Contrôle Fiscal
Je me débattais avec mes clés pour rentrer chez moi ma valise et le tas de prospectus et les quelques courriers (surement que des factures) que javais extrait de la boite aux lettres. Je revenais dune semaine de déplacement professionnel en province.
Cest dingue le nombre de mètres cubes de pub quon peut recevoir par an.
Huit messages sur le répondeur, de ce côté-là, ça navait pas chômé non plus. Surement des démarcheurs, des marchands dassurance ou de fenêtres. Personne n appelait plus sur la ligne fixe hormis ce genre demmerdeurs.
Je jetais le tout sur le bar de la cuisine américaine, je men occuperai plus tard. Je devais récupérer le chat chez des amis qui lont gardé pendant la semaine, Maelenn était pour sa part au Canada depuis dix jours.
Pilepoil le chat était tout content que je vienne le récupérer. Une vraie chaudière dans la voiture. A peine arrivé à la maison, il ne me lâchait pas dun pas, me suivant partout, se frottait dans mes jambes. Ça fait toujours plaisir ce genre daccueil.
Jallais mattaquer à mon tas de courrier, on verra le répondeur après En attendant, je vais me faire un café et direction le canapé avec mon mug, le tas de prospectus et de courrier sous le bras, Pilepoil toujours dans les jambes.
Pub, pub, pub, poubelle, poubelle, facture, facture, pub, une carte postale ! Des amis qui sont à Cuba, la chance ! Facture, pub et tiens, un avis de recommandé. Cest rare quon reçoive des lettres recommandées. Qui est lexpéditeur ? Les impôts ? Bizarre, je suis mensualisée, donc mes impôts sont prélevés, donc pas de retard de paiement. Donc ? Bizarre quils mécrivent en recommandé eux là.
Mon portable se met à sonner, ce qui fait fuir Pilepoil qui sétait lové en rond et en ronronnant sur mes genoux.
- Allo ?
- Mademoiselle Marsac ?
- Oui cest moi
- Administration fiscale, Céline B. je cherche à vous joindre depuis une semaine !
- Ben oui, jétais en déplacement en province
- Oui, je sais, cest ce quon ma dit à votre travail.
- Ah ?
- Jai laissé des messages sur votre répondeur, je vous ai envoyé une lettre recommandé
- Oui, en effet, jai lavis, mais je viens tout juste de rentrer
- Bon, écoutez, je réalise un contrôle fiscal sur votre compte, je dois vous rencontrer très rapidement
- Sur mon compte ?
- Oui, jai noté quelques zones dombre sur votre déclaration, jaimerais tirer tout ça au clair avec vous
- Euh oui, mais je ne déclare que mon salaire et quelques bricoles, donc, je ne vois pas
- Laissez-moi, seule juge de cela mademoiselle. Quand peut-on se voir ? Le plus rapide sera le mieux
- Si cest si urgent que cela, mettons lundi (nous étions vendredi, je passe à votre bureau. Cest où ?
- Je crois quon ne va pas pouvoir attendre à lundi. Vous comprenez, je me dois de boucler votre dossier le plus rapidement possible. Il traine depuis une semaine. Cest largent du contribuable qui est en jeu
- Ecoutez, moi je ne peux pas passer aujourdhui (cette conne commençait à me gonfler)
- Pour faire efficace, je vous propose de passer à votre domicile, je pourrais ainsi consulter tous les documents dont jai besoin. Je peux être chez vous à 14 heures.
- Pourquoi pas, plus vite ça sera fait, plus vite on sera débarrassé. En plus, je nai rien à me reprocher !
- Nous verrons cela ensemble.
- Oui cest ça on verra ! A tout à lheure, vous avez ladresse puisque vous mavez écrit.
- En effet, à tout à lheure.
Je raccroche, regrettant aussitôt mon ton peu aimable. Elle mavait énervé, certes, mais fallait pas trop la braquer non plus, quelle ne cherche pas la petite bête. Je navais rien à me reprocher comme je lui avais dit, mais ma déclaration dimpôt, pour moi, cest une corvée, je mets dix minutes à la faire pour en être débarrassée, peut être que javais oublié un truc ! Mais quoi ? On verra bien
Je regarde ma montre, 14 heures, cest dans une demi-heure !!! Même pas le temps de me prendre une douche ! Ah la folle, elle a les crocs elle.
