49.6.7 Baise Dans Un Vestiaire De Rugby Après Match
Mon portable émet un petit son aigu
un message... le genre de message qui contient à mes yeux plus de poésie que lintégrale de Baudelaire :
« vestiaire mtn».
Je stoppe net sur le trottoir que je viens de rejoindre.
Soudainement jai la tête qui tourne, les mains moites, les jambes en coton.
Jai une envie brûlante de le rejoindre, tout en me sentant retenu, tétanisé par une peur panique de me retrouver face à un mec qui veut juste se vider les couilles pour mieux me jeter après
tout comme il la si bien affirmé (et si bien fait) hier
Dautre part
la tentation dy aller est trop forte
et ce, pour plusieurs raisons
Déjà
je ne lai toujours pas félicité pour sa performance sportive
je vais commencer par ça
commencer par le mettre de bon poil, avant de le mettre à poil
Et puis
répondre présent à son invit
cest aussi loccasion de pénétrer dans un vestiaire après match
Car, mieux encore quaprès un simple entrainement tel que je lai connu quelques semaines plus tôt, ce sanctuaire à mecs doit être en ce moment empli dodeurs de jeune mâle, de douche, de virilité, de deo
avec un peu de chance, Jérém ne sera pas encore passé sous la douche
il sera encore moite de sueur, sentant le mâle et leffort
et, qui plus est, gonflé à bloc de testostérone après ses exploits et sa magnifique victoire
« 5 min »
envoyer sms
Tout comme lui, jadopte une prose proustienne.
Je fais demi-tour et je parcours les quelques centaines de mètres qui me séparent du terrain de rugby dun pas plutôt soutenu
En approchant de mon but, je me dis que jaimerais pouvoir lui dire aussi à quel point ses larmes mont touché
à quel point laccolade avec Thibault était bouleversante
bien sûr, je suis parfaitement conscient du fait que je ne pourrais jamais le faire, car il prendrait très mal
mais ce serait tellement beau de le serrer dans mes bras et de le réchauffer
de le réconforter
Lorsque jarrive aux abords du terrain, je remarque que sur le parking il ne reste quune voiture, une 205 rouge
je remarque aussi que la buvette est fermée et que plus personne ne rode autour de la pelouse
bref, tout le monde est parti, sauf mon bobrun, comme le confirme la porte dentrée principale du vestiaire, entrebâillée
Je connais les lieux pour les avoir très agréablement fréquentés dans une autre occasion
alors, après avoir pris une bonne inspiration pour me préparer à plonger dans cet univers imprégné de présence masculine, je passe la porte en métal
Je rentre dans le petit couloir
personne à lhorizon
dès lentrée, je suis enveloppé par ce mélange de vapeur de douche, de savon, de shampoing et de sueur
jai limpression de me shooter rien quen respirant cet air chargé, saturé de jeunesse masculine
dans ce mélange olfactif, je me perds, je me noie
Je nai quà fermer les yeux pour imaginer toute léquipe telle quelle devait être là tout juste une heure plus tôt
les uns assis sur les bancs en train de retirer les chaussures à crampons et les chaussettes avant de masser les pieds engourdis par plusieurs heures passées enfermées dans le cuir
certains ayant déjà retiré la majorité de leur équipement, se retrouvant en slip, ou en boxer
dautres en train de se chamailler comme des gosses, refaisant le film du match dans de grands gestes, faisant rouler leurs muscles et danser leurs paquets prisonniers dun fin tissu
dautres enfin, seraient déjà nus, en train de se diriger vers la douche ou bien en train den sortir, le corps dégoulinant deau, attrapant leur serviette, posant un pied sur le banc pour se sécher la jambe, offrant une vue imprenable sur un joli paquet ou sur une paire de fesse musclé entrouverte par ce geste
Les sensations qui viennent à moi en rentrant dans ce lieu après ce match de finale sont en tout et pour tout conformes à ce que javais pu imaginer
mais en mille fois plus prenantes, puis puissantes
Javance dans le petit couloir et là, sortant sans faire de bruit dune porte latérale, le bogoss se dresse devant moi, à tout juste un mètre de distance, la cigarette allumée au bec, toujours habillé de son maillot vert et blanc défraichi par le match, les chaussettes et les crampons toujours aux pieds, les cheveux encore en bataille
et ce fut comme une apparition
Putain
il nest toujours pas douché
je sens que je vais adorer
Son regard est à la fois excité, fier et amusé
son corps et sa musculature semblent encore bien chauffés par le match
je sens que si je le chauffe encore un peu, ça va être le feu dartifice.
En attendant, cest lui qui va me chauffer un peu plus
Le bogoss finit sa cigarette, il jette son mégot à terre avec un geste désinvolte avant de lécraser avec sa chaussure de sport
il relève ensuite le regard, il le pointe vers moi
cest un regard intense, désormais embrasé par un sourire lubrique brûlant
Le mec avance vers moi
et lorsquil arrive à ma hauteur, je le vois me contourner
un instant plus tard, jentends le bruit sonore de la serrure de la porte métallique qui se verrouille
douce musique, interlude annonçant le début des choses sérieuses
heureux den déduire que ce nest pas que pour mengueuler quil ma fait venir
que le sujet Thibault nest pas à lordre du jour
et quune bonne baise semble sannoncer
Un instant plus tard, je le sens se placer derrière moi
ses mains se posent fermement sur mes hanches pour mattirer contre lui avec un geste volontairement brusque, presque brutal
mon bassin recule, se colle au sien
je sens une bosse dure se plaquer contre mon jeans
je frissonne
je chavire
« Cest de ça que tas envie, hein ? » il me siffle à loreille, les lèvres tellement proches que je sens sa petite barbe sexy frotter sur le pavillon et son souffle chatouiller mon tympan
petit con de petit con, va
Mon corps tout entier est parcouru de frissons
je me sens complétement en son pouvoir
il pourrait faire de moi ce quil veut, je ne pourrais rien lui refuser
« Cest tout ce dont jai envie, toujours envie
» je lui confirme, presque en état de transe.
« Tas encore envie d'en prendre plein le cul
» fait-il, chaud comme la b(r)aise.
« Oui
oui
» je concède, ravi.
« Dis-le alors ! » ordonne-t-il en levant le ton de la voix.
« Jen ai envie
» jadmets timidement.
