Les Aventures Sexuelles D'Aliénor - Marie, Le Grand Amour 3/3
Rene par son nouvel amour Marie est arrivée deuxième dans toutes les matières, précédée par Aliénor qui avait un véritable don. Les mois passèrent ainsi tranquillement. Marie avait refait toute sa garde robe et avait pris confiance en elle. Mais un soir alors quelle se déshabillaient en même temps Aliénor remarquait que le soutient gorge de sa compagne semblait trop petit pour elle. Marie répond alors
« Cest un 105 E mais il commence à me serrer depuis quelque temps.
Il faut que tu prennes une taille plus grande.
Tu penses.
Oui. Je me rappelle de ce soutient. Tu la depuis quon est ensemble et il tallait bien avant.
Oui. Le problème cest que ma poitrine grossit encore. Ca faisait cinq ans que jachetais du bonnet E.
Comment ça se fait ?
Je ne sais pas. Mes seins ont commencés à pousser quand javais 11 ans, à 15 ans javais déjà un bonnet C. A 16 ans je passais au D et à 18 le bonnet E.
Effectivement. Je les mate pourtant pas mal mais je suis passée complètement à côté. En tout cas ça ne me dérange pas du tout que tu ais des seins plus gros, au contraire.»
Lannée terminée Aliénor décidait demmener sa compagne à Montbazac. Elle voulait présenter Marie à sa famille. Quelques sous-vêtements, shorts et t-shirts jetés dans deux sacs à dos. Aliénor prenait le guidon de la Voxan. Marie accrochée derrière elle, elle prend la direction du Sud-Ouest. Cétait la première fois quAliénor allait faire un aussi long trajet avec sa moto. Près de 800 km, aussi dormirent elles une nuit à mi-chemin.
Marie était enchantée en arrivant en Aquitaine, elle tombait tout de suite sous le charme de la région, très différente de sa tendre Bretagne natale.
Au bruit de la moto dans la cours la porte du château souvre. Hugues, le père, Christine la mère, Henri le frère et Bérénice la sur sortent accueillir les deux jeunes femmes. Marie intimidée sent la main dAliénor se glisser dans la sienne.
Aliénor fait visiter à sa compagne le vieux château des Montbazac qui navait pratiquement pas bougé depuis sa construction en 1240. Il avait résisté à tout de la guerre de Cent Ans à la Seconde Guerre Mondiale. Fatigué par le temps, un peu usé, aujourdhui il coulait une retraite paisible. Il avait été construit par Aliénor de Montbazac la fille unique de Philippe de Cognac et de Falconbridge, lunique fils naturel de Richard Cur de Lion, lui-même fils dHenri II Plantagenêt et de la Grande Aliénor dAquitaine. Orpheline de père assez jeune et sans grande fortune Aliénor de Cognac avait épousée le chevalier Audran de Montbazac. Cest elle qui avait fait construire le château. Aliénor de Montbazac avait eût trois fils : Audran, les jumeaux Richard et Philippe, Aliénor descendait de lun des jumeaux. Car ils se partageaient la même femme et personnes navait jamais sût qui était le père des s. Marie était captivée par le récit dAliénor, impressionnée par la connaissance quelle avait de lhistoire du château et de sa famille. Une histoire que le dernier domestique de son grand-père lui avait raconté quand elle était et pour laquelle elle sétait passionnée. Cest dailleurs cette histoire qui lavait fait se passionner pour la matière historique et se passionner pour son aïeule la grande Aliénor dAquitaine, dont elle connaissait lhistoire sur le bout des ongles.
Elles retrouvaient les Montbazac dans la cours où ils avaient installés une grande table avec une carafe de citronnade. La conversation sengageait rapidement entre Marie et les Montbazac.
Cela faisait deux semaines que les deux jeunes femmes étaient dans le Sud-Ouest, Marie avait découvert la famille et la région de sa compagne et chaque jour elle aimait davantage la région, les Montbazac et surtout Aliénor. Elles y pensaient, mais trouvaient quil était encore tôt. Malgré quelle soit devenue homosexuelle Marie gardait de ses origines un fond de catholicisme. Pour elle un couple devait être marié. LEglise leur était interdite au grand soulagement dAliénor bouffeuse de curés comme ce bon vieux Clemenceau. Elles sétaient tant battues contre les conservateurs qui refusaient le mariage aux homosexuels pourquoi maintenant quil était enfin autorisé ne pouvaient elles pas sépouser ? Aussi en toute discrétion Marie conduite par Hugues achetait une bague de fiançailles et faisait sa demande à Aliénor dans la chapelle du château parsemée de roses au pied de lautel.