13 heures 45, on sonne. Déjà elle ? Plus que ponctuelle la nana, en avance même.
Jouvre, devant moi se tient une grande femme, 40, 45 ans peut être.
- Céline B, administration fiscale, je vous sors ma carte professionnelle !
- Pas la peine, je vous fais confiance.
Elle me colle tout de même sa carte sous le nez. Je dois reculer mon visage pour essayer de déchiffrer ce qui est dessus. Je regarde juste la photo, cest bien elle.
Je la fais entrer dans le séjour. Comme je vous disais, cest une grande femme (1 mètre 70 à peu près mais pour moi, cest grand), des cheveux châtains foncés qui lui tombe sur les épaules, peu maquillée et des lunettes à branches métalliques qui lui donne un air encore plus sévère.
Elle porte une espèce de jupe noire, sans forme qui lui tombe au milieu de mollets, une veste noire assortie, avec dessous un chemisier rouge.
On ne peut pas dire quelle est laide. Bien au contraire. Elle est mal attifée, mal maquillée, pas mise en valeur. Un visage passe partout, pourtant, il y a quelque chose. Jadore son nez légèrement retroussé et ses jolis yeux noisette. Dommage quelle ne cache pas au moins un peu les quelques rides qui commençaient à poindre autour.
Voilà, une allure passe partout, sans relief. Habillée autrement, joliment maquillée, avec une autre paire de lunette, elle aurait pu être jolie à mon avis.
Côté corps, elle est grande comme je vous lai dit, plutôt mince, même si ses vêtements pas vraiment prêts du corps, ne me permettent pas complétement de faire le tour complet du propriétaire ! A priori, une belle poitrine, 90b surement, C peut être
Ses jambes, je ne vois que la moitié de ses mollets, mais ils sont minces, on peut supposer que le reste était à lavenant
Son popotin que jai reluqué en la faisant entrer me semble quant à lui tout à fait correct
Pas un cul de star, un cul standard, mais un cul tout à fait correct.
Des grands pieds, avec des chaussures noires à talons, pas trop moches, mais classique de chez classique. Ses mains, fines avec de longs doigts, sans vernis à ongle, pas de bagues, hormis une alliance à la main gauche. Céline, malgré ses allures de vieille fille est donc mariée.
Jai évalué tout ça en quelques secondes. Ça, cest mon habitude de dévisager et de jauger les femmes que je croise. Je nai pas lintention de coucher avec toutes, bien sûr, mais cest une habitude chez moi, une déformation chronique. Cest comme ça, jévalue.
Céline, bien arrangée aurait donc pu être une plutôt jolie femme. Pas un canon certes, mais elle avait un certain charme en elle, quelle cache bien. Et pour couronner le tout elle a un air de pimbêche et un ton sec, voire légèrement cassant. Bon, on va se faire une raison, ça va être un mauvais moment à passer, moi qui voulait me relaxer en ce vendredi après-midi après une semaine de boulot effrénée, le voyage en train, cest loupé. On va expédier ça vite fait, elle dégage et je me prends, non pas une douche, mais un bain, un apéro un truc vite fait à manger pour moi et Pilepoil et après on verra. Tiens, il est passé où celui-là dailleurs. Surement occupé à faire le tour de la maison en reniflant partout, comme il faisait toujours en rentrant chez lui après une absence. Au cas où un autre chat serait venu !
- On peut sinstaller où ?
- Là, dis-je en désignant le canapé et la table basse.
Elle sinstalle, sort de son cartable, un stylo, un bloc, une machine à calculer et un dossier avec dessus en gros une série de chiffres et de lettres. Surement mon numéro de contribuable et en tout petit en dessous mon nom et mon prénom. Apparemment mon numéro de contribuable est plus important que mon nom, vu la taille des caractères. Bonjour lambiance, pour elle, je suis un dossier, une référence, un numéro, et non pas une personne. Ca commence bien cette affaire
Elle ouvre son dossier et commence son laïus.
- Nous allons refaire le point ensemble et voir si il ny a pas un redressement à faire
- Un redressement ?
