Baise-Moi Devant Mon Mari ! 4
Samir habitait au rez-de-chaussée dun immeuble. Quand il pénétrait dans son appart dès lentrée il débouchait dans un couloir aux murs recouverts dun papier peint terne à la couleur maculée de vert et de blanc qui le déprimait. Le plafond du couloir de lentrée se constituait de rangées de plaques métalliques collées entre elles et parsemées par plusieurs petits trous à travers lesquels Samir apercevait la tuyauterie alimentant tout limmeuble qui en passant par là le dégoutait. Le salon banal contenait une télévision plate sur un petit meuble, un large fauteuil noir en cuir, un autre grand fauteuil pouvant faire office de lit, le tout entourait une table au style moderne totalement en verre, le tout enjaillait Samir. Louverture sur le balcon quasi à mêle le sol était faite par deux portes coulissantes dune grande surface vitrée possédant un rideau blanc en plastique synthétique quil manipulait manuellement pour le faire monter ou pour le faire descendre selon lintensité des rayons du soleil. Le petit balcon juste après le rideau était encadré par une petite barrière métallique, cest là, sur le balcon que Samir accrochait ses vêtements au séchoir constitué de trois cordelettes fixées aux murs, il trouvait son petit balcon acceptable. Lunique chambre possédait un espace moyen aux murs ornés par un papier peint jaune qui déprimait Samir chaque fois quil y entrait pour dormir, cet affreux papier lui causait des cauchemars terribles. La cuisine assez petite possédait un four dune hygiène plus que douteuse, aucune table, très peu de plats, très peu de fourchettes et cuillères, Samir, la plupart du temps mangeait dehors en bon célibataire. Les toilettes et la salle de bain se trouvaient dans deux pièces distingues, il les jugeait pas à son goût. Rénover entièrement son appartement obnubilait Samir.
-Jai besoin de ton aide Romain. Comme je suis en congé et que je nai rien à faire, jai décidé de rénover mon appartement petit à petit.
-Tu peux compter sur moi Samir.
-Tu vois ce plafond, ça, (il frappa lune des plaques métalliques) jaime pas ça ! À chaque fois que jentre dans ma maison et que je vois ça jai limpression de ne pas être chez moi. Ça ne fait pas beau. Quest-ce-que ten pense toi ?
-Sils lont construit comme ça cest quils avaient une raison !
-Cest parce que jhabite au rez-de-chaussée. Les autres aussi du rez-de-chaussée ont ça. Cest pour faire passer les tuyaux. Ces bâtards nont rien trouvé de mieux que de faire passer les tuyaux chez moi !
-Quest-ce-que tu veux faire Samir ?
-Je veux remplacer ça avec du papier peint, couvrir ça avec du papier peint ou passer une couche de peinture dessus. Je crois que cest mieux de mettre du papier peint. Jen ai marre de ces petits trous partout.
-Franchement Samir, tas déjà vu un plafond recouvert de papier peint ? Je crois que tas de largent et du temps à gaspiller frérot. Et si un jour il ya un incendie ? Le papier peint ça
-Il ny aura jamais dincendie ! Recouvrir ce plafond fera que je me sente mieux dans ma tête. Je serais plus heureux. Alors tu vas maider ou pas ?
-Bien sûr que je vais taider ! On commence quand ?
-On commence maintenant.
Samir ouvrit la porte du petit débarras qui se trouvait dans le couloir à rénover. Lintérieur sombre du petit débarras était un capharnaüm contenant pêlemêle : cartons, vieille chaise, outils de chantier, vieux matelas enroulé défraichi, pots de peinture blanc sale, etc.
-Tu sais quavec cet endroit tu pourrais te faire une petite salle de musculation à domicile ?
-Oui. Je pourrais aussi faire un petit jacuzzi avec les piscines gonflables quon vend en magasin. Ça serait bien ça.
Avec laide de Romain Samir sortit un tube de papier peint blanc, un grand pinceau, un petit pinceau, un petit seau en plastique, un mètre, quils déposèrent sur le couloir.
