La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°827)
Marion au Château (suite de l'épisode précédent N°826)
- Assis-toi à ta place, et trinquons ! dit-Il, après avoir mis mon sous-vêtement dans une de Ses poches. On nous a amené nos apéritifs pendant ton absence ! Je tai commandé un cocktail
Durant tout le temps du repas, tu as le droit de me regarder furtivement, sauf contre ordre de ma part. Mais jamais trop longtemps non plus, pas de fixation de ton regard sur Le Maître
Effectivement, devant Lui était posé un verre de whisky avec deux glaçons, mais devant moi je ne vis rien dautre quun verre deau. Je ne comprenais pas, il avait pourtant commandé un cocktail pour moi. Ayant lautorisation, je levais donc vers Lui des yeux interrogatifs sans trop insister sur la durée de mon regard. Mais Il resta impassible, tout en me tendant son verre. Je pris donc le mien remplit deau et nous fîmes tinter le cristal. Faisant mine de laisser tomber sa serviette à terre, le Maître voulut que je la Lui ramasse. Je passais donc sous la table, dont la longue nappe arrivait au sol sur deux côtés, me cachant ainsi au reste de la salle. Une fois à Ses pieds, je vis une gamelle posée par terre avec lapéritif, le cocktail, quIl mavait choisi. Une main se posa sur ma tête, appuyant légèrement, me faisant comprendre de le laper, ce que je fis avec joie. Il était sans alcool, ce qui me rassura, et je bus tout jusquà la dernière goutte en étant à quatre pattes sous la table
Puis un claquement de doigts se fit entendre. Je compris vite ce que le Maître exigea. Sa main appuyant cette fois ma tête entre son entrejambes. Comme la nappe longue de la table me cachait du reste des clients du restaurant, je neus aucune gêne pour obéir et je défis le bouton du haut de son pantalon et sortit sa verge déjà à demi dressée de son caleçon.
Puis je le pris en bouche avec délice et je lavoue avec envie. Je sentis Son noble sexe qui forçait sans peine la barrière docile de mes lèvres et se frayait un passage jusqu'au plus profond de ma gorge, jusqu'à presque m'.
- Alors tu las trouvée cette serviette ? Ou a-t-elle pris la fuite ? dit-Il dune voix amusée.
Comprenant, je sortis de sous la table, reprenant ma place et lui tendant le bout de tissu que javais pris soin de ramasser préalablement. Je ne doutais pas que le repas continuerait à me réserver de nombreuses surprises. En attendant nos plats, nous discutâmes de ce qui mattendait professionnellement parlant lorsque je serais Sa secrétaire. Je Lui fus reconnaissante davoir noté mon envie de polyvalence dans ce domaine. Je ne voulais pas passer toutes mes journées à faire toujours la même chose. Monsieur le Marquis prit tout à coup, une voix plus autoritaire, juste après que nos plats (et une assiette avec de la viande hachée ?) fussent posés sur la table.
- Tu vas retourner aux toilettes et cette fois-ci cest ton soutien-gorge que je veux que tu me déposes sur la table. Tu me le ramènes de la même manière que tout à lheure. Exécution !
Je me levais sans discuter, mais vraiment avec appréhension, car avec les armatures, le tissu légèrement rigidifié, il était impossible de le plier de la même manière que le bas assorti. Et il était certain quil ne rentrerait pas dans ma main entièrement afin quil soit totalement caché. Jeus du mal à sortir des toilettes.
- Eh bien assois-toi ! (ce que je fis rapidement, toujours aussi embarrassée)
- Madame, vous avez très bon goût pour votre lingerie, je vous félicite ! dit alors Alexandre, un sourire carnassier aux lèvres.
Je rougissais encore plus et baissais la tête autant que possible en le remerciant timidement.
- Bien ! Passe de nouveau sous la table maintenant et attends. Notre invité ne devrait pas tarder !
Jobéissais instantanément, préférant encore passer sous la table alors quAlexandre était encore là, que de rester à côté de lui regardant ma lingerie exposée ! Mais je minquiétais de savoir qui était cet invité surprise
A peine étais-je installée que jentendis une voix dhomme que je reconnus aussitôt.
- Monsieur le Marquis, Alexandre, bonjour ! Je suis désolé pour mon retard, nous avons eu un petit incident sur la route !
- Il ny a pas de mal, Walter. Heureux de te revoir. Prends place ! Jai commandé après ton premier message ! Mangeons avant que ça refroidisse !
- Messieurs, je vous laisse ! Je reviendrais pour le café ! Et bien sûr un café gourmand !
Et les trois hommes se mirent à rire ! Moi jétais recroquevillée sous la table, je sentais que dune manière ou dune autre jallais être utilisée !.
Je vis plusieurs personnes se retourner et je baissais alors la tête honteuse et humiliée que des personnes vanilles puissent me voir dans cette position. Ce qui me surprit, cest quaucune personne ne semblait étonnée ou choquée et tous se remirent à déjeuner comme si rien nétait, après pour certains, quelques ricanements humiliants, comme si en fait tous ces clients étaient du monde de la D/s, ce qui me paraissait, à y réfléchir, de plus en plus évident... Les vibrations sétaient faites plus fortes. Walter me repoussa sous la table, et mattira de nouveau à lui pour que je finisse ce que javais commencé. Les vibrations variaient en intensité, en rapidité, parfois sarrêtaient. Je navais pas eu le temps dapercevoir le Maître pendant que Son bras droit soccupait de moi, et je me doutais quIl devait être mécontent de Sa chienne. Et jen étais encore plus mortifiée de lavoir déçu plutôt que de savoir que les clients du restaurant avaient pu me voir !
- Humm, il va y avoir incessamment une de Mes chiennes qui va devoir apprendre à se contrôler et qui devra être punie pour ne pas savoir maîtriser sa mâchoire ! dit-Il dune voie glaciale.
- Non, Monsieur le Marquis, je Vous remercie. Cependant je naurais pas été contre quelques coups de fouet ou de cravaches, ici même ! Mais pas avant la fin du repas !
- Quà cela ne tienne ! Nous verrons cela après le café quen dis-tu ?
- Je Vous laisse Maître de la situation, Monsieur le Marquis !
Et ils reprirent leurs discussions et leur repas. Je sentis enfin la semence du Majordome sécouler au fond de ma gorge, moffrant là un petit dessert. Mais jétais terrifiée (et paradoxalement excitée) par ce que javais entendu. Jallais être punie dans le restaurant ? Non ce nétait pas possible ! Le Maître ne pouvait pas me faire ça ! Où était Sa façon de toujours séparer le monde D/s du monde dit « normal » ? A moins queffectivement, ce que je supposais tantôt soit véritablement la réalité, que tous les clients présents dans ce restaurant soient de notre monde de la Domination/soumission ?... Je fus interrompu dans mes pensées par Sa voix :
- Ta-t-elle au moins apporté satisfaction ?
- Oui effectivement, Monsieur le Marquis ! Mais je me sens égoïste, davoir profité de Votre chienne avant Vous, même sur Votre invitation !
- Ne ten fais pas mon cher Walter ! Etant maintenant en attente de sa punition, elle ne mérite plus de pouvoir prendre Mon noble membre en bouche, comme elle a eu le privilège de lavoir dans sa bouche de chienne salope juste avant ton arrivée ! Tant pis pour elle, si elle ne sait pas maîtriser ses petites dents de chienne ! Bien et si nous nous occupions justement de préparer cette sanction ?
- Je suis à Vos ordres Monsieur le Marquis !
(A suivre
)
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