- Oui des pénalités quoi, mais nous allons voir ça, je suis là pour ça
Je men tape, je nai rien à me reprocher. Bon avec ces gens-là, sils veulent trouver, ils cherchent et ils trouvent. Bon, même si jai fait une erreur, ça nira pas chercher loin
Et blablabla
Et le justificatif de cela
Et la facture de ça
Et blablabla
. Et comment je justifie ceci
Mais où va-t-elle chercher tout ça ? Elle prend des notes sur son bloc, tape fébrilement sur sa calculette, reporte son résultat sur une espèce de grille, réfléchi, note à nouveau des choses sur son bloc.
Une heure trente que ça dure cette connerie. Elle va me flinguer mon après-midi. Je nai rien mangé à midi, jai la dalle, elle me saoule. Je la laisse à ses calculs et laisse mon imagination voguer. Je limagine au lit avec son mari ! Surement quelle doit garder sa chemise de nuit pour faire lamour et bien sur la lumière doit être éteinte. Elle doit faire ça une fois par mois, si ça se trouve, la date est cochée sur le calendrier de la poste dans la cuisine.
- Je viens de vous demander si vous vivez seule. Il y a marqué dans votre dossier célibataire.
- Oui, enfin, non, je ne suis pas mariée, ni pacsée, ni quoi que ce soit, mais je vis avec quelquun
- Ah ! Et ce monsieur, il fait sa déclaration ?
- Oui, mais ce nest pas un monsieur, je vis avec UNE amie. Et elle fait sa déclaration à part, rien à voir avec la mienne. Pas de fraude la dessus !
- Ah
. Euh
oui
.Eh bien
. nous
verrons
nous ..
Ouh là !! Elle a lair déstabilisée par la nouvelle. Jespère que ce nest pas une fervente supportrice de la manif pour tous. Avec son look cest bien possible encore ! Elle va me sacquer, cest sûr !
- Donc la
euh
.
- La ?
- La femme
avec qui
- La femme avec qui je vis ? Elle est lesbienne aussi oui ! Je ne la force pas.
Je naurais pas dû, mais elle ménerve franchement. Cest partit tout seul
- Oui, euh,
bon, ce nest pas ce que je voulais dire
Du coup, ça la calmée, elle écrit sur son bloc, quoi je nen sais rien, surement que Maelenn est aussi lesbienne, tape sur sa calculette, fouille dans son dossier. Elle évite mon regard, alors que jusquà présent elle me regardait droit dans les yeux lorsquelle sadressait à moi.
Manifestement elle ne sen remet pas. De deux choses lune, soit elle est choquée et je vais me prendre un redressement fiscal, soit elle est troublée par autre chose. Si elle est trop vache, je ne vais pas me gêner pour contester, ça cest sûr, je pourrai même parler dhomophobie. Elle ne va pas me gonfler longtemps cette conne.
Par jeu, je vais voir un peu ce quelle dans le ventre la Céline !
Je croise mes jambes et je marrange pour que ma jupe déjà courte remonte le plus haut possible sur mes cuisses. Je me recule et mappuie sur le dos du canapé, en croisant mes bras devant moi, de manière à remonter ma poitrine. Et je fixe mon regard sur elle.
Elle semble se changer en statue de sel. Son regard descend sur mes seins, puis sur mes cuisses et saimante là. Joueuse, je décroise mes jambes et les recroisent ensuite. Elle na pas le temps de voir grand-chose, mais mon jeu de cuisses semble porter ses fruits.
Au bout de quelques secondes, elle semble se reprendre et reporte son attention sur son dossier en mordillant le capuchon de son stylo. Elle le referme et me dit :
- Euh
écoutez
vous aurez mes conclusions par courrier, mais
- Mais ?
- Mais
. Je pense
que
quil ny a rien de méchant.
- Ravie de lapprendre
Bien, je crois que je ne vais pas vous retenir plus longtemps, je pense que vous avez encore beaucoup de travail
Et pour ma part, je rentre dune semaine dabsence et jai pas mal de choses à faire ici. Vous savez ce que cest !
- Oui, euh
En effet
Euh
- Oui ?
- Est-ce que je peux
. Me permettre
une
euh
question
euh un peu
personnelle ?
- Dites toujours, on verra
- Est-ce que
Euh
les lè lè lesb
. Euh
- Les lesbiennes ? oui ?
