Cocu.... Volontaire 7 L'Eau À La Bouche

Cocu… volontaire ??? 7



- Ma chérie t’ai-je ratée une seule fois ? Chaque baise n’est-elle pas sensationnelle avec moi ? Pour quelle raison ne serais-je pas à la hauteur ce soir? L’abstinence que tu m’as imposée hier a accru mon potentiel, a augmenté mon désir de combler cette Émilie gourmande. Je garde d’elle le souvenir d’une branleuse et d’une suceuse de grande classe. Sa fellation chez toi et son acharnement à avaler jusqu’à la dernière goutte de mon sperme sont une garantie de qualité supérieure. Avec une telle partenaire qu’est-ce qui pourrait me retenir. Je brûle d’envie, je bande comme un âne à la simple évocation de ce que nous allons faire ensemble. Donc Jean ne doit pas se faire d’illusions, je ne raterai pas sa femme, je vais envoyer grave et graver à cette affamée un souvenir indélébile dans les muqueuses.

Il a répondu à Angèle, René s’adresse maintenant à moi :

Mais j’ai besoin de savoir, Jean puis-je m’y prendre comme je le veux pour toucher au but ? J’ai pour consigne de la faire jouir fort et souvent dès ce soir. La fin est connue, tous les moyens pour l’atteindre sont-ils bons ? Ou y a-t-il des limites imposées ? Toutes les positions sont-elles possibles ou ta femme émet-elle des réserves? Est-elle en bonne condition physique ou existe-t-il des contre-indications ?


- Jusqu’à présent je n’en connais pas. Émilie est du même âge qu’Angèle, en pleine force de l’âge. Elle a toujours fait preuve d’enthousiasme et d’ingéniosité au déduit. Inventive, chaude, elle a manifesté un fort appétit pour les divertissements sexuels, grande amatrice de variations multiples, parfois même acrobatiques. Son apathie nouvelle est incompréhensible pour moi. Cette forme d’anorexie sexuelle nous désole elle et moi. Nous voulons en sortir, Émilie encore plus que moi. Elle ressent un énorme besoin de connaître le grand frisson et pleure de ne plus l’atteindre avec moi. C’est une contrariété insoutenable, un manque inhumain de satisfaction naturelle.

C’est la raison de notre appel à ton dévouement. En effet, il y a concomitance entre cette fellation à laquelle tu viens de faire allusion et sa perte d’appétit sexuel. J’ignorais à quel point elle avait pris part à votre union, sinon j’aurais accéléré ma demande de secours. La description exaltée qu’elle m’a faite du plaisir d’Angèle sous l’effet de ton sexe particulièrement remarquable, m’a suggéré que le remède à son mal se tient là, au bas de ton ventre.


- Tant mieux si je réussis à lui rendre la santé avec mon outil ! C’est extrêmement flatteur. Autre question : Le port du préservatif est-il obligatoire ? Je ne tiens pas à être poursuivi pour abandon de paternité dans le cas où notre union aurait plus de suite que vous en attendez.

- Sans préservatif tu prends des risques. Pour une fois, si tu ne trimbales pas de maladie sexuellement transmissible, tu verras avec ta partenaire. A son âge elle ne reçoit plus de conseil de moi et doit savoir prendre ses responsabilités. Un plaisir exceptionnel pourrait effectivement se solder par une grossesse. C’est encore une conséquence à envisager. Boff…Nous sommes en âge de procréer, la naissance d’un nous réjouirait. Nous ne te poursuivrons pas pour abandon d’ si tu remets les hormones en place en la prenant. Tu vas avoir l’impression de rencontrer la sœur jumelle de ta maîtresse : même taille sans talons, même poitrine haute et fière, joli visage, hanches généreuses sous une taille fine, petit cul à faire bander n’importe qui, jambes de rêve…Elle a tout pour te plaire.


Angèle proteste gaîment :


- Ah ! Toi alors. Tu as attendu ce soir pour m’adresser un compliment, le premier en vingt ans. Merci, j’en suis émue.