« LEglise est contre à mon grand regret. Je ne peux attendre quelle nous ouvre ses portes. Alors tant pis pour la bénédiction religieuse, nous aurons la bénédiction laïque et elle suffira à mon bonheur si tu le veux. Aliénor, Christine, Athéna de Montbazac, fille de Hugues V de Montbazac comte de Cognac et de Falconbridge, baron de Montbazac et de Christine Pelletier acceptez-vous de me prendre pour épouse ?
- Oui. Je le veux du plus profond de mon âme. Marie, Guyse, Yvonne Le Trégor, fille de Guy Le Trégor et Yvonne Edern. »
Les Montbazac et Marie préparèrent le mariage, un mariage simple. Un costume trois pièces blanc pour Aliénor et une robe blanche toute simple pour Marie. Les Montbazac et trois amis dAliénor originaires du village furent les seuls invités. Personne ou presque ne sétait malheureusement déplacé pour voir Marie convoler, sa famille avait coupée les ponts et pour ses amis cela faisait trop loin. Seul le parrain de Marie avait fait le déplacement. Même sil nétait pas favorable au mariage pour les homosexuels, lancien officier de marine était tout de même heureux de voir sa filleule se marier, être heureuse même avec une femme.
En septembre Aliénor et Marie retournaient à Paris VII mains dans la main arboraient fièrement leurs alliances. Arrivées dans le cours de léternel Arnould, elles se sont placées à leurs places habituelles. Les autres étudiants arrivent. A côté de Marie sinstalle une étudiante dont le joli ventre arrondit indiquait quelle était enceinte de quatre ou cinq mois. Marie était surprise de voir une étudiante enceinte. Aliénor nétait pas surprise outre mesure. Elles avaient 20 ans passé ce nétait pas anormal.
« Ca arrive il suffit quelle se soit pas protégée et quelle ait voulue le garder.
- Cest clair cest pas les écoles catholiques où jétais que jaurais vu ça.
- Ca te dérange ?
- Je dois tavouer que ça me choque un peu.
- Et deux filles mariées ensemble ça te dérange pas répondait Aliénor en riant. »
Le cours continue à se dérouler comme prévu, mais Marie était scotchée au ventre de létudiante qui était à côté elle. Elle était choquée, mais elle trouvait ça tellement beau, une jeune femme qui portait la vie. Une idée commençait à germer dans sa tête. Et si elle tombait enceinte. Elle avait pas finie ses études, mais elles trouveraient à se débrouiller. Par contre se posait une question essentielles comment faire un bébé quand on est lesbienne et quel père pour ces s. Un prénom se dégageait dans sa tête pour être le père de son : Henri, le frère dAliénor. Cet été il avait flashé sur elle. Pourquoi pas Henri, elle avait épousée Aliénor, mais avec un de son frère leurs deux familles seraient définitivement unies. Adopté et ayant adopté les Montbazac ça lui semblait être le meilleur choix possible. Quand au moyen il yavait la fécondation in vitro ou alors solution qui la gênait en tant quhomosexuelle, la méthode naturelle.
Marie en parle le midi à Aliénor qui est surprise que sa femme veuille être enceinte. Elles étaient lesbiennes, elles étaient jeunes (22 ans) et étaient encore étudiantes, sans savoir ce quelles allaient faire après, du moins pour Aliénor. Marie voulait devenir historienne, enseigner à la fac et être chercheuse, il fallait donc quelle aille jusquà la thèse.
Aliénor avait déjà songée à la maternité, mais pas plus que ça au contraire de Marie. Aliénor même si ce nétait pas son but absolu, voulait avoir un elle aussi mais plus tard. Aliénor était surprise par lidée de Marie. Elle pensait devenir maman dans quelques années, mais après tout pourquoi pas. Il pourrait même être amusant se disait elle quelles soient enceintes en même temps. Si lidée lui plaisait elle voulait tout de même avoir lavis de sa famille. Les Montbazac étaient réservés, ils avaient les mêmes réserves que leur fille. Et puis il fallait bien choisir le père. Hugues et Christine étaient honorés de lidée de leur belle-fille, mais ils nétaient pas sûr quHenri soit encore assez mûr. Aliénor avait elle aussi réfléchie. Elle avait pensé à Romain le frère aîné de Delphine. Malgré sa séparation avec Delphine ils étaient restés en contact. Il était beau gosse, intelligent et ouvert desprit. Hugues et sa femme ne le connaissaient pas et même sils faisaient confiance à leur fille ils auraient préférés le connaître.
