Sophie, Ma Muse
Tout a commencé en cette année qui marqua des changements profonds dans ma vie quotidienne. Suite à un déménagement, je me retrouvais dans une région et ville que je ne connaissais pas du tout. Nouveau chez soi, nouveau travail, nouveau collègue.
Justement le changement le plus fort intervient avec une rencontre dans le cadre professionnel. Au cours du mois de septembre après mes deux premières semaines dans mon nouvel emploi, je vis arriver un matin une jolie fille châtain de petite taille, des yeux clairs avec des formes parfaites et proportionnées dans le bureau en face du mien. Elle se prénommait Sophie.
Le destin fit bien les choses car dès le mardi jai pu grâce au travail partager quelques moments avec elle. Dune certaines froideurs au premier abord, jentrepris la discussion avec elle et nous échangeâmes quelques mots. Je ne le savais pas encore à ce moment là mais cette fille allait devenir ma muse et celle avec qui jallais partager des moments inoubliables. Je remarquais le lendemain une bague sur son annulaire gauche et me posait subitement la question de savoir si elle avait quelquun ou pas dans sa vie. Au fil des jours jai réussi à soutenir cette information et il savérait quelle était libre comme lair. Quelle ne fut pas ma joie dapprendre cela... car en moi javais déjà comme objectifs de la séduire et partager tout un tas de moments à ses côtés. Elle me faisait perdre la tête, je rêvais delle la nuit, jétais complètement sous son charme tant sa beauté méblouissait
je nexagère pas. Cette fille fait tourner la tête à tout un tas dhommes au quotidien.
Quelques jours plus tard, je lui envoyai un mail sous notre boite professionnelle en espérant quelle me répondrait. La réponse ne se fit pas attendre et au fur et à mesure des jours les échanges devenaient plus long, plus profonds. On apprenait à se connaitre doucement et enfin peu de temps plus tard elle me donna son numéro de téléphone. Nous nous échangeâmes tout un tas de messages dès le premier soir et javançais doucement il est vrai mais je ne voulais pas tout gâcher bêtement tellement jétais tombé sous son charme.
A travers mes messages, je glissais souvent des petites allusions lui montrant que je voulais être à ses côtés mais ne lui avouait pas véritablement. Un jeudi de la fin du mois de septembre je lui proposais de se voir durant le weekend. Elle accepta et minvita chez elle le dimanche suivant.
Jétais impatient dêtre ce jour, tant le désir dêtre à ses côtés mhabitait en permanence.
Ce jour la arriva et je mapprêtais longuement pour paraitre le plus parfait possible à ses yeux. Elle vivait à dix minutes de chez moi et javoue que le trajet fut rapide tant jétais pressé de la retrouver.
Jarrivais au bas de chez elle, cétait dans un immeuble de ville au premier étage dun petit bâtiment surplombant une rue de commerce. Je sonnais à son interphone et elle mouvra. Je pris un long couloir de couleur grise et montait lescalier. Sophie mattendait sur le pas de sa porte, vêtu dun pantalon noir simili cuir avec un haut de la même couleur. Son maquillage se faisait discret mais je navais dyeux que pour elle et sa beauté.
Je découvris son chez elle, un petit appartement avec une petite cuisine, un salon mêlant du violet et du gris et sa chambre avec son couvre-lit violet. Je mimaginais déjà dedans avec elle alors que je venais à peine darriver. Une fois la visite du propriétaire faite, elle me proposa de boire un verre avec elle dans son canapé. La télévision diffusait un film que je navais pas encore vu avant ce jour et qui se prénommait destination finale.
Je minstallais dans le canapé et Sophie fit pareille, nous échangeâmes sur le travail au départ mais la conversation devint plus personnelle et je lui posais dautres questions sur sa vie. Doucement mais surement je me rapprochais delle dans son canapé, je la contemplais du regard. Ses jambes étaient allongés sur un pouf et je pouvais voir ses pieds vernis en orange, ses fines petites jambes et sous son haut je devinais le début de son soutien gorge rosâtre. Elle navait pas une grosse poitrine mais je mimaginais déjà lui embrasser ses seins.
