Terma : Seconde Expérience : Je Commence À Aimer Les Zob

Après cette première expérience surprise dans les toilettes publiques, je suis resté plus de trois mois sans me rapprocher de ce lieu et en me faisant des reproches d’avoir cédé à un vieux vicieux. Et puis un beau jour je me suis trouvé sans savoir comment, dans la même cabine et j’ai attendu que quelqu’un entre dans la cabine voisine. Je ne sais pas si c’est mon esprit qui a décidé ou si c’est mon cul qui en a envie.
Dès le premier bruit, j’ai mis mon œil dans le trou et ainsi j’ai pu voir un jeune homme se déculotter puis faire ses besoins. J’ai observé avec un sentiment bizarre aussi bien son sexe pourtant mou que ses fesses trop blanches à mon gout. Au bout d’un moment le gars a fini et est reparti après s’être légèrement nettoyé. Après, je suis resté dans la cabine en ne sachant plus ce que je voulais.
Heureusement quelques minutes plus tard un autre client s’est pointé dans la cabine voisine. J’ai jeté un coup d’œil et ça a été une chance. Ce client était plutôt un gars brun, bien baraqué et avec une queue très consistante, a première vue lourde et large et même un derrière musclé. Il a pissé puis s’est branlé doucement ce qui a légèrement réveillé sa queue. C’est alors que j’ai eu l’idée de le provoquer.
J’ai fait un peu de bruit puis j’ai poussé quelques « ah » étouffés mais assez remarqués. J’ai tout de suite constaté qu’il avait repéré le trou au mur et y a collé son œil. Alors j’ai largement exposé mes fesses à son œil et doigté un peu le trou du cul puis je me suis branlé sans conviction. Je l’entendais qui soufflait car il se branlait certainement puis un grand râle de sa part m’a convaincu qu’il venait d’éjaculer.
Alors j’ai moi même jeté un coup d’œil par le trou et nos deux yeux se sont rencontrés. Il m’a cligné de l’œil et j’ai répondu de même. Une minute plus tard, le gars était dans ma cabine. Sans un mot, il laissa tomber son pantalon et me présenta sa queue toujours bien bandée, longue et avec un gland large et brillant, il y avait encore quelques traces de sperme qu’il venait d’éjaculer.


« Wach ya kahba ! ya terma al baydha! choufti zebi ! touil wa khechine ! » (alors putain ! terma la blanche! tu voies mon zob ! long et épais ! « hatili termatik enik’ha! achtary » (donnes moi ta terma pour la niquer ! dépêches toi !)
Alors, moi aussi, sans dire un mot, je me suis retourné vers le mur et en m’inclinant j’ai présenté mon derrière et mon trou de cul à ce monstre. Il a craché deux ou trois fois, m’a lubrifié un peu le trou en introduisant ses doigts puis sans crier gare son gland a commencé à se pousser dans mon cul. Grâce à son sperme et à sa salive son gland a pénétré facilement dans mon trou de cul et le reste de sa queue a suivi aisément.
Le gars semblait affamé car tout de suite il a commencé à me secouer en donnant des coups de reins puissants qui m’ont fait sentir son zob jusqu’au fond de mes entrailles. Par ailleurs ses couilles me battaient les cuisses et son souffle m’échaudait le cou. Tout en me travaillant avec sa queue, il a poussé ses mains sous mon vêtement et s’est empoigné de mes seins qu’il pelotait durement. Il s’est presque couché sur mon dos mais ses reins allaient et venaient en me rabotant le cul avec sa grosse bite.
« Wach ya kahba ! 3ajbek zébi ? » (alors putain ! mon zob te plait ?) et moi :« merde ne t’arrête pas ! » « zid ! zid ! dakhlou dakhlou au fond ! Ah chhal hlou wamtine ! » (continue! pousses le au fond ! ah qu’il est doux et fort »
C’était une baise endiablée qui m’a mis le feu au sang et je commençais à jouir aussi bien du cul que de ma propre bite qui s’est bandée toute seule. Et au bout de dix ou vingt, je ne comptais plus ses coups rageurs, il s’est immobilisé puis soudain j’ai senti dans mes fonds ses jets de sperme brulant. Cinq ou six bordées de semence m’ont inondé le cul. Son zob me semblait avoir doublé de volume car non seulement il me remplissait le cul mais semblait avoir élargi son élasticité interne.