Hugues et Christine décident de monter à Paris un week-end avec Henri pour en discuter avec les filles et Romain. Celui-ci sest montré charmant, tel que leur fille lavait décrit. Il acceptait dêtre le père de l dAliénor sans problèmes. Il était prêt à le reconnaître et à verser une pension, en échange il souhaitait en avoir la garde un week-end sur deux et la moitié des vacances comme le droit ly autorisait. Ce quAliénor acceptait sans problème. Hugues satisfait fixe un rendez-vous chez leur notaire en terre du Sud. Henri était prêt à reconnaître l et à ce quil porte leurs deux noms, ce que Marie voulait aussi. En revanche pour la pension, il ne pourrait lui en verser quune fois quil aurait un travail. A ce propos il révélait avoir un entretiens pour entrer dans lEcole de lAir pour devenir pilote au sein de la grande muette. En ce qui concerne le partage de la garde ne se sentant pas prêt à être père il demandait pour linstant à en être relevé, surtout sil devenait pilote. Hugues et Christine sont repartis satisfait, laissant Henri chez sa sur et belle-sur.
Bien quelle soit lesbienne Aliénor éprouvait un certain plaisir lorsquelle couchait avec Romain. Il lui faisait lamour avec délicatesse et tendresse ce quelle navait connu chez aucun mec. Marie au contraire connaissait un véritable supplice. Elle appréhendait beaucoup. Elle navait jamais été pénétrée par un homme et Henri chaud comme la braise a oublié ce détail. Pas de préliminaires il est entré directement en Marie qui à criée de douleur. Henri y allait puissamment. Il la désirait depuis si longtemps il na pas été long à éjaculer. Ils ont recommencés quelques jours plus tard. Marie souffrait toujours autant et trouvait vulgaire la façon dont les hommes prenaient les femmes. Un mois plus tard les deux jeunes femmes étaient enceintes. Henri quittait Marie le soir même où elle lui annonçait quelle était enceinte. Elle était soulagée elle allait enfin pouvoir retrouver Aliénor, qui si Romain ne lavait pas aidé serait tombée dans ses bras. Cela avait été dur, il avait toutes les qualités que lon peut attendre dun homme, tendre, suffisamment viril, serviable, intelligent, sensible, beau,
. . Romain appréciait Aliénor, mais il savait très bien quelle ne serait sous le charme quun temps, pourquoi rompre avec Marie quelle aimait vraiment. Aliénor luttait intérieurement pour résister à ses anciens démons et elle y est parvenue grâce à Romain.
Leurs grossesses se passaient bien. Quand leur ventres ont commencés à sarrondirent les autres étudiants ont étés surpris. Les réactions étaient plutôt positives. Seuls quelques rétrogrades ont trouvés le moyen de les critiquer comme ils lavaient déjà fait quand elles sétaient affichées ensemble les premières fois. Mais Aliénor et Marie sen fichaient, elles saimaient. Les Montbazac avaient bien acceptés leur relation et leurs amis respectifs aussi. Et ceux qui napprouvaient pas fermaient leur gueule avec Aliénor prête à tout instant monter au créneau et à sortir sa batte de baseball. Elle ne cherchait pas les histoires, mais elle se défendait. Elle sétait toujours battue même gamine. Comme son ancêtre elle était fière et susceptible. Quand on la provoque elle répond, les coups tombent et cabossent. Musclée de nature elle a fait de la boxe, anglaise et française, tout en apprenant lescrime et à monter à cheval pour ressembler davantage à son aïeule dont elle semblait avoir les traits. Depuis que le vieux domestique de Montbazac lui avait raconté lhistoire de sa famille elle sétait prise de passion pour la grande duchesse. Elle avait lu et vu tout ce qui était possible sur elle. Souvent son caractère volcanique lui avait joué des tours, mais avec lâge elle était devenue plus diplomate, mais elle nhésitait pas à se défendre. Sa compagne cétait accommodée de son caractère chaud, sa tête de mule, son côté grande gueule, comme toute bonne fille du Sud. Mais Aliénor était surtout ardente comme la braise. Depuis quelles étaient enceintes leurs libido sétait accrue. Si certaines femmes vivaient mal leur grossesse, déprimaient, étaient malades ce nétait pas leur cas. La seule chose qui préoccupait Marie cétait quelle prenait beaucoup de poids. Malgré son gros ventre et ses kilos Aliénor regardait toujours Marie avec envie.
