La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°839)
Le Marquis dEvans dominant lO (suite de l'épisode précédent N°838)- Episode N°2 - (2/3) Une dernière nuit avant le départ -
Une fois arrivée dans la chambre du Marquis dEvans, sans quil y ait besoin quun seul mot soit prononcé, les quatre esclaves se mirent en position dattente, prosternés avec la tête au sol tout en gardant les jambes bien écartées et le cul relevé au maximum. Le Châtelain savourait de pouvoir regarder les postérieurs et les sexes exposés de ceux et celles qui lui vouaient une Vénération sans bornes. Ce nétait pas par voyeurisme quil agissait, mais bien par pulsion de Domination quil avait plaisir à regarder intensément tous ceux et celles qui Lui appartenaient. Après avoir fait plusieurs fois le tour de Ses esclaves dont IL caressait les croupes de temps à autre, provocant chaque fois un frisson électrisant le corps du soumis ou de la soumise, qui de manière presque instinctive contractait les muscles fessiers avant de se détendre à nouveau et de souvrir encore plus intensément sans la moindre pudeur en écartant les jambes et cambrant le dos. Après sêtre assis dans un large et somptueux fauteuil de velours à accoudoirs, Monsieur le Marquis dEvans mit un terme au silence, pesant mais si excitant tant pour le Dominant que pour les quatre esclaves.
- La soirée a commencé sous la forme dun moment ludique, voulu comme tel même si ce nest pas très habituel en Ma Noble demeure. Car jai toujours considéré la Domination/soumission, non comme un jeu pour mettre un peu de piment dans des plaisirs charnels érotiques, mais bien comme un véritable Art de Vivre que je Vous permets dans ma grande générosité de Dominant affirmé de pouvoir venir vivre à mes pieds. Et ceci afin de laisser exprimer ce qui est profondément inscrit dans lâme de chacun et chacune dentre vous, à savoir la soumission à laquelle vous étiez destiné(e)s.
Ces mots raisonnaient dans les esprits des dominé (e)s qui savaient tous et toutes combien ils et elles devaient être reconnaissants vis-à-vis du Maître Vénéré qui leur permettait de méditer sur ce que Le Maître venait de leur inculqué, qui nétait pas nouveau, mais quil était bon de rappeler régulièrement.
- La partie de cartes dans laquelle le sort déciderait pour chacun de la suite du moment de réjouissances autorisé nest pas tout à fait terminé. Lequel dentre vous avait tiré la carte avec un Roi de pique ?
- Cest moi, Maître Vénéré
(répondit sans attendre lun des deux chiens-mâles, tout en redressant légèrement la tête et en levant le doigt comme un sage)
- Sais-tu quelle est la signification des enseignes, que lon appelle souvent les couleurs dans un jeu de cartes, donc en rouge le cur et le carreau, et en noir le trèfle et le pique ?
- Non, Maître Vénéré, je suis désolé, je lignore. Je nai jamais vraiment été un joueur invétéré avant darriver au Château, et je dois dire que depuis, cest la première fois que je tombe sur un jeu de cartes, car il nen traine guère dans le chenil. Seuls les gardes en ont pour passer le temps lorsquils sont en poste.
La réponse ne se fit pas attendre, un coup de cravache sabattit énergiquement sur la fesse gauche de lesclave qui comprit aussi sec quil valait mieux quil reprenne sa position car il avait dû sexprimer à tort.
- Ma question attendait comme réponse un « oui Maître» ou « non Maître » respectueux lorsque tu es autorisé à tadresser à Moi. Je nai que faire de ton laïus à rallonge et de ta vie vanille avant ton entrée dans le Château. De plus, qui es-tu pour te permettre de juger de la bonne exécution du travail des salariés que jemploie au poste de garde ? Tai-je chargé à quelque moment que ce soit du poste de surveillant de Mes gardes ? Non, évidemment !
Les coups de cravache se firent plus virulents, une fois que Monsieur le Marquis dEvans eut expliqué le bien-fondé de son courroux et de la punition cinglante que cela entrainait. En Dominant juste et éclairé, le Noble ne punissait jamais pour le plaisir de faire mal, dailleurs IL naimait pas punir. Mais si cela était nécessaire, IL nhésitait pas à sanctionner sévèrement sans états dâme, tout en voulant avant tout que la faute soit comprise, la sanction méritée acceptée et que le châtiment enduré puisse servir de leçon pour ne pas risquer de recommencer deux fois la même bêtise.
