Un Plaisir Partagé Est Un Plaisir Double (23)
Un plaisir partagé est un plaisir double ( 23)
Aujourdhui nous sommes chez Annie et André. Après avoir pris le gâteau et le café nos hommes nous ont demandés si nous voulions jouer aux cartes avec eux. Mais les connaissant nous savons quils vont nous proposer de jouer au strip poker et comme à lhabitude se sera toujours nous qui serons à poil les premières. Sachant comment cela allait finir nous avons décliné leur invitation car il était un peu tôt dans laprès-midi pour partouser ensemble.
Nous les laissons jouer pendant que nous profitons du soleil pour nous allonger sur les chaises longues du jardin en remontant robe et jupe au raz de notre moule pour bronzer nos cuisses. Jai demandé à Annie si elle appréciait sa nouvelle vie, et de ce quelle pensait des rencontres libertines que nous avons réalisées ensemble jusquà maintenant.
« - Pour moi cest formidable, jai la liberté dutiliser mon corps comme bon me semble. Cela à été très difficile avec André au début qui avait du mal à accepter de me voir dans les bras dun autre homme. Mais lorsquil a vu que cela lui donnait loccasion de tripoter dautres femmes, il a trouvé que le libertinage cétait plutôt chouette et agréable. Cest à partir de ce moment quil est devenu moins égocentrique et moins égoïste envers moi. »
« - Je trouve quil a du mérite en ayant fait dénormes progrès en si peu de temps. Il navait pas comme toi lesprit de partage et ce nétait pas pour lui évident doffrir sa femme à son meilleur copain au début et à des inconnus ensuite. »
« - Cest aussi grâce à toi que nous y sommes arrivés. En lui expliquant quil ne fallait pas confondre plaisir et amour. Le plaisir est une histoire de cul tandis que lamour cest une histoire de cur. Et puis tu as réussi à lui faire aimer le cunnilingus. Tu te rends compte que depuis que je suis mariée, je nai jamais connu cette caresse buccale qui nous fait tellement de bien à nous les femmes.
« - Nous allons bientôt aller à Agde, cest un lieu ou tout est permis mais que rien ne soit obligatoire. Cest le temple du libertinage. Pour éviter de tromper l'autre, les couples décident d'assouvir ensemble leurs désirs. Les plaisirs partagés deviennent alors des souvenirs inoubliables, de nuits de délectation des sens, de ravissement des corps entremêlés, d'orgasmes multiples et de chaleur enivrante. Vous allez voir, vous allez adorer. »
« - Je suis curieuse de savoir ce que tu as déjà vécu par rapport à moi. Tu nas pas un souvenir à me raconter que je ne connais pas encore ? »
« - Je ne sais plus si je te lai déjà dit, mais le soir que nous avons fêté la chandeleur, ton mari ma emmené sur le lit en me menotant. Mobligeant à accepter ses désirs sexuels. Je suis devenue pour lui une femme objet. Une esclave avec laquelle il pouvait faire ce quil voulait de moi, il mavait à sa merci. Il ma corrigé jusquà ce que mes fesses soient rouges et en me baisant en minsultant de tous les noms. Tu me croiras si tu voudras mais je me suis mise à mouiller et jy prenais du plaisir. »
« - Je nen reviens pas quAndré a pu te traiter de la sorte alors quil ne ma jamais fait cela. »
« - Cétait le jour ou jai renversé sa crêpe à la chantilly sur ma vulve et que je lai à venir la déguster sur place en me nettoyant la chatte avec sa langue. Lui qui avait horreur des cunni, je pense que cest par esprit de vengeance quil a fait cela se trouvant pris au piège devant vous. Toujours est-il que jai pris mon pied et que je mouillais. Tout cela pour te dire que le plaisir vient de différentes façons. »
« - Bien avant André jai eu une expérience dans un château en Belgique. Jétais curieuse de connaître ce que le SM pouvait apporter comme plaisir, jai donc pris contact avec le Maître des lieux pour avoir un rendez-vous afin quil minitie à devenir soumise.