Nous mangeâmes ce qui atténua quelques peu mes ardeurs durant ce laps de temps. Après le repas, je mapprochais à nouveau delle et lui pris la main. Elle se laissa faire et je lui fis un petit bisou sur celle-ci.
Sophie mavoua commencer à avoir froid au pied malgré les 24 degrés de son appartement, je me proposais de le lui réchauffer en les massant. Elle se tourna sur le côté et me les posa sur mes cuisses, je pouvais les contempler et mes mains prirent possession de ceux-ci. Le contact peau contre peau fut froid et je mactivais rapidement sur sa voute plantaire, orteils et chevilles. Mon sexe gonflait de nouveau au travers du pantalon et je pense quelle le remarqua en hochant un sourire et en me demandant si javais un souci. Je lui avouai que jétais excité par ses pieds et que jaimerai bien les embrasser. Cela la fit rire mais accepta de se laisser faire. Ma bouche se posa sur le dessus et parcourra sa peau tiède. Ma main gauche remontait doucement mais surement le long de ses jambes et au bout de quelques instants je me redressai et approcha mon visage du sien et nos lèvres se collèrent lune à lautre pour la première fois. Depuis tellement longtemps je rêvais de ce moment que jétais en extase. Tout en continuant de lembrasser je la collais contre moi avec ma main gauche pendant que ma main droite se glissait sous son haut. Le contact de son ventre contre ma main me fit frémir. Ma bouche descendant lentement dans le creux de son cou et ma langue par moment venant lécher le creux et lobe de son oreille. Je voulais que ce moment ne sarrête jamais tellement mon excitation était forte. Jétais avec la fille dont jétais sous le charme et que je considérais déjà comme ma fleur rare, mon edelweiss à moi.
Ses mains à elle glissaient sous mon t-shirt et je sentais sa peau douce le long de mes pecs. Elle ne tarda pas à môter celui-ci et je fis de même, lui laissant son soutien gorge rose et noire.
Ma main droite caressait tant bien que mal son sexe tout humide qui nattendait que moi.
Après quelques minutes, je lembrassais à nouveau à pleines bouches et nos sexes se frôlèrent. Une sensation indescriptible tant le bonheur dêtre blotti avec elle était puissant.
Je neu aucun mal à faire rentrer mon gland que je fis coulisser lentement pour lui arracher un petit cri aigu. Quand je sentis mes testicules contre ses fesses je commençai un long et lent mouvement de va et vient tout en alternant des bisous sur ses seins et sur ses lèvres. Je sentais son désir se décupler à chacun de mes mouvements et je tentais tant bien que mal de me contrôler. Par moment je sentais ses ongles se planter dans le creux de mon dos et sa bouche me mordiller mes pecs. Mes mouvements se firent plus rapides et elle positionna ses pieds de manière à menserrer le bas du dos pour que je ne puisse sortir mon sexe complètement du sien. Au bout de plusieurs minutes je lui fis part de mon envie de changer de position et je mallongeai sur le dos et elle vint à califourchon sempaler sur mon sexe dur pour elle. Sophie allait et venait sur moi tandis que mes mains pétrissaient ses seins durs dexcitations. Je sentais ses ongles se planter encore plus fortement dans mon buste et cela mexcitai encore plus. La cadence était de plus en plus rapide et je laidai en accompagnant ses mouvement de coup de reins puissants. Je sentais que la jouissance nétait pas loin pour lun et lautre et dans un dernier mouvement je sentis son sexe se crisper sur le mien signe de sa jouissance. Il nen fallut pas plus pour que je jouisse à mon tour en elle de longues giclées de sperme. Dans un état de fatigue elle seffondra sur moi et je la serrai fort contre moi pour lui montrer mon attachement comme un homme le ferait envers sa femme.
Jétais heureux et le cur empli de bonheur avec cette fille qui était entrain de devenir ma muse.
La suite de mes ébats au prochain épisode si vous voulez la suite
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