Terma : Troisième Expériences Dans Un Vrai Lit :


Ma dernière aventure m’a confirmée que je suis définitivement accroché. J’aime donner mon cul, ma « terma blanche » pour de grosses queues bien bandées. J’ai observé mon derrière au miroir et j’ai même pris quelques photos avec mon portable, de dos et couché. Et effectivement, je suis content, je considère avoir un beau derrière tout blanc, large et dodu, des fesses avec un long sillon dont l’ombre interne est véritablement provocatrice. J’ai moi-même bandé en le voyant sur photo. Vous vous rendez compte, j’ai fantasmé sur mon propre cul. Il avait donc raison mon dernier amant de m’appeler « blanche terma ». J’ai donc pris l’habitude d’aller à ces WC public au moins deux fois par semaine. Ainsi j’ai pris plusieurs amants, toujours choisis par le trou de la cabine et selon la longueur et la grosseur de leur zob. Je me suis même fait un habitué, Djaffar, qui venait chaque fois et me niquait deux fois de dos et en face sur le bidet. Il avait un zob formidable et une technique qui me mettait le feu au cul. Il a toujours réussi à me faire couiner lors de la seconde sodomie. Je lui ai dit de m’appeler « Aissa » mais entre nous il préfère me désigner par « Bou Terma ». Ce sobriquet me plaisait aussi et me donnait même quelques frissons chaque fois que Djaffar l’utilisait. Il me disait : « Bou Terma, hatli zoukouk e’nikou ! hatli teremtek albaydha ! zébi e’ntartagha ! » (Bou terma, donnes moi ton cul pour le niquer ! donnes moi ta blanche terma ! zébi va l’exploser !). Devenus amis, il m'a avoué qu'il était veuf depuis dix ans, qu'il avait perdu l'envie des femmes et qu'il préférait consacrer ses plaisirs aux hommes consentants. D'après ses confidences je suis le genre qu'il préférait car j'étais encore inexpérimenté, donc presque vierge pour ces plaisirs et qu'il allait me prendre à sa charge pour mieux m’éduquer.

Il paraissait gentil et sincère. Il m'a donc persuadé de venir chez lui pour des nuits d'amour plus confortables et sans risques. J'ai donc accepté son invitation de le voir, la prochaine fois, chez lui.
Il habitait la banlieue dans un joli F3 propre et discret et c'est ainsi qu'à deux reprises nous avons passé des nuits en toute liberté et totalement nus dans son large lit pour profiter à fond de nos corps et de nos désirs. Inutile de vous dire que le plaisir que j'ai eu n'avait aucune comparaison avec mes aventures précédentes dans les toilettes publiques. Je vais vous raconter notre première sodomie dans le lit de Djaffar. Nous étions impatients, surtout moi dont la terma brulait de désir, ainsi que mon esprit d’ailleurs. Et dès que le zob de Djaffar a pris possession de mon cul, je hurlais : « nik ! nik ! el’kahba e’nta3ak ! (baises ! baises ta pute !). Je ne sais plus combien de fois je le suppliais avec ces mots dans l’ardeur de l’action. Ainsi, j’avais accepté totalement ma condition de putain pour lui et il pouvait me niquer n’importe comment et à tout moment. Quant il me pénétrait, j’ajoutais : « dakhal zebek fi teremti es’khouna ! » - (pousses zebek dans ma chaude terma) . Je criais ma joie et ma jouissance. Et, lui m’encourageait : « zidi ! zidi ! 3ayti ya kahabti ! » - (continues ! continues ! cries ô ma pute !) . Ah qu’il était loin, le temps de nos amours dans les WC publics. Dans ce grand lit confortable, nus en toute liberté, nous pouvions donner vie à tous nos fantasques. Son zob, totalement libéré des vêtements qui gênaient nos mouvements auparavant, était un obus vivant au milieu de son bas ventre. Ses poils de pubis étaient un lit douillé pour mes fesses qui s’y frottaient avec délices.