-Bon ! Avant de commencer Samir nous allons dabord mesurer la longueur et la largueur de la surface du plafond à recouvrir, ensuite nous couperons ces deux mesures sur le papier peint en nous laissant un surplus de trois ou quatre centimètres de sécurité. Dès que le papier sera coupé, au sol, avec le grand pinceau tu vas répandre la colle au milieu du papier. Moi avec le petit pinceau je vais appliquer la colle sur les rebords. Ensuite nous allons soulever le papier peint, je vais le coller par lavant et toi tu tiendras par larrière en me laissant du leste au fur et à mesure que je collerai le papier peint. Cest bon ?
-Oui cest bon.
-Mais avant quon commence il faut quon prépare la colle et quon installe des vêtements sales sur le sol pour ne pas salir le papier peint. Je vais préparer la colle pendant ce temps toi recouvres le sol de vêtements.
Romain entra dans la cuisine. Il défit le paquet de colle dont il déversa le contenu dans un bac. Il ouvrit le robinet. Leau coula dans le bac. Grâce à la manche dune cuillère il malaxa la mixtion blanche. Elle sentait le manioc, lui rappelait le foufou, aliment à base de manioc quon mange en Afrique de louest ; en lisant les ingrédients du paquet il découvrit que la colle contenait de lamidon ; il se souvint que les petits bouts de foufou déshydratés oubliés assez longtemps comme miettes dun repas copieux devenaient souvent aussi durs que la pierre ; cette simple observation avait dû rendre millionnaire la première personne à avoir eu lidée de faire de la colle à partir de lamidon ; une observation si logique et si tangible quil regrettait de ne lavoir pas fait le premier.
Romain laissa reposer la mixtion durant une demi-heure puis il commença le travail avec Samir. Ils travaillèrent durant deux heures environ puis Samir mangea une glace et Romain deux bananes. Le plafond du couloir de lappartement de Samir maintenant tout blanc dénotait avec la couleur jaunâtre et défraichie du papier peint recouvrant les murs.
-La prochaine fois nous allons peindre les murs en blanc comme ça tout aura une couleur uniforme. Je vais tamener dans un endroit où jaime souvent aller.
-La piscine ?
-Non. Tu verras.
Ils sortirent de lappartement. Ils entrèrent dans la voiture de Samir qui conduisit. Ils se dirigèrent vers la sortie nord de leur city. Sur une longue route dangereuse en pente à mesure quils roulaient ils dévalaient à vive allure les hauteurs de leur ville. Ils atteignirent enfin leur destination. Pas sexy, elle ne possédait rien dune plage de Miami, elle faisait plutôt penser à la plage du dessin animé les Simpson près de laquelle sélève le champignon ouvert dune centrale nucléaire. En tout cas, avec ses cailloux sombres et son peu de sable, avec les cheminées fumantes dusines qui lentouraient, avec son eau pas bleue, elle provoquait la suspicion de Romain, la petite plage corrompue. Ça létonnait quelle puisse attirer autant de monde, un publique familial pour la plupart, et surtout les s qui jouaient au bord et ceux qui nageaient dans leau. Cétait la première fois quil venait dans cet endroit quil jugeait agréable et changeant du béton de la ville même si pour des raisons écologiques il ne sy baignerait jamais.
Romain se retourna puis vit la ville assez loin en hauteur. Il pointa du doigt quelque part en hauteur.
-Quand je cours souvent là-bas en haut je vois souvent cet endroit.
-Moi aussi je le voit souvent quant je cours.
-Cest dingue ! Jhabite ici depuis des années et cest la première fois que je découvre cet endroit.
-Cest bizarre. Ya na qui ne sont jamais sortis de leur pays, ya na qui ne sont jamais sortis de leur ville. On a la chance nous de pouvoir aller au bled chaque été. LAlgérie cest à côté, deux heures davions, et ça y est je suis dépaysé !
-Nique le bled ! Tout le temps les mêmes têtes ! Jai envie daller dans un endroit qui me dépayse totalement.
-Tinquiète pas ! En 2017 Marine elle tenverra sur Mars. Un allé sans retour.
