Christine Ma Belle Soeur (3)

3°) Début des choses sérieuses
Je la suis donc tout en regardant son magnifique cul bien rebondi. Arrivée vers son matelas, elle s’allonge et me donne l’huile. Je tends le bras pour prendre la bouteille, mais...
- Stop, rappelle-toi ce que je t’ai dit, enlève ton short !
Je n’ai plus le choix, entre ma gène d'être nu devant elle et de pouvoir la caresser, je n'hésitais pas longtemps, après tout, elle sait ce qu’elle fait, je libéré enfin mon membre fièrement redressé.
— ben voilà ! tu n’es pas mieux comme ça, il était temps, regarde comment il est violacé le pauvre ! en plus t'es pas mal foutu, bien poilu où il faut, de belles couilles et un sexe de bonne taille.
Elle ne vit pas ma gène d'être ainsi examiné, car elle se tourna rapidement sur le ventre.
Allez vient m’huiler. Je me demandais jusqu'où cette situation allait évoluer, mais pour l'instant c'était super agréable.
Je prends alors de l’huile dans les mains et l’étale d’abord sur son dos sans oser descendre trop bas. « N’oublie pas mes fesses » me lance-t-elle. Petit à petit, je laisse glisser mes mains vers ces deux sphères bien fermes tout en me positionnant plus bas à côté d’elle.
Chaque passage de ses épaules vers le haut de ses cuisses, je vois s’écarter ces deux pomelos et apparaître son petit trou. Elle n’a pas les jambes totalement collées, mais dans un gémissement de plaisir, elle écarte un peu plus ses deux pieds comme un invitation à plonger dans son intimité.
Je reprends de l’huile pour m’attaquer aux jambes et j’ose mettre un genou entre celles-ci pour voir sa réaction. Sans attendre, elle écarte un peu plus encore, me laissant l’opportunité de passer le deuxième genou au niveau de ses tibias. Tout en passant sur ses mollets, je ne lâche pas du regard cet antre poilu qui s’offre à moi. Des détails que je ne connais que dans mes revues sont enfin visibles en réel ! Quel bonheur !
— tu dois avoir une belle vue d’où tu es, mais tu as le droit de continuer ! Ces paroles me sortirent soudainement de mon rêve.

