Hélène 1 : La Rencontre
Hélène La rencontre.
Récit dHélène
On ne peut pas me qualifier de canon, mais je ne porte pas si mal ma cinquantaine.
Je ne suis pas grosse, mais je suis loin dêtre une maigrichonne.
Je suis de taille moyenne, un mètre soixante-dix, avec talons.
Jai une belle poitrine, sans être imposante, chacun de mes seins remplit bien la main dun honnête homme, et malgré mon âge, elle est restée ferme quoiquun peu tombante
Jai un peu de ventre, malgré cela ma taille reste bien marquée.
Jai un cul opulent, mais mes fesses se tiennent bien, avec un léger roulis naturel, mes hanches sont rondes. Ma cuisse est charnue, voir même un peu grasse. Mes mollets sont bien galbés et mes chevilles sont restées fines.
En résumé, jai les formes dun violoncelle.
Mon visage est ovale, avec des traits doux, légèrement empâté, avec un petit début de double menton. Ma chevelure sombre descend aux épaules. Jai des yeux bruns, soulignés par un début de poche, des sourcils réguliers, avec un regard doux. Ma bouche est petite, mais bien ourlée. Jaccentue le dessin de ses lèvres avec un rouge léger.
Bref, ni belle, ni laide, comme tout le monde, sans charme particulier.
Enfin cest je croyais.
Depuis mon divorce, je me consacre uniquement à ma mercerie.
Comme tous les mercredis, je suis en train de ranger mes racks de bobines de fils, quand celui qui deviendra mon Pierre entre dans ma boutique.
- Puis je vous aider Monsieur.
- Bonjour Madame, avez-vous de la colle à tissus ?
- Oui, pour quel usage ?
- Il faut que je raccourcisse des rideaux,
. Et je ne sais pas me servir dune machine à coudre.
- Vous savez vous servir dun fer à repasser ?
- Oui, quand même,
je repasse mes chemises depuis mes quatorze ans.
- Madame votre mère vous a bien éduqué.
- Merci pour elle, elle sera ravie de savoir quelle na pas perdu son temps avec son garnement de fils.
Je me dirige vers le rayonnage. Mais, au passage ma hanche de dondon, comme disais mon mari, accroche un portant qui pousse une boite en carton qui commence à glisser. Pour essayer de la retenir, je pivote, mais, je trébuche. Mon client essaye de me rattr, mais je le bouscule et je lentraine dans ma chute, ou plutôt sous ma chute. Et me voici, à moitié étalée sur le dos, avec mon client comme coussin amortisseur.
En me relevant, mon mouvement mamène contre lui, quasiment le nez dans son cou.
Il sent si bon. Ce nest pas du parfum, ou du déodorisant, ni même un après rasage. Non, cest son odeur naturelle.
Un ange passe. Il se dégage doucement de mon anatomie, et se relève
Galamment, il se penche vers moi, je tends la main et il maide à me redresser.
Lespace entre les rayonnages est exigu. , et je me retrouve collée contre lui,
poitrine contre poitrine. Je lobserve de prés, à vue de nez, il a cinquante ans, le visage un peu marqué, le crâne rasé, un joli sourire, et toujours cette odeur délicieuse. En me reculant, je fais tomber les plateaux de bobine et de boutons restés en équilibre instable.
- Ne bougez pas, vous allez rouler sur une de vos bobines.
Il met un genou au sol pour écarter les bobines autour de mes pieds.
Et fugitivement, je sens une caresse, légère comme une plume, sur mon mollet.
- Voilà, vous ne risquez pas de tomber.
Et, accroupi, il commence à ramasser les articles de mercerie.
- Pouvez-vous me donner une boite pour rassembler les boutons et les bobines
.
Je lui tends une boite, jen prends une aussi et je maccroupis pour collecter aussi ma mercerie. Le ramassage est presque fini, je tends la main pour ramasser la dernière bobine, mais il la récupère avant moi, et pendant un court instant, je pose la main sur la sienne. Nous nous relevons de concert.
-Est-ce que je peux avoir mon ruban, sil vous plait, et sans tout renverser ce coup-ci.
Jéclate de rire et lui aussi
- Pierre. Se présente-t-il
- Hélène.
- Hélène, vous mavez bien fait rire, mais il faut que jaille coller mes ourlets.
