en
même temps que lui. Il était également excité comme jamais, et c'est au bout de moins d'une minute qu'il s'est lâché.

Une vague de chaleur a émergé au niveau de mon bas-ventre, pour balayer tout mon corps par ondes successives, alors qu'il éjaculait en moi. Je n'aurais jamais pensé que jouir autant que cela fût possible. Chancelante sur mes talons-aiguille, je
recueillis giclée après giclée de son sperme au fond de mon vagin. Je dus me faire violence pour ne pas chanceler et tomber à la renverse tellement j'étais dans un état second. Mais reprenant mes esprits quelque peu, j'avisai la situation : je me
trouvais avec le fils de ma meilleure amie, dans sa maison, au sous-sol, ayant fait l'amour comme jamais, alors que nous étions censés aller chercher une bouteille de vin.

Pierre s'est retiré, et j'ai remonté ma culotte en essayant de ne pas faire couler du sperme par terre. Le tissu entre mes jambes absorba immédiatement le sperme s'écoulant de ma chatte, et nous nous sommes rhabillés comme nous avons pu. Après nous
être observés pour ne pas montrer de signes extérieurs suspects, nous sommes remontés avec une bouteille de Sauternes choisie au hasard. A notre connaissance, personne n'a rien remarqué, alors que nous étions un peu plus rouges du visage que
la normale. Je suis tout de même passée aux toilettes pour essuyer le trop-plein de semence qui s'échappait de moi, et risquait de nous trahir.

Nous avons terminé le repas dans l'allégresse. Pour ma part, j'étais bien décidée à profiter de Pierre jusqu'au dernier moment. Isabelle avait prévu de faire visiter la ville à sa soeur ainsi qu'à son beau-frère, alors que Pierre avait prévu
de passer la soirée avec ses amis. Alors que j'étais installée dans ma voiture pour rentrer, j'ai envoyé un texto à Pierre : "j'ai envie de toi, passe chez moi ce soir stp". Il m'a tout de suite répondu : "j'ai déjà annulé avec les copains, je viens
plus tard".

Je suis rentrée, et après avoir retiré mes vêtements et m'être couchée sur le lit pour l'attendre, j'ai reçu de ses nouvelles par texto. Il était sur le chemin. J'anticipais déjà la session de sexe que je m'étais programmée toute seule, nue sur
mon lit, sentant encore un reste de sperme en moi. Il m'a écrit avant de monter dans l'ascenseur, et c'est trépidante d'excitation que je suis allée lui ouvrir la porte.

Autant notre moment intime dans la cave fut bestial, autant notre nuit ensemble fut empreinte de douceur et de tendresse. Au lieu de nous jeter l'un sur l'autre afin de copuler, nous avons passé un long moment à nous caresser le corps, de nos
doigts, et surtout avec nos langues. Pierre n'a pas laissé un seul centimètre carré de mon corps vierge de sa langue, commençant par ma nuque, mes épaules, mon dos, mes seins, mon ventre, descendant sur mes pieds, pour remonter sur mes chevilles,
mes mollets, mes genoux, mes cuisses, pour terminer en apothéose par ma chatte, qui brûlait de désir. Après avoir joui sous les coups magiques de sa langue, je lui ai demandé de me prendre.

Couchée sur le dos, écartant au maximum mes cuisses, je lui offris mon sexe, les lèvres ouvertes comme une fleur. Son gland s'est immiscé dans mes entrailles, suivi par son chibre vigoureux. Sachant que je vivais peut-être une des dernières
soirées sexuelles avec lui, je lui ai supplié :

- Baise-moi comme jamais, je t'en prie, baise-moi !

Nos regards ne se sont jamais quittés pendant ce moment magique, son sexe entrait et sortait de mon intimité, je sentais son gland buter au fond de mon vagin, s'il n'y a jamais eu une définition du paradis sur terre c'était ceci. Alors que je
m'approchais à nouveau de la jouissance, nos bouches se sont rejointes en un baiser langoureux, avant qu'il ne vienne me mordiller l'oreille et me murmure :

- Je t'aime Karen.

Jamais ces mots ne m'ont fait autant d'effet. Mon corps s'est transformé en orgasme, je ne faisais plus qu'un avec lui. Sa jouissance m'a faite chavirer, et j'ai momentanément perdu toute notion du temps, alors qu'il se vidait en moi. Je n'ai jamais
vécu un moment aussi fort, aussi puissant, aussi jouissif de toute ma vie. Je lui en serai redevable jusqu'à la fin de mes jours. Je ne sais pas si j'ai crié ou si je suis restée silencieuse, tellement le plaisir a primé sur tout le reste.

Après je ne sais combien de temps, je suis revenue sur terre. Pierre s'est retiré de moi, alors que son sperme coulait hors de ma chatte. Je lui ai dit :

- Ecoute Pierre, je ne devrais pas dire ceci, puisque tu vas vivre avec ton amie. Mais je veux que tu saches que tant que tu me désires, mon sexe te sera toujours offert. Toujours, quand tu veux.

Nous avons passé une nuit torride ensemble, répétant à l'envi, en ce qui me concerne, les orgasmes.

Ce n'est qu'au petit matin, après une nuit d'amour totale, que je le laissai partir à contre-coeur.

Il va revenir en Europe dans le courant du mois de janvier, avec son amie cette fois, nous verrons bien ce que l'avenir nous réserve.

Bisous, Karen