- Oui les lesb les lesbiennes, sont comme euh
les hommes gays
si elles euh
- Si elles quoi ?
- Si elles ont
euh des aventures euh
. Comme les gays quoi
- Des aventures ? si on batifole à droite et à gauche ? Cest ça ?
- Euh
oui
- Ben, je dirais que ça dépend des femmes. Il y a des femmes fidèles et dautres moins. Cest un peu cliché, votre question. Mais au fait, que voulez-vous savoir au juste ? Si les lesbiennes en général couchent à droite ou à gauche ? ou si moi, je le fais ?
- Euh
Non, mais
Euh
- En fait, je crois que tu craque sur moi, lui dis-je passant du vouvoiement au tutoiement.
- Euh
. Non
. Enfin
- Cest oui ou cest non ? lui dis-je en approchant mon visage du sien et en déposant un chaste bisou sur ses lèvres.
- Cest
.
- Cest ?
- Cest euh
oui !
- Laisses toi aller. Tu sais, jaime ma compagne, mais de temps en temps, je ne suis pas contre une petite aventure
de ton côté, je suppose que cest une première ?
- Oui
- Eh bien, si tu ne recommence jamais, tu auras surement réalisé, ce que je suppose doit être pour toi un fantasme de longue date
- Oui, mais, je suis mariée, jai
jai une famille
- Je ne suis pas jalouse !
Et sur ces bonnes paroles, je lembrasse à nouveau, cette fois en forçant ses lèvres avec ma langue.
Nos langues se rencontrent, je fais tourner la mienne autour de la sienne. La sienne dabord passive et suivant le mouvement de la mienne, senhardit. Notre baiser devient plutôt passionné, puis vraiment torride.
Enfin, nos bouches se séparent. Nous reprenons notre souffle :
- Quest-ce que je fais
. Quest-ce que je suis en train de faire ?
- Rien de mal, rien de sale
. On va se faire du bien, pas dinquiétude ! Tant que ça reste entre adultes consentants
- Mais, votre
. Ta
. Ton
amie ?
- Elle nest pas là, elle est au Canada, elle ne va s rentrer et faire une scène, rassures toi. Ca va juste rester entre toi et moi !
Je me lève du canapé me mets devant elle et lui demande :
- Tu veux voir mes seins ?
Je ne lui laisse pas le temps de répondre, jenlève mon haut et dévoile un soutien-gorge parme.
Céline est bouche bée
Instinctivement elle tend la main.
- Caresses les, lui dis je
Elle porte sa main sur ma poitrine et caresse à travers la dentelle des bonnets. Je sens ses doigts sattarder sur mes tétons, bien dressés, puis remonter sur le galbe du sein un peu plus haut.
- Ta peau est douce !
- Oui cest doux une femme
. Tu veux enlever mon soutien-gorge ?
- Oui, euh
oui bien sûr, dit-elle en passant ses mains dans mon dos et en faisant sauter les agrafes.
Elle écarte les bretelles et découvre mes deux seins. Elle pose le soutien-gorge et porte ses mains sur ma poitrine. Une main sur chaque sein. Elle semble subjuguée :
- Tu peux les embrasser aussi, si tu veux !
Elle porte sa bouche à mon sein et dépose dessus quelques baisers.
- Tu peux les sucer
les lécher
Elle sexécute, suce puis passe sa langue sur mon téton. Elle est toujours assise sur le canapé et moi debout devant elle. Je me suis légèrement penchée vers elle, pour que son visage soit à hauteur de ma poitrine. Elle sen délecte. Je pense que ça fait longtemps quelle a envie de toucher une paire de seins autre que la sienne. Elle embrasse, léchouille, tête, caresse le sein libre avec sa main, pince même légèrement le téton entre ses doigts.
Je la repousse doucement et me retourne. Elle a mes fesses en face des yeux. Je laisse passer quelques secondes, quelle profite du spectacle :
- Tu veux bien enlever ma jupe ?
Je nai pas besoin de répéter, nerveusement, elle se bagarre avec le bouton qui ferme ma jupe, arrive enfin à louvrir, baisse la fermeture éclair et fait glisser ma jupe sur mes chevilles.
Je porte un string assortit au soutien-gorge, parme donc, qui ne cache pas grand-chose de mon fessier.