Romain avança vers la plage. Il dépassa des personnes sur des serviettes qui bronzaient au soleil. Romain voulait savoir la température de leau. Il se dirigea vers létendue liquide. Derrière lui un couple de vingtenaire causait, jouait, riait, on entendait queux parce que les adultes plus âgés près deux sommeillaient paresseusement. Pour une raison étrange lagitation du couple mettait mal à laisse Romain. On a toujours limpression que les inconnus qui rient dans notre dos se moquent de nous. Une colère brutale et dense se compressa dans les pectoraux de Romain. Cela faisait trois jours quil navait pas éjaculé et sa séance de musculation de la veille ayant été celle des jambes il jugea son énervement comme issu dune fluctuation hormonale avec laquelle son corps et son esprit sétaient au fil du temps familiarisés. Sur le rivage Romain saccroupit puis plongea lentement son index dans leau. Il la trouva froide pour la saison. Il se releva. Il sortit son Smartphone. Il se mit à filmer létendue liquide, les usines qui lentouraient, le ciel, il revint sur leau, pour une raison inconnue limpression que les personnes présentes sur la plage le prenaient pour un touriste lenveloppait. À linstant même quil cessa de filmer et quil rangea le Smartphone dans sa poche le jeune couple qui avait couru derrière lui déboula devant lui puis plongea dans leau avec lintention dapparaitre dans le film. Linstinct de survie mue en colère défensive avait inondé les muscles du jeune homme dès le début de la course du couple, il lavait abandonné dans un état dagressivité muette qui le déboussolait lui-même. Il demeura immobile à fixer le couple devant lui. « Elle est bonne hein ! Elle est bonne ! » répétait lhomme dans leau. Romain restait immobile. Il ne savait pas quoi répondre. « Elle est bonne leau ! Tu peux te baigner mon pote ! Elle est bonne elle aussi ! » parla lhomme à propos de sa copine qui souriait et qui lui jeta de leau comme vengeance. Romain ne savait pas comment réagir. Il se força de sourire pour paraitre moins agressif.
« Romain ! Romain ! Romain ! » lappelait Samir de lautre côté de la plage. Son ami se tenait près dun petit parking aménagé séparé de la mer par une petite barrière en dessous de laquelle se trouvaient éparpillés des rochers à demi-trempés dans leau. Romain rejoignit Samir. Ils montèrent puis sassirent sur les rochers.
-Romain, se serait bien la vie si on avait quà rester à la plage pour vivre. Pas besoin de travailler, que de rester au soleil !
-Se serait bien un moment puis on commencerait à sennuyer.
Une voiture style break familial se gara dans leur dos derrière la petite barricade en bois sur le petit parking.
-Cest pas un endroit romantique ici. Tu peux pas amener ta meuf ici pour la niquer. Ya trop de monde !
Samir lança une pierre dans leau après avoir parlé.
-La nuit tu peux Samir. Je suis sûr que des couples fétichistes baisent ici une fois la nuit tombée.
Romain fixait quelque chose de brillant dans leau. Soudain un ballon rose tomba près des deux amis. Samir se précipita, le saisit le premier puis le jeta à leau. Romain se retourna. Il vit la portière arrière droite du break ouverte, la seule ouverte. Le ballon avait dû senvoler par cette ouverture.
-Cest le ballon du gamin de la voiture qui vient darriver.
-Je ne savais pas !
-Je vais essayer de lavoir.
-Fais gaffe de pas te mouiller !
Samir sexcusa auprès du couple qui lui répondit que ce nétait pas grave, quil ne sagissait que dun ballon. Romain sélança quand même à la poursuite du ballon rose. Près de lui des s nageaient. Il aurait bien voulu envoyer un récupérer le ballon mais il se ravisa lorsquil pensa au risque ne noyade quil pourrait faire encourir aux s qui nétaient pas les siens, se disant après tout que ce nétait quun ballon. Et pourtant Romain continuait de longer le rivage. Mais le vent et le courant maintenaient le ballon rose loin du bord de leau. Il le suivait en vain. Il aurait fallu quil se mouille jusquà la poitrine pour pouvoir espérer le récupérer le ballon. Et pourtant Romain sacharnait à le suivre de loin. Il entendit la mère de famille qui le remerciait. Il cria à son tour : « je suis désolé ! » dans le vent. Le ballon rose avait disparu.
