Kary Partie-06

-Bon, je suis fière de ma nouvelle acquisition. Te rend tu comptes petite salope que tu fais maintenant partie de mes choses les plus précieuses.

-Heu!... Oui… Merci Madame.

Je vais instaurer de nouvelles règles à présent que tu vas devoir suivre à la lettre. Il ne faut pas que tu oubli à chaque soir avant de te coucher que tu dois continuer d’écrire ton journal intime et cela tous les soirs sans exception.

-Oui Madame.

-De plus à partir de maintenant tu vas m’envoyer un texto chaque fois qu’il se passe quelque chose, je veux savoir en tout temps ou tu te trouves et ce que tu fais, c’est compris petite pute.

-Oui Madame.

-Cela veut dire que je veux un texto lorsque tu te lèves le matin, lorsque tu vas te coucher, lorsque tu reçois un appel téléphonique, lorsque tu es à l’épicerie, arrivé au travail, lorsque tu dine avec une copine, avec tes parents, enfin je veux tous les détails de chacune de tes journées sans exception et en temps réel. C’est clair.

-Oui Madame.

Elle voulait vraiment prendre le contrôle de ma vie au sens propre. Je venais vraiment de plonger dans cette nouvelle vie. J’étais tellement nerveuse, tout ce contrôle, le fait d’être littéralement possédé par quelqu’un, c’était terrifiant. Mais en même temps, c’était jouissif.

-Aussi à partir d’aujourd’hui je veux que tu continu de bien entretenir ton corps, je veux qu’il reste comme cela sans aucun poil.

-Pas de problème Madame, depuis très longtemps je voulais que mon corps n’ait aucun poil. Alors je me suis fait faire tout le corps à l’électrolyse et au laser. Depuis près de deux ans maintenant il n’y a plus rien qui pousse à aucun endroit.

-Une vraie petite salope toi alors, J’en suis ravie. Maintenant tu vas aller sortir tous tes jouets bdsm et sexuelles et tu vas les disperser sur ton lit.

Je suis donc partie en direction de ma chambre, mais aussitôt un pas de fait que Madame ma giflé en m’ordonnant de faire le trajet à quatre pattes.

J’ai donc parcourue le couloir suivit par ma Maitresse qui en profitait sûrement pour observer la croupe offerte à elle. Une fois dans ma chambre elle m’a permis de me relever. J’ai pris la clef de mon coffre à jouet qui se trouve dans le dernier tiroir de ma table de chevet et je suis allée dans mon walk-in chercher tous mes jouets que j’ai étalé sur le lit. J’avais honte d’exposer ainsi ces choses si intime, tous ces jouets qui m’avait permis de tenir le coup, qui m’avait permis de contrôler mes pulsions dévorantes.

-Allez au coin maintenant.

Je me suis approché d’un coin de ma chambre, face au mur. Madame c’est approché de moi et à placé mes mains dans mon dos, puis elle m’a obligé à garder les jambes bien écartées. Elle m’a ensuite pincé les lèvres vaginales avec force et tirée avec sa main vers le haut. Je sentais mes lèvres s’étirer, je me suis retrouvée sur la pointe des pieds, le visage contre le mur. Elle m’a maintenue ainsi tout en me faisant la leçon.

-À l’avenir, lorsque je vais te dire au coin, petite pute, tu trouves le coin le plus près, tu t’y rends, tu places tes mains dans ton dos et tu écartes les jambes et tu appuis ton front sur le coin. Sauf si je te donne une autre consigne.

Slacccc! Slacccc! Slacccc! Elle avait relâché ma vulve sensible et me donnait de fortes claques sur les fesses.

-Alors t’as compris petite pute.

-Oui Madame.

Après m’avoir asséné une dizaine de claques supplémentaires elle s’est éloignée. Pendant plusieurs minutes elle n’a fait aucun bruit, elle examinait sûrement mes jouets exposés au grand jour sur le lit. Je l’imaginais regardant ma boite temporelle, mes menottes, mes cordes de diverse longueur, ma roulette dentelée, mes bracelets de cuire, mes bandeaux, mes ball gag, mes dildos et mes vibrateurs de toute sorte... De temps à autre elle devait aussi jeter un coup d’œil sur mon corps nue dans le coin avec mes fesses rougit par sa main experte.
Je tremblais toujours, j’étais plongé dans cette nouvelle réalité qui m’enveloppait. Ma vie vanille s’emblait s’effacer doucement. Après toutes ses minutes de silence et d’angoisse elle s’est approchée de moi pour me priver du sens de la vue avec un de mes bandeaux. Elle a saisi mon bras, j’ai donc dut la suivre. Nous nous sommes rapprochées du lit et elle m’a fait mettre à genou sur ce qui m’a semblé être un oreiller. Puis, ses mains ont empoignées ma tête pour la tirer vers l’avant. Soudain j’ai senti ma bouche buter contre son corps. Elle a augmenté alors la pression de ses mains et j’ai compris alors que j’avais la bouche collé sur ses lèvres vaginales. Ouach! Ouachh! J’avais la bouche sur sa vulve, c’était dégoutant.

