La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°836)
Histoire d'une soumission au Château - (suite de l'épisode précédent N°835)
On le détacha puis le god fut positionné et tous purent voir le mouvement furieux du bassin dOlivier vers celui-ci, seul lintromission de lobjet et le mouvement de vas et viens pouvait le calmer. Le soumis rugit quand le god rentra et brutalement commença à montrer à tous comment une chienne en chaleur se calmait. Lassemblée prit plaisir à voir la scène, Monsieur le Marquis savait organiser des soirées riches par la variété du déroulé, ainsi le soumis montra à tous sa faculté à répondre positivement à tous les stimuli. Ce soir il ny aurait peut-être plus de limite à lasservissement de ce chien soumis. Il serait sûrement empalé sur un god avec les bras attachés de part et dautres à un palan permettant de le sodomiser avec le seul poids de son corps. Mais pour linstant, ils assistaient au godage de ce chien soumis et celui-ci pour calmer le feu de longuent se godait de plus en plus vite, un râle sortait de sa bouche, il devait à tout prix se calmer et seul le frottement du god sur la paroi de son anus lui procurait un soulagement qui calmait ses démangeaisons. Le Noble souriait, il savait que ce chien réclamerait de la queue toute la soirée mais il devrait aussi lécher les chattes des Dames présentes comme un bon chienchien soumis.
Après cette sodomie du god à y être bien empalé, son cul serait souple et bien ouvert, et à la fin de la soirée le Maître prévoyait que Walter, le Majordome vienne le sodomiser avec le moule en plastique dun sexe dun des chevaux de son écurie et ceci serait le clou de la soirée mais cela Olivier ne la savait pas encore. Pour linstant il se souciait de calmer ce feu dans son anus quil sentait à lintérieur de ses entrailles, car le god dans le mouvement de vas et viens avait ramené dans son fondement longuent. Monsieur le Marquis voyant cela décida quil était temps de soccuper de la bouche du soumis, le docteur qui sétait porté volontaire pour sodomiser le soumis serait le premier à jouir dans sa bouche.
- Mon cher ami, regardez comment ce chien se sodomise mais il râle comme une truie cela me chagrine, pourriez-vous lui prendre la bouche de votre vît, je suis sûr quil mettra autant dardeur à vous sucer
Le docteur nattendait que cela, il connaissait bien Olivier pour lavoir rencontré en consultation et ce soir il allait pouvoir profiter de sa bouche. Alors sans hésiter, il dégrafa son pantalon et le gland déjà gonflé de désir se positionna sur les lèvres dOlivier, au moment où celui-ci ouvrit la bouche pour gémir sa queue sengouffra dun coup, il sentit son gland heurter le fond de la gorge du soumis, il aimait cela prendre pleinement possession. Il resta ainsi sans bouger quelques secondes puis sans ménagement il besogna la bouche offerte, sa main attrapa la chevelure dOlivier lui permettant ainsi de sengouffrer encore plus loin. Le soumis suffoquait, il sassit alors sur le god pour mieux résister au mouvement puissant de lhomme qui lui baisait la bouche, il nen revenait pas que cétait son médecin qui poussait sa queue en sa cavité buccale. Le docteur voyant quil avait été reconnu par Olivier celui-ci très excité et donc qui ne débandait pas, le docteur donc sexclama alors :
- Monsieur le Marquis regardez, je ne me suis pas trompé sur mon diagnostic, cette pute ne refuse pas ma grosse queue
il a une bouche bien accueillante, humide et chaude, bien poisseuse
elle mouille de la bouche cette chienne, Quel pied !
Et dun dernier mouvement de bassin, il éjacula, Olivier sentit alors les jets de sperme lui tapisser le fond de la gorge tel un vagin il recevait la semence du mâle qui le possédait. Le soumis avala le foutre avec gourmandise
Satisfait, le toubib dégagea son sexe, un filet de mouille ou de sperme sétalait des lèvres dOlivier à son gland, il avait bien joui dans la bouche, la haute assemblée applaudit alors. Le soumis prit cela pour une récompense, il était content de voir quil tenait son rôle, il souhaitait obtenir la satisfaction du Maître.