A l’intérieur de mes entrailles, sa bite glissait avec facilité et je ressentais ses doux frottements : « houk zebek ! houkou bezef ! baradli zouki ! » - (pousses ton zeb! pousses le plus fort ! apaise mon cul). En effet, la passion qui nous emportait me brulait le cul, et seul son zob et sa liqueur pouvaient m’apaiser. Je criais mon plaisir et j’étais impatient du final. Djaffar haletait et riait de mes paroles : « zebi lakhchine radek e’tghani ! » - (mon gros zob te fait chanter !) . Oui ! je chantais ma joie et dans ses coups de reins, ses allers et retours, ma terma émettait des sortes de couinements et des sifflements. Cela m’a enchanté que ma terma exprime ainsi son bonheur, son abandon à ce zob puissant qui la remplit. C’est comme ces sons qu’on faisait, quant on était gosses, avec nos mains sous nos aisselles pour nous amuser entre copains. Djaffar accélérait ses pilonnages et mon cul brulait. « ya Djaffar habibi ! tafili nari ! e’rwini b’3assel zebek ! » - (ô Djaffar mon aimé ! éteins mon feu! étanches moi avec le miel de ton zeb). Il augmenta le rythme de ses coups de reins et avoua à mon oreille: « teremtek raha tssiiil ! – (ta terma est en train de couler) « raha t’mousli fi zebi ! » - (elle me suce le zob). Je perdais de plus en plus ma conscience suite à ses coups et ses paroles hurlées dans mes oreilles. Le monde n’était plus pour moi que l’instant ou il déversera son jus dans mon fond pour éteindre mon feu. Et je lui criais : « defeg hlib qlawyk fi zouki! » (verses le lait de tes couilles dans mon cul) et lui : « zidi ya kahba 3ayti ! zidi ghani ! hahou jaaay hlibi ! hahou jaaay ! dhork ga3 n’dafgou ! » - (continues putain de crier ! continues de chanter ! mon lait arriiive ! il arriiiive ! je vais juter !) Et soudain, un torrent de sperme brulant se déversa dans mes entrailles par plusieurs jets puissants.
Djaffar, tendu à l’extrême, s’accrochait à mes hanches et se courbait sur mon dos. Son souffle rauque se joignait à mes cris de délivrance. Je poussais mon derrière sur son bas ventre pour enfoncer, si possible, encore plus son zob dans mes entrailles. Je l’entendais murmurer à mon oreille, une phrase hachée par la passion : « Ah ! ch’haal e’neyka m3aak t’habbal zébi ! » - (Ah ! combien la baise avec toi affole mon zeb). Epuisé par cette baise, je m’écroulais de tout mon corps sur le lit et j’entrainais avec moi Djaffar, qui était toujours enfoncé dans mon cul. Nous sommes restés un très long moment ainsi, couchés l’un sur l’autre, l’un dans l’autre, pour apaiser notre tension sexuelle et les battements de nos cœurs. Hélas, il fallait bien se dessouder, et quant il a sorti son zob de ma terma, elle a couiné comme tout à l’heure. Une sorte de sussions à l’envers. C’était sa manière de dire merci au gros zob de Djaffar qui vient de l’honorer, de l’arroser et de la semencier de son jus merveilleux. J’aurais bien voulu, moi aussi, sucer ce merveilleux zob et le nettoyer avec ma bouche et mes lèvres, mais j’étais épuisé et je restais couché sur le ventre, les cuisses largement écartées. Je n’ai eu aucun mouvement pour le sperme qui pulsait de mon anus et coulait entre mes fesses vers le lit. Je sentais un grand vide dans mon cul, mon anus doit être certainement largement ouvert. Je savais que mon anus reprendrait son élasticité rapidement et que j’aurais encore le plaisir de sentir d’autres pénétrations jouissantes. Y penser me donne déjà quelques frissons dans le bas ventre. Ainsi fut notre première sodomie sur son lit douillé. Djaffar s’est ensuite douché et m’a ordonné d’en faire autant juste après lui. Hélas, pour le lit, c’était trop tard, il était souillé de la semence de son propriétaire. J’aurais aimé une seconde sodomie tout de suite, sans me laver, avec le zob de Djaffar qui glisse sur son propre sperme et écouter ma terma couiner son plaisir.
Mais Djaffar a refusé gentiment, m’assurant que maintenant on avait tout le temps pour baiser à notre aise.