Pierre prend son ruban, paye, et je le raccompagne à la porte.
-A vous revoir dit-Il en se retournant, et me lançant un grand sourire
Ce vendredi soir, Il fallait que jaille à lAG de lassociation culturelle et musicale.
Jarrive avec cinq minutes davance et je prends place sur une chaise pliante, quand une douce odeur réveille mes souvenirs.
- Hélène, cette chaise est-elle libre ?
- Pierre ! Quelle surprise ! Asseyez-vous à côté de moi. Dis- je en tapotant le siège à côté de moi.
- Et vos rideaux.
-Superbes
. un jour, je vous montrerai une photo.
Puis il se tait : lallocution du président commence. Au bout dune demi-heure, je commence à magiter sur mon siège, autant à cause de linconfort de la chaise que de lennui savamment distillé par chacune des interventions. Je me tourne vers Pierre ; lui-même croise mon regard.
- Quel ennui. Dis-je.
- Ils ont gâché nos soirées, mais, Hélène, vous pouvez sauver la mienne.-
- Comment ça ?
- Resto japonais, ça vous dit.
- Super, on y va.-
Nous nous éclipsons sans presque nous faire remarquer. Un coup de voiture et nous voici, assis, face à face devant un assortiment de sashimi, de sushi et de california Rolls.
Entre deux bouchées, je lui raconte ma triste vie, mon mari qui me trouvais grosse, son départ avec une plus jeune, mon divorce.
Il est lui aussi séparé, mais visiblement, il la pris mieux et il émaille le récit de son divorce danecdotes qui me font pouffer.
Et le moment de quitter le restaurant, et de nous séparer arrive.
- Hélène, je nai pas senti le temps passer, permettez que je vous dépose.
Je veux prolonger ce petit moment de calme bonheur et jaccepte aussitôt.
Il se gare en bas de mon petit immeuble, il descend pour mouvrir la portière, et me tend la main pour sortir de la voiture. Nous sommes là, tous les deux plantés sur le trottoir, aucun ne voulant quitter lautre.
- Pierre, un thé ça vous dit.
- Bien sûr.
Jouvre la porte de limmeuble et je lui prends la main, comme ça, naturellement.
Je lentraine dans lescalier, puis dans mon appartement.
Dans lentrée, je me retourne vers lui, et dans un accès de folie, comme on se lance à leau.
-Vous avez vraiment envie dun thé.
- Non plus maintenant.
Je lui prends les lèvres, je titube, je me raccroche à son cou, et toujours cette délicieuse odeur.
- Venez par là.
Et je le tire vers ma chambre. Il lève la main pour chercher linterrupteur.
- Non, sil vous plait. Je suis timide.
Il rabaisse sa main et ajoute.
- Laissez-moi vous déshabiller.
Jappuie mon dos sur sa poitrine, il déboutonne mon chemisier
Se baissant, il dégrafe le gros grain de ma jupe et la fait glisser, découvrant pour la première fois mon fessier imposant.
Il fait glisser le collant (le dernier que je porterai en sa présence), men débarrasse en même temps quil môte ma culotte, et me déchausse.
Ses mains remontent le long de mes mollets, puis de mes cuisses, et sarrêtent sous mes fesses.
Il dépose alors un baiser sur chacune delle.
Il se relève, menlève mon chemiser, dégrafe mon soutien-gorge, lécarte et soulève mes seins en posant un doigt sur chacun des tétons.
Je soupire. Ca faisait si longtemps que je navais pas eu affaire à un homme délicat.
Je me retourne, et je déboutonne sa chemise, et je découvre une poitrine et un ventre imberbe avec un léger bedon. Je magenouille, je desserre sa ceinture et je descends ensemble le pantalon et le caleçon.
Un beau membre, en fait le plus beau que jai connu de toute ma pauvre vie insipide de femme marié et fidèle, jaillit sous mon nez.
Je le prends en main, et japprécie sa taille.
Je mapproche, il sent aussi bon que son propriétaire, jouvre ma bouche et jentoure son gland dun long coup de langue. Quelle douceur !
Il me relève, et mentraine vers le lit où il me fait tomber (exprès cette fois ci) Nous nous enlaçons et nous embrassons passionnément.
Puis il se dégage doucement, et pose ses lèvres sur mes seins
Il fait rouler mes pointes, les faisant grossir, et durcir.