- Tiens petit pute, il en reste encore.
Une fois cela fait, il rejoint Monsieur le Marquis un sourire narquois éclaira son visage :
- Comment était la bouche de ce petit chien ?
- Bonne cher ami, bien humide, jai sentis sa langue prendre possession de mon gland.
- Pensez-vous mon ami, vous qui êtes Médecin quil était vierge de la bouche ?
- Je ne le pense pas, car cest évident quil a déjà pratiqué des fellations à voir comme il sest bien appliqué à humidifier mon sexe, il a une certaine expérience mais tout cela est mieux pour nous. Vous verrez tout à lheure quand vous investirez à votre tour cette bouche de pute.
Le Noble était satisfait de la réponse que tout le monde avait entendu. Olivier comprit que ce soir, il allait devoir sucer de nombreuses queues mais seul celle du Maître comptait pour lui. Monsieur le Marquis sadressa alors aux Dominas présentes :
- Mesdames, voulez-vous que ce chien vous honore ?
Les quelques femmes présentes firent effectivement savoir quelles aimeraient profiter de la langue dOlivier, le docteur les avaient renseignées quil avait une langue souple qui avait pris le temps de lécher le gland de son médecin. Sur leur clitoris cette langue ferait peut-être des merveilles, alors la première sapprocha en lui lançant autoritairement :
- Aller le chien, montre-moi si tu sais faire ! Viens lécher ma chatte avec ta langue de putain.
Se faisant, sa vulve fut à portée de la bouche du soumis, mais contrairement à la queue du médecin qui sétait engouffré Olivier prit trop son temps, il naurait pas dû car la Domina ne semblait ne prendre aucun plaisir... La femme lui infligea de suite une magistrale paire de gifles pour lui montrer quil ne savait pas apporter du plaisir à une femme. Le Noble faisant ce constat que le soumis venait de fauter, une correction simposait.
- Chien comment ? Tu prends ton temps ! Tu te crois où ? Au supermarché ou tu peux prendre le temps de choisir tel ou tel produit ? Tu mérites une punition. Mesdames attachez le à la croix de Saint André.
Olivier fut emmené et le god quitta tout seul son fondement, le bruit quil fit en tombant par terre fit ricaner lassistance. Suite à cette nouvelle humiliation, il bandait de nouveau fort Les trois femmes sévères qui constituaient les éléments féminins de lassemblée, lattachèrent à la Croix de Saint André. Le Châtelain sapprocha et sexclama :
- Puisque tu es incapable de donner du plaisir aux femmes, à une Domina de plus est, tu vas recevoir une correction de ces trois Dominas
Mesdames, le fouet vous attend, montrez-nous votre dextérité qui je le sais fait toujours merveille !
La première le prit dans ses mains et le fit claquer en lair dun coup sec.
- Mesdames, dit Monsieur le Marquis je vous accorde à chacune cinq coups. Quant à toi le chien soumis, tu devras à chaque coup, présenter tes excuses de ton comportement et tu diras à haute voix que tu nes quun chien juste bon à être enculé. Tu as compris, la pute ?
- Oui, oui Maître je ne suis quun chien juste bon à être enculé, Maître.
- Bon eh bien puisque, tu le dis je vais par moi-même vérifier cela, répliqua le Noble avec perversité. Mesdames détachez-le et amenez-le moi. (une fois le soumis se trouvant devant le Châtelain) Le chien, en levrette, face contre terre, les jambes écartées, le cul bien relevé, jai dit, conclut-il avec autorité
Olivier allait recevoir dans son fondement, le noble sexe de Monsieur le Marquis. Il entendit le bruit du ceinturon qui se défaisait, la fermeture éclair, dans un instant le Maître allait le pénétrer, le posséder, le baiser, lenculer...
- Chien reçoit Ma noble queue et je veux tentendre dire que tu la souhaites !
- Oui Maître. Mon cul vous appartient, prenez et jouissez.
(A suivre
)
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