« Tas envie den prendre plein le cul
vas-y, dis-le ! » insiste-t-il, virulent, son souffle chaud dans mon oreille, la prise sur mes hanches se resserrant un peu plus, le contact avec sa bosse puissante se faisant plus vif
« Jai envie den prendre plein le cul
» je finis par le suivre, comme une délivrance, dans laquelle je prends un plaisir certain
« Tas senti le mec en rentrant ici, cest ça
cest pour ça que tu bavais
» relance-t-il.
« Je ne bavais pas
» je tente de me défendre, tout en espérant quil surenchérisse.
« Si
tu bavais
tes venu au match juste pour voir des mecs de près
» fait-il.
« Je suis venu parce que je voulais te voir, toi, Jérém
» je précise.
Ce qui est vrai. Cest pour Jérém que je suis venu au match
le corollaire de bogoss gravitant autour de ce match nétant quaccessoire à mon envie de voir mon bobrun en action
« Tas encore parlé à Thibault
» je lentends me lancer.
Ah
merde
je me disais bien que javais crié victoire un peu tôt
« Je lai juste félicité pour le match
on sest croisés par hasard
».
« Tu le kiffes, lui aussi ? » il me balance direct à la figure.
Pas simple de répondre à ce genre de question, et encore moins de le faire dans les conditions qui sont les miennes à cet instant précis
ses mains enserrant toujours fermement mes hanches, sa bosse contre mes fesses, la chaleur de son torse irradiant mon dos, sa voix posée et autoritaire faisant vibrer en moi mille et une cordes sensibles, son souffle chaud dans mon oreille, sur ma joue, dans mon cou
« Arrête, Jérém
» je tente de me défendre
Mais, les bières aidant, la langue du bogoss est en mode « taper là où ça fait mal » :
« Il est bien foutu, hein
il est bogoss
avoue
tu te ferais bien défoncer par lui aussi
».
« Tu dis nimporte quoi, Jérém
cest de toi que jai envie
» je tente de calmer le jeu. Je ne vois pas où le bogoss veut en venir mais je devine que ça peut vite dér
« Cest ça, comme lautre connard au KL, lautre fois
» il me sort de but en blanc.
Ouf
heureux quon séloigne du sujet Thibault
Cependant, on est en train de partir sur un autre sujet épineux
le ton de sa voix monte
le bogoss semble commencer à partir dans les tours
vite calmer le jeu
« Lui cétait juste un plan B parce que je croyais que tu partirais encore avec une pouffe
si javais su que tu rentrerais avec moi, jamais ne je me serais laissé draguer par ce mec
cest toi, Jérém, qui me rends dingue
dès que je te vois, jai envie de toi, tellement envie que jen ai mal au ventre
cest même pire que ça
il me suffit de penser à toi que j'ai envie de te faire jouir
».
« Parce que je suis un bon coup et que je te baise comme personne, dis-le ! » il mintime.
Petit con
et moi alors
je ne te baise pas « comme personne dautre » ? Je ten foutrais
Jai envie de profiter de sa boutade pour lui renvoyer le même jeu
Je me dégage alors de sa prise, je me retourne
et, en le regardant tout droit dans les yeux, je lui balance :
« Je vais le dire si toi aussi tu admets que moi aussi je te fais jouir comme tas jamais joui ! ».
« Mais quest-ce que tu en sais ? » se moque-t-il en scandant bien les mots, le ton moqueur et un tantinet méprisant, un beau sourire sexy et insaisissable aux lèvres.
Il avance à nouveau vers moi, il me contourne
cette fois-ci, je suis son mouvement en pivotant sur moi-même
je le vois disparaître dans le saint des saints
le vestiaire
Lorsque je pénètre dans la grande salle, cest une vibrante sensation de tranche de vie très récente qui me percute
les placards des joueurs, disposés en « U » sur trois murs, ont été pour la plupart abandonnés avec la porte négligemment ouverte
le sol, encore humide, est jonché de petits papiers, de serviettes
une chaussette verte traîne sous un banc
un maillot blanc et vert a même été laissé dans la précipitation
lodeur de douche de bogoss est omniprésente, comme une force, une énergie invisible mais parfaitement perceptible
en cette fin daprès-midi, cette pièce résonne encore de la présence de jeunes gens heureux
Au milieu de ce bazar parfaitement harmonieux pour mes sens, deux bancs sans dossier trônent alignés à environ trois mètres lun de lautre
Mon beau brun est là, installé à califourchon sur lun dentre eux, en train de boire à une gourde quil a dû tirer de son sac de sport.
Je massois à mon tour à califourchon sur lautre banc, face à lui. Et jenchaîne :
« Si je nétais quun coup comme tant dautres, tu ne maurais pas baisé autant
et tu nen redemanderais pas
».
« Je te lai dit, tas une bonne bouche et un bon cul et tes toujours dispo, trente jours par mois
cest tout ce qui compte
» lâche-t-il sur un ton railleur assorti dun petit sourire méprisant.
Ce petit con ne lâche rien
je tente un coup de poker
« Il y en a dautres des culs et des bouches
mais les miens te font ce que les autres ne te font pas
».
Je suis étonné de laisance avec laquelle jarrive à lui balancer mes quatre vérités en le regardant droit dans les yeux
ça doit être leffet de la bière
mais putain quest-ce quil est sexy avec son maillot
Il me toise en silence, jen profite alors pour enfoncer le clou :
« Tu as une queue de fou, mais moi je sais la rendre heureuse
».
« Tes culotté, mec ! » me lance-t-il.
« Tu peux parler de culot ! » jarrive à lui balancer « ty as été fort, hier
et là tu me branches comme si de rien nétait
».
« Ça va, jétais énervé, jétais inquiet pour le match
et ça ma fait chier que Thib me fasse des réflexions
» fait-il, un max détendu.
« Je ne suis pas ton punching ball... » je réagis.
Il me fixe, son sourire diabolique toujours aux lèvres
et là je le vois se lever, avancer vers moi, enjamber le banc où je suis assis, se pencher en avant, vers moi, en prenant appui sur ses mains posées à plat juste devant lui
Instinctivement, en voyant ce corps musclé envahir brusquement mon espace vital, jai un mouvement instinctif de recul
Le bogoss me toise de très près, en silence
Il me fixe, son sourire diabolique toujours aux lèvres
et là je le vois se lever, avancer vers moi, enjamber le banc où je suis assis, se pencher en avant, vers moi, en prenant appui sur ses mains posées à plat juste devant lui
Instinctivement, en voyant ce corps musclé envahir brusquement mon espace vital, jai un mouvement instinctif de recul
Le bogoss me toise de très près, en silence
« Tu sais
je
je
» je bégaie, tentant désespérément de garder mon cap, ma volonté perturbée par sa proximité soudaine.