Sa main gauche fouille dans mon duvet et pénètre ma chatte. Je sens ses doigts écarter mes lèvres et pénétrer ma grotte.
Je coule littéralement sous ses caresses.
Sa bouche abandonne mes seins pour glisser vers mon sexe. Pierre commence à lécher, puis brouter mon minou. Jatt sa verge et jentreprends de le branler quand sa main bloque la mienne.
- Arrêtez. Laissez-moi faire !
Il revient à mon sexe et il aspire mes sucs. Sa langue descend, vers mon anus, le flatte, puis remonte vers ma fente et sagite dans ma chatte.
Je perds pied, et je plaque sa tête sur mon sexe.
Les ondes de plaisir irradient de mon bas ventre.
Il remonte mes cuisses pour accéder à mon illet, quil se mit à laper
Jhalète, je soupire, je geins, mes mains se serrent convulsivement.
Puis, tout doucement ; il décapuchonne mon clitoris de deux doigts.
En même temps, il enfonce doucement son index dans mon anus.
Ce dernier, peu habitué à cette invasion, se crispe, mais cette zone est suffisamment lubrifiée pour quil perfore sans peine et sans douleur, mon oignon. Alors il donne un coup de langue rappeuse sur mon clitoris décalotté.
Sen est trop. Je lâche prise dans un orgasme éblouissant.
Je reviens à moi, toute alanguie, la tête sur la poitrine de Pierre.
Je me redresse sur un coude, je lembrasse, et sa langue menvahit.
Nous échangeons un ardent baiser.
Je glisse légèrement le long de son corps, et jempoigne son vit, toujours dressé.
Je donne un rapide coup de langue sur le gland, et je recueille le liquide suintant de son méat.
- Humm
. Vous avez bon gout-.
- Vous aussi, votre chatte est délicieuse.
Cétait la première fois que jentends ce qualificatif pour mon sexe.
- Vous navez rien eu. Je vais moccuper de vous. Répondis-je, en lembouchant.
- Attendez, je préfère un plaisir partagé. Laissez-moi un instant, je vais vous protéger.
Son préservatif enfilé, Il sallonge sur moi. Son membre sintroduit dans ma grotte ; il commence à aller et venir doucement.
Les vagues de chaleurs remontent de mon vagin. Japproche son visage du mien et je lembrasse goulument
Nos langues se nouent et se dénouent convulsivement.
Le tempo saccélère, Je lâche sa tête et je plante mes ongles dans son dos.
Encore quelques allers et retour, il se raidit
Et soudainement, son et lumière, puis plus rien : la petite mort !
La sonnerie du réveil me tire de mon sommeil, je métire comme une chatte repue. Je tends le bras vers le côté gauche du lit.
Personne.
Sur le plan de travail de la cuisine, un papier avec ces simples mots « merci pour cette excellente soirée. » Les larmes me montent aux yeux : ainsi je ne suis quune passade dun soir, un coup vite fait.
Une semaine passe, sans nouvelle, triste comme un ciel de novembre.
Je me fais avec tristesse à lidée que ce court moment hors du temps ne se renouvellera plus.
Arrive un deuxième vendredi sans signe de vie.
Je suis dans larrière-boutique, pour ranger ma commande quand la sonnerie de lentrée du magasin retentit.
- Attendez une minute, jarrive.
- Jattendrai léternité sil le faut.
Je laisse tomber ma boite et je cours dans la boutique.
Il est là, je manque de lui sauter au cou, mais je me bloque et je lui tends la main.
- Hélène, nous pouvons quand même nous faire la bise.
Je mapproche de lui et au moment de poser mes lèvres sur sa joue, mon corps méchappe, je me colle à lui, le souffle court. Mes formes se moulent sur lui.
Mes lèvres glissent de sa joue à sa bouche. Ma langue force ses lèvres, et se noue à la sienne.
Il menlace aussi, sa main droite glisse doucement et sarrête sur mon cul. Elle y resta une seconde, puis remonte.
- Monsieur, laissez cette main où elle était ! Lui murmuré-je.
Et pour être sure dêtre bien comprise, jajoute.
- Remettez cette main sur mes fesses, elles adorent ça.
Deux anges passent.
Puis nos corps se désunissent. Il pose son regard dans mes yeux.