- Je ne vais pas rentrer dans une explication détaillée, nétant pas coutumier de la cartomancie, et ce, dautant plus que je ne suis pas là pour faire une conférence sur le sujet, mais juste pour passer un moment agréable suivant mon bon vouloir avant de Me décider à dormir pour Me reposer. Le pique signifie entre autres le pouvoir, la loi. Cela tombe très bien que ce soit cette pie bavarde à la langue bien pendue que le sort ait désigné, car je vais pouvoir user de Mon pouvoir
.. Nest-ce pas ? (insistant lourdement sur la fin de la phrase)
En disant cela, Monsieur Le Marquis dEvans attrapa le menton de lesclave et le força à se mettre à genou. Il plongea ses deux grands yeux dun bleu profond et envoutant dans ceux du soumis qui frissonnait déjà et ne put soutenir le regard presque hypnotisant du Dominant plus dune seconde avant de fermer les paupières, faute de pouvoir baisser la tête maintenue fermement. Le Châtelain attrapa les deux lèvres de lesclave entre le pouce et lindex tout en serrant très fort, lui faisant encore plus ressentir par là où il avait péché. Et le tirant par les lèvres, il le conduisit jusquà Son immense lit à baldaquin.
- Quel est donc celle ou celui qui a déposé à Mes pieds la carte avec un Roi de trèfle ?
- Cest Votre esclave MDE ici présente, Maître, répondit une petite voix féminine, tandis quun doigt se levait.
- Alors, cest très bien ! Comme tu le sais le trèfle à quatre feuilles est un porte-bonheur. Dans un jeu de cartes, cest un peu pareil, le trèfle bien quil soit noir symbolise notamment la chance et la protection, mais aussi le mystère. Cest donc la chance qui va te conduire sur Mon lit avec un bandeau sur les yeux pour le côté mystère.
Le Châtelain attrapa un large bandeau noir quil noua solidement autour du visage de Sa chienne femelle. Il prit la laisse qui pendait toujours à son cou entre ses mains et la conduisit en aveugle jusquau lit sur lequel il la fit grimper puis se coucher dans le sens de la longueur, lui écartant les cuisses. Il fit ensuite le tour pour venir en bout du lit afin de lattr par les deux pieds et la faire glisser jusquà Lui, chatte ouverte et luisante, parties intimes qui ne tardèrent pas à se trouver en butée sur le visage de lesclave agenouillé et attaché aux colonnes.
- Et bien, le cabot bâtard autant que bavard, ouvre ta bouche maintenant et sors ta langue de chien. Voilà de quoi la faire travailler plus utilement que de complaire dans la jacasserie. Donne du plaisir à Ma chienne-femelle, cest un ordre ! Je veux lentendre geindre et jouir sous tes coups de langue.
Monsieur Le Marquis récupéra dans un tiroir de la commode un gros plug métallique et il sapprocha de lesclave qui sappliquait dans le cunnilingus quil dispensait avec concentration à sa sur de soumission MDE aux cuisses largement ouvertes et déjà emplie de cyprine onctueuse. IL introduisit le plug dans le cul du mâle avec un petit sourire malicieux, tout en venant lui glisser à loreille :
- Jai oublié tout à lheure de faire remarquer que la forme du pique dans le jeu de cartes est comme un cur renversé dans lequel on aurait « piqué » un triangle. On dirait presque une paire de fesses desquelles ressort un plug près à senfoncer un peu plus
. Comme ceci !
. (ajouta-t-il tout en enfonçant profondément dun trait lobjet de bon calibre dont le cabochon portait les initiales MDE du Maître Vénéré)
Lesclave à sec et pris de surprise par la pénétration du gros engin poussa un cri qui lui valut deux belles fessées de plus sur son arrière-train déjà bien marqué. Mais, il prit sur lui de ne plus réagir et de reprendre sans attendre ses léchouilles baveuses de lentrecuisse humide de la soumise qui commençait à pousser des soupirs de plus en plus caractéristiques de la montée du plaisir féminin. Elle ondulait du bassin de haut en bas et de gauche à droite, prenant presque lascendant des mouvements de son corps sur les coups de langue quelle espérait encore plus profonds et plus développés sur lensemble de ses grandes lèvres intimes, tout autant quautour de son bouton damour qui avait doublé de volume sous leffet des caresses buccales. Le Marquis dEvans pour être certain quIL garderait la Maîtrise sur ce cunnilingus imposé et la jouissance autorisée qui ne cesserait que sur Son ordre de Dominant décida dattacher les deux jambes écartées de la femelle elles aussi aux colonnes montantes au pied du lit, un peu plus haut que les menottes de cuir qui servaient à sangler les bras de lesclave mâle. IL relia également les deux bras aux mêmes attaches, de manière à ce que la chienne-soumise nait plus guère de possibilité de bouger et de se soustraire aux plaisirs qui lui étaient accordés
Le soumis mâle était très excité et ceci malgré la douleur de la pénétration à sec du plug dans son cul et bien planté entre ses entrailles. En effet, il bandait dur autant par le fait de se sentir rempli par le cul que par lhumiliation subite suite à ses propos verbaux. Paradoxalement, il nétait pas fier de ce quil avait osé dire et il sen voulait grandement mais en revanche cela lavait beaucoup excité de se sentir rabaisser de la sorte. Il navait pas cherché à se faire réprimander, loin de là car il avait fauté plus par bêtise et non pour défier le Maître, mais force était de constater que cette simple réprimande lexcitait. Son côté masochiste le rendait ainsi ! Il se sentait à la fois fautif et excité des conséquences de sa faute !
(A suivre
)
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