- Vrai ? Je les gardais pour mon épouse. Et puis avoue : Jamais je ne t’ai vue nue, c’est aussi une première fois ! Comment te faire compliment pour cette magnifique touffe sur ton pubis quand tu l’as toujours mise à l’abri des regards ou pour l’arrondi parfait de ta croupe ?


- Oh ! Même habillée tu aurais pu remarquer mes pare-chocs arrière.
Menteur.


L’air est badin. Angèle me fait face, tient mes mains dans les siennes, cependant que René commence à piaffer d’impatience et se caresse l’avantage pour atteindre une érection parfaite. Angèle fixe mes yeux et emprunte un ton attristé de circonstance :


- Tu chantes les louanges de ta chérie ! L’ingrate te le rend mal. Regarde-moi bien, car l’occasion est unique. Me reprocherais-tu un peu de pudeur. Ma touffe ? Tu la dis « magnifique », es-tu sincère ? Et mes fesses t’excitent, j’en suis bien aise. Merci. Tu penses tout ce que tu viens de dire sur le reste ? Tu parles de mes fesses, la vue te suffit ? Touche…aujourd’hui c’est permis. Oui, ne sois pas timide. J’aime la main qui me caresse les fesses. Je peux me comparer à ta femme ? Comme je regrette de ne pas avoir eu plus tôt une bonne raison de me dénuder devant toi.


- Je n’ai pas pour habitude de voir ou de tâter les formes de femmes nues et encore moins de complimenter les épouses des autres. C’est vrai tu as de beaux yeux, tu sais. Que dirait Émilie, si elle m’avait vu flatter ta croupe à l’instant ou si elle entendait que je te trouve belle et appétissante ?


- Pense plutôt à ce qu’elle veut faire, sans toi ! Je suis « Belle et appétissante …? » J’ai envie de te nourrir. A toi de mordre

Un peu laissé de côté par les adultes, le jeune René se manifeste :


- Bon , le moment est mal choisi pour vous envoyer des compliments ou pour vous tâter. Angèle, tu devrais lâcher la quéquette de ton admirateur et me montrer le chemin vers la malheureuse femme en souffrance. Toi, Jean, n’essaie pas de draguer ma femme. Restons pratique. Ta femme aime ou pas la sodomie ?


- Nous ne la pratiquons pas. J’ai fait quelques tentatives, elle a toujours prétendu que c’était une déviance sexuelle qui sentait la merde. Comment lutter contre des préjugés quand ils sont rens par un confesseur.

- Son confesseur ? Tu me scies .
Approuve-t-il comme toi ce qu’elle et moi devons accomplir ce soir ?

Elle n’a pas eu le temps de le consulter. C’est tant mieux. De toute façon ce n’est pas lui qui résoudrait notre problème. Et comme ce n’est pas par vice mais pour la bonne cause, il se montrerait indulgent, je pense. Je n’en peux plus.


- Étonne-toi. A-t-elle d’autres tabous ? Connaît-elle les positions du kamasoutra ou ne pratiquez-vous que celle du missionnaire et la levrette ? Et comment reçoit-elle les caresses préliminaires, avec plaisir ou en priant le chapelet ?


Là, il se fout de moi.


- Cesse de te payer ma gueule. Sois sans crainte, c’est une femme normale, mariée depuis 15 ans. Nous agissons, mais nous n’apprenons pas par cœur les noms des positions.


- Pas si normale que ça puisqu’elle a besoin d’un spécialiste pour retrouver la jouissance. Alors on y va, on prend le train ou on s‘encule ?


Angèle abandonne ses chatouilles dans les poils de mes pectoraux, me donne un rapide bisou pour me calmer, att la queue du vantard et l’entraîne vers le salon en secouant le bras. Je suis à la fois inquiet et curieux. Angèle le flatte pour le calmer :

- Viens mon étalon, au travail. Tu as trop de chance, mon petit saloupiaud chéri. Défonce -moi cette affamée. Montre lui ce que tu sais faire. Si elle te refuse la porte arrière, souviens-toi que la mienne t’est acquise, n’en fais pas un drame. Bonne chance, fonce. Hardi , bite en avant.
Quant à toi, Jean, faut-il te rappeler que tu es le maître de maison, à toi de nous introduire.