- Tu peux caresser, elles sont douces aussi mes fesses !
Elle ne se le fait pas dire deux fois. Ses mains passent sur mes fesses, remontent sur mes reins, mes hanches, descendent sur mes cuisses remontent. Elle se permet même un petit bisou sur la fesse droite.
Je laisse échapper un léger « humm mm » pour lencourager.
Je me retourne et lui présente le côté face après le côté pile. Son regard est aimanté sur le minuscule triangle parme entre mes jambes.
Ses mains restent en suspens. Elle a nouveau transformée en statue de sel.
- Tu peux toucher aussi là
Comme si elle nattendait que ma permission, sa main se glisse sur le petit bout de tissu. Sa caresse saccentue légèrement.
- Enlève ma culotte
Elle agrippe lélastique de mon string et le tire vers le bas, découvrant ainsi lobjet de ses désirs.
Cest volontairement que jai fait en sorte quelle me déshabille elle-même, pour pousser son excitation à son paroxysme.
- Caresses moi, ça, je suis sure que tu sais faire. Tu fais exactement comme quand tu te fais plaisir toute seule, on est toutes faites pareilles, un clitoris, un vagin
Et en effet, elle sait faire ! Ses doigts glissent sur mon intimité, écartent mes lèvres, recherchent le bouton, le titille, appuie dessus, redescendent plus bas. Jai écarté les cuisses pour lui permettre laccès. Je me suis cambrée en avant.
- humm mm ouiii comme ça, cest bien
Tu as vu comme je suis toute mouillée, cest toi qui me fait cet effet là
Un de ses doigts sinsinue dans mon vagin. Une phalange, puis deux. Son autre main me flatte la croupe. Moi je me caresse la poitrine. Ma contrôleuse fiscale est en train de me masturber et jy prends un plaisir énorme. La situation mexcite au plus haut point. Je suis sure que sa main est toute mouillée. Si ça continue, je vais partir là comme ça. Je me dégage delle. Elle semble déçue, mais je ne lui laisse pas le temps de réagir, je massois sur ses genoux, passe mes bras autour de son cou et lembrasse à pleine bouche. Je ne relâche mon étreinte que pour lui annoncer, que je vais la déshabiller à mon tour. Jenlève sa veste, déboutonne son corsage. A chaque fois que ma bouche est à portée de la sienne, elle membrasse. Son excitation est à son comble. Je dévoile un soutien-gorge noir, finalement pas si moche que ça, avec un peu de dentelle, je fais baisser sa jupe (ceinture élastique), baisses ses collants noirs et la culotte assortie au soutien-gorge par la même occasion, enlève ses chaussures et vire le tout :
- il ny a que dans les films pornos, que les femmes gardent leurs chaussures pour baiser, lui dis-je en rigolant
Je dégage aussi le soutien-gorge qui restait et ma contrôleuse fiscale est à poil devant moi. On a fait plus sensuel comme déshabillage, mais le côté saccadé, nerveux et hâtif de mes mouvements lexcite encore plus (si cest possible !).
Finalement, nue, elle est plutôt bien foutue, Céline ! Une belle poitrine en forme de pomme, encore bien ferme, de belles auréoles au bout, des tétons dressés. Un peu de bourrelets autour des hanches, un tout petit ventre et un début de cellulite sur les cuisses (juste un début, rien de méchant). Je dirais que pour une femme denviron 45 ans, cest canon ! Je voudrais bien être comme elle quand je les aurais !!! Son pubis ? Un triangle de poils noirs, taillés. Elle ne s épile pas, mais elle entretient son minou. Pas mal du tout ! Dautant plus que sa toison est toute humide, je le vois bien.
Je la couche sur le dos sur le canapé et mallonge sur elle. Je lembrasse à nouveau, nous échangeons nos langues et notre salive. Mes tétons excitent le bout des siens en se frottant contre. Elle semble apprécier la caresse. Je frotte mon ventre sur le sien. Je descends mes lèvres sur sa poitrine, gobe un téton, lèche, mordille passe à lautre. Elle gémit. Ma langue descend sur son ventre jarrive à lendroit fatidique. Jécarte ses cuisses, découvre son intimité. Je passe mon doigt légèrement dessus, Elle frissonne, réagit aussitôt, gémit de plus belle. Je titille son bouton. Ses gémissements saccentuent. Elle est prête. Je porte ma bouche à son sexe, mon langue sinsinue
. Elle a agrippé mes doigts entre les siens. Elle me sert fort les deux mains. En deux minutes, elle part avec force gémissements, soufflements et petit cris (notamment un « oui oui oui » aigu juste avant que lorgasme ne se déclenche).
