La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°830)
Histoire d'une soumission au Château - (suite de l'épisode N°775)
Olivier était présent depuis plusieurs jours dans le Château de Monsieur le Marquis dEvans, il avait fait sa connaissance par lintermédiaire dun médecin qui lavait ausculté lors de la visite quil avait passé lors de son embauche. Le médecin lavait interrogé sur sa situation professionnelle et avait pu se rendre compte quOlivier avait des prédispositions certaines à la soumission. Le docteur (vieil ami de MDE) avait donc décidé de le mettre en contact avec le Noble, cest pour cette raison quil logeait au Château après avoir reçu un mail dinvitation. Son séjour avait commencé de la manière la plus perverse à commencer par Walter le Majordome, qui faisait aussi office de chauffeur du Noble, ensuite par Marie qui soccupait des cuisines du Château. Tous étaient attentifs à ce quOlivier ressente ce que lon attendait de lui ici par sa soumission latente à mettre en évidence et en éveil. Le Maître des lieux lavait reçu et lui avait déjà montré une certaine domination à son égard et donc Olivier avait vite compris que le Châtelain attendait quelque chose de lui de plus évident en lui faisant comprendre que la soumission était bien ancrée dans lesprit dOlivier. Lors de leur rencontre le Noble avait prévenu :
- Profite de mon hospitalité en obéissant à tout ce qui te sera exigé, je reçois le weekend prochain de très bon amis, et mes Invités ont hâte de faire ta connaissance, tu seras le centre de leurs intérêts, crois-moi bien, petit chien
Olivier ne savait pas quoi répondre, il navait pas lhabitude de passer du temps avec des personnes de qualité, il savait que le Châtelain était dune noble extraction et que ses amis étaient sûrement des gens faisant partie de la haute société. Olivier ne pouvait quattendre, et cest ce quil fit. Durant cette attente, il fut maintes fois préparé à lobéissance totale par lhumiliation, la soumission, par des Exigences de plus en plus perverses.
- Samedi soir, je veux que tous mes amis et moi-même jouissions de toi. Sache que je ne tolérai aucun écart de ta part. Tu devras te soumettre à nos caprices et Exigences, et tu peux me croire que nous savons ce que nous voulons. Tu es ici uniquement pour Me satisfaire. En cela, tu trouveras ton épanouissement en tant que soumis chien à Mes nobles pieds.
Le soumis ne savait que dire, il ne doutait plus que Monsieur le Marquis avait une grande expérience sur la façon de modeler les individus, sa Bibliothèque reflétait dailleurs cela. Olivier avait pu voir que de nombreux livres du Marquis de Sade étaient présents. Il ne doutait plus aussi que Monsieur le Marquis était plutôt un Dominateur expérimenté, Olivier quant à lui, était vite devenu durant lattente du samedi, un soumis docile empli de dévotion et de reconnaissance envers le Maître et il sera donc ainsi lors de cette soirée prévue le samedi soir, très docile. Le Noble était justement en grande conversation avec Walter à ce sujet.
- Walter, je reçois samedi mes bon amis que tu connais, je veux que le Donjon soit prêt, soumis Olivier sera à notre disposition, je compte le soumettre longuement et profiter de lui et surtout en faire profiter mes Invités. Il sera, bien entendu, préparé à cette soirée, demain matin, tu le réveilleras comme tu sais si bien le faire, en lenculant si cest toi qui le réveille sinon ce sera Marie qui soccupera de lui comme bon lui semblera si cest elle qui le réveille. Oui tu le prépareras, je disais, car jai remarqué quil nétait pas complètement glabre alors je veux que son pubis soit exempte de tous poils ainsi que son anus, je veux passer ainsi avec mes convives une bonne soirée en usant et abusant de ce chien.
- Oui Monsieur le Marquis, demain il sera prêt, je men occupe et ainsi vous pourrez faire ce vous voulez de ce chien desclave, je vais vérifier ses dispositions afin quil vous soit totalement docile
Cela commença à 7 heures le lendemain matin quand la porte de son cachot souvrit avec fracas, Marie la cuisinière tonna sévèrement :
- Allez, debout le chien ! Tu crois que tu vas te la couler douce, tu es ici pour servir Monsieur le Marquis dEvans.