- Puis-je vous inviter à diner samedi soir, après la fermeture.
- Oh ! Oui, bien sûr ?
- Je passe vous prendre à votre appartement. Resto chinois ou traditionnel.
- Italien, sil vous plait.
- Ca marche.
Une cliente entre, crevant notre bulle dintimité, hors du temps. Pierre passe la porte, se retourne.
- A samedi alors.
Il séloigne, me laissant émue comme une midinette.
Le samedi à dix-neuf heures trente, linterphone sonne.
- Pierre.
- Je vous ouvre, montez ! Désolée ! Je suis en retard.
Sortant de la douche, je laccueille en peignoir.
- Je naurai pas du vous laisser si longtemps sans nouvelles.
- Tout à fait, Pierre, vous êtes un vilain garçon.
- Cest pour me faire pardonner. Me répond-il en me tendant une boite plate, assez large, allongée. Avec un gros nud en bolduc : des chocolats ?
Je pose la boite sur la table, ôte le ruban, et soulève le couvercle.
Jécarte le papier de soie. Je reste bouche bée. Je lève les yeux vers Pierre.
- Vous êtes fou.
- Ah ! Vous naimez pas la couleur. Vous maviez dit aimer le rouge.
- Oui, oui ! Mais cest tellement
Déconcertant.
Je baisse à nouveau les yeux. La boite contient une superbe parure rouge: un soutien-gorge à coque, avec un motif floral en dentelles, un serre-taille, à jarretelles, et deux culottes, une très large et très enveloppante culotte italienne, puis une culotte de forme plus classique, toutes les deux en dentelles
Pour accessoiriser le tout, deux paires de bas Cervinho à couture.
- Cest trop beau
comment vous dire merci .
- Facile, essayez cet ensemble et montrez-moi comment il vous va.
Je me réfugie dans ma chambre. Jenfile la grande culotte ; impeccable, cest ma taille, et quel confort, mais je lôte pour essayer le reste de la parure.
Jajuste le serre-taille, je glisse les bas sur mes jambes et les agrafe.
Je passe par-dessus la culotte classique. Pour finir, jemboite mes seins dans le soutien-gorge.
Maintenant, je dois sortir devant un homme, en petite tenue, pour la première fois depuis ? Je pousse la porte et je mavance.
Pierre pousse un « Oh » admiratif
- Mais. Ajoute-t-il.
- Mais quoi. Fais-je, inquiète.
- Pour défiler en dessous, cest mieux de mettre des talons.
Juste à ma droite, il y a le placard à chaussures, je me penche et je farfouille à la recherche de mes escarpins. Je trouve enfin mes talons de huit centimètres.
Pendant cette recherche, Pierre na rien perdu du spectacle de ma croupe exposée à travers la dentelle de la culotte. Je me redresse, et je chausse mes talons.
- Tournez-vous sil vous plait. Dit-il.
Il met un genou au sol, et réajuste la couture de mes bas, au milieu de mes mollets. Cette caresse me rappelle celle, fugitive, de notre première rencontre.
Et remontant ses mains sur mes cuisses, il procède au même ajustement.
En plus de ses mains, je sens son souffle sur mes jambes, au-dessus de la lisière des bas. Je frissonne, mais pas de froid. Il se relève, rompant le sortilège.
- Maintenant, regardez-vous dans le miroir.
Je ne me reconnais pas dans limage que me renvoie la glace.
Est-ce moi, avec cette taille étranglée, et ce cul cambré et rebondi, ces cuisses galbées par les bas, et ces mollets tendus.
Quant à ma poitrine, elle et magnifiée par les coques du soutien-gorge.
Je me tourne et me retourne devant le miroir, heureuse de retrouver ma pleine (très pleine) féminité.
Pierre sourit, nen perdant pas une miette.
- Merci Pierre. Vous ne savez pas le bien que vous me faites.
Je méclipse dans ma chambre et jenfile lensemble que javais préparé
Chemiser blanc, veste courte et jupe à quatre plis, sarrêtant au genou.
Je laisse la culotte italienne au milieu du lit, à côté du collant inutile.
Je me présente à lui, dans le salon, superbe, sure de mon charme, et de ma sensualité. En effet, les dentelles rouges du soutien-gorge transparaissent à travers le chemisier. Il me fait tourner sur moi-même la, jupe vole, dévoilant mes cuisses barrées par les jarretelles. Il vaut mieux que je ne me penche pas.
