La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 831)
Mary au château Suite de l'épisode N°735 -
Marie la cuisinière continua :
- Tu t'exprimerais ouvertement, je n'aurai pas répondu favorablement à ta requête et je t'aurais punie pour avoir osé parler sans autorisation. De plus, tu n'as pas à choisir ce que tu veux, puisque ton seul désir est de satisfaire les Exigences du Maître et les personnes à qui Il délègue l'éducation du Cheptel de Son Château, en l'occurrence l'ensemble du personnel comme Walter ou moi, mais aussi toutes les personnes de passages. J'ai bien compris ta motivation à trouver ta place sous le toit du Maître, Monsieur le Marquis d'Evans. Par conséquence, j'ai bien envie de t'offrir un cadeau de bienvenue et de me faire un plaisir de te rougir plus ton cul qui est encore bien pâle, la chienne.
La cuisinière se tourna, ensuite, vers Walter qui écoutait la conversation sans écouter. Il était comme hypnotisé par la scène car machinalement, il avait sorti sa verge déjà un peu dressée pour calmer son début d'érection. Mais l'effet produit était plutôt le contraire. Marie enleva son pieds qui formait un étau provisoire sur la tête de la soumise. Elle attrapa une poignée de ses cheveux bruns. Tout en tenant encore la laisse fermement, elle l'obligea à regarder en direction de Walter. Puis elle s'adressa de nouveau à elle :
- Regarde dans quel état tu mets aussi mon ami le Majordome. On dirait un mannequin de cire sorti tout droit du Musée Grévin à Paris.
Puis, en faisant claquer ses doigts sous le nez de Walter, elle ajouta :
- Ohé l'ami (ce qui lui fit faire un petit sursaut de surprise), ce n'est pas ton habitude de t'astiquer comme çà devant une esclave, et c'est plutôt leur travail de te soulager.
Walter secoua vivement sa tête et repris ses esprits. Il s'empressa de répondre :
- Je ne sais pas ce qui me prend en effet, comme tu étais occupée avec cette petite chienne de femelle, je ne pouvais pas attendre, c'était plus fort que moi.
Et empoignant la base de la laisse de Mary, il tira dessus pour l'approcher de façon à ce que sa tête soit à hauteur de son sexe dressé. Cela étrangla légèrement la gorge, suffisamment pour que la soumise ouvrit la bouche. Walter ajouta :
- La preuve, je lui laisse profiter de mon sucre d'orge"...
Et mettant des actes à ses paroles, dans la foulée il fait pénétrer le gland violacé de sa grosse verge dans la bouche de la soumise avant de s'enfoncer plus profondément. Même si le membre n'est pas entré totalement, elle suffoque et cherche à reprendre son souffle. Walter lui maintint de ses deux mains sa tête et impose son rythme en faisant des vas-et-viens dans la bouche de Mary qui s'ouvre au fur et à mesure que sa queue grossisse encore plus en volume. Il la baise oralement ainsi à différentes cadences. Tantôt il sort complètement pour que la belle brune reprenne un peu de souffle avant de replonger profondément. Tantôt il joue avec son gland à l'entrée de la bouche. On peut entendre des râles et des soupirs sûrement de satisfaction. La belle soumise n'est pas habituée à faire des fellations tel un pantin, et après que sa bouche et sa gorge se fussent habituées, elle se laisse docilement aller à la cadence imposé. Elle découvre que c'est en fait simple de ne penser à rien d'autre que d'obéir, de satisfaire les envies d'une personne qui passent avant les siennes... Un bien-être circule dans son corps et elle sent son bas-ventre s'humidifier...
Soudain, Mary sentit un coup sec sur sa croupe, car par pure surprise, elle mordit involontairement et légèrement la queue de Walter qui rentrait dans sa bouche à ce moment par un léger coup de mâchoire qui referma un peu les dents. Surpris à son tour, sans un mot, le Majordome retira sèchement sa verge et donna une paire de gifles à la soumise pour qu'elle comprenne qu'il n'avait pas apprécié sa réaction.
Il devait rougir au fur et à mesure car elle sentait chauffer. Elle veillait à ne pas mordre de nouveau le volumineux et raide membre du Majordome mais resserrait ses lèvres autour ce qui avait pour effet de le faire encore plus grossir. Et Marie la cuisinière lui disait avec perversité :
- Suce petite chienne, suce la grosse bite de Walter... C'est la première que tu prends ainsi sans en prendre toi-même les rênes, n'est-ce pas ? Je te rappelle que tu n'es pas chez toi et tu ne portes pas la culotte comme chez toi où ton mari de laisse tenir son manche
Mary en l'entendant, pensa que oui, chez elle s'est souvent elle qui prend les "commandes" quand elle taille une pipe à son mari. Lui se laissait aller, passivement, la laissait décider et dans un sens elle était un peu soumise tandis qu'elle répondait à ses envies. Mais ce qu'elle souhaitait c'est se laisser aussi diriger, ne pas décider... Et c'est ce qu'il se passait à cet instant-là, alors que Walter baisait sa bouche et la cuisinière lui tannait le cul avec sa cravache... Elle ressentait à la fois une douleur, et un bien-être. Elle se sentait bien mentalement et bien sûr tout cela l'excitait.
(A suivre
)
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