2003 - Mylène
Jai 30 ans.
Je reçois un texto :
« Coucou cousin, je dois voir un médecin à côté de chez toi, je peux dormir chez toi jeudi ? Bisous »
Cest ma jeune cousine Mylène. Elle a 18 ans depuis 2 mois. Jeune fille gentille, certains diraient très gentille pour ne pas dire naïve, assez marrante et fraîche.
Jai toujours eu une bonne relation avec elle. Evidemment je la connais depuis quelle est gamine et je suis comme un grand frère pour elle ou au moins un vrai cousin. Quand elle était ado, elle essayait de me séduire, avec ma complicité bien sûr, cétait amusant. Hélas depuis 2 ans, elle a de gros problème sanguin doù les visites régulières chez des spécialistes en tout genre.
Je ne lai jamais envisagé autrement quun être asexué. Pourtant Cest vrai quelle est devenue une femme, une vraie femme avec les attributs qui vont avec . Assez large de hanche, poitrine généreuse et petit sourire mutin, jolis yeux bleus.
Quand elle débarque ce jeudi soir, elle est comme à son habitude un peu timide mais je la fais rigoler et elle se détend. Je lui propose de lemmener dîner ; jai limpression que cest le plus beau jour de sa vie. A la fin du repas, elle se baisse pour ramasser son sac et je remarque le bout de tissus qui dépasse de son taille basse. A ma grande surprise elle porte un tanga ambiance imprimé camouflage dans des teintes rougeâtres. Ca mamuse et je me dis quaprès tout elle a 18 ans, rien de plus normal. Oui sauf que cette vision mémoustille aussi.
En rentrant on boit un thé et je narrête pas de penser à ses dessous.
Je vis dans un 2 pièces avec une salle de bain attenante à la chambre. Quand elle sy enferme pour se préparer, je ne peux mempêcher de regarder par la grande serrure. Le cur battant, je la matte.
Elle a quelques kilos en trop mais ses formes sont très belles, ses seins encore plus beaux que je ne limaginais bien quun peu tombants. Elle se passe de la crème un peu partout et je nen rate pas une miette.
Elle sort enfin de la salle de bain, tshirt et shorty en coton moulant, rien dostentatoire mais le tissu lui colle à la peau mettant ses formes en relief, sa vulve plus particulièrement que jimagine charnue et charmante. Le souvenir récent de son corps nu la rend désirable comme jamais auparavant.
On chahute un peu, on rigole, je sens quelle est toute heureuse et excitée dêtre dans ce grand lit avec son cousin. Je vois bien quelle na pas envie de dormi, comme si on faisait une soirée pyjamas. Oui mais moi je bosse demain. Jéteins la veilleuse et on se fait un bisou.
Jai beaucoup de mal à trouver le sommeil, normal, ce que jai vu, me rend nerveux. Je finis par mendormir péniblement.
Au milieu de la nuit, je suis réveillé par quelque chose. Je suis entre deux eaux, rêve ou réalité. Je ne me rends pas compte tout de suite. Je crois que Mylène est en train de me tripoter. Bien sûr elle fait ça en toute discrétion (enfin pas tant que ça !) de peur de me réveiller mais avec tout de même pas mal de culot. Dune main elle soulève la couette et de lautre elle effleure mon sexe. Je dois avouer que la situation est très excitante car en général, cest plutôt moi qui madonne à ce genre de jeu avec des fortunes diverses.
Je gigote un peu comme un spasme et instantanément sa main se retire. Je mamuse.
Je la laisse revenir mais cette fois ci, il y a une différence de taille ; jai une belle érection dans mon caleçon en coton et je me fais maintenant palper puis très lentement branlé par-dessus le tissu. Jadore ça. Naïvement ou pas, elle pense que je dors encore si bien que lorsque je mapprête à lui rendre la pareille, marche arrière toute ; elle fait la morte.