Même si elles étaient enceintes Aliénor et Marie continuaient à faire lamour. Aliénor et Marie étaient désormais enceintes six mois il leur devenait difficile de coucher leur ventre les gênaient de plus en plus. Mais elles voulaient le faire jusquau bout. Aliénor était contente ses seins avaient grossis, elle aurait bien voulu quils restent comme ça après son accouchement. Ceux de Marie étaient devenus énormes, elle avait dût prendre des soutien-gorges deux tailles au dessus. Et selon leur gynécologue ses seins devaient encore grossir pour préparer lallaitement. Aliénor navait pris que 10 kilos, Marie avait en revanche pris 20 kilos en 6 mois et désespérait à chaque fois quelle se voyait dans un miroir. Les yeux dAliénor brillaient pourtant toujours du même désir.
Vendredi soir, les cours étaient finis, Aliénor et Marie étaient épuisées. Il leur fallait porter un ventre qui ne cessait de salourdir en plus de leurs affaires. En rentrant elles posent leurs sacs et sassoient sur le lit après avoir monté les six étages sans ascenseur de leur immeuble.
« Ca devient de plus en plus dur.
- Oui. Viens on va prendre une douche ça va te faire du bien, répond Aliénor. Joignant le geste à la parole elle commence à déshabiller Marie tout en lembrassant.
- Tu es sûre quon va aller se laver comme ça ?! reprend Marie amusée. »
Le pull de Marie tombe à terre, alors à son tour elle commence à enlever les vêtements de sa compagne. Sous le pull se trouvait un joli soutient gorge rouge qui laissait entrevoir deux superbes seins de femme enceinte. Le soutien acheté il ya seulement deux mois semble déjà trop petit pour les deux superbes seins qui rebondis sur le haut. A son tour celui daliéner tombe dévoilant de beaux seins qui avaient pris une taille. Aliénor était contente davoir des seins plus gros même, elle aurait bien voulu quils soient encore un peu plus gros. A la fin de la grossesse ce serait sans doute le cas, mais une fois quelle aurait fini dallaiter ils allaient retrouver la taille quils avaient avant la grossesse. Les seins dAliénor étaient plus petits (ils étaient passés de 80A avant Delphine, à la fin de sa grossesse elle sera à généreux 85D, une progression énorme) mais Marie les aimait bien. Elle adorait jouer avec, tout en faisant attention à ne pas faire sortir le lait quils contenaient. La culotte dAliénor, dernier rempart de tissus tombait à son tour. Marie commençait à caresser le ventre rond de sa femme resté debout. Embrassant le ventre de celle-ci et de le lécher doucement, avant quAliénor ne laide à se relever pour quelles sembrassent, ce qui leur était difficile avec leurs deux ventres de femmes enceintes de 6 mois. Doucement Aliénor se baisse et embrasse les seins de Marie. Plus ils grossissaient plus Aliénor les aimait. Elle commence à les lécher, sur le dessus, le dessous, laréole qui sétait élargie et le téton déjà dur. Douce elle suce les deux seins un long moment avant de descendre sur lénorme ventre que Marie portait. Elles étaient tombées enceintes en même temps et pourtant le ventre de Marie était bien plus gros. Aliénor navait jamais pensé que cela puisse être aussi agréable de toucher le ventre dune femme enceinte. Arrivée sur le bas elle fait se coucher Marie sur le lit, elle ne pouvait descendre plus bas, gênée par les ventres. Une fois sur le dos Marie sentais la langue dAliénor se poser sur ses lèvres avant de faire pénétrer son doigt dans la caverne aux merveilles. Elle était si douce ce soir là. Depuis quelles étaient ensemble Marie sépilait intégralement laissant voir deux superbes lèvres qui nattendaient que le contact de la peau dAliénor. Aliénor fait doucement passer sa langue sur les lèvres avant de la faire pénétrer dans la chambre intime de Marie qui soupirait de bonheur aux caresses de son amante. Aliénor continue à jouer avec sa langue pendant de longues minutes, avant daccélérer tout doucement le rythme. Prenant dune main un sein de Marie elle commence à tripoter ce sein qui avait doublé de volume depuis le début de la grossesse (passer dun 95F à un 100I). Aliénor allait regretter aussi que Marie accouche, elle adorait la taille des seins de sa maîtresse. La respiration de Marie saccélère sous les coups de langue et le tripotage intensif dAliénor. Aliénor après une accélération tout en douceur se donnait maintenant à fonds. Marie se cabrait malgré son ventre qui la gênait dans ses mouvements. Elle aurait voulu pouvoir avec ses mains appuyer la tête dAliénor sur son sexe comme dhabitude, mais son ventre ne lui permettait plus. Aliénor le sentit et appuie encore davantage son visage contre le sexe de sa femme. Son sexe se contractait, de plus en plus fort, elle sentait monter le plaisir, ça venait, elle allait lavoir