Il souffla :« ah ! ya zébi ! terma bnina! Skhouna ! hablitli zébi » « lazem enzid ennik’ha » (ah ! zebi ! terma douce! chaude ! zébi en est affolé !) (il faut que je la baise encore)
Quant il a retiré son zob et que j’ai senti son sperme qui coulait sur mes cuisses, j’ai aussi ressenti un grand vide dans mon cul qui était resté certainement grand ouvert comme une bouche affamée.
J’ai vérifié et effectivement il était tellement largement ouvert que j’ai placé au moins trois doigts à l’intérieur sans être gêné. J’espère qu’il retrouvera sa position fermée, initiale. J’ai laissé le sperme couler sur mes cuisses et par terre.
Je me suis retourné et j’ai vu mon gars qui souriait, le pantalon toujours à ses pieds et secouant sa queue pour vider le reste de son sperme. Sans parler, j’ai pris ce zob dans ma bouche et je l’ai nettoyé tout en le suçant et en le branlant légèrement. Quelques minutes ont suffi pour qu’il reprenne sa position tendu à fond.
Il s’est assis sur le bidet et m’a fait signe de m’assoir sur sa queue.
« aya terma albaydha ! ya kahba ! og3odi fog zébi ! dakhlih fi termetek ! (viens blanche terma ! viens putain ! assis toi sur mon zob ! enfonces le dans ta terma !)
J’ai écarté les jambes et en lui tournant le dos je me suis assis sur son zob. Il est entré en vitesse dans mon cul bien lubrifié et largement ouvert. Puis je me suis mis à danser sur ce monstre. Au début ce n’était pas très agréable, il glissait trop facilement mais ensuite j’ai ressenti la rigueur de sa peau et la consistance de sa longueur et surtout sa grosseur qui commençait à me faire de l’effet. J’ai eu du plaisir, j’ai même guidé son zob dans mon cul pour sentir au maximum les zones qui me donnaient du plaisir et au bout d’une trentaine de vas et viens j’ai eu la sensation que mon cul coulait de plaisir et de désir. Je me suis difficilement retenu pour ne pas crier mais mes râles étaient bruyants. J’étais bien et je me sentais bien rempli. Je lui ai fais quelques rotations de mon cul et des sortes de sussions sur son zob. Ces pressions ont augmenté notre plaisir commun.
« ya kahba ! ta3arfi ennik ! e’malfa bi zbouba ! zidi ! zidi harki wachathi teremtek fog zébi » (putain ! tu sais niquer ! tu as l’habitude des zob ! continue de bouger et danser ta terma sur mon zob ! S’il savait que c’étais seulement ma troisième sodomie ! J’étais donc doué !
Et enfin, je suis arrivé à le faire éjaculer encore une fois en criant son plaisir.
Il marmonnait quelques choses que je n’ai pas comprises mais moi-même j’étais dans la même situation de défoulement intense. Je suis resté assis sur lui un bon moment. On se foutait du sperme qui nous coulait sur ses cuisses et sur mes fesses. C’était chaud et visqueux mais la baise a été grandiose. Même les poils de son pubis qui chatouillaient mes fesses me donnaient du plaisir!
« ya terma albaydha wahlouwa ! zidi arouahi koul youm ! telgayni wajed zébi m’tanane 3aleik!» (blanche et douce terma ! viens ici tous les jours ! tu me trouvera prêt mon zob debout pour toi! »
Puis rapidement, le gars est parti se laver au lavabo en exhibant bien en vue sa queue rassasiée. Moi je me suis vidé le cul dans le bidet puis je me suis nettoyé à l’intérieur de la cabine. J’ai essayé de finir ma branle mais au bout d’un moment j’ai abandonné.
J’ai compris qu’aujourd’hui ce n’est ma queue qui était affamée mais plutôt mon cul ou comme il l’a nommé ma « blanche terma » et deux fois plus qu’une.
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