Jai le cur qui cogne à tout rompre
mais mes émotions sont loin dêtre terminées
le bogoss avance encore son fessier sur le banc, jusquà ce que ses genoux entrent en contact avec les miens
ce simple contact de peau chaude est divin
Ma volonté nest pas seulement perturbée, elle est carrément déglinguée
je tente tant bien que mal darriver au fond de ma phrase :
« Je
je
peux
tout
tout
comprendre
si
».
Il est assis face de moi, le torse enserré dans son maillot blanc et vert qui sent clairement la transpi
il me sourit, cest le sourire du prédateur qui mesure son pouvoir sur sa proie
et cest beau à tomber
«
si
si
si on
mexplique
calme
» je tente de terminer mon propos, alors que mon libre arbitre vient de fondre comme neige au soleil
Puis, ne trouvant peut-être pas suffisant leffet de dingue que sa proximité exerce sur moi, le bogoss décide de faire monter la pression jusquau-delà de la zone rouge
Je le vois plier le buste vers lavant, jusqu'à ce que nos fronts se touchent, ses mains fermement posées derrière ma tête pour mempêcher de reculer
contact détonnant, évoquant dautres situations ou ses mains retiennent ma tête pour son plaisir de mec
étincelles sur ma peau, dans ma tête, décharges puissantes dans mon ventre
sentir son front chaud sur mon front, sentir une intense chaleur chargée de bonnes odeurs de mecs monter à mes narines
baisser les yeux et, délicieuse surprise, arriver à plonger le regard dans lentrebâillement du col du maillot enduit par la position de son buste légèrement penché vers lavant, me perdre dans la vision inattendue et spectaculaire de ses pecs
Je suis tellement dingue que jen veux encore plus
je suis comme ivre, et débridé
je porte ma main à la naissance du col en V de son maillot, jatt le tissu, je lécarte un peu plus et je plonge mon nez dedans
jinspire avidement, bruyamment
je menivre de cette chaude essence de mec dont jai été privé la veille, lorsque le bogoss a déboutonné dun seul geste sa jolie petite chemise blanche de service
Le feu du désir me ravage de lintérieur
je suis tellement hors de moi que je trouve même laudace de porter une main sur sa bosse cachée sous le short
A ce stade, je ne suis plus que désir brulant
voilà comment ma volonté commence à se fendiller devant un sourire, subit des dégâts considérables à cause de la proximité physique et olfactive dun beau mec
et elle se désintègre carrément au contact de son sexe bien tendu
Presque au même temps, je sens ses mains relâcher la prise sur ma nuque
la séquence est bien rythmée
son buste recule, se genoux se déplient
un instant plus tard le bogoss est debout, toujours une jambe de chaque côté du banc
ses mains se coordonnent pour baisser le short et le boxer juste en dessous de ses bourses
sa queue apparaît devant mes yeux
son bassin avance, son gland de pose entre mes lèvres
ouvre-toi Sésame
elle senfourche vite dans ma bouche
Ses coups de reins arrivent directs, puissants
ça commence fort
oui, il est dhumeur joyeuse
mais il est aussi dhumeur « jouieuse »
le mec est bien dans ses baskets et il se lâche, il a grave envie de prendre son pied
je le sens chaud comme une baraque à frites
Et, cerise sur le gâteau, mes papilles mapportent une sensation un peu particulière
cest un goût, un parfum aussi spécial que rare chez mon bobrun
cest le gout de sa mouille
une mouille qui a mon avis a dû commencer à suinter bien avant mon arrivée, lors des émotions fortes de ce match
cest fait comme ça un garçon
parfois il est tout sec alors quon le suce comme des malades
et il lui suffit de marquer un but pour décorer son boxer dune petite trace odrorante
Ses va et vient sont réguliers, profonds, le bord du maillot tape sur mon visage de façon cadencée
il faut vraiment que je lui offre ce maillot londonien bien taillé qui doit mieux rendre justice à sa plastique que ce maillot un peu trop grand pour lui
Jimagine le bonheur de le sucer dans cette tenue
pourtant, je ne sais toujours pas quand est-ce que je vais pouvoir lui donner
tiens, je pourrais lui offrir comme cadeau pour sa victoire, profitant de son humeur joyeuse
Oui, mais quand ? Il faudrait que je laie là, avec moi
mince
enfin
on va dire que pour linstant jai plus urgent à faire
Je reçois et jaccepte goulûment ses assauts de mec, je me réjouis de sa fougue
ça fait du bien de le sentir déchaîné, la tête dégagée des soucis immédiats, 100% à son plaisir de mec tout comme, encore un peu plus dune heure plus tôt, il était 100% à son jeu
Et puis ses coups de reins sarrêtent. Le bogoss remonte boxer et short et se remet en position assise. Son bassin avance toujours, ses genoux poussent les miens, mobligeant à reculer jusquau bord du banc
Le bogoss se débarrasse de son t-shirt avec un geste aussi rapide que léclair et intensément érotique
je remarque que le bandage à lépaule a disparu, laissant ainsi entrevoir un énorme bleu couvrant la totalité de larrondi au-dessus de son biceps
Jérém sallonge ensuite sur le dos, sur toute la longueur du banc, les bras pliés et les mains croisées derrière sa tête, toujours à califourchon, le bassin légèrement cambré
et putain que son paquet est remarquable dans cette position, sous son short blanc
Je comprends très vite le signal
une seconde plus tard, je me penche sur son short et, tout en dégageant le tissu par petites touches, je me fais plaisir en respirant ses phéromones
Le mec a mouillé le maillot
ça, cétait à la vue de tous
ce qui était moins connu, cest que son boxer aussi en a pris une sacré claque
lorsque jy plonge le nez dedans, je retrouve un bonheur intense
à lintérieur du tissu élastique, ça sent bon, ça sent fort, cest moite
ça sent la transpi, mais la transpi bien particulière qui suinte autour de la queue et des couilles
et, surprise réjouissante
une petite trace de mouille se dessine à lavant du boxer