un cris de bonheur séchappait. Marie était emplie de bonheur. Aliénor retire doucement sa langue pour remonter et embrasser Marie ce quelle avait le plus grand mal à faire avec leur deux ventres arrondit de 6 mois. Elle y arrive malgré tout. Elle passe au dessus de Marie et se positionne au dessus de son visage. Marie effleure alors de sa langue le sexe parfaitement rasée de sa maîtresse. Marie nen pouvait plus dattendre elle était assoiffée de sexe. Depuis quelle était enceinte Marie avait encore plus souvent envie de faire lamour. Mais à 6 mois de grossesse elle avait du mal à bouger. Elle était enceinte du même nombre de mois mais son ventre était beaucoup plus gros que celui de sa femme. Marie devait se contenter de rester sur le dos tout le long de leur étreinte. Aliénor aussi commençait à avoir du mal à bouger pour faire lamour, bientôt elles ne pourraient plus faire lamour. Marie se met à lécher frénétiquement les deux lèvres dAliénor lui faisait pousser de grands soupirs. « Oui vas y chérie cest bon, lèche moi, lèche moi, plus fort, vas y cest bonnnnn. ». Tout en prenant du plaisir elle avait repris dans ses mains les seins de Marie, qui attrapait les siens, dont elle aimait le nouveau volume. Sous la pression des doigts dAliénor qui lui donnait du plaisir Marie accélère et appuie plus sa langue sur les parties intimes de sa compagne. Aliénor sentait monter lorgasme ses mains se crispaient sur les seins de Marie ivre de bonheur. Elle le sentait il venait il allait exploser
ça yest. Aliénor nen pouvait plus elle inondait la bouche de sa femme de cyprine. Elle reste encore quelques instant comme ça, avant de se positionner à côté de sa maîtresse radieuse elle aussi. Aliénor embrasse Marie langoureusement avant de sendormirent et de recommencer quelques heures plus tard et le restant du week-end. Aliénor ne se souvenait pas quelles aient jamais autant fait lamour depuis quelles étaient en couple.
Deux mois plus tard elles décident de quitter leur studio parisien pour sinstaller dans le Sud-Ouest et attendre leur délivrance comme on disait au Moyen Age. Aliénor et Marie sont enceintes de 8 mois et peuvent quasiment accoucher dun moment à lautre. Pour descendre elles utilisent la vieille C5 breack dHugues qui malgré sa taille avait du mal à contenir toutes leurs affaires et celles des futurs bébés. Aliénor prenait le volant malgré son ventre qui la gênait, et les 15 kg quelle avait pris. Marie qui navait pas le permis et trop gênée par son ventre regardait le paysage quelle commençait à bien connaître. Si sa grossesse cétait bien passée les dernières semaines avaient été difficiles. Marie avait pris 30kg durant sa grossesse, son ventre lui pesait, elle se sentait essoufflée. Le voyage a duré trois jours. Bien que la C5 soit confortable elles ne pouvaient faire trop de route dans la journée. Heureusement leur grossesse cétait bien passée, elle navait eût aucun soucis lune lautre. Il leur restait un mois avant la date du terme, mais toutes les deux sentaient que cela allait arriver avant. Elles faisaient bien car la semaine qui suivait leur arrivée au château des cris de bébés ont retentis, pour la première fois depuis
longtemps. Toutes les deux ont accouchées le même jour, à quelques heures dintervalles. Marie donne le jour à un petit Philippe avant que six heures après Aliénor ne donne la vie à une petite Jeanne. Philippe, Richard, Henri, Hugues de Montbazac-Le Trégor et Jeanne, Aliénor, Marie, Christine de Montbazac.
Romain est descendu quelques jours plus tard aussi réjoui quHugues et Christine. Hugues était même si heureux quil a appelé sa mère Amélie avec laquelle il était brouillé depuis son mariage et tant pis si cela les fâchait encore plus. Madame Amélie de Lazus, veuve du baron Richard X de Montbazac était très conservatrice, mais il se devait de la tenir informée. Marie envoyait aussi discrètement à sa mère un faire-part.
