Escapade En Novembre, Suite De Mes Aventures D'Halloween...
Suite à ma petite escapade dHalloween, je nai plus que ça en tête. Les derniers mots de mon hôte raisonnent dans ma tête : « Peut-être une autre fois. Vous savez où me trouver. »
Rapidement, je ny tiens plus. Je commence à échafauder un plan. Je sais que Françoise récupère sa fille à la sortie de lécole. Je lai déjà vu, les rares fois où je peux moi-même aller chercher les miennes. Jai loccasion de me libérer plus tôt un mardi soir et je nen dis rien à ma femme. Au lieu de rentrer directement à la maison, je me gare non loin de chez Françoise, dans une rue par laquelle ma femme na strictement aucune raison de passer. Françoise est certes une « voisine » mais pas directe. On habite assez loin pour que les risques de rencontre soient très faibles, négligeables même.
Malgré toutes ces précautions, je ne peux mempêcher davoir le cur qui bat et dêtre un peu anxieux quand je me lance. Après tout, je nai pas pu prévenir Françoise, je ne sais même pas si elle pourra me recevoir. Quant à savoir si elle le voudra
Pour le savoir, il faut bien tenter. Jarrive donc quelques temps après lheure de sortie des élèves. Jattends un peu pour être sûr quelle ait le temps de rentrer et je me dirige vers sa maison.
Je sonne et mimpatiente déjà. Jai limpression dêtre exposé. Que dire à ma femme si elle me voit ici ? Françoise met un peu de temps à ouvrir, je manque de partir en courant quand la porte souvre enfin.
_ Bonjour. Ah ! Cest vous ? Quest-ce que vous faites là ?
_ Bonjour. Et bien la dernière fois, jai cru comprendre que vous ne verriez pas dinconvénient à ce que je revienne alors me voilà. Mais si je me suis trompé ou si vous êtes occupée aujourdhui, je pourrais comprendre, hein.
_ Si vous voyiez votre tête ! Vous avez lair totalement décontenancé. Cest trop mignon.
_ Cest que je nai pas vraiment lhabitude
_ Allez, entrez mais ne faites pas de bruit. Montez par lescalier et prenez la première porte à droite, attendez-moi là, je vais moccuper de ma fille.
Jobtempère, le cur battant plus vite que jamais. Jentends Françoise dire à sa fille quelle a une migraine et quelle va se coucher, quelle ne veut pas être dérangée. Pendant ce temps-là, jouvre la porte et découvre une jolie chambre bien tenue. Je nose masseoir sur le lit, jattends debout. Je ne dois pas avoir lair dêtre très à laise. En même temps, je ne le suis pas.
La porte souvre enfin, Françoise entre rapidement, ferme la porte derrière elle, tire le verrou et commence, sans un mot, à se déshabiller. Je reste coi.
_ Restez pas les bras ballants, jai des choses à faire ce soir et vous aussi je suppose. On va pas perdre de temps à discuter, vous nêtes pas là pour ça. Non ?
_ Non, non, bien sûr.
Je bafouille un peu en me déshabillant. Françoise est nue et sest assise sur le lit. Je découvre ses seins bien lourds et sa chatte, bien épilée. Elle voit que je la regarde et écarte ses jambes pour se doigter tandis que je finis de retirer mon caleçon, révélant mon sexe tendu, gonflé, près à craquer.
_ Venez par ici.
Je ne me fais pas prier et je me poste entre ses deux jambes. Elle me branle et me suce sans attendre avant de sarrêter.
_ Je vous ai déjà bu la dernière fois, mais là, jen veux plus, je vous préviens.
Elle ouvre un tiroir de la table de chevet et sort quelques préservatifs pour men enfiler un. Vue la vitesse à laquelle elle procède, elle est habituée. Elle se recule sur le lit, sallonge et minvite à venir sur elle. Je me penche, jembrasse son ventre en caressant son pubis. Je nose lui lécher ce sexe qui mattire tant. Je remonte à la place pour lécher ses tétons. Je sens sa main prendre mon sexe et le guider vers sa fente. Je la pénètre rapidement. Ne me contrôlant plus, je la baise à grand coups de reins rapides. Elle gémit, je la sens mouiller. Sa chatte est serrée, elle passe ses jambes autour de ma taille et donne elle aussi des coups de reins en rythme.
Le plaisir monte beaucoup trop vite et jéjacule.
_ Hé ! bien ! Cétait du rapide !
_ Un peu trop ?
_ Vous pouvez le dire.
_ Je suis désolé, ce nest pas comme ça dhabitude, mais jétais tellement excité. Cétait un peu ma première fois
Elle récupère quelque chose dans son tiroir. Je ne vois pas quoi mais je nose men inquiéter. Elle me prend les mains et, trop rapidement pour que je puisse réagir, me passe des menottes. Jessaie de me dégager mais elle est mieux placée que moi et je nai pas le temps de me relever que je suis attaché au lit.
_ Quest-ce que vous faites ?!
_ Désolée, mais je nai pas eu mon compte. Vous ne partirez pas dici tant que ce ne sera pas le cas.
Elle retire ma capote et commence à lécher mon sexe. Le nettoyant de mon foutre et le prenant en bouche avec la gourmandise que je lui connais déjà. Elle me suce et le fait bien. Je suis partagé entre excitation, crainte, remords
Je me demande si je vais pouvoir rentrer à temps à la maison. En même temps, je nai pas tenu assez longtemps pour que ça cause problème pour linstant. A tous mes sentiments se rajoute un peu de honte pour ma piètre prestation.
Malgré tout cela, ma queue commence à raidir à nouveau. La bougresse sait y faire. Nouvelle capote et madame me chevauche en me faisant face. Je vois ses lourds seins et sa chatte bien lisse ce qui mexcite encore plus. Je regrette amèrement de ne pouvoir lui prendre la poitrine, de ne pouvoir la caresser.
Elle reprend ma queue, sempale dessus et commence un va-et-vient lent et ample. Elle contrôle les choses, mempêche daller trop vite. Elle ferme les yeux et commence à véritablement prendre du plaisir. Je reprends confiance en moi gère mon propre plaisir, métonnant moi-même de ma prestation.
Françoise va de plus en plus vite. Parfois, elle se penche sur moi, me donnant ses seins à sucer. Assez rapidement, elle jouit.
Je commence à donner des coups de queue. Elle me laisse faire, me rendant un peu de liberté comme je lui procure du plaisir. Elle aura finalement un deuxième puis un troisième orgasme avant que je décharge mon foutre dans sa chatte trempée.
Françoise seffondre sur moi, membrasse goulument.
_ Hmmm
Cétait bien mieux, non ?
Je ne réponds pas, ne sachant quoi dire. Françoise ne me libère pas mais se lève, va chercher une serviette. Elle messuie, me retire le préservatif, me lèche la queue pour la nettoyer et me rends finalement la liberté.
Je suis alors parti rapidement et en silence, satisfait mais avec la crainte de me faire prendre par ma femme au retour. Autant dire que jai intérêt à prendre une douche rapidement en rentrant
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!