Chauffeur Pmr (1)

Chauffeur PMR (1)
Depuis le décès de mon épouse, je me suis inscrit à ma commune comme « Chauffeur PMR » ce qui veut dire chauffeur pour personne à mobilité réduite mais aussi des transports vers les hôpitaux, cela m’occupe et réserve parfois des surprises.
Il y a quelques temps je dois reprendre une personne à la clinique suite à une opération bénigne ; je l’embarque et nous revenons vers sa maison, je dois passer devant chez moi sa maison se trouvant un peu plus loin. Durant le trajet, Colette me dit qu’elle n’est pas contente de l’intervention car elle se demande si ce qu’ils ont fait va se réduire.
On arrive près de chez moi et je lui propose de boire un verre avant de la déposer ce qu’elle accepte.
A peine rentré, elle décide de me montrer ce qu’elle pense être des dégâts irréversibles ; elle défait les premiers boutons de sa robe et me montre le sein dans lequel une injection a été faire ; c’est vrai que ce n’est pas terrible. J’apprend qu’elle a été opérée d’un cancer et que ce sein a été enlevé, triste pour cette belle femme de 35 ans ! Mais elle continue à se déboutonner pour me montrer d’autres coupures et elle se retrouve complétement nue avec des pansements un peu partout et surtout une chatte complétement exempte d’un quelconque poil. C’est une suite des traitements du cancer, elle a juste la change d’avoir encore ses cheveux mais sinon elle n’a plus un seul poil.
Un peu dans les vaps, les suites de l’anesthésie je suppose ainsi que l’alcool qui aide un peu, elle se serre contre moi sans même fermer la robe et pleure amèrement. Je tente un baiser sur la joue et c’est directement sa bouche qui se colle, je lui rentre la langue et on s’enroule ; je crains de lui faire mal mais je l’étend sur le banc et lui caresse le ventre entre les pansements ; elle apprécie et elle prend ma main pour la déposer sur sa chatte.
Ce que cela peut faire bizarre cette chatte non pas rasée mais ayant tout perdu de pilosité, je la frotte doucement et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire ma main est trempée de mouille, je poursuit vers son clito et le masse avec le pouce et deux doigts dans son vagin, elle adore et se pousse vers ces doigts qui lui frottent l’intérieur, sa main s’empare de ma braguette et me sort la queue déjà très dure, elle s’avance et me la suce comme un sucre d’orge, mais que cela est bon, elle sait y faire de mon gland à mes boules tout y passe, sa langue est chaude comme la braise.


Trouvant notre position inconfortable, je lui propose le lit et c’est une joie de pouvoir l’étendre sur le dos et revoir cette nudité, si je pouvais la prendre en levrette mais suite à son intervention je n’ose pas la mettre sur le ventre et nos ébats recommence et c’est elle qui se replie les jambes pour me faire voir l’entrée de sa grotte remplie de cyprine, je n’hésites plus et j’y plonge ma queue, elle se cale fait vraiment au fond et ce sont de grand coup qui la perfore, « Vas-y à fond et crache tout » Je force ce vagin et ma queue frémit et décharge en plusieurs giclées tout le sperme chaud, on reste collé ainsi de longues minutes et lorsque je me retire quelques gouttes de sperme s’écoulent de son trou mais, surprise, Colette s’est endormie, sans doute les restes de l’anesthésie et l’alcool.
Je m’empresse de la recouvrir de la couette, je vais me prendre une douche et reviens me coucher auprès d’elle.
Tôt le matin, je sens une main sur mon ventre, Colette se réveille.
« On a fait quoi hier que je suis nue dans ton lit, j’étais complétement dans les vaps »
« Je t’ai juste fait du bien pour te faire oublier ton passage à la clinique »
Elle me prend la bouche dans un tendre baiser et se couche sur moi, direct ma bite se dresse contre son ventre et c’est elle qui se la remet au plus profond de sa grotte ; cela va très vite partir surtout qu’elle y va en des mouvements puissants, je sens que je vais venir et elle se cale sur mon pubis pour ne rien perdre, elle est là face à moi montant et descendant sur ma bite que la pourfent au plus profond, de nouveau je la rempli de mon sperme. Mais je pense tout à coup que je pourrais la mettre enceinte ! « Ne t’en fait pas, avec l’opération, le nécessaire a été fait, il n’y a plus aucun danger » elle me rassure.
Encore quelques baisers très appuyés, on se resape et je la reconduis chez elle, je ne me suis même pas fait payer pour mon déplacement, c’est bien normal ; le plaisir est bien plus important que les quelques euros.

Echange de numéros et peut-être une prochaine à la clinique ou autrement !

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