Lorsque je dégage le dernier pli de tissu retenant sa queue raide, son manche tendu méchappe dentre les doigts et, comme attirée par un ressort invisible, elle vient claquer lourdement sur ses abdos
Je la regarde, ainsi couchée, se soulevant régulièrement suivant les contractions musculaires du bogoss
elle est magnifique
jadore la regarder, retarder le moment daller la rendre heureuse
mes yeux réclament leur part et je me fais violence pour ne pas céder aux réclamations de ma bouche impatiente
Ses bourses bien remplies, doucement abandonnées entre ses jambes légèrement écartées, me donnent envie dun petit détour
je pose mes lèvres dans le creux entre les couilles et la naissance de la queue
je commence par y déposer des bisous tout doux
jenchaîne en laissant ma langue tourner délicatement autour de ses couilles
je my attarde un petit moment, avant de remonter vers la base de sa tige tendue
Ma langue avance désormais le long de son manche
elle arrive dans le creux du gland
motivée par le goût un peu salé de sa mouille de mec, ainsi que par un léger arrière-goût chaud de transpi et durine, ma langue redouble defforts pour lui faire plaisir
elle sagite, le titille par de petits mouvements répétés
le bogoss frissonne
Un instant plus tard, son gland se retrouve enserré dans ma bouche, mes lèvres savançant jusquà rencontrer ses poils pubiens
Et alors que ce liquide si rare et précieux suinte sans discontinuer, jentreprends de lui offrir une pipe musclée, alternant les gorges profondes et les caresses délicates sur le gland
Avec le coin de lil, jarrive à suivre les mouvement involontaires et désordonnés de ses bras, comme le reflet des vagues de plaisir incontrôlable que ma bouche lui apporte
petit con, va
tu ne veux pas ladmettre que je toffre un plaisir de dingue
mais tu sais quoi
ton beau corps te trahis
je nai pas besoin de tes mots
tes spasmes, tes petits gémissements, les ondulations de tes abdos, ta respiration saccadée, voilà la réponse à ma question
Cest en dessous de sa ceinture que je maffaire
mais cest en dessus que lexcitation se fait le plus démonstrative
ses bras narrêtent pas de gigoter, divaguent dans tous les sens
ils sallongent vers larrière, ils se plient, les mains se croisent sur sa tête
elles repartent aussitôt, portées par des bras qui ne tiennent pas en place
elles sagrippent à la planche à hauteur de ses oreilles
un instant plus tard, les bras se déplient à nouveau
ses biceps se contractent, ses poings se ferment
on dirait des gestes de bébé enchanté pas son accroche jouets
alors que ce sont les mouvements inconscients et incontrôlés dun beau mec en train de prendre son pied au-delà du raisonnable
Son bassin, son dos, son cou, sa tête, ondulent sur la planche
le bogoss relève la tête de temps à autre, il me regarde faire un instant, le visage défait par les décharges de plaisir que ma bouche lui apporte
lorsquil repose la tête sur le banc, elle se rabat en arrière, la bouche souvre à la recherche dair
Cest là que je me dis
oui, Nico, là tu as dans tes mains la clef de son plaisir
Quest-ce que cest bon de pénétrer dans ce vestiaire
encore meilleur que dy pénétrer après lentrainement, y pénétrer après un match, un match dur, mais gagné
Et quest-ce que cest bon de le sucer dans ce sanctuaire à mecs
encore meilleur que le sucer après lentrainement, le sucer après un match, un match dur, mais gagné
Il faut que je marque le coup, que je dépasse ses meilleures attentes
alors, tout en continuant à le sucer activement, ma main se porte sur son torse, à hauteur de ses abdos
elle remonte tout doucement vers ses pecs, je les caresse avec la paume de ma main, lun après lautre
le bogoss cambre les reins, bombe le torse
Ainsi encouragé, ce sont alors mes deux mains qui se posent sur ses pecs, qui envoient leurs doigts respectifs titiller ses beaux boutons rose marron
le plaisir ressenti par le bobrun est tellement intense quil ne sait plus comment se mettre
Il est dingue
je veux lui faire péter un plomb
je veux le rendre si fou de plaisir au point quil ne sache même plus où il habite
jai une arme secrète pour cela
Je me fais violence pour obliger ma bouche à quitter sa queue
je la motive en la chargeant dune mission tout aussi excitante
pour assurer la transition, ma main prend immédiatement sa place, enserrant son manche et en le branlant avec des mouvements amples
Mon buste se penche sur le sien pour permettre à mes lèvres et à ma langue de partir à lassaut de ses tétons
ma joue appuyée juste au-dessus de son cur, je capte ses battements rapides mélangée à sa respiration courte, agitée, excitée
Comment lui faire encore plus plaisir ? Je sais
cest simple
obliger ma langue à abandonner la douce fermeté de ses tétons pour descendre, descendre, descendre tout au long de son torse, passer ses abdos, son nombril en my attardant tout juste le temps dun passage de langue
passer son pubis, en résistant à la tentation ultime de sarrêter pour humer les bonnes odeurs que cette petite pilosité sait cacher
passer à côté de sa queue, sans me laisser aller à lappétit vorace qui me pousserait à gouter encore au petit nectar exquis qui continue de suinter dans son creux
à la reprendre en bouche, jusquà la faire jouir
Descendre encore un peu plus
passer ses bourses sans être hypnotisé par leur chaleur, leur douceur odorante
descendre un peu plus encore, et terminer son voyage un peu plus loin dans lentrejambe
voilà comment lui faire plaisir
Ma main continue de le branler tout doucement, mon pouce lubrifié par sa mouille tentant de remplacer le pouvoir magique de ma langue au creux de son gland
Et lorsque ma langue se faufile jusquà son ti trou et quelle essaie aussitôt den forcer lentrée, le bogoss tressaillit
« Putain
» je lentends exclamer violemment « ça cest bon
vas-y
vas-y comme ça, mec
».