Elle reprend ses esprits doucement, les lunettes de travers (jai oublié de les lui enlever tout à lheure), le regard dans le vague, la bouche ouverte.
- Tu veux me lécher aussi ? lui dis-je (ben oui, je nai pas eu mon orgasme moi !). mais tu sais, tu nes pas obligée, si tu ne veux pas, je comprendrais, tu nauras quà me faire jouir avec tes doigts
- Non, je veux tout connaitre me dit-elle en souriant. Je vais le faire. Et puis, jen ai envie
- On va se mettre en 69 alors, comme ça tu pourras en profiter une deuxième fois.
Je lallonge sur le dos et me couche tête bèche par-dessus elle. Dans un 69 entre deux femmes, cest celle den dessous qui a la meilleur vue. Je lui laisse donc profiter de ça.
Je place donc mon entre-jambes au-dessus de son visage. Elle regarde un moment, semble profiter du panorama, puis membrasse, timidement dabord et bientôt je sens sa langue qui balaie mon intimité, maladroite dabord, puis essayant surement de se concentrer sur ce qui lui ferait plaisir à elle, elle améliore sa technique. Ses mains ont agrippé mes fesses, et elle léchouille avec application, abnégation même. Pour son premier cunnilingus, je dois dire quelle nest pas si mauvaise que ça, ma contrôleuse fiscale. Je me penche à mon tour sur elle, écarte ses cuisses, hume à nouveau son intimité et mimprègne de ses fluides corporels (jadore ça !). Ma langue entre à nouveau en action.
De son côté elle a pris le rythme. Je ne vais pas tenir longtemps à ce compte-là.
Je tente une dernière expérience. Ma bouche glisse vers son petit trou, que je titille du bout de la langue. Elle accepte la caresse. Je menhardis en mouillant mon index avec sa cyprine, puis en le glissant dans ma bouche, avant denfoncer une phalange dans son illet. Je commence un léger va et viens et en profite pour entrer entièrement mon doigt. Elle réagit par un « aaaahhh ah ah » .
Lindex et le majeur de ma main gauche trouve louverture de son vagin. Je me tortille pour glisser ma langue sur son clitoris.
Dans un premier temps surprise par le doigt dans son fondement, elle avait arrêté de me lécher. Elle reprend son ouvrage. Je vais partir, je le sens. Des vagues de plaisir balayent mon ventre. Je jouis en criant. Cela fait de leffet également à Céline qui agrippe encore plus fort mes fesses, y incrustant ses ongles. Je pense que ça lexcite et que ça la rend fière davoir réussi à me faire jouir et vu les cris que jai poussé, de mavoir fait jouir de la sorte.
Jai repris mon labeur, que javais temporairement arrêté quand je métais laissée aller. Pour la seconde fois, elle prend son pied avant de sécrouler repue, les bras en croix.
Je me retourne et approche ma bouche de la sienne. Je passe ma langue sur ses lèvres. Elles ont le gout de ma mouille. Elle fait de même, semble apprécier, le bout de nos langues se titillent.
Nous nous écartons enfin lune de lautre. Elle me regarde les larmes aux yeux et me dit :
- Merci, merci
.
- Allons, allons, ce nest rien !
- Jen avais tellement envie depuis si longtemps. Je ne lavais jamais fait. Jamais eu loccasion, jamais osé provoquer loccasion surtout. Merci, merci.
- Ça restera un bon souvenir alors. Et si tu veux recommencer, ce nest pas difficile tu sais. Pour trouver des partenaires, il y a internet et les annonces. En prenant quelques précautions cest sans risque. A toi de voir si tu as envie dautres aventures de ce genre-là !
Voilà comment je me suis envoyée ma contrôleuse fiscale. Il ny a jamais eu de suite, je nai jamais reçu de redressement.
Si un jour jai besoin de quoi que ce soit aux impôts, je demanderai Céline ! Ca cest sûr !
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