Le temps de son congé maternité passé Marie sinscrivait à la fac de Bordeaux pour continuer ses études. Aliénor qui avait montré un instinct maternel que personnes naurait soupçonné restait au château. Elle continuait daménager la dépendance quHugues et Christine leur avait donné. Doucement elle entamait un manuscrit sur lHistoire des Montbazac depuis Aliénor. Avec ce livre Aliénor de Montbazac trouvait enfin sa voie, elle allait être écrivain.
Aliénor était épanouie par son nouveau rôle de mère malgré les quelques kilos quelle navait pas réussi à perdre après la naissance de sa fille. Mais elle avait réussi à garder sa poitrine. Tout comme Marie qui avait gardée ses seins, mais aussi 25 kilos. Ce qui nempêchait pas Aliénor de continuer à aimer Marie et à lui faire lamour toujours aussi souvent.
Cela faisait six mois maintenant quAliénor et Marie avaient accouchées. Marie allait à Bordeaux tous les jours pour continuer ses études. Lamour dune femme lui avait fait découvrir une région magnifique et attachante dont elle décidait détudier lHistoire.
Marie selon ses horaires partait en train ou en voiture à Bordeaux. Marie avait passée son permis et Christine lui avait donnée sa vieille Citroën Saxo. Après ses cours elle passait de longues heures à la bibliothèque universitaire et aux archives. Souvent Marie rentrait tard et fatiguée. Aliénor restée au château soccupait des s et écrivait, puisquelle sétait mise à écrire. Un soir Marie rentre comme chaque soir. Aliénor tenait Philippe dans ses bras lui donnant le biberon. Marie embrasse sa femme et son fils. Une fois que le petit Philippe a finit son biberon et a été couché avec Jeanne, Aliénor prend Marie dans ses bras et sasseoir sur le canapé.
« Marie jai une bonne nouvelle. Un des éditeurs que javais contacté à accepté mon projet de livre sur Montbazac et un autre à accepté ma première histoire lesbienne. Je crois que jai trouvée ma voie, lécriture.
- Cest formidable chérie, tu vas publier. Je suis fière de toi. Je suis tellement contente que tu sois reconnue.
- Oui et tous ça cest grâce à toi. Je te lais déjà dit, mais tu mas apporté ce quil me manquait, la stabilité et lamour.
- Merci mon amour. Et toi ton regard nas pas changé depuis le premier jour, alors que maintenant je suis aussi grosse quune baleine (100kg) avec ses 25kg quil me reste de la grossesse et que jarrive pas à perdre.
- Moi je te trouve très belle. Tu parles de tes kilos en trop. Jen ais encore.
- Oui 5 seulement (70 kg) et toi ils sont bien répartis partout, ça se voit à peine. Alors que moi regarde jai du ventre, mes fesses ont croirait que jai le cul dun hippopotame et mes cuisses cest les piliers de lAcropole.
- Tu exagères. Et tes seins ?
- Ils sont tout mous. On dirait une vache laitière.
- Même sils sont mous et quils tombent je les aime quand même. Tu as des rondeurs et alors, je trouve quelles te vont bien. On te sens pleinement épanouie.
- Et je le suis épanouie avec toi. Tu es sûr que je ne fais pas grosse, jai limpression.
- Je tais déjà prouvé que je taimais comme au premier jour même si tu as plus la taille fine. Et sil faut je te le prouverais encore ce soir dit Aliénor en déposant un baiser sur les lèvres de Marie. Marie se laissant faire Aliénor recommençait jusquà ce que Marie lui rende ses baisers.
- Je suis fatiguée mais je sais pas te résister.