Je continue de faire tournoyer le bout de ma langue autour de sa rondelle
le bogoss se tait
jécoute sa respiration, qui est comme suspendue
les mouvements de son diaphragme se font de plus lents, plus amples
jai limpression que tout son corps est agité par un petit frissonnement involontaire
on dirait
oui
on dirait quil ronronne
Le bogoss est actif à 200%... mais quest-ce quil aime se faire tapoter lentrée des artistes
Petit jeu intense, dans lequel je perds toute notion du temps
je ne pourrais pas dire pendant combien de temps je me suis fait plaisir tout en lui faisant plaisir de cette façon
tout ce que je sais, cest que ce truc est lun de ceux qui le rendent le plus dingue
alors, je ne vais pas men priver
je pourrais continuer pendant des heures
Dans les faits, je ne peux continuer que jusquà ce que le bogoss décide quil est « temps » de passer à autre chose
et le « temps » cest lorsque le bogoss relève son buste, provoquant le même geste chez moi
il recule ensuite son fessier sur le banc, matt par les hanches, tire mon bassin vers le sien le faisant glisser sur la planche
il relève mes jambes, mobligeant à poser mon dos sur le banc
Les gestes du bobrun sont rapides, presque violents, des gestes qui me font sentir complètement en son pouvoir, comme si je lui appartenais, comme si je navais pas le choix
mes jambes en lair, le bogoss entreprend de me déshabiller
en quelques secondes, mes chaussures (sans même prendre le temps de défaire les lacets), mon short, mon boxer ont volé
je seconde ses intentions en me chargeant de mon t-shirt
Me voilà complétement nu devant lui
à sa complète disposition
je le vois se lever et se débarrasser à son tour de ses baskets (toujours dans la précipitation, sans prendre le temps de défaire les lacets), de son short et de son boxer
complètement nu lui aussi, le sexe tendu pointant le zénith, une jambe de chaque côté du banc
lair triomphant, le mec me domine de tout son mètre 80
et de toute sa puissance masculine
Il va me prendre comme ça, direct
il va cracher dans sa main, enduire sa queue, en mettre un peu entre mes jambes, il va venir en moi, me défoncer et me remplir
que de bonnes choses en vue
Mais il ne faut pas présager des intentions de mon bobrun, si irrésistiblement imprévisible
Un instant plus tard, il plie ses genoux et se retrouve à nouveau assis à califourchon sur le banc
et là, il relève mes jambes jusquà les porter sur ses épaules, relevant ainsi mon bassin
ses mains se portent sur mes fesses, les enserrent fermement, les écartent
son visage approche de mon entrejambe
je lentends cracher sur ma rondelle
je sens son doigt sinsinuer en moi, rentrer petit à petit, et ressortir aussitôt pour se faire lubrifier à nouveau
ce doigt qui revient à la charge, qui rentre et qui ressort, senfonçant à chaque fois un peu plus profondément, provoquant en moi une montée de frissons certaine
Le bogoss insiste, et ça devient de plus en plus bon
à un moment je remonte le cou pour le voir faire
et là je croise son regard
le mec me mate carrément en train de jouir du cul
jadore le voir faire
savoir quil me mate pendant que je prends mon pied
Mais apparemment mon regard nest pas à son goût
son autre main se porte sur mon menton, lui insufflant un mouvement de basculement vers larrière, façon bien à lui de me dire quil souhaite que je mallonge complétement sur le banc
Cest là qui se produit limpensable
dès que ma tête touche la planche en bois
dès que son visage disparaît à nouveau derrière mon bassin suspendu, je sens une sensation de chaleur juste en dessous de mes couilles
Je commence à perdre pied lorsque je réalise quil sagit de son souffle
je perds le contact avec la réalité lorsque je sens ses mains écarter à nouveau mes fesses pendant que le souffle chaud se déplace le long de ma raie jusquà se stabiliser à laplomb de mon ti trou
mais je change carrément de dimension lorsque je réalise que sa langue, celle qui refuse de rentrer en contact avec la mienne, est en train de caresser timidement les bords de ma propre rondelle
Ah, putain
celle-là, vraiment, je ne lavais pas vue venir
Dabord hésitant, puis, très rapidement, de plus en plus entreprenant, le bogoss est en train de me rendre la pareille de ce que je viens de lui faire
je ne sais pas sil prend autant de plaisir que moi en le faisant
ce qui est certain, en revanche, cest que ce truc me fait un effet de dingue
le même effet que ça doit lui faire à lui
je comprends mieux pourquoi il aime tant cette petite diversion
Cest la première fois quon me fait ça
il faut dire que si lidée de le faire à mon bobrun ma tenté très tôt, celle de le recevoir ne ma jamais vraiment titillé lesprit, en premier lieu parce que jamais je naurais imaginé quil puisse envisager cela, et surtout dans ce sens
Javais tort
sa langue puissante et souple me titille, me secoue, me chauffe
et cest rudement bon
bon à en pleurer
tellement bon que ça en devient rageant lorsque ça sarrête
non, pas déjà
Bah, si
lorsque mon bobrun a décidé que ça sarrête, eh ben
ça sarrête
je le vois relever la tête, dégager mes jambes de ses épaules, décoller son bassin du banc et se remettre débout
je sens ses main chaudes et directives sur mon corps, je me laisse faire, je tente de deviner ses intentions
Je comprends très vite que son souhait cest de me mettre à plat ventre sur le banc
il ne me reste quà mincliner devant la manifestation de ses envies
Je me retrouve plaqué sur le banc, le visage pile au bord
je tourne mon visage, je pose ma joue sur la planche
je me prépare à le recevoir en moi
voilà, le moment est arrivé
après mavoir bien chauffé, il va prendre ce qui lui appartient
Oui
mais non
je frissonne lorsque je me rends compte que ce nest pas son gland qui se presse à lentrée de mon ti trou, mais à nouveau sa langue déchainée
elle sy attarde pendant un petit moment, gourmande, insatiable
Puis elle décolle
elle délaisse ma rondelle pour remonter tout lentement le long de ma colonne vertébrale jusquà mon cou
cest un mélange de plaisir et de petits picotements, de frissons et de petites chatouilles qui parcourt mon dos et qui sirradie dans tout mon corps
en un mot, cest divin
Je ferme les yeux pour mieux apprécier la caresse de cette langue, me demandant jusquoù elle va aller
je sens le passage lent et humide arriver entre mes omoplates
mes sensations en sont alors démultipliées
je perds le contrôle
je savoure ce moment de lévitation de mon esprit, tout en profitant également de la chaleur de ses mains qui prennent appui et se déplacent sur mon dos, sur mes flancs, sur mes épaules pour supporter la logistique du merveilleux voyage de sa langue le long de ma colonne
Et lorsque sa langue commence à remonter mon cou jusquà effleurer la région sacrée de la base de ma nuque
là jai limpression que toute ma peau est en train de sembraser
Cest à ce moment-là quune nouvelle puissante sensation vient à moi
alors que mon corps est tout concentré sur le plaisir sensuel de ce contact à la base de ma nuque, mon bobrun vient en moi