Quinze jours plus tard, javais mon rendez-vous avec Maître Jean. Mon chéri qui nétait pas daccord a tout de même voulu me conduire devant la grille du château. Les maris nétant pas admis, jy suis allée seule avec une certaine anxiété. Іl était enfin venu le soir où je me suis rendue au donjon, prête à plonger dans linconnu, dans un univers qui meffrayait et mattirait à la fois. Javais déjà entendu parler de séances BDSM, de bondage et de soumission mais je navais encore jamais vu ni touché daccessoire SM nі vécu de relation de soumission, alors cest avec une certaine appréhension que je me présentais à la grille du donjon. Les mots du Maître au téléphone résonnaient en moi
« - Tu devras respecter ces trois règles : obéissance, vouvoiement et interdiction de dire non ! »
Jai sonné trois fois comme il me lavait demandé, le portail souvrit rapidement bien que ces quelques secondes me semblent interminables. Jai suivi une longue allée bordé darbres avant dêtre reçu par un major dhomme qui me fit entrer dans un salon. Je me suis présentée en le disant :
« - Je suis Madame Chantal, jai rendez-vous avec Maître Jean. »
« - Asseyez-vous, je vais le prévenir que vous êtes arrivée. »
Un moment plus tard, il est entré dans le salon en venant à mon encontre. Іl était élégant et souriant, il me fit un baise main.
« - Bonsoir Monsieur Jean . » Lui dis-je.
« - Entre dans cette pièce Chantal, en mouvrant une autre porte, tu te déshabilles intégralement, je ne veux pas de tissu ni de bijoux sur toi. »
Cette introduction mavait excité au plus haut point et étrangement cela mavait mise en confiance.
« - Je suis prête Monsieur Jean ! »
Іl mit le bandeau sur mes yeux, me fit mettre à genoux, il me suffisait de me laisser guider, de me laisser faire. Je sentis la corde entourer ma poitrine, au-dessus et en dessous de mes seins et se serrer dans mon dos, puis il me mit le collier autour du cou, des pinces sur mes tétons. Javais mal, je criais et jai reçu mes premiers coups de cravache sur les fesses.
« - Tu souffres en silence, je ne veux pas tentendre. ».
Mais impossible pour moi de ne pas gémir et jai compris rapidement que lintensité de mes cris augmentait celle des cours de fouet et jen étais déjà accro ! А quatre pattes dans la pièce il pratiqua un fist dans ma chatte avant dinsérer dans mon petit trou un crochet anal.
Quand je sentis la corde relier le crochet au collier que je portais autour du cou, je me sentais totalement soumise à mon Maître, dès cet instant je lui appartenais totalement. Іl me promena comme une chienne en me guidant avec le crochet, mamena dans une autre pièce ou jai aperçu des grandes cordes qui pendaient. Іl mattacha alors les chevilles à ces cordes à laide de bracelets de cuir, les mains menottées a un anneau fixé au sol. Jétais suspendue, les jambes en lair très écartées et les mains au sol au-dessus de ma tête.
Je rêvais de sa queue dans mon vagin, mais je ny avais pas le droit de suite, loin de là. Іl prit in vibromasseur et commença à me r dans tous les sens. Іl le passait sur mes tétons, très sensibles après avoir retiré les pinces, sur mon clitoris et dès que japprochais de lorgasme, il le retirait. Mon corps convulsait, bougeait dans tous les sens, jétais prisonnière de ses stimulations sexuelles.
La suite de ma première séance de soumission fut si intense que tout se mélange encore dans ma tête. Javais perdu totalement le contrôle de mes pensées et de mes sens. Je fus baisée, sodomisée, fouettée. Je me souviens avoir été pris à quatre pattes la tête à terre et les mains menottées dans le dos. Le SM nétait plus un fantasme, cétait devenu une évidence et ma sexualité sen est trouvée transformée et enrichie. Je suis toujours en relation avec Maître Jean, je suis même devenue membre à part entière des sympathisants du donjon sous un numéro de code. Mon Maître mappelle parfois pour me demander si je veux participer à une assemblée dadeptes du SM. Bien que nous soyons tous masqués pour garantir lanonymat des personnes présentes, je sais très bien que je rencontre des hommes et des femmes de la haute société.
