La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°829)
Fanny au Château (suite de l'épisode précédent N°828) -
Fanny ne dût pas attendre trop longtemps car une bonne dizaine de minutes sétait écoulée et fanny navait pas pour autant froid. En effet la pièce était surchauffée. Il faut avoué que pour fanny, ces minutes fut plus une succession de plaisirs, de spasmes multiples quune attente. Les seins tendus vers le haut, bâillonnée, attachée ainsi à cette balancelle fixe rappelant plutôt une table de gynéco avec ses accoudoirs, elle était trempée tant le système de pénétration lente, très lente par ses avancés et reculs et par la lenteur du tournage du god mécanique qui la pénétrait avec la régularité dun métronome. Elles gémissait pleinement son plaisir devant les yeux des 8 esclaves attachés qui avaient lair vraiment de lenvier.
Puis un léger frisson la traversa quand elle entendit des pas revenir. Un homme entra et sapprocha, mais fanny ne put lapercevoir à cause du bandeau. Il commença par lui caresser le visage et fanny dit spontanément :
-Non Monsieur Walter, pas vous encore, je vous en supplie ...
Elle avait à peine terminé sa phrase quon lui retira le bandeau et saperçut de son erreur. Lhomme qui était là était grand, dune grande prestance, un sourire aux lèvres et des yeux dominant qui comblait fanny. Elle lavait tout de suite reconnu, cétait enfin son Maître. Enfin oui car tous ses doutes se dissipèrent, toutes ses espérances avaient enfin trouvé leurs réponses. Il était là.
-Alors petite chienne, on a fait du zèle aujourdhui ? On a voulu son Maître en premier avant dobéir à tout ce quil exigera ?
- Oui, je ne demandai que ça, mais
Une gifle fusa :
- On dit : Oui Maître et ici on ne demande pas, on supplie
compris dit le Marquis dEvans sur un ton calme, froid mais paradoxalement autoritaire
- Oui Maître, je .. je vous aime
Je
- Alors fait silence sinon je te bâillonne comme les chiennes qui te regardent en ce moment
Puis il sortit son sexe de sa braguette le présenta à la bouche de fanny :
- Tu ne vas refuser à ton Maître, ce que tu as accepté à Walter
Allez suce petite putain
Et elle entreprit une lente fellation.
Puis le Marquis se positionna vers la perceuse et en arrêta le mécanisme, il lévacua avec la table et prit la télécommande du palan. Il appuya sur un bouton, ce qui fit monter le siège de fanny et détendre les chaînes fixées à ses tétons. Il arrêta la montée de la balancelle quand le sexe et les fesses de la soumise furent à hauteur de la bouche du Marquis. Ainsi il navait pas besoin de se baisser pour commencer le sulfureux léchage de langue quil entreprit dans le sexe de fanny déjà bien trempée. Il sattarda longuement sur son clito , le fit sortir de son capuchon, enfonça sa langue dans les parois des lèvres puis du vagin. Ecartant de ses doigts les lèvres qui prenaient du volume. Les spasmes redoublèrent encore. Le Marquis était un expert en la matière et les gestes buccaux et manuels étaient précis. Pendant quil sactivait, il entreprit de lui doigter lanus afin de le dilater pour la suite et cest dans des gémissements de plus en plus accentués que fanny multiplia les orgasmes qui se succédèrent à un rythme effréné. Elle ne retint aucun cri et laissa exploser sa jouissance en de puissants râles et cris de bonheur.
Puis le Marquis sarrêta, laissa fanny reprendre son souffle, pendant quil alla chercher une espèce de raquette de ping-pong mais avec un manche un peu plus long.
Plus fort Maître oui encore
»
Alors le Marquis frappa et frappa encore sous les yeux des soumis attachés qui bandèrent de plus belle. Les cris, la jouissance provoquée par le plaisir ressentie par la femelle, redonna de la vigueur au Maître qui stoppa les coups et abaissa à la hauteur désirée le siège. Puis sans prévenir il la pénétra dun coup en de forts coups de reins :
-Tu voulais que ton Maître soit le premier à te baiser, chienne de rue, et bien voila, la pute est servie
Et il redoublait ses assauts, elle était possédée très profondément et de sa mémoire navait encore jamais ressentie de telles sensations. Il lui doigta de nouveau lanus tout en la baisant comme une chienne en chaleur. Elle criait de plus belle son bonheur dêtre ainsi pénétrée, sauvagement, puissamment à la hussarde. Quand le Marquis décida de changer dorifice, il la sodomisa quasi bestialement. Elle ne put retenir un cri de douleur, le sexe énorme dans son fondement certes dilaté mais pas suffisamment pour accueillir ainsi une volumineuse verge regorgeant de raideur. Mais les premiers cris de douleurs se changèrent vite en cris de jouissance tant lexcitation était à son zénith. Au bout de plusieurs minutes de ses vaillants assauts le Marquis se mit de nouveau à éjaculer en de longs râles mais en elle, il ne se retira pas en un coït profond. Fanny hurla son orgasme mais un orgasme différent des autres, cétait un orgasme anal, le premier de sa vie mais dune puissance tel quelle ne sera pas prête de loublier.
Au bout de plusieurs minutes en coït immobile, tout deux reprirent leur esprit. Puis le Marquis se retira
Il se réajusta le pantalon et regarda la soumise :
-Je ne regrette pas davoir changer davis en te faisant revenir.
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!