son gland sinsinue lentement, il glisse tout doucement, jusquà ce que ses couilles se posent contre mes fesses
Il est en moi
bien profondément en moi
je suis à lui, mon cul est à lui, à sa libre et complète disposition
jai limpression que mon corps tout entier est parcouru par des décharges électriques, que chaque sensation est découplée
mon ti trou est ultra-sensible
je suis très réceptif, ainsi chauffé par sa langue
Je sens ses mains puissantes prendre fermement appui sur mes épaules
et lorsquil commence à limer mon petit puit de bonheur, cest avec des foulées amples et lentes quil démarre le bal
Le bogoss me baise lentement, mais puissamment
la lenteur de ses glissements alternés fait que je sens particulièrement bien le passage de son engin en moi, que jen apprécie toute la force, tout le gabarit
je sens chaque centimètre coulisser en moi
me voilà partagé entre avoir envie que ça se déchaine et que ça devienne plus brutal
et le bonheur de ce slow sexuel qui me permet dapprécier des sensations et des nuances de sodomie encore jamais expérimentées
Quel petit con, ce Jérém
mais que petit con sacrement doué pour la baise
De temps à autre, il sarrête au plus profond de moi
et là, pendant un court instant, avant quil ne réenclenche la marche arrière, ses mains prennent appui tour à tour sur mes hanches ou sur mes épaules, et je me sens vraiment dominé pas sa queue puissante
je me sens bien baisé
comme jaime, comme je le mérite
je suis le mouvement comme en état dhypnose
Et lorsquil commence à se déchaîner, lorsque ses cuisses tapent contre mes fesses en provoquant des claquements sonores et sourds à la fois
lorsque ses couilles bien pleines et bien chaudes frappent lourdement contre mon entrejambe et parfois contre mes propres couilles
je chauffe tellement que j'en tremble
je perds le contrôle, je ne sais plus où j'habite
et je me laisse aller
jai envie de crier
je narrive plus à me contenir, à me contrôler
le plaisir, lexcitation, le profond bonheur de me sentir à lui
le mélange de sensation que ce petit con sait moffrir est si puissant que des gémissements séchappent de ma bouche
dans le feu de laction, je crois que je deviens très bruyant
Au point quune de ses mains finit par quitter mon épaule et se poser sur ma bouche pour me contrôler
geste qui a le pouvoir non pas de me calmer, bien au contraire, mais en tout cas de me faire comprendre quil faut que je la mette en sourdine
Le bogoss se déchaîne
cest trop bon l'avoir en moi
jai trop envie de lui faire savoir
« Baise-moi, Jérém, baise moi autant que tu veux
tu es trop doué pour ça
cest un truc de fou
».
Jai envie quil me balance de bons gros mots crus, quil me fasse sentir bien soumis, bien à lui, sa femelle
hier après-midi, ce petit jeu ma bien chauffé
et jai bien senti que lu aussi ça le chauffe à bloc
alors, pourquoi se priver de ce bonheur partagé ?
Je viens tout juste de terminer ma phrase que le bobrun ralentit ses coups
je sens sa queue changer dangle dentrée, tout en continuant à me limer
je sens la peau de son torse se poser sur celle de mon dos, le poids de son corps écrasant le mien, son souffle chaud et haletant caressant ma nuque
Et là, je lentends chuchoter tout près de mon oreille :
« Je te baise bien, hein ? ».
Ça y est
le bogoss a mordu à lhameçon
je sens quon va samuser à ce petit jeu qui samorce
alors, allons-y
je vais te chauffer à bloc mon petit
« Il te plaît bien mon cul
il est bien calibré pour ta queue
je suis ta pute
».
Lexcitation me rend dingue
je sais que certains de mes mots me feraient rougis de honte à froid
je sais que je vais regretter mon excès de soumission à lui
mais là je suis trop chaud et aucun mot me semble trop grossier pour chauffer mon bobrun
« Tavais envie de gouter à ma queue, cest pour ça que tes venu
»
« Jérém
tu es mon m
[Nico, évite le mot « mec », ça pourrait être mal pris
]
Jérém
tu es mon
m
âle
».
« Oui, et toi une petite salope qui me vide les couilles ».
« Putain, quest-ce quelle est bonne ta queue
».
« Ça te plait quand elle te démonte le cul
» fait-il en mettant quelques coups de bassin très puissants, violents.
« Tu es tellement puissant
tu es un véritable étalon
».
« Ta seule et unique envie cest de te faire démonter le fion
».
« Oui, par toi
vas-y
démonte-moi ! ».
« Je vais tellement te défoncer que tu ne vas plus pouvoir tasseoir
».
« Cest tout ce que je veux
te sentir en moi longtemps après que taies joui en moi
ah, cest bon
putain que cest bon
tu me fais jouir comme jamais tu mas fait jouir
».
Sa fougue est impressionnante
est ce que cest leffet dopant, la drogue puissante de la victoire qui le met dans cet état déphorie sexuelle ? Ou bien mes mots, mon attitude déchainées ?
En tout cas, son entrain est un pur bonheur pour moi
« Tu prends ton pied, mec ? » jai envie de lui demander.
« Tinquiète pour mon pied
».
« Il bon mon cul, nest pas ? » je relance.
« Il est toujours chaud comme la braise
».
« Toi aussi tes chaud comme la braise
et tes surtout chaud pour la baise
cest pour ça que mon cul est si offert
il est tout pour toi
».
« Profite bien du voyage, ça ne va pas durer
».
« Tu aimes me baiser parce que jai une bonne bouche et un bon cul
».
« Cest ça
».
« Parce que tu peux me faire tout ce que tu as envie
parce que tu prends ton pied avec moi comme avec personne dautre
».
« Je tai dit de pas tinquiéter pour mon pied
je suis un mec
dès que ma queue est bien enserrée et au chaud, je prends mon pied
».
Petit con, va
tu vas voir
on va voir si mon cul est si banal
« Tu vas bientôt jouir ? » je me renseigne.
« Je vais bientôt te farcir, oui
ten as envie, hein ? Tattends que ça, te faire remplir
» fait-t-il, la voix de plus en plus méconnaissable, altérée par leffort et lexcitation.
« Oui
mais pas encore
».
Et, ce disant, profitant du fait que le bogoss a un peu relevé son torse et quil ne me retient plus que par les hanches, je me dégage de lui
jai envie de prendre les choses en main
je sais que mon geste est absolument fou, car, ne voyant pas son visage, il mest impossible destimer à quelle distance le bogoss se trouve de son orgasme
le risque dune jouissance ratée est réel, acte impardonnable à légard dun si beau garçon, dun si bon champion et dun si bon coup
Je viens de me déboiter de lui mais je le sens encore en moi, mon trou béant, mon envie incandescente criant un manque violent
Je me retourne et je le regarde, désormais assis à cheval sur le banc, le torse incliné vers larrière, les bras eux aussi tendus vers larrière, les mains prenant appui dune part et dautre de la planche
toutes tablettes dehors, tout le corps brillant dune fine couche de transpiration, la respiration rapide, la queue raide, humide, le visage et le haut du torse rougis sous leffort, le regard chaud, noir
mais putain quest-ce quil pue le sexe ce petit con
Si cétait un tableau
il faudrait appeler ça
« La testostérone »
Moment de pure poésie, poésie à laquelle le bobrun, sans se démonter, ne tarde pas à porter sa savante contribution :
« Ramène ton cul, dépêche-toi ! ».
