Une Vie De Chien Partie I
La journée de cours avait été passablement épuisante, entre le contrôle de maths et les réprimandes du prof de physique, javais hâte de me reposer et cest avec un soupir de soulagement que je me laissai tomber dans mon fauteuil. Jappuyai sur le bouton power de ma tour et fermai la porte de ma chambre à clef le temps que lordinateur démarre. Quelques clics plus tard, javais ouvert une vidéo, une jeune femme blonde, entièrement dévêtue aguichait un homme. Malgré la lassitude, le déhanché de lactrice et son magnifique corps m'avait vite excité et javais déjà commencé à caresser mon sexe à travers mon pantalon. Jouvris rapidement la fermeture éclair et le laissai jaillir hors de mon jean ! Je pris mon membre chaud et entrepris de me masturber... mais aujourd'hui quelque chose était différent, l'actrice suçait goulûment le sexe de son partenaire mais ce n'était pas l'homme que jenviais derrière son écran mais bien la fille. Je me léchai les lèvres en me demandant ce que cela ferait de goûter à un sexe d'homme, d'être à genoux devant un pénis et l'enfoncer dans ma bouche pendant qu'on agripperait mes cheveux. Je glissai une main sous mon t-shirt, pinçai mes tétons et me caressai avec plus dardeur, je gémis et jouis en même temps que lhomme et du sperme chaud jaillit sur mon visage. Je restai quelques secondes sans bouger, lesprit ailleurs, puis une voix familière me fit reprendre mes esprits.
_ A table ! criait ma mère depuis la cuisine.
Je me nettoyai rapidement avant de courir à la cuisine.
Une fois le repas englouti, jallumai Skype pour discuter avec Clémence, ma meilleure amie. Je soupirai en voyant quelle nétait pas encore connectée et décidai de regarder un anime en lattendant. Quelques épisodes plus tard, une notification de connexion me fit sursauter. Je me jetai sur le clavier pour entamer la discussion et quelques minutes plus tard, javais oublié ce qui venait de se passer.
La soirée passa rapidement entre jeux et rigolade sur Skype.
_ Est-ce que je commence à aimer les hommes ? Pourquoi cette chose ma excitée à ce point tout à lheure
me demandai-je.
Il est vrai que jaimais bien lire quelques mangas yaoi, un passe-temps que javais fini par apprécier à force des incessantes tentatives de ma meilleure amie. Mais javais toujours pensé détester les hommes réels, je ne les regardais jamais dans la rue, et avais même un mal fou à apprécier un film érotique si les hommes étaient trop présents. Les questions se bousculaient dans ma tête, je pensais en avoir fini depuis le temps avec ces interrogations. Mon attirance pour le yaoi mavait déjà bien perturbée à lépoque, il était hors de question que cela recommence. Je chassai ces questions de mon esprit et essayai de mendormir.
Le sommeil eu finalement raison de moi mais les rêves cette nuit-là, furent aussi agréables que perturbants
Jouvris les yeux et regardai le plafond, les poutres en bois sentrecroisaient au-dessus de moi et de la lumière filtrait par la fenêtre. Je ne portais quun jean ample et étais couché sur un lit miteux. Je me redressai lentement et inspectai la cabane du regard. Une table pleine de vaisselle sale trônait au centre de la pièce et seul un fauteuil complétait le décor. Un homme était confortablement assis, je ne pouvais pas voir son visage, caché dans lombre. Sans savoir pourquoi, je me levai, mapprochai de lui dun pas assuré et déboutonnai mon pantalon que je laissai tomber à mes pieds. Lentrejambe de linconnu mattirait irrésistiblement
je magenouillai devant lui et cest à ce moment que je remarquai que lhomme était entièrement nu. Mon visage se rapprocha du sexe tendu et jentrepris de linspecter avec ma langue. Je léchai goulûment la base du pénis, le membre tremblait sous mes coups de langue. Jarrivai au gland, chaud, luisant
je laissai couler un peu de salive dessus avant de le prendre dans ma bouche gourmande.
Dautres hommes approchaient, jentendis murmurer : « Tu es notre chienne maintenant, tu nous appartiens ! »
_ Oui je suis à vous maîtres ! gémis-je en ouvrant les yeux.
Je compris que cette superbe expérience avait seulement été rêvée. Mon corps nu se trémoussait sous les draps, mon bas ventre me brûlait dune envie irrésistible.
_ Une chienne
une chienne
murmurais-je la langue pendante
Le sommeil me rattrapa mais je ne fis plus aucun rêve cette nuit-là.
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