- Très bien. Ne bougez pas, ne faites pas de bruit, vous rirez bientôt

J’entre dans mon salon et je referme mal la porte capitonnée. Assise sur le canapé, appuyée au dossier profond, Émilie, jambes croisées ne touche pas le sol mais laisse entrevoir le dessous de ses cuisses jusqu’à la limite des fessons. En dernière minute elle a cru bon d’enfiler une jupe courte pour mettre en valeur ses jambes.
Son pied droit rythme son impatience. Elle me regarde incrédule, éberluée et s’enflamme aussitôt :


- Mais Jean, que t’arrive-t-il ? Où vas-tu comme ça à poil? Tu deviens fou ! Allons, reprends-toi, tu te trompes de jour. Ce soir ce n’est pas toi que j’attends. Mais, tourne-toi bien, que je voie : Seigneur il t’a fallu tout ce temps pour être présentable ! Hum, ce n’est pas mal. Tu t’es masturbé et tu arbores un sexe tendu comme aux plus beaux jours. Je croyais avoir entendu des voix : Angèle et René ne sont-ils pas encore arrivés ? Sont-ils en retard ? Un quart d’heure… Angèle est généralement plus ponctuelle. A tous les coups, le jeune homme a eu peur de moi. Elle m’aura fait passer pour une dévoreuse de bite ! Je suis dans tous mes états, je me suis chatouillée pour être immédiatement prête à accueillir notre hôte, je suis toute mouillée et c’est toi qui entres. Je suis très déçue, cependant je me contenterai de ce que tu me présentes. On ne sait jamais, un miracle pourrait se produire après une aussi longue préparation de part et d’autre.


J’ai provoqué la méprise en repoussant immédiatement la porte dans mon dos. Le monologue en dit long sur la déception de ma femme alors que sa copine avec ses mains puis en m’offrant la vue de son corps de femme plus qu’attirant m’a assez fortement excité. En moi le mari encaisse une déception au moins égale à la sienne. Me voilà ravalé au rang d’ersatz . Ces derniers temps la peur de l’échec prévisible m’empêchait de développer complètement un sexe de vainqueur. Là, la perspective d’assister à un spectacle exceptionnel, ajoutée au traitement manuel d’Angèle m’avait remonté le moral et gonflé la verge. Émilie, réussit la performance de ralentir la circulation de mon sang. Ma queue retombe doucement, inexorablement. Par bonheur, derrière moi résonne le rire d’Angèle :


- En voilà une manière d’accueillir un mari. Émilie es-tu sans cœur ? Je ne sais pas si tu mérites la réalisation de ton fantasme. Sois reconnaissante .


- Qu’est-ce que cette mascarade ? Toi aussi tu es nue ? Ne me dis pas que vous venez de faire des choses derrière cette porte. Ce n’est pas ce qui était convenu. Où est ton petit ami ? Je comptais sur toi .


- Et sur lui, je suppose ? Je suis femme de parole, mais permets-moi tout d’abord de te dire que tu pourrais traiter avec plus de gentillesse ce brave Jean. Vois sa verge, il suffit que je la touche pour la transformer en sexe respectable.


Pour la deuxième fois Angèle s’amuse, joue avec mes couilles et agite ses mains sur ma hampe, devant ma femme et comme si elle en avait l’habitude. Par bonheur elle ne me prend pas en bouche, sinon je cracherais mon foutre sur le tapis d’orient avant la fin des protestations de ma femme si indulgente pour sa folie et si intolérante quand elle suppose qu’Angèle aurait pu s’intéresser au mari qu’elle-même néglige:


- Je ne suis pas aveugle et je te dispense de le branler devant moi. J’attends ce soir un membre plus long et plus gros. Tu m’as annoncé sa venue, tu ne t’en tireras pas en proposant Jean à sa place. Alors…?


- Me voici, déclare René . Que je suis heureux d’être aussi réclamé. Madame, je suis votre serviteur.


Cette arrivée met fin à l’énervement d’Émilie.

A suivre

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