Par la suite, on s’est bien restauré et rapidement on s’est couchés. J’étais bien dans ses bras, au creux de sa poitrine velue. Je fantasmais sur ce tableau et je me suis endormi. Plus tard, au milieu de la nuit, Djaffar m’a réveillé pour une seconde sodomie. Moins endiablée que la première, elle nous apporta, tout de même, à tous les deux du plaisir. Il m’a beaucoup léché l’anus et le sillon des fesses, gentiment. Ma terma s’ouvrit avec facilité et plaisir à son zob. Cinq à dix minutes ont suffis, à cette sodomie paisible et tranquille, pour amener Djaffar à juter avec un souffle de satisfaction. Moi aussi j’ai eu ma part de plaisir, mais sans crier comme d’habitude. Non, c’étais une simple sodomie de délivrance d’un surplus de sperme dans les couilles de mon amant et sans retenue. Après, on s’est recouché sans nous doucher. Dans notre lit, on s’est juste essuyés avec un linge que Djaffar cachait sous l’oreiller. Et c’est ainsi que nous avons passés nos deux premières nuits. Nous faisions l'amour deux fois la nuit puis une fois le matin avant le petit déjeuner et je le quittais assez tôt vers sept heures pour prendre le bus. Presque à chacun de nos ébats sexuels, nous éprouvions l’envie et le plaisir d’exprimer à haute voix ou par chuchotements nos jouissances. C’était l’expression de notre liberté de baiser dans l’intimité et la protection d’un grand lit dans un appartement sécurisé. Pour moi, en tout cas, je me donnais à fond, je n’avais plus aucun barrage pour crier mes fantasmes et je n’hésitais pas à me défouler bruyamment. Et Djaffar était souvent étonné mais enchanté. Parfois certaines de mes expressions le déchainaient pour me niquer encore plus profondément, et il ne pouvait s’empêcher, lui aussi, de hurler son plaisir. Deux nuits de paradis et de plaisirs affolés ! Des quantités de mouille de ma terma et de sperme de Djaffar ont maculé les draps de son lit. Deux fois, nous avons été obligés de changer ces linges pollués de nos liqueurs, de nos plaisirs. Mais, à la fin, même l’odeur forte du sperme en quantité, de notre chaleur et de notre sueur devenaient, pour nous, en tout cas pour moi, complices de nos ébats, de nos plaisirs et de nos désirs. Deux nuits, pratiquement une sorte de dépucelage de ma terma, complet, physique et psychologique. Si je me suis longuement épanché sur ces deux nuits et sur nos déchainements verbaux, c’est que, pour moi, ce furent « mon » vrai dépucelage du cul, de vraies nuits de noce pour ma terma, pour mes fantasmes sexuels et pour mes désirs libérés.
A ma troisième visite chez Djaffar, je l'ai trouvé en compagnie d'un autre homme, nommé Samir par notre hôte. Je l’ai trouvé assez beau de visage et paraissait avoir mon âge mais nettement plus corpulent, plus rempli. Djaffar me l’a présenté comme un de ses vieux amis, qu'il fréquentait et baisait bien avant notre rencontre. Crûment dites, ces vérités m'ont d’abord surpris, mais juste après, la situation m’a émoussé les sens et donner des frissons d’un plaisir tout nouveau pour mes fantasmes collectifs. Je viens de rencontrer enfin, un collègue de la terma affamée, un complice de mes choix sexuels. Et, très rapidement, j'ai accepté le fait, mais avec discrétion polie. Toutefois, et certainement par complicité gay, j’ai tout de suite sympathisé avec Samir, de son petit nom Sousou.
Djaffar a certainement du parlé de moi à Sousou, car ce dernier semblait lui aussi trouver ma présence toute naturelle. Et en faisant connaissances, il m'a d'ailleurs fait la bise sur les joues, puis il m'a embrassé sensuellement sur les lèvres, puis dans la bouche. Je dois avouer qu'il savait y faire, certainement par expérience, dans ce baisé profond qui m'a ébranlé. Curieusement, mon corps a réagis à ce contact et j'ai, agréablement, constaté que mon pénis commençait, tout seul, à bander. C’est un fait inédit pour moi, car je n’avais jamais été vraiment embrassé sur la bouche, par un garçon. Certes, lors de mes sodomies au WC public, mes amants, dans le feu de la passion, effleuraient, parfois, mes lèvres mais jamais leur langue ne pénétrait ma bouche. Toutefois, la situation était très claire pour Sousou et moi Bou Terma, nous avions un amant commun, Djaffar, et nos corps et nos plaisirs étaient à sa disposition. Nous étions, comme il le disait ses « kahbaat » (putains).
Ensuite, nous avons pris, tous les trois, quelques rafraichissements. Puis, comme Djaffar avait affaire dans la cuisine, j’ai questionné, par curiosité, Sousou sur ses expériences sexuelles, car pour ma part, j'étais encore novice. Il m'a expliqué qu'il pratiquait la sodomie depuis plusieurs années, bien avant ses vingt ans, et qu'il a connu depuis lors, plus d'une centaine d'hommes de tous âges. Mais il a une préférence certaine pour Djaffar, non seulement au physique, dont il savait tirer le maximum, mais surtout par leur acceptation réciproque de liberté de choix et de fréquentations pour ce qui est de leurs partenaires sexuels.
Par la suite, notre soirée s'est totalement modifiée. Djaffar nous a invités à nous mettre, tous les trois, à poil, ce que nous firent en vitesse et dans les rires et la joie. La suite sera certainement des ébats inédits en perspective.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!