J’étais tout simplement à l’arrêt, les yeux collés sur cette belle petite chatte.
Mes mouvements deviennent de plus en plus fluides et je glisse mes mains de ses fesses aux pieds. Je me surprends même à laisser glisser un pouce dans sa raie et effleurer son anus légèrement ouvert. On dirait un volcan avec ses plis qui convergent vers le centre comme une invitation à visiter plus loin. J'y mettrais bien un doigt ou mieux ma queue, rien que cette pensée raidit encore plus mon sexe. Elle se laisse faire et laisse une nouvelle fois échapper un petit gémissement qui m’encourage à appuyer plus au passage suivant.
Ralentissant mes mouvements, elle entreprend de se retourner. Je reprends donc ma position à côté d’elle, la bouteille d’huile à la main.
— tu veux bien continuer de ce côté ? me proposa-t-elle.
— euh oui... mais où ?
— Partout tu es autorisé, tu as fait ça très bien de l’autre côté, celui-là est jaloux.
Ses propos avec humour détendent de nouveau l’atmosphère et je commence donc à étaler de l’huile sur ses bras et ses épaules. Je suis excité à l’idée de passer sur ses seins que je ne quitte pas des yeux. Allez, je me lance. Avec une certaine peur, je passe d’abord très légèrement au-dessus puis je vais directement sur le ventre. Le deuxième passage est plus appuyé, les suivants de mieux en mieux jusqu’à les pétrir et finir mon mouvement en attrapant le téton entre le pouce et l’index. Elle ronronne de plaisir, les yeux fermés.
— mais tu as déjà fait ça pour connaître aussi bien ce qui plaît aux femmes ?
— non j’ai simplement regardé des cassettes vidéo ! Je ne te fais pas mal ?
— Mal ? Pas du tout, cette zone n’est pas dite érogène pour rien. Pour être plus claire, je dirai même que ça me fait des choses !
— des choses ?
— des choses comme toi ici,
Je fais un bond quand je sens sa main attr ma queue toujours aussi raide. Ses mains huilées me caressent très délicatement de haut en bas. La sensation d’une autre main que la mienne qui emprisonne mon membre est énorme, je sens la chaleur et la douceur de sa peau.
Je sens mon esprit sortir de la réalité, j’ai l’impression que je vais partir, m’évanouir. Je comprendrai après que c’était un orgasme de fou qui était en train de monter en moi. Un orgasme jamais connu avec mes masturbations.
— arrête je vais ..... Même pas eu le temps de finir ma phrase que plusieurs jets puissants et brulants viennent terminer leur course sur ses seins !
— Et ben dit-elle, il était temps, tu allais exploser mon pauvre.
Elle se lève pour aller se nettoyer dans la salle de bain et je reste là, figé, mais soulagé.
A son retour, je suis dans la même position, elle s’allonge de nouveau et me dit très naturellement – bon tu n’as pas fini de me mettre de l’huile, en plus comme j’ai été obligé d’aller me nettoyer les seins, j’ai tout retiré.
Je reprends donc mes mouvements, passant de ses seins dont les tétons sont aussi raides que mon sexe, à son ventre. Je m’arrête toujours au haut de son pubis, c’est très agréable de toucher ces poils interdits.
— fais mes jambes maintenant, dit-elle en écartant largement les pieds.
J’en déduis qu’elle veut que je me remette dans la position que j’avais pour l’arriéré. Je ne me fais pas prier et saute à deux genoux directement bien positionnés.
Enfin mon rêve final ! J’ai une vue parfaite de cet organe humide tant imaginé. Humide oui, je le vois briller alors que je ne m’y suis pas attardé pour é mettre de l’huile.
Après quelques minutes de passage sur ses jambes et voyant que je n’ose pas passer par sa grotte, elle att la bouteille d’huile et fait couler un long filet sur son mont de Vénus jusqu’à ce que le trop-plein d’huile coule et vienne se faufiler dans cette caverne.
— tu as oublié cette partie, dit-elle en attente les yeux fermés.
Humm, plus le choix, mais je ne sais pas du tout comment faire, tant pis je me lance, je me guiderai avec ses réactions.
Je commence donc par remonter le long de ses cuisses, passe de chaque côté de ce tapis de velours noir jusqu’au qu’à son ventre.
Avec des mouvements circulaires, je descends doucement sur cette petite touffe remplie d’huile tout en laissant traîner un ou deux doigts à chaque passage. J’effleure délicatement le capuchon qui la fait immédiatement réagir, sa position écartée laisse apparaître ce petit bouton rose qui appelle à être sucé, léché tellement il est appétissant. Je finis par abandonner tout le reste de son corps pour ne me concentrer que sur cette anatomie si complexe et tant à découvrir.
Avec un pouce, je tire légèrement son capuchon vers le haut pour encore mieux caresser son clito avec l’autre pouce. A cet instant elle a un mouvement de bassin, comme si elle veut se frotter elle-même sur mon doigt. Elle gémit doucement et un reflet attire mon œil entre ses lèvres. Ce n’est pas l’huile, mais bien de la mouille, plus je la caresse plus ça coule.
— C’est trop bon, continue hummm... tu peux descendre aussi, il ne faut pas hésiter à tout parcourir, me dit-elle avec un léger sourire.
— OK, mais je découvre, alors dis-moi si je m’y prends mal surtout.
Elle se redresse sur les coudes et tout en me regardant me dit :
— Ne t’inquiète pas, tu es très bien parti, et tout en restant sur ses coudes, approche ses mains de ses deux seins et vont titiller ses tétons.
Sans m’en rendre compte, ma bite est de nouveau en érection.
— Humm tu as repris forme dis donc.
— Comment veux-tu que cela soit autrement ? Regarde cette vue magnifique ! J’ai toujours fantasmé te voir toute nue dans un premier temps et après je voulais voir plus de détails et maintenant je suis entre tes cuisses ouvertes à la découverte de ce sexe offert avec mes propres doigts, que rêver de mieux.
— J’ajoute : tu aimes te caresser les seins ?
— Oui, c’est une zone qui me fait beaucoup de bien, cela ajoute un plaisir à tes caresses.
Tout en parlant, je continue mon exploration. J’ai lâché le clito pour descendre de chaque côté de ses grandes lévres. En tirant légèrement sur les côtés, les petites lèvres se décollent et laissent apparaître un trou plus gros que je l’imaginai.
C’était hyper-humide. Je contemple sans bouger.
— Que t’arrive-t-il, tu as vu un monstre ?
— Oh non, j’ai vu une beauté, je découvre au fur et à mesure et je viens de voir ton trou magnifique.
— C’est mon vagin ce que tu appelles mon trou.
Toutes mes pensées, mon regard sont tournés vers ce sexe qui est la premier que je peux voir et toucher. J'hésite car j'aimerai bien é entrer ma bite, mais je n'ose lui demander ou le faire, elle semble tellement excitée.
Mais au moment où je me décide et commence à bouger pour me positionner et la pénétrer, elle écarte au maximum les cuisses et avec les deux mains écartes les lèvres de son minou.
Je commence à voir l'intérieur qui est tout rose.. Même dans mes plus torrides fantasmes je n'avais rêvé une telle situation. Le sexe de Christine ainsi est ouvert à ma vue !
Est-elle vraiment exhib ? en tout cas elle n’est pas pudique ce qui me libéré complétement.
- Glisse un doigt dedans et dis-moi ce que tu ressens.
A défaut de mon sexe, je vais donc explorer avec mon doigt..
Je positionne mon index à l’entrée et pousse doucement, c’est chaud et humide, ça glisse tout seul mon doigt entre, entre jusqu’au bout. Je pensais que la paroi de la caverne était lisse, mais c'est un peu comme des anneaux et je peux sentir tout au fond l’entrée de son utérus
— Ouah c’est agréable !
Comme elle ne répond pas, je lève les yeux et je m’aperçois qu’elle a laissé tomber la tête en arriéré, bouche entrouverte. Je commence alors un petit va-et-vient, ses réactions suivent mes mouvements.
— Mets un deuxième doigt et va plus vite, c’est trop bon.
Un deuxième doigt ? , mais ça ne va pas rentrer. Je ressors l’index et tente d’entrer avec le majeur en plus. Ça rentre aussi facilement qu’avec un ! j’accéléré le mouvement et ses gémissements se font de plus en plus fort.
De moi-même, j’ajoute l’annuaire et même si je sens plus serré, mes va-et-vient passent toujours aussi facilement. Extraordinaire son vagin s'adapte Au premier passage avec trois doigts, elle émet un petit cri de plaisir, elle lève les fesses et les baisse en même temps que mes doits entrent et sortent de sa chatte. A chaque sortie, je vois couler sa cyprine sur la serviette. C’est hyper-excitant. Elle tire sur ses tétons, le fait rouler, elle finit par hurler de plaisir en remuant son bassin de plus en plus vite, elle jouit !

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!