- Parce que je suis irrésistible. »
Depuis leur accouchement Marie avait moins envie de faire lamour, mais Aliénor était toujours aussi assoiffée de sexe et venait la chercher trois à quatre fois par semaine. Et elles faisaient lamour, Marie ne savait pas lui résister. Aliénor et Marie mélangent leurs langues, pendant que les mains dAliénor déshabillaient doucement Marie tout en la caressant. Marie se laissait faire, Aliénor sétait mise à califourchon sur elle. Aliénor dégrafe le soutient-gorge découvrant des seins énormes à laréole large et quelle rêvait de sucer et que la fin de lallaitement avait à peine diminué (105J, un mois avant daccoucher ses seins étaient passés du I au J) Marie poitrine nue se laissait faire. Aliénor se penchait sur les seins de sa femme pour les embrasser, les lécher avant de sucer ces tétons déjà gonflés, durs, pointés vers son visage. Marie commençait à émettre de petits gémissements. Aliénor adorait les seins de sa compagne elle passe de longue minutes à soccuper deux avec sa langue et sa main. Marie nen pouvait plus elle fait signe à Aliénor de descendre. La belle aquitaine glisse le long du corps de son amante bretonne embrasse son ventre avant de défaire les boutons de son jean. Le jean enlevé elle se met à caresser du plat de la main le sexe de Marie à travers la culotte. Le morceau de tissus était déjà mouillé. Elle fait jouer sa langue dessus quelques instant avant de retirer la culotte noire. Marie était alors entièrement dilatée. Aliénor met sa tête entre les épaisses cuisses de son amante et fait glisser sa langue sur les lèvres quelques secondes augmentant les râles de Marie. Elle continue un peu avant de glisser à lintérieur et de libérer ses ardeurs. Dabord des mouvements circulaires, elle se mit à faire des vas et viens avec sa langue, le bassin de Marie remuait de plus en plus. Marie sentait quelle allait jouir rapidement, son plaisir était intense sous cette langue qui lui faisait tant de bien. Elle contracte les cuisses pour appuyer davantage le visage dAliénor. Aliénor continue ses mouvements y mettant plus de force, elle sentait le vagin se contracter
« Oui, oui, oui, vas y chérie vas y chérie cest bonnnn, encore, encore, encoreeeeeeeeee ». Le souffle court Marie sarrête en remuant doucement le bassin. Aliénor ressort, remonte pour lembrasser langoureusement. Laissant Marie reprendre ses esprits elle se laissait déshabiller pour soffrir à elle. Sous le débardeur le soutien gorge laissait entrevoir deux jolis seins. Dégrafant le soutient gorge noir à pois rouge, deux seins séchappaient. Ils navaient plus leur fermeté davant la grossesse, mais Marie sen fichait les siens nétaient pas mieux. Doucement elle se met à lécher lun titillant du bout du doigt le téton de lautre. Suçant doucement les tétons durcis, elle descend doucement vers le ventre quelle embrasse avec tendresse faisant jouer les boutons du jean dAliénor quelle descend avec lenteur, dévoilant une culotte assortie au soutient gorge. Le pantalon enlevé elle passe sa langue sur la culotte avant de la descendre pour faire entrer sa langue et commencer son doux mouvement de va et viens. Augmentant la rapidité de ses mouvements avec lenteur faisant gémir Aliénor qui mouillait doucement avant de presque crier quand Marie allait à fond. Au bout de quelques secondes de ce traitement elle sent sa femme se cabrer, Aliénor allait jouir. Aliénor jouissait dun orgasme long. Au bout de quelques minutes Aliénor décide de se venger en faisant se mettre Marie au dessus de son visage. Ecartant les cuisses Marie vint se positionner au dessus du visage de sa femme qui commença par de longs mouvements sur les lèvres, avant de passer entre et de continuer à faire de long mouvements ample, faisant gémir Marie. Les mains dAliénor passèrent des jolies fesses rebondies de sa maîtresse à ses énormes seins quelle commence à malaxer. Aliénor prenait un plaisir fou avec les seins de Marie. Elle avait appris à provoquer des orgasmes uniquement en jouant avec. Marie à son tour prend les seins dAliénor. Elle les avait trouvés jolis la première fois, mais maintenant même sils tombent un peu, leur volume lui plaisait davantage. Elle ne comprenait pas pourquoi, mais ce soir Aliénor lui semblait particulièrement excité, ses coups de langue lenvoyait au nirvana, tour à tour rapides, lents, légers, appuyés, précis, amples, Aliénor faisait jouer sa langue de toutes les manières quelle connaissait. Marie sentait que son plaisir allait se transformer en orgasme rapidement. Son antre déjà humide shumidifia de nouveau. Elle sentait son sexe se contracter de plus en plus fort, ça montait, elle allait jouir,
. Son orgasme avait été puissant. Elle se baisse et se met à lécher les seins dAliénor qui continu à tripoter les siens. Marie fait jouer sa langue sur les tétons, laréole, le dessous, le plat du sein par des mouvements ample ou précis, rapides ou lents, tout en faisant jouer son doigt dans le vagin de sa femme qui commençait à suffoquer de plaisir. Son sexe se contractait rapidement excité par ce doigt qui répondait à la langue. Elle prenait un plaisir fou, lorgasme déferlait sur elle comme rarement. Prenant les fesses de Marie dans ses mains tout en lembrassant en linvitant à se retourner pour se mettre en 69. Maintenant elles allaient se faire plaisir ensemble. Marie à peine le temps de se retourner quAliénor sactivait déjà sur les lèvres ressorties de sa maîtresse. Marie encore toute excité se met à lécher frénétiquement sa compagne, faisant pénétrer sa langue tout en suffoquant sous les assauts de langue dAliénor transformée en furie. Aliénor navait jamais lécher Marie comme ça, elle était assoiffée de son sexe. Aliénor la léchait à une vitesse incroyable sur toutes les parties de son vagin. Marie nen pouvait plus, elle sétait arrêté de lécher Aliénor tellement son plaisir était intense. Aliénor sentait la cyprine couler de nouveau sur sa langue, Marie allait jouir, elle sentait son sexe se contracter, son souffle court
Marie explosait, elle mouillait comme jamais elle navait mouillée, cétait son plus bel orgasme. Marie se retourne embrasse Aliénor qui la prend dans ses bras. Si Marie était épuisée Aliénor ne létait pas et demande à Marie de la finir au doigt. Marie malgré sa fatigue fait entrer son doigt et en douceur provoque un nouvel orgasme à son amante si intense quelle aussi rendait les armes sendormant contre sa femme.