En cinq minutes de 4x4, nous voici au restaurant. Je fais les quelques pas qui séparent notre véhicule du restaurant, accrochée des deux mains au bras de Pierre, et pas seulement parce que jai peur de trébucher sur mes talons.
- Bon giorno signora, bon giorno signora.-
- Jai réservé pour deux. On peut avoir la table du fond la bas. Madame et moi avons des choses à nous dire.
- Prenez plutôt celle-ci, elle est aussi discrète, et vous navez pas le haut-parleur au-dessus de la tête.
Une fois installés, je me déchausse le pied droit et le pose sur le sien.
Jatt aussi sa main, sur la table. Je nai pas lintention de le laisser jamais partir.
La commande est vite passée .Antipasti, scampi, fungi, et surtout nous réservons un tiramisu double pour deux. Pierre hésite à commander une bouteille entière de Lambrusco, mais le sommelier le convainc, en lui proposant de lemporter.
Après les antipasti, je lui pose la question qui me taraude depuis une heure.
- Pourquoi des dessous rouges.
- Au resto à sushi, vous maviez dit que vous aimiez le rouge.
- Alors, pourquoi des dessous, des roses auraient fait laffaire.
Silence.
- Cest compliqué, il y a plusieurs raisons à ça. Puis il enchaine.
- Dabord, je ne veux pas être un soupirant parmi dautres. Ensuite vous avez un corps superbe et, attirant et vous devez le mettre en valeur. En dernier lieu je suis sûr que vous avez une personnalité voluptueuse.
- Moi, voluptueuse, Pierre vous vous trompez, vous savez, je ne suis pas une amante très passionnée, je suis plutôt un mauvais coup.
- Laissez-moi en juger. En fait, je pense que vous avez besoin dêtre en confiance, votre amant doit jouer avec vous, créer des situations sensuelles dans lesquelles vous vous sentirez désirée et appréciée.
- Merci Pierre, de ces compliments, jen avais besoin, et en plus jadore ces dessous
Nous nous interrompons, les plats arrivent et nous leur faisons honneur.
- Jai encore deux questions.
- Quelle curieuse !
- Oui, comment connaissez-vous mes mensurations, et pourquoi deux culottes.
- Jai tout de suite vu que vous aviez un beau cul et je lai estimé à quarante-six. Vous avez une taille assez fine, donc pour le galbe taille, il suffisait de prendre une taille en dessous. Pour le soutien-gorge, jai relevé vos mensurations avant de vous quitter, et je me suis fait aider par une amie qui a un magasin de lingerie.
Le serveur présente le tiramisu géant et le partage entre nous deux.
Pierre me ressert un verre de lambrusco.
- Et pourquoi deux culottes lui demandai-je
- Les culottes sont larticle qui suse le plus vite, Avec deux culottes, vous gardez votre parure plus longtemps, et vous vous souviendrez plus longtemps de ce jour.
Après une bouchée de tiramisu, Pierre reprend.
- Je parie que vous avez gardé la culotte classique.
- Quoi ? Fais-je surprise.
- Parions ! Si je me trompe, je vous offre un autre ensemble -.
- Inutile, vous avez gagné.
- Prouvez le moi !
- Comment ?
- Facile, donnez-la-moi.
- Je ne comprends pas.
- Enlevez votre culotte, là, maintenant.
- Dans le restaurant, je noserai jamais.
- Vous êtes sur la banquette, vous voyez toute la salle, choisissez le moment quand personne ne vous regarde.
Jhésite, puis je me décide ; je dois être cinglée.
Je tire la nappe pour me cacher, je trousse ma robe, et je glisse mes mains pour attr ma lingerie, puis je la fais glisser sur mes cuisses, elle passe mes genoux , et tombe sur mes chevilles
Il se penche, regarde sous la nappe, je tends ma jambe, et il récupère ma parure et la glisse dans sa poche.
- Alors.
Je suis rouge pivoine, mais finalement assez fière de mon audace.
- Cest très excitant. Et plutôt coquin.
- Vous voyez, vous aimez jouer.
Cafés, addition, pourboires et nous voici dehors avec la bouteille dans un sac.
