Laura 4

Un beau jour, je me rendis à une soirée organisée par un ami. Tout se passait très bien, la fête battait son plein, quand soudain, j’aperçus une fille que je connaissais bien : Laura, une superbe maghrébine. Je l’avais déjà rencontrée à plusieurs reprises, et m’était à chaque fois envoyé en l’air avec elle. Elle était vêtue d’une robe rouge incendiaire, qui dévoilait largement son corps de gazelle, et notamment sa belle poitrine (90C), et son fessier alléchant. Elle me vit aussi, et me fit un signe de la main. Seulement, avant que j’aie pu la rejoindre, elle monta à l’étage. Comme j’avais envie de lui parler (et peut être plus…), je montai à l’étage à mon tour. Il n’y avait personne, et toutes les lumières étaient éteintes. Je m’avançai sur le palier, me demandant où était passée Laura. Soudain, elle surgit derrière moi, de me saisissant par les épaules, me retourna de force. Elle m’embrassa comme une folle, et surpris, je lui rendis son baiser du mieux que je pus, mais c’était clairement elle qui donnait le ton. Elle me poussa jusqu’à me faire entrer dans la salle de bain. Elle alluma la lumière, et ferma la porte à clé.

« T’es à moi ce soir, beau gosse ! Lança-t-elle. »

Elle vint droit sur moi, m’embrassa sensuellement un bref instant, avant de se mettre à genoux devant moi, et de me retirer mon pantalon et caleçon. Elle prit ma bite en main, et me branla vigoureusement, me la secouant à fond, me massant régulièrement le haut du sexe, me faisant trembler de plaisir. Elle me prit ensuite en bouche, et se mit à me sucer comme une folle, me pompant à fond, ne s’arrêtant que pour me branler, ou me lécher les boules avec force. Je ne tardai pas à gémir à pleine voix, et je sentais le plaisir monter dangereusement en moi. Encouragée par mes cris, elle redoubla d’ardeur, me suçant à un rythme effréné, inondant de salive ma verge. Je tus m’agripper très fort au lavabo pour ne pas jouir. « Laura, arrête je t’en prie ! Je vais jouir ! »

Elle me fit un sourire provocateur, et en me regardant bien droit dans les yeux, elle se mit à me branler à fond.

« J’ai ta bite dans les mains, je fais de toi ce que je veux, c’est moi qui dirige ton plaisir... »

Je réagis aussitôt. Je me penchai, saisis le poignet de Laura, j’interrompis sa branlette. Je l’obligeai à se relever, et la soulevant, je la plaquai contre le lavabo. Je vins derrière elle, et relevant sa robe, et retirant son shorty, je la pénétrai d’un coup sec. Je la pris en levrette comme un fou, la baisant avec une vigueur décuplée par l’excitation. Je claquai ses fesses, tout en la tenant par la nuque, et l’obligeant à se regarder dans le miroir, pendant que je la malmenais. J’accélérai le rythme, allant très fort et très puissamment en elle, lui faisant perdre la tête, autant qu’elle me l’avait fait perdre tout à l’heure. « Arrête, stoop c’est trop bon ! » cria-t-elle, mais implacable, je poursuivis ma baise vigoureuse, frissonnant de plaisir de la tête aux pieds. Je lui saisis les cheveux, et l’obligeai à me regarder tout en lui donnant des coups de rein circulaires qui la firent gémir en continu. « La prochaine fois, tu essaieras pas de diriger, sauf si je te laisse faire », et pour appuyer mes propos, je lui administrai de plus gros coups de reins puissants, allant moins vite, mais plus profond. Je prenais possession de son corps, allant loin en elle, et saisissant ses seins à pleine mains à travers sa robe. Je lui administrai ensuite une série de coups de reins rapides, la mitraillant littéralement, et Laura poussa un véritable hurlement. Son corps se raidit, elle fut secouée d’un terrible orgasme, qui la laissa sonnée.

J’étais satisfait, mais pas encore comblé. Je la soulevai, et la mis à genoux devant moi, avant de lui placer mon sexe juste devant son décolleté et de lui ordonner : « branle moi ! » Elle s’exécuta docilement, me secouant le sexe en me regardant dans les yeux avec un sourire coquin. Elle se mit à accélérer le mouvement, me faisant frémir de plaisir, avant de me prendre en bouche, et de commencer une vigoureuse fellation. Désirant garder le contrôle, je lui saisis la nuque, et dirigeai le rythme de la fellation, baisant sa bouche comme un fou, jusqu’à exploser dans un délicieux orgasme. Je jouis dans sa bouche, puis sur son visage et enfin son décolleté.