Emmanuelle Et Adeline

Ce soir là Emmanuelle avait eût envie de retourner au Lesbos où elle n’avait pas mis les pieds depuis trois-quatre mois. Emmanuelle n’avait pas vraiment envie de draguer, juste voir si des têtes nouvelles étaient apparues. Elle vint s’asseoir au bar où Adeline servait comme tous les soirs.
« Salut Emmanuelle, tu vas bien ? Ca faisait longtemps qu’on ne t’avait pas vue ici.
- Ouais je suis moins sortie ces derniers temps.
- Des soucis au boulot ?
- Ouais, beaucoup de paperasse en ce moment et que des enquêtes banales.
- Et toi ?
- Moi rien de neuf à part que j’ai arrêté le sport comme tu vois. J’en avais marre de me lever tous les matins pour aller courir.
- Tu t’es épaissie, mais t’as pas gonflée. Ca te donne un nouveau style. Je te rassure t’es toujours aussi jolie. »
Depuis qu’elle avait arrêté le sport Adeline avait pris presque dix kilos. Mince avant, celui lui donnait de nouvelles formes. Ses fesses étaient plus rebondies, comme ses cuisses, elle n’avait plus son ventre plat et ferme, s’il était toujours plat il n’était plus aussi ferme et ses seins avaient pris deux tailles. Dans son pantalon noir et son débardeur marron Emmanuelle pouvait admirer les nouvelles formes de son ancienne maîtresse. Elle aimait les filles plus minces, mais Adeline avait gardée une jolie silhouette. Emmanuelle resta accoudée au comptoir pour regarder les filles attablées et celles qui dansaient. Pas de nouvelles têtes à l’horizon, elle apercevait Hélène, Sophie, Béatrice, Gwendoline, Julie, Tania, … . La soirée passa, elle fit la bise à Marion, à Marie, à Tiphaine, à Elise, … . Aucune nouvelle tête ne s’était montrée ce soir. Emmanuelle n’avait jamais eût que des histoires d’un soir, elle n’avait jamais voulue s’engager, même pour quelques jours. Ave elle c’était toujours le coup d’un soir. Toutes ces filles avaient couchées avec elle une fois et elle n’aimait pas coucher deux fois avec la même, même de façon éloignée.

Elle aimait découvrir de nouveaux sexes. Le bar allait bientôt fermer Emmanuelle n’avait vue aucune fille nouvelle, Adeline confirmait que ces derniers temps ça avait été calme. Emmanuelle n’avait pas quitté son siège de la soirée. Et pendant toute la soirée elle avait pût voir qu’Adeline était encore très sexy malgré ses rondeurs. D’ailleurs Adeline n’arrêtait pas de mater le décolleté d’Emmanuelle. Malgré ses 40 ans Emmanuelle était encore belle. Et la chemise entrouverte laissait apercevoir deux beaux seins. Cela faisait maintenant un an qu’elles avaient été amantes, mais plus le temps passait et plus Adeline sentait qu’elle tombait amoureuse de la belle inspectrice. Emmanuelle sentait le regard plein de désir d’Adeline sur elle, elle ne l’avait jamais vue comme ça. Et elle se dit que ce serait bête de passer à côté d’une jolie fille qui lui promettait une nuit torride. Tant pis pour sa règle de ne jamais coucher deux fois avec la même fille. Le bar ferma Emmanuelle était restées aux côtés d’Adeline. Quand Adeline eût fermées les portes Emmanuelle se colla derrière elle enserra sa taille.
« J’ai vu ton regard plein de désir ce soir et je te trouve terriblement belle.
- Emmanuelle si tu savais comme j’ai attendu ce moment.
- Ah bon ?! fit Emmanuelle en embrassant le coup d’Adeline qui faisait la même taille qu’elle.
- Je vais peut être tout casser, mais tant pis. Emmanuelle je t’aime.
- Tu m’aimes ?