Je commence à passe la main sur son shorty, légères caresses. Si elle ne comprend pas avec ça, cest quelle est vraiment stupide. Ces jambes sont serrées comme une protection contre mon assaut mais au fur à mesure je sens son corps se relâcher. Après quelques instants, le tissu devient plus chaud, plus moite. Comme elle ne réagit pas vraiment, je prends sa main et la pose sur mon sexe.
Nous nous trouvons tous les deux sur le dos à nous prodiguer des caresses qui vont au-delà de laffection. Cest très bon et la situation mexcite de plus en plus.
Je passe la main sous son tshirt pour palper enfin ses seins. Ils sont plus fermes quils ny paraissent. Je les presse, les caresse et mamuse avec leurs pointes que je frôle pour les faire réagir. Frissons, chair de poule. Son corps se tend tandis que le bout de ma langue les titille ou les aspire.
Je vois à peine son visage dans la pénombre mais je constate que ses yeux sont fermés et quelle semble apprécier mes attentions. Elle est abandonnée et me laisse faire. Elle est devenue ma « chose ».
Jaimerais beaucoup baiser sa jolie bouche ; je me dis que cest peut-être un peu extrême.
Quoiquil en soit, je comprends très vite quil ne sagit pas dune première expérience pour elle.
La main désormais profondément enfoncée dans son shorty, je caresse sa toison et sa fente. Elle mouille abondement. Comme je lavais pressenti, son sexe est charnu et ses petites lèvres proéminentes. Elle commence à respirer très fort et se fait plus énergique sur les va et vient quelle me prodigue. Jenfonce un doigt puis deux dans son minou qui me semble être un gouffre, jai la sensation que son sexe se dilate encore. Je porte mes doigts à la bouche et me délecte de son jus. Il est odorant, très odorant même ; elle en doit pas être super clean mais peu importe jadore cette odeur de femme. Je décide de lui faire goûter à son tour. Les doigts dans sa bouche sont léchés et nettoyés. Belle coquine finalement.
Je la fais pivoter en chien de fusil et entreprends de baisser son bas découvrant ainsi sous ma main ses bonnes fesses bien rebondies. Je les caresse, les écarte et glisse à nouveau mes doigts dans son con devenu plus quhospitalier.
Je frotte ma queue tendue le long de sa fente, mamusant à de buter sur son clito ; vraiment je me régale. Enfin je la pénètre profondément, le plus profondément possible et jagrippe un de ses seins. Je me la joue tendre avant de la pilonner comme il se doit. Agrippé à sa hanche, je frappe puissamment son cul à chaque va et vient, relevant dune main sa fesse pour me planter plus loin encore en elle. Jaimerais quelle vienne avant que je linonde.
Un de mes doigts caresse sa rondelle mais leffet est immédiat : fesses serrées, la guillotine.
Après quelques instants, je jouis sur son cul et dans les draps.
Je reste là à côté delle, lui caressant le ventre, aucun mot nest échangé. Je sens quelle veut se faire câliner, oups.
Après que le feu se soit éteint, des idées plus terre à terre vous viennent en tête.
Je viens de sauter ma petite cousine, certes consentante mais ça nest peut-être pas sans conséquence. Je ne pense jamais à tout ça quand une femme soccupe de moi ; carpe diem.
Le lendemain matin est des plus étranges. Nous aurions pu recommencer malgré la lumière aveuglante qui inonde la chambre mais jopte pour le naturel comme si il ne sétait rien passé, comme si nous en avions rêvé. Je vois bien que Mylène est perturbée. Elle imaginait peut-être que je deviendrais son « petit copain » bien que je ne sois pas célibataire et même si je létais ; me le fera-t-elle payer ?
En guise dau revoir quand elle quitte lappart, je lui claque la bise sur le pallier ce qui est en dit long sur mon état desprit. Elle reste un peu interdite puis séloigne.
Je nai eu aucune nouvelle par la suite et nous avons repris le cours normal de nos existences.
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