Aliénor commence à écrire son livre sur lhistoire des Montbazac, étant bien occupée toute la journée avec leurs bébés, elle travaille le soir, cherchant les informations dont elle à besoin dans les archives du château. Après de longs mois de recherches Aliénor aura enfin à sa disposition le matériel intellectuel dont elle à besoin pour écrire son livre. Heureusement pour elles Hugues et Christine les aidaient. Car malgré sa bourse de thèse et les allocations quelles touchaient, elles navaient pas assez pour vivre. Finalement après un an de travail Aliénor envoi son texte à léditeur.
Le livre sur les Montbazac connaît un certains succès chez les historiens et en particuliers les médiévistes. Son livre va même dépasser les frontières du monde fermé des historiens avec la vente dune dizaine de milliers dexemplaires auprès du grand public. Ce succès la pousse à continuer dans la veine historique. Elle se lance donc dans le roman historique avec succès, en parallèle de ses romans érotico-lesbiens qui eux aussi rencontrent un certain succès. De son côté Marie terminera sa thèse sur les relations entre lAquitaine et la Bretagne. Pour cela elle avait du passer une semaine en Bretagne afin de récolter le plus dinformations possibles dans les archives bretonnes. Sa thèse terminée et réussie Marie décide de se consacrer à ce qui était devenu un problème pour elle, sa poitrine.
Ses seins navaient pas cessés de grossir depuis ladolescence. Lors de sa rencontre avec Aliénor voilà 7 ans, sa poitrine faisait un joli 105 E, très vite passée à un F, juste avant daccoucher elle était passée à un 105J. Alors que son fils fêtait ses 2 ans, elle avait du changer la taille de ses soutient-gorges J pour des bonnets K. Leur croissance avait ralenti, mais daprès son médecin ils allaient encore sans doute prendre du volume. Effectivement trois ans plus tard elle changeait à nouveau de taille de soutient pour des modèles de tailles L. Marie était gênée dans son quotidien par sa poitrine et si pour linstant elle ne se faisait pas opérer dune réduction mammaire, cétait uniquement pour Aliénor qui était folle de joie davoir à soccuper de tels seins lorsquelles faisaient lamour. Mais Marie avait tout de même prévenu Aliénor que sils continuaient à prendre du volume elle se ferait opérer pour quils reviennent à la taille quils avaient au moment de la naissance de son fils. Ou sils finissaient par ne plus grossir, les garder tels quils étaient quelques années. Aliénor acceptait. Finalement après avoir atteint la taille exceptionnelle de 105M la poitrine de Marie sétait arrêtée de prendre de lampleur. Durant 10 ans elle va garder sa poitrine généreuse pour le plus grand plaisir dAliénor.
Lorsque les s auront grandi un peu Aliénor reprendra le sport pour son plus grand bonheur, escrime, équitation et natation feront partie de ses activités. Marie se remettra à la randonnée et avec Aliénor apprendra à faire du cheval.
Marie avait la vie dont elle avait toujours rêvée, avoir quelquun dans sa vie, des s, un métier qui la passionne. Elle navait jamais pensée quelle serait historienne, ni surtout quelle se marierait avec une femme. Aliénor elle aussi était heureuse elle avait enfin trouvé son équilibre, entre sa femme, ses s, sa terre de Montbazac, sa moto, sa passion pour lHistoire, lécriture et la nature.
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