Vers la toute fin de lannée scolaire les collègues ont organisé un apéro. Cétait le moment de nous détendre, de laisser filer derrière nous lannée scolaire achevée, dentamer dun bon pied certes un peu soûl la nouvelle qui se profilait à lhorizon juste derrière la période des inscriptions. Cette année-là des collégiens aidés par des adultes artistes avaient organisé des représentations artistiques pour clôturer en beauté la fin de lannée. Au programme du spectacle cet après-midi là, de la dance, du chant, du théâtre, la projection dun court métrage que des élèves en dernière année avaient réalisé et dans lequel ils occupaient la plupart des rôles. Peut-être parce que javais bu, je me connais, à un certain taux dalcoolémie je deviens une autre, tout dun coup, au milieu de la musique, au milieu des cris dencouragements et de félicitations, tout dun coup, jai ressenti, une tristesse immense. Elle mest tombée dessus soudainement, elle est tombée sur moi comme ça, au milieu de toute la foule, cest moi quelle avait choisie. Jai regardé ces jeunes, sur scène, ils étaient sublimes, ils semblaient être dun autre monde, un monde que javais depuis longtemps quitté, toute lannée javais couru derrière chacun deux, pour un retard, pour une absence, pour un mauvais comportement en classe, dans les couloirs, dans la cantine, dans la cour de récréation, javais dû maintenir un masque, cest la profession qui veut ça, maintenant que je les observais dun autre degrés, javais pitié deux, pitié deux vraiment, parce que je savais quils vivaient sans le savoir la fin de leurs meilleurs années. Et soudain, là, sur place, jai eu une grosse envie de sexe. On dit que la sexualité existe pour quon se reproduise. Moi je dis que la sexualité nous console de la mort.
Mes relations avec mes différents amants sont très simples : ils sont là pour me donner du plaisir charnel. Ils ne sont que ou queue de passage comme les bourdons dans une ruche. Le seul homme de ma vie sappelle Sylvain. Il est mon cur et je suis son cur. Pour aucun autre homme au monde je ne le quitterais. Pour aucune autre femme au monde il me quitterait. Nous sommes liés pour la vie. Il a fait de moi la femme que je suis. Je suis issue dune famille catholique. Chez nous lorsque la télé montrait des scènes obscènes en présence de nos parents on changeait de chaine. La sexualité nexistait pas chez nous, elle faisait partir dun truc sale, dun tabou, on nen parlait jamais. Pourtant elle est très importante la sexualité. Quand on la bride on débride la barbarie.
Dieu merci aujourdhui je suis une femme qui assume entièrement sa féminité. Et ça cest grâce à lamour de ma vie, Sylvain. Grâce à lui jai connu un nombre abyssal damants. Et il men reste encore beaucoup à connaitre ! Au début de notre aventure candauliste nous fréquentions les clubs échangistes. Les club échangistes sont conviviaux, cest ça leur avantage, linconvénient est que pour des raisons de bon sens on est obligé de le faire avec des préservatifs. Nous avons fréquenté les clubs échangistes durant quelques années puis mon mari ma suggéré de trouver pour moi des amants sur internet. Lavantage avec internet cest que nous avons plus de liberté de choix, les candidatures sont pléthoriques, nous ne rencontrons que les hommes les mieux membrés pour la plupart du temps à lhôtel. Ceux avec qui je couche sur notre lit conjugal sont ceux avec lesquels nous avons les meilleurs feelings. Romain fait partir de ceux là. Justement, il est présent dans notre maison. Il est habillé dun short noir et dun débardeur rouge. Ses muscles sombres sont saillants. Moi je porte une petite robe blanche qui laisse mes cuisses découvertes, des escarpins blancs, un string blanc, un soutif blanc. Un vernis rouge vif recouvre mes ongles.
Nous nous asseyons sur le grand fauteuil en cuir du salon. Nous nous rapprochons lun de lautre. Nos mains caressent nos corps. Nos bouches sentremêlent passionnément. Romain me serre dans ses bras. Ma main caresse son short au niveau de la bosse durcie.
Moi.-Tas vraiment une grosse bite !
Romain.-Cest pour toit quelle est grosse.
Je ne sais pas pourquoi mais sur le coup jadore sa réponse.
Moi.-Jai beaucoup pensé à