Je maccroche à son bras et nous retournons au 4X4.
Comme à laller, il mouvre la portière.
Comme je minstalle, il me murmure.
- Vos fesses à nu sur le siège.
Sans hésiter, je me trousse, lui montre mes cuisses et mes jarretelles et je massoie le cul directement au contact du cuir, en le regardant dans les yeux avec un air de défi.
En un instant, nous nous retrouvons dans lescalier de mon immeuble. Jai gravi les quatre premières marches quand je senti sa main sur mon mollet. Je marrête comme pour linviter à monter plus haut.
Ce quelle fait, dépassant la lisière du bas, caressant le gras de ma fesse et sinsinuant dans ma fente, déjà humide. Je soupire, il insiste et câline mon anus du pouce. Je me fais doigter le sexe et lanus, dans lescalier de mon immeuble. Je suis devenue complètement folle.
- Pouvez-vous vous trousser, que je vois ce cul splendide monter lescalier ?
Je relève ma jupe et je lui offre le spectacle demandé en accentuant le roulis naturel de mes fesses.
Une fois dans lappartement, je le plaque contre la porte et avant de lui prendre les lèvres, je lui murmure.
- Mon amour. Tu vas y passer. Ca fait quinze jours que je tattends.
Il me rend mon baiser, avec passion, ses mains se plaquent sur mon cul mis à nu. Il me pousse dans ma chambre, et me fait tomber sur le dos dans le lit, sans me déshabiller.
Il entame un broutage de minou déchainé. Puis reprenant son souffle, il fait glisser ma jupe et passa mon chemisier au-dessus de ma tête, me laissant en sous-vêtements.
Je lembrasse goulument, et le débarrasse de ses vêtements.
Il me repousse doucement sur loreiller, et retourne à mon minou.
Un coup de langue sur le clitoris me fait disjoncter.
Sans pitié, il me retourne, me mets à quatre pattes et introduit son vit dans mon sexe, puis mattrapant les hanches, il entame une levrette frénétique.
Au moment où je perds pied, il introduit son pouce dans mon anus.
Cette intromission déclenche une vague nerveuse qui machève ; je mécroulai sous la puissance de cet orgasme.
Lorsque je reprends pied, je suis débarrassée de mes dessous, mais seule.
Jentends alors le bruit de la douche. Jentre dans la salle de bain, et je me glisse sous leau avec lui.
Pour la première fois, je le voyais en entier, nu. Il est presque imberbe, avec un léger bedon, presque attendrissant.
Je pose la main sur ses fesses, elles sont dures, et paumées, de même que ses cuisses (japprendrais plus tard quil pratique le ski depuis ses cinq ans).
Après cette douche, nous nous essuyons lun lautre, et nous retournons dans la chambre,
Au passage, il récupère le sac avec la bouteille. Et oh surprise, le patron du restaurant y avait ajouté deux flutes.
Il tamise la lumière, et remplit les deux flutes, et nous trinquons, lui assis, moi allongée, la tête posée sur sa cuisse, sa queue à portée de bouche.
Puis il se coule contre moi et commence à me caresser en me suçotant les seins.
- Non sil vous plait, vous mavez épuisée.
- Justement, laissez-vous dorloter
.. Cest meilleur de se laisser faire.
Sa queue reprend de la vigueur et il me pénètre doucement.
Ses mouvements sont très lents, délicats, et me bercent dans une mer de sensations agréables, lorgasme qui suit est très doux, presque paisible et je sombre pour la deuxième fois dans une petite mort pleine de tendresse.
Je suis réveillée par une sensation de vide à mes côtés. Je me retourne, il est debout, en train de glisser sa chemise dans son pantalon.
- Reste, sil te plait. Reste.
Le temps sarrête un instant.
Puis, il se déshabille, et se glisse dans mon lit.
Il me tourne sur le côté droit et se colle contre mon dos, puis il soulève ma fesse gauche et glisse son sexe entre mes deux hémisphères, contre mon illet.
Il glisse son bras sous mon aisselle et saisit mon sein gauche.
Je mendors, comme ça, sa verge entre mes fesses, et sa main sur mon sein.
Et je connais ma première nuit de tendresse avec celui qui est devenu mon amant, et qui deviendra mon sultan bien aimé.
Mais ça, cest une autre histoire
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