Olivier sursauta, depuis son arrivée au cachot, il avait pris lhabitude par obligation à dormir nu et quand dun geste Marie prit la seule couverture laquelle il avait droit, elle le découvrit et elle put sapercevoir quil bandait à moitié.
- Mais tu bandes
certes mou, mais tu bandes ! Espèce de chien en chaleur
Le soumis dans un réflexe avait porté ses mains devant son sexe, Marie gloussa devant ce geste in, montre-moi tout cela tout en lui assenant une claque, que je vois tes couilles et cette bite de chien. Le soumis se cabra en recevant cette gifle et il porta sa main au visage pour se protéger se faisant il découvrit son sexe devenu rapidement mou. Marie remarqua la petitesse de la verge, vite ramollie par larrivée tonitruante de la cuisinière dans le cachot et surtout par la honte et lhumiliation de se faire traiter de chien en chaleur
- Jen étais certaine, tu nes pas bien pourvu par madame Nature, mon pauvre chien, tu es ce que nous avions tous pensé depuis ton arrivée, un soumis chien qui ce soir sera lesclave de Monsieur le Marquis et à genou tu le supplieras, crois-moi jai une expérience certaine de la chose. Et maintenant debout, tu restes nu et en plus tu dois adopter lattitude qui plait à Monsieur le Marquis : Tu ne dois jamais croiser les jambes, tes parties tu exposeras en permanence, tu dois te rendre disponible à Nos Volontés et à Nos Exigences. Tes orifices sont à notre entière disposition. Mais tout dabord, tu dois te débarrasser de tes poils disgracieux.
Olivier alla à quatre pattes vers la cuvette des WC, Marie constat quil y allait sans protester, voilà quelquun qui ne posera pas de soucis, se dit-elle. Le soumis se saisit du rasoir et appliqua la mousse à raser à hauteur de sa verge, par des gestes réguliers et précis il dégagea le pourtour de son sexe, la peau apparut lisse, blanche, sans la protection des poils sa queue lui parut encore plus petite, pour lanus se fut plus difficile, il dut sagenouiller et écarter les cuisses, le miroir posé par terre lui permettait de vérifier de la qualité de son travail au bout dun moment son anus apparut. Marie lui avait dit que Walter allait vérifier donc il prit bien soin denlever le moindre poil, même si ce nétait pas évident de rincer le rasoir pour lutiliser sur ses parties intimes avec leau froide des chiottes. Une fois cela fait, il fut autorisé à prendre une douche froide dans la petite pièce attenante au cachot et qui navait quun pommeau de douche suspendu au plafond et une évacuation deau allant vers une grille entre les dalles froides du sol. Cette pièce sans carrelage ni fenêtres, était simplement crépie à la chaux blanche. Aussi Olivier était en train de sessuyer quand Walter surgit :
- Allez lopette, montre-moi tes parties de chien.
Olivier se tourna alors nu comme un vers devant le sourire narquois du Domestique.
- Bien, voilà une nouille bien glabre comme jaime et ton anus comment est-il ?
- Jai enlevé aussi les poils, Monsieur.
La paire de gifles quil reçut le cueillait à froid :
- Espèce de chien, je nai pas ordonné un commentaire, je tordonne de me montrer ton cul de lopette, allez tourne-toi, écarte les jambes et baisse toi.
