R-Evolution Sensuelle 6

J’ai à peine mal aux yeux, la chambre est dans la pénombre, la lumière vient du couloir qui lui est allumé.
Les jambes écartées je suis indécente. Ma chatte est éclairée comme par un projecteur.
Je relève les yeux et je vois mes bras, la ceinture attachée à la tête de lit par une petite corde.
Et je regarde mon homme, les yeux fous, qui me branle la chatte. Sa bite est énorme.
Je mouille, je mouille. Je ne me suis jamais senti si ouverte.
Il se met alors entre mes jambes et approche son gland. Il caresse mes grandes lèvres et mon clitoris avec, le rentre un tout petit peu dans mon vagin, le ressort, recommence à le frotter sur ma chatte.
Je n’en peux plus, je deviens folle
« Putain baise-moi, prends moi ! »
J’écarte encore plus mes jambes, je tends mon bassin au-devant de sa queue.
Ses yeux brillent d’un feu bestial.
« Baise moi comme une chienne !»
Il entre en moi d’une longue poussée, je soupire, je tremble, je me demande si je vais encore avoir la force de jouir.
Il me pilonne sans quitter mon regard.
J’essaie de le soutenir, mais ma chatte est à la fois brulante et glacée, secouée de décharges.
J’entends que je crie.
J’ai l’impression de ne plus être là mais je sens revenir le plaisir tandis qu’il continue de me besogner.
Il sort de moi. Je crie à nouveau. Et puis il revient et me lime plus lentement, longtemps encore, son visage tout près du mien.
Je ne sais plus si je jouis, j’ai l’impression d’un enchainement de jouissances.
Il vient en moi puissamment, sa queue tout au fond de mon vagin, décharge son jus qui m’inonde.
Comment a-t-il fait pour en avoir autant ?
Je ferme les yeux épuisée de plaisir.
Il se retire et se laisse tomber à côté de moi.
Cette fois c’est de ma chatte que je sens couler nos deux jus mélangés.
Il me détache les bras, me caresse. Détache mes jambes aussi.
« Tourne toi ma chienne.

A genoux »
Sans réfléchir j’obéis. Il va prendre mon dernier trou comme il me l’avait dit.
Je n’ai plus la force de rien mais je suis prête.
« Cambre toi bien »
A genoux sur le lit, la tête et les bras posés sur la matelas, je me cambre.
C’est mon cul maintenant qui est sous les projecteurs.
Il caresse mon cul, écarte les globes, les malaxe, me caresse encore.
Je frémis ma chatte est encore toute électrisée, bizarrement ce massage de cul m’apaise.
Mais finalement il se recule.
Il vient me parler à l’oreille.
« Ma chienne tu m’as épuisée, mes couilles sont vides, je t’enculerai demain, ton cul mérite tous les outrages et je ne me sens pas la force de le défoncer comme il le mérite, garde le plug jusqu’à demain matin »
Il prend l’appareil photo. 
« Demain tu n’auras pas besoin de m’envoyer de photos vois-tu. J’ai ma propre collection maintenant. »
Je reste là à genoux sur le lit, percluse, écroulée, vidée. J’ai presque les larmes aux yeux.
Trop d’émotions sans doute.
Mon homme me relève, me prend dans ses bras et me serre fort, il caresse mes cheveux et m’embrasse langoureusement.
« J’ai pris un plaisir immense avec toi ce soir ma belle chienne…
- Oui…
- Et toi ? As-tu vraiment aimé être baisée comme ça ? »
Je ne réponds pas tout de suite, je savoure la pression qui retombe et le contact de ses bras autour de moi.
Je n'ai aucune idée du temps passé.
Je ne sais même plus quand PJ Harvey a cessé de chanter.
J’enfouis mon visage contre son épaule et sentir son odeur me fait du bien.
« J’ai aussi pris un plaisir immense à être ta salope »
Il soupire.
Il en doutait ?
« Alors demain je t’enculerai ma salope.Et tu aimeras ça. »