Je trouve sa réplique à la fois dun érotisme sans nom et étrangement amusante.
Un petit macho pareil, ça ne sinvente pas
un petit macho capable de verser des larmes sur un terrain de rugby après une victoire et une heure plus tard me baiser avec cette puissance et cette arrogance
je crois que je tiens là un spécimen vraiment unique
Jen meurs denvie de ramener mon cul, bien évidemment
mais pas tout de suite
je soutiens son regard, de plus en plus noir, de plus en plus sauvagement viril
je laisse passer quelques secondes
Japproche alors lentement pour aller masseoir à califourchon sur le banc, en face de lui
Dès mes fesses posées sur le banc, je le vois allonger les bras, porter ses mains vers mon bassin, sans doute dans lintention de me prendre comme ça, par devant et de lâcher très vite son petit jus chaud bien au fond de moi
perspective, jadmets, plus que tentante
jadore lorsquil est si entreprenant, lorsque lapproche du plaisir précipite ses gestes et fait ressortir ses instincts de mâle en rut
Pourtant jai autre chose en tête et jai décidé que ce coup-ci cest moi qui fixe les règles
Mes bras saniment, interceptent les siens et bloquent leur avancée
je le fixe tout droit dans les yeux et je vois un mélange de surprise, dagacement et de frustration balayer son regard brun
« A quoi tu joues ? » je lentends aboyer dans la foulée, tout en commençant à gonfler les muscles de ses épaules et de ses biceps pour se dégager
Vite
vite
il faut un truc pour le calmer
je lâche son bras droit, je libère ma main gauche par la même occasion pour lui confier la délicate mission de se poser en urgence sur sa queue, commencer à le branler assez plaisamment pour détourner lattention du bobrun et me faire gagner un peu de temps
Ma gauche réussit sa mission
haut la main
enfin
bas la main
bref
elle réussit à merveille
ce simple contact a le pouvoir de faire cesser illico toute tentative de se dégager
ses bras se baissent aussitôt, ramenant ses mains prendre appui sur les bords de la planche
Je le vois fermer les yeux, mordiller sa lèvre inférieure
cest un spectacle divin
Le fauve calmé, je me sens laudace de poser mon autre main sur ses pecs (ah, putain, quest-ce que cest bon le contact avec le torse dun bogoss avec quelques poils
même si ça commence juste à repousser et que ça pique plus que ça ne caresse)
et là, il me suffit dune très légère pression pour que le torse du bogoss accepte de suive le mouvement
Un instant plus tard, son dos et sa tête sont posés sur le banc
alors que ses jambes sont toujours posées de part et dautre du banc, les pieds bien par terre
même position que tout à lheure, pendant la pipe
Je me lève, javance lentement jusqu'à ce que mes jambes dépassent les siennes, tout en sy frottant au passage de façon plutôt appuyée
le bogoss me regarde faire, le regard interrogatif
Mon fessier est désormais à laplomb de son bassin, de sa queue
le bogoss ouvre un peu la bouche, ses paupières tombent lentement mais lourdement, il expire bruyamment lair de ses poumons
je crois bien que mes intentions sont dévoilées
et quelles sont bien accueillies
Et jen ai la certitude lorsque le bobrun, en me devançant tout juste dune fraction de seconde, saisit sa queue et la met bien à la verticale, son gland effleurant mon entrejambe
Je ne tarde pas plus
je plie mes genoux
jajuste lalignement entre mon ti trou et son gland en me basant uniquement sur des sensations tactiles
et une seconde plus tard je mempale sur lui
Je reste un petit moment assis à califourchon sur mon bel étalon, mes mains sactivant sur ses pecs rebondis, sur ses tétons durs et doux à la fois
quest-ce que je taime, mon Jérém
Je prends appui sur mes pieds et en jouant avec mes genoux et mes cuisses, je commence à monter et descendre autour de sa queue
Le bogoss a lair dapprécier, dautant plus que cest moi désormais qui assume tout leffort de son plaisir
le mec na rien à faire
juste savourer son plaisir de mec sans le moindre effort
cest moi qui lui offre mon cul, que je mactive pour le bonheur de sa queue
cest moi qui fait tout
cest moi qui contrôle la baise, qui contrôle son plaisir
Son rôle à lui, cest celui dun mec actif
mais qui sactive vraiment dans lhistoire ?
Son rôle à lui, cest prendre son pied
mais est ce que ce plaisir il le prend vraiment comme un voleur
ou bien il le prend
parce que cest moi qui lui donne ? Dans ce cas, il accepte bien dêtre soumis à mes talents
Qui domine lautre à cet instant précis ? Le fauve, serait-il dompté grâce au réflexe pavlovien associé à son propre plaisir ?
Jai envie de tout tenter
de tout oser
je déplie entièrement mes jambes, je relève mon bassin, coupant presque le contact avec son puissant engin
je sens tout juste son gland encore effleurer mon entrée de bonheur
je fais le malin, mais elle me manque déjà
la sentir si proche de moi et pas en moi est une véritable
je me fais violence, mais jarrive à tenir
Et à aller même encore un peu plus loin dans ma mutinerie
je remonte un peu plus mon bassin et sa queue se dégage de mon entrejambe en claquant une fois de plus lourdement sur ses abdos
Soudainement, je ressens une envie puissante de le reprendre en bouche
cest ce que je fais, en pompant avidement son braquemart sur quelques va e vient plutôt musclés
Quelques instant plus tard, mon bassin se repositionne pour caler sa queue dans ma raie
jentreprends alors des va et vient avec mes reins, des frottements répétés, des frottements destinés à stimuler et à agacer son gland
Le bogoss a lair de sacrement aimer ça
un mélange de frustration de ne pas être déjà en train de jouir au fond de moi, et denvie de sabandonner à ce plaisir inattendu
On ne peut pas trop faire attendre un mec lorsque son excitation senvole, sous peine de le voir simpatienter et partir dans les tours
ou bien partir tout court
Je le regarde dans les yeux
le bobrun est en train de bouillir
je le vois lever les bras, porter ses mains sur mes fesses, amorcer le mouvement pour à la fois relever et faire reculer mon bassin, en vue dune pénétration qui lui parait nécessaire sur le chemin dune jouissance que son corps commence à réclamer de toutes ses fibres
« Shhhhh
laisse-moi faire
» je lâche tout doucement, sur le même ton avec lequel on tenterait de calmer un caprice de gosse.