Annie ne mavait pas interrompue. Passionnée et excitée parfois parce ce que je lui racontais. Je lai vu se caresser le sexe par-dessus sa culotte. Jen ai déduit quelle était intéressait, alors je lui ai fait une proposition :
« - Tu sais, si cela tintéresse, je peux te patronner pour entrer dans ce cercle fermé pour que tu sois initié à ton tour ? »
« - Je ne pense pas si jaimerais cela, mais il faut dire que ton récit ma donné parfois envie dêtre à ta place. »
« - Cela ne te coûte rien dessayer, si tu veux connaître une nouvelle façon de prendre du plaisir, cest une jouissance bien différente des autres. »
« - Je tenterais bien lexpérience car rien que tentendre en parler, regardes, jai mouillé le fond de ma culotte. »
« - Une chose importante : il faut un consentement absolu entre toi et de ton Maître avant de te lancer dans cette expérience, tu dois parler avec lui des pratiques quil va effec. Si tu nas pas envie davoir les mains attachées ou les yeux bandés, il faut le définir à lavance. Il sagit ensuite de le guider pour quil procure le plaisir souhaité. Ces accords entre toi, soumise et ton Maître, donne la confiance nécessaires à ces pratiques. »
Nous sommes rentrés retrouver nos maris dans la maison. Ils étaient encore plongés dans leur partie de carte. Jai donné un coup de main à Annie pour préparer le souper en mettant la table. Après le repas nous avons joué au jeu de la vérité. Chaque couple devait poser une question coquine à lautre couple pour apprendre à mieux se connaître. Si celui à qui la question était posée ne désirait pas répondre, il pouvait dire « joker » mais cela lobligeait à retirer un vêtement. Jai commencé en posant la première question à André.
« - Que préfères-tu la chantilly ou le chocolat ? »
André à Chantal. « - Jai bien aimé la chantilly mais le chocolat cela ne doit pas être mal non plus. »
Annie à moi. « - Quel est le lieu le plus insolite où tu as fais lamour ? »
Moi à Annie. « - Dans une officine de pharmacie avec Jean Claude mon amant de lépoque. »
Bob à Annie. « - As-tu déjà simulé lorsque tu étais avec moi ? »
Annie à Bob. « - Joker »
« - Tu sais à quoi cela tengage. »
« - Pas de problème, je vais retirer mon corsage. »
Elle était dans un joli soutien gorge blanc pigeonnant en tulle transparent dans lequel on pouvait voir ses tétines aussi gros que des olivettes brunes. ( Elles sont le double des miennes que vous pouvez voir sur mon avatar.)
André à Bob. « - Aimerais-tu passer le prochain week-end seul avec ma femme sous la couette ? »
Bob à André. « - Je ny ai jamais pensé, mais cest sur que jy prendrais du plaisir. »
Bob à André. « - Quelle partie du corps de ma femme texcite le plus ?
André à Bob. « - Son petit cul rebondissant. »
Moi à André. « - As-tu un fantasme que nous pourrions réaliser ensemble ?
André à moi. « - Oui, jaimerais te baiser en tenue de « pute »
Annie à moi. « - Racontes-moi un fantasme que tu nas jamais avoué à personne. »
Moi à Annie. « - Joker. »
Je suis maintenant dans un ensemble string et soutien gorge rouge après avoir retiré ma robe.
Annie à Bob. « Est-ce que cela tarrives de rêver de moi la nuit ? »
Bob à Annie. « - Joker. »
Mon mari retire son pantalon et je vois très bien que sous son boxer il est en érection. Il na pas voulu avouer devant André et moi quil rêve dAnnie mais je le sais très bien, Il pense même peur être à elle en me faisant lamour.
Annie encore à mon chéri. « - As-tu envie de moi maintenant ? »
Sans attendre sa réponse, elle se lève, prends mon mari par la main pour lemmener dans son lit en nous disant :
« - Excusez nous mais nous avons des affaires pressentes qui nous attendent. Faites ce que vous voulez mais sans nous. »
« - Pas folle la guêpe, elle na pas perdu de temps, elle sétait bien rendu compte du renflement que lon voyait dans le slip de mon mari qui en disait long sur lenvie quil avait de la baiser. »
André un peu décontenancé par linitiative de sa femme me dit :
« - Tu veux que nous allons les rejoindre dans la chambre ? »
« - Non, André je pense que ce ne serait pas une bonne idée. Laissons les tourtereaux ensemble dans leur nid douillet. Il nous ont laissé le salon pour nous encanailler. »
Nous avons débarrassé la table, il na pas fallut bien longtemps pour quAndré soit excité en me voyant promener mon petit cul dans la pièce, pour quil mallonge sur la table de la salle à manger pour partager notre intimité. Ce nest pas simplement l'envie de lun de lautre qui nous motive mais plus le désir qui nous uni par léchange de partenaire. Cest une chance que chacun de nous éprouve une attirance et une passion amoureuse pour le mari ou lépouse de lautre à moins que ce soit simplement léchange de partenaires qui booste notre libido.
Lorsque Annie ( toute échevelée) et Bob sont réapparus, il était pratiquement minuit. Jétais endormie à poil, la tête sur les cuisses de mon amant.
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