- Oui. Depuis qu’on à fait l’amour y’a un an je m’en rends compte chaque jour davantage. »
Emmanuelle était interloquée. Des filles lui avaient déjà dit qu’elles l’aimaient, mais elle les avait quitté. Elle ne pensait pas qu’Adeline avait pût tomber amoureuse d’elle. Emmanuelle s’était toujours refusée à tomber amoureuse, mais la déclaration d’Adeline qu’elle connaissait depuis un an la bouleversait sans qu’elle comprenne pourquoi. Adeline se retourna ses yeux débordait d’amour pour elle, Emmanuelle sentit alors son cœur battre. Son cœur battait fort et quand Adeline vint poser ses lèvres sur les siennes Emmanuelle sentie son cœur exploser et embrassa Adeline à pleine bouche. Sa langue alla chercher celle d’Adeline qui posa sa main sur un sein d’Emmanuelle. La main qu’Adeline avait posée sur son sein lui fit une sensation bizarre, provoquant des picotements partout dans le corps. Elle plaqua Adeline au mur. Sa main droite descendit le long du corps d’Adeline pour se retrouver son entrejambe. « On va chez toi ou chez moi demande Adeline – Chez moi lui répondit sa maîtresse. Adeline se décolla du mur et sortie suivie d’Emmanuelle qui la prit par la taille une fois dans la rue.
Sitôt la porte refermée les habits volèrent dans tous l’appartement, la veste, la chemise blanche, le débardeur marron, les jeans, les soutiens gorges, les culottes. Nues Emmanuelle cessa d’embrasser son amante sur la bouche pour parcourir son corps. Elle ensuite prit le sein gauche dans sa bouche, elle ne s’était pas trompée les seins d’Adeline avaient pris au moins une taille. Elle préférait les petits seins, mais ceux d’Adeline lui convenaient finalement. Assoiffée de sexe elle léchait, suçait les seins de sa maîtresse comme une furie pendant qu’Adeline gémissait de plaisir. Après plusieurs minutes de ce traitement elle passa des seins au ventre avant d’arriver rapidement au pubis que sa compagne venait de dégager en écartant les cuisses. Emmanuelle d’habitude mettait son doigts en premier mais là elle ne voulait pas pas attendre, sa langue se posa directement sur les lèvres auxquelles elle donna quelques coups de langue avant de pénétrer dans le vagin humide de son amante. A l’intérieur ses mouvements de va et viens étaient tout aussi rapides, Adeline sentait son sexe fourmiller de plaisir au contact de cette langue désirée si longtemps. « Oh oui continue, je viens, je viens, ahhhh, oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii … », elle jouissait, elle n’avait pas été longue à venir, mais sa jouissance était longue et intense. Emmanuelle remonta vers sa bouche pour l’embrasser. Adeline était heureuse. Maintenant elle avait envie de donner à sa maîtresse ce qu’elle lui avait donnée. Elle se mit à l’embrasser sur tout le corps, allant de la poitrine au ventre, des bras au pubis, au coup, à la bouche, avant de s’arrêter sur les seins qu’elle lécha avec virtuosité avant de s’attaquer au têtons « Vas y continue chérie c’est trop bon, oh oui, oh oui, suce moi, suce moi, vas y, vas y, ça viens, oh oui, ca viens, ca viennsss, ahhhhhhhhhhh ouiiiiiiiiiiii ». Adeline ne s’arrêta pas et descendis s’occuper du sexe de sa partenaire après avoir déguster les seins de celle-ci gros et fermes. Posant sa langue sur les lèvres d’Emmanuelle elle se mit les titiller du bout de sa langue, avant de les pénétrer doucement et de jouer avec le clitoris. En quelques mouvements Emmanuelle sentie l’orgasme venir une deuxième fois. Il venait, elle explosa de bonheur, une jouissance d’une force qu’elle n’avait presque jamais connue qui la laissa extatique sur le lit.
Emmanuelle épuisée mais emplie d’un sentiment nouveau ne laissa aucun repos à son amante elles firent l’amour toute la nuit. Au petit matin Emmanuelle ne savait pas pourquoi, mais en regardant Adeline nue et en la caressant tendrement lui dit « Je t’aime », ça ne lui étais jamais arrivée, elle aimait et elle aimait Adeline. Elles n’avaient pourtant jamais passée beaucoup de temps ensemble, à part au bar et cette nuit. Mais elle en était sûr et tant pis si Adeline n’avait que 25 ans elle était la femme de sa vie.
Restant l’une contre l’autre un long moment elles furent surprises par Laure la fille d’Emmanuelle âgée de 17 ans, elle aussi homosexuelle.