-Allez petite pute, tu vas honorer ta nouvelle Maitresse comme il se doit. Allez lèche moi salope.

Je ne pouvais pas parler, mon visage était plaqué contre sa vulve. J’avais des hauts le cœur, J’ai quand même sorti ma langue et j’ai commencé à lécher ma nouvelle Maitresse dans l’espoir de là satisfaire malgré mon dégout. Je lui appartenais, c’était mon devoir, même si cela me répugnait. Parfois ma langue s’insinuait dans son vagin, tantôt elle titillait son clitoris. Au fur et à mesure que je me familiarisais avec la vulve de maitresse, je commençais, à ma grande surprise à y prendre goût. Ma langue longeait ses grandes lèvres, ma bouche goûtait son jus, et à ma grande surprise il était si délicieux. Le souffle haletant de ma nouvelle Maitresse ainsi que ses bruits de plaisir m’encourageaient à être encore plus énergique.

-Ahaaahh! Ahhh! Je suis tombée sur une vraie salope, j’aime ça, continue… Plus fort, encore…

J’étais en transe, mon esprit à ce moment précis était vide, mon seul objectif était de satisfaire ma Maitresse et de profiter de cette vulve si repoussante au début mais qui était devenue en quelques minutes une friandise merveilleuse. Je me délectais de toute cette mixture visqueuse et odorante émanant de ce puis de plaisir.
Puis j’ai senti les cuisses de Maitresse se serrer contre mes oreilles, très fort, puis elle a frotté ma figure contre sa vulve trempée. J’avais son jus partout sur mon visage, sous les effets de va et vient j’avais perdu mon bandeau, j’étais heureuse. Le peu de lumière qui parvenait sous la jupe de Maitresse par contre, ne me permettait pas de voir sa vulve malheureusement. Elle a retiré rapidement ma tête de sous sa jupe et m’a regardé.

-Hum! Je pense que j’ai fait une belle acquisition aujourd’hui.

Elle me regardait droit dans les yeux. J’ai cru voir un léger sourire sadique derrière son masque transparent. J’étais heureuse aussi, je venais de découvrir que je prenais plaisir à lécher une autre femme. Mon visage imprégné de son jus, de son odeur, me rendait fière. C’était la première fois de ma vie que je faisais jouir une femme et il semble que j’avais bien fait cela. Est-ce que j’étais lesbienne pour autant, Je n’avais pas de réponse à cela pour l’instant.

-Tu as deux places dans ton garage et j’ai remarqué aussi que tu as un système d’alarme. Alors donne-moi une de tes commandes de portes, le double des clefs de ton condo et aussi ton code d’accès. Dépêche salope.

-Oui Madame.

Je perdais vraiment le contrôle de ma vie. Je pouvais utiliser mon droit de véto pour mettre immédiatement un terme à notre entente avant que cela aille trop loin, mais dans ce cas, je passerais à coté de ce que j’ai toujours voulu. Alors résigné je suis descendu au garage chercher la commande pour la deuxième porte, j’ai été cherché le double des clefs dans ma salle d’ordi et je suis revenu me placer à genoux devant Maitresse assise à présent dans le fauteuil au salon.

-Voilà Madame… la commande et les clefs… Mon code d’accès est 7525.

-Très bien alors... Ici maintenant c’est mon condo, tu comprends…Ce qui t’appartient, m’appartient, puisque tu es ma propriété.

-… ouffff… Oui Madame.

Elle venait de prendre possession de mon condo, je n’en revenais pas.
En si peu de temps, c’était impensable. J’étais dans tous mes états.

-Dit moi ce que tu dois faire pour moi maintenant.

-Bien, je dois vous obéir sans discuter et faire tous ce que je peux pour vous faire plaisir Madame…

-Non… Dit moi ce que tu dois faire au quotidien pour moi, quel sont tes tâches, tes obligations.

-Je dois… Je dois écrire mon journal à tous les soirs avant d’aller au lit… Et vous informer par texto de tous mes déplacements et activité durant la journée.

-Bien… Au coin salope.

Je me lève aussitôt et cherche le coin le plus prêt. J’écarte les jambes et appui mon front sur le mur sans oublier de placer les mains dans le dos. Maitresse est venue installer des bracelets à mes chevilles, reliées avec un cadenas, et a menotté mes mains dans mon dos. Elle a ensuite placé un ball-gag dans ma bouche.

-Maintenant écoute moi bien, tu vas rester contre le mur aussi longtemps que ton téléphone ne sonnera pas. Bien sûr tu ne pourras pas répondre puisque tu as un ball gag, mais ce sera le signal pour te libérer. À bientôt ma salope.

-Humm, hummm, hummm.

J’ai entendu Maitresse sortir par la porte avant et j’ai cru entendre qu’elle avait verrouillé la porte derrière elle. À peine une minute plus tard mon téléphone a sonné. Elle me permettait de me libérer immédiatement. Je me suis retournée et j’ai immédiatement vue sur le plancher près de moi, ma boite temporelle. Elle indiquait 2h32 minutes restantes. Je me suis empressé de regarder l’heure sur mon enregistreur illico, celui indiquait 12h20. Je devais aller travailler à 16h00…

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