« Dépêche-toi de me faire jouir ! » ce sera sa sommation.
Bingo. Cest moi qui le fais jouir. Cest moi qui a la clef de son plaisir
javoue que ça fait bizarre de penser à ma cousine dans cette situation
et pourtant
ses mots sont prophétiques
Je recule le bassin de mon gré, mamusant à titiller son gland coincé entre mes fesses mais pas encore admis à venir dans mon puit de plaisir
mon attitude commence sérieusement à agacer le bogoss
jadore
jen profite pour enfoncer un peu plus le clou (verbalement parlant, ça va de soi) :
« Tu le veux mon cul, hein ? ».
« Tu me saoules ! » je lentends lancer, agacé.
« Vas-y, dis-le que tu en as envie
» je le harcèle, tout comme lui lavait fait un peu plus tôt.
« Jai envie de te remplir le cul pour te montrer comment jouit un mec
» finit-il par aboyer en remontant le torse de façon menaçante, dans sa voix ce ton énervé qui le rend encore plus sexy
« Dépêche-toi ! » il ordonne.
« Je vais te faire jouir, tinquiète
» je le rassure, tout en portant à nouveau ma main entre ses pecs, lobligeant ainsi à sallonger une nouvelle fois sur le banc
un instant plus tard, je mempale à nouveau sur sa queue et je recommence mes flexions sur les jambes pour permettre à la rondelle de limer sa queue et lapprocher de son orgasme
pour lui permettre de men mettre plein le cul
Bien quassez physique, jadore cette position
cest vraiment génial de pouvoir maitriser une sodomie passive
donner le tempo
voir safficher sur le visage du mâle, en temps réel, les vagues de plaisir que mes différents mouvements sur sa queue lui procurent
Je monte
je descends
je monte
je descends
jobserve son corps en train de chauffer de plus en plus
je sens que mon corps aussi est en train de chauffer dangereusement
je sens la transpiration couler de mon front, ruisseler sur mon nez
cest un déchainement
ses mains puissantes agrippent mes cuisses, mes fesses
Je le sens bien en moi, je le sens comme rarement je lai senti
jai limpression que son manche brulant est en train de remodeler mon intimité
mes flexions sont de plus en plus rapprochées
mes mains complétement débridées le caressent partout, sattardent sur ses tétons, se promènent sur ses pecs, se font plaisir en effleurant ses joues, son menton, son cou
Le bobrun respire très fort, il ferme les yeux sous la montée du plaisir... ce plaisir qui monte grâce à moi
un plaisir qui monte également en moi, un plaisir qui a guidé ma main gauche, presque à mon insu, à se poser sur ma queue pour la branler vivement
Si cest pas beau le voir grimacer de plus violemment, de voir sa respiration se transformer en ahanement
le voir perdre le contrôle de son corps et de son esprit et lentendre enfin me lancer, le souffle coupé, la voix étranglé par le râle puissant qui veut séchapper de ses poumons :
« Tu vas mavoir
je vais te remplir le cul
».
Jadore le voir perdre le contrôle de lui-même, être à la complète merci dun plaisir ravageur
« Oui, tu vas me faire cadeau de ton jus, mec
» je lencourage.
« Tu vas ten prendre plein le cul ! » il me lance, fou de plaisir.
« Sil te plait
remplit-moi ! » je le chauffe.
Et lorsque lorgasme lenvahit, je vois tout son corps se contorsionner dans un spasme géant, sous leffet dun plaisir intense, presque douloureux qui est en train de le secouer de fond en comble
prenant appuis sur ses fesses et ses épaules, son dos se cambre, les pecs se bombent de façon impressionnante, ses tétons pointent, les abdos se bandent
La tête part en arrière, mettant bien en évidence son grain de beauté dans le cou à la Josh Harnett, laissant ressortir sa pomme dAdam de façon saillante, animée elle aussi par des mouvements rapides, nerveux
incontrôlés
son visage se tourne sur le côté, alors que sa main se porte sur son front comme pour se protéger de la déferlante dun plaisir aussi violent
Lorsquil jouit enfin, cela provoque également dautres conséquences
tout pris à observer cette merveilleuse image de bogoss en train de se vider les couilles en moi, je nai pas vu autre chose venir
Jérém na pas encore fini de frissonner sous les décharges électriques amenées par lorgasme que je sens une chaleur intense se propager dans mon bas ventre
tellement intense et rapide que, malgré lempressement désespéré de ma main à lâcher laffaire afin déviter un grave accident diplomatique, une succession de jets atterrit sur son torse dessiné
Le bogoss jouit et son plaisir déclenche le mien
et avec mon plaisir, mon angoisse
ça y est, là il va me démonter
putain
jaurais dû me maîtriser
là cest foutu
Mais là encore, mon bobrun va me surprendre
« Putain, c'est chaud
» je l'entends lâcher sur un ton surpris mais presque amusé, lorsque les premières traînées blanchâtres se dessinent sur sa peau.
Moi je dis
il faudrait que tous les jours il ait à jouer et gagner un match de rugby
Pendant une seconde, jai grave flippé
pourtant, son attitude ayant détendu lambiance, je me dis que cest sacrement beau ce torse de petit con décoré par mon jus
Et quest-ce que cest bon de jouir avec sa queue au fond de moi
avec son jus au fond de moi
Et quest-ce que cest bon aussi de lentendre me lancer, dès les précipitations arrêtées :
« Et maintenant, tu vas tout bien nettoyer, en commençant par ma queue et en remontant sur mon torse
».
Lépisode complet, avec des parties inédites, est sur jerem-nico.com.
Je souhaite à tout le monde, l'équipe qui m'aide au quotidien dans mon projet, les contributeurs sur tipeee.com, les lecteurs fidèles et patients qui suivent mon histoire, ainsi que toute l'équipe HDS un Joyeux Noel et de bonnes fêtes de fin dannée
jespère que ces derniers jours de 2016 vous apporteront bonheur et repos, pour commencer un 2017 plein de projets, denvies, de belles choses.
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