Encore sous le choc, Olivier obéit, et cest tremblant quil offrit son orifice anal au regard de Walter. Celui-ci sapprocha et le soumis entendit le bruit dune fermeture éclair qui se baissait tout en laissant apparaitre le volumineux sexe du Majordome, le gland violacée de celui-ci commençait à prendre de lépaisseur. Le Majordome savourait ce moment, sa verge dressée en un instant allait prendre possession de ce cul offert. Il était clair que le domestique était déjà bien excité à lidée de saillir le soumis. Il allait le besogner pour vérifier de nouveau laptitude de ce soumis à lobéissance et de plus son orifice serait plus souple pour ce soir. Monsieur le Marquis aimait cette qualité et ses amis aussi. Ainsi ils pourraient apprécier ce soir que ce soumis soit vraiment réceptif. Walter cracha en direction de lanus, son gland recueilli au passage sa salive et glissa en direction de lorifice qui paraissait bien serré. Dune poussée franche et ferme, il prit possession dOlivier :
- Voilà un cul bien serré comme je les aime, tu es vraiment une petite pute et dans deux minutes, cest comme une chienne en chaleur que tu vas haleter
Le Majordome alors commença le mouvement de vas et viens et le soumis faillit crier de douleurs quand le sexe de Walter allait et venait, coulissant, écartant les chairs de cet anus qui se dilatait sous les coups de boutoirs du Domestique. Olivier dabord sentit cette dilatation douloureusement, son anus souvrait et puis ce fut un sentiment de plaisir qui monta et qui succéda vite à la douleur, son esprit venait de se rendre compte quil était finalement un chien qui avait besoin dêtre Dominé. Walter fut satisfait quand il entendit les premiers gémissements dOlivier qui sentit la main du Majordome se saisir de son sexe, il tira en arrière sa queue. Walter voulait sassurer de quelque chose. Olivier ce chien soumis bandait et la main de Walter constata cela avec satisfaction. Le soumis serait ce soir un met de choix pour Monsieur le Marquis et ses convives, il se laissait faire et son corps réagissait positivement. Walter prit garde en revanche de ne pas éjaculer dans son trou du cul, seul le Maître avait ce privilège. Alors il sortit sa verge du cul dOlivier, la rondelle était suffisamment assouplie et préparer à la soirée de ce soir. Alors le Majordome jouit dans la bouche du chien soumis qui prit garde de bien tout garder de l'abondant flot de semence qui jaillit dans sa gorge et emplit sa bouche de lopette. Walter lui lança :
- Avale tout la pute et sache que cest simplement le hors duvre, ce soir tu verras, cela va être autre chose et tu devras obéir en tout point à Monsieur le Marquis. Maintenant le chien, tu vas me suivre, cest le retour à ton cachot qui tattends en attendant ce soir.
Olivier se laissa guider à quatre pattes vers les bas-fonds du Château jusquà son cachot quil retrouva. Nu comme un ver, il se recroquevilla sur lui-même sur la paillasse qui lui servait de lit et il se mit la seule couverture quil disposait sur son corps afin de se réchauffer de lhumidité ambiante. Il comprit que la journée allait être longue dans lattente jusquà ce soir auprès du Maître, Monsieur le Marquis dEvans. Quallait-on encore exiger de lui ?... Vers 14 heures, Marie la cuisinière lui porta à manger, rompant ainsi avec sa solitude, Olivier se restaura à quatre pattes en mangeant dans une gamelle sa pâtée nutritive devant Marie. Il remarqua aussi la baguette quelle tenait dans sa main gauche quelle tapotait contre sa hanche. La cuisinière avait pour rôle de vérifier laptitude des soumis à recevoir une correction, la baguette répondait à cette usage, longue et fine, Marie savait doser son geste. Dans un instant, elle allait pouvoir se prouver encore une fois son savoir-faire.
- Aller le chien, debout maintenant, tourne toi je vais te donner dix coups de cette baguette, tu vas écarter tes jambes, je veux voir tes couilles de chien, tu vas aussi mettre tes mains levées sur le mur, tête baissé, cul bombé en arrière. Aller en position maintenant, jai dit !
Olivier obéit et cest dans lattitude exigée par Marie quil reçut le premier coup, son corps se raidit et il ne put sempêcher de crier.
- Tais-toi espèce de chien couinant, lui dit Marie. Tu dois recevoir ta punition en silence, seul le Maître peut tinviter à parler, dailleurs sache que ce soir, tu dois lui porter respect, tu dois parler que si on texige à prendre la parole. Tu as bien compris, le chien !
- Oui
Une retentissante paire de gifles retentit, ce qui fait grandement rougir les joues du soumis
- Oui qui ??? Espèce de larve insignifiante
- Oui Madame
- Cest mieux ! Tu dois apprendre qui commande ici et ne pas nous manquer de respect. Ainsi tache de ne jamais noublier de terminer tes phrases par Maître quand tu es en présence de Monsieur le Marquis, tu comprends bien cela, obéissance absolue tu devras avoir...
Olivier bandait déjà rien qu'au fait de penser qu'il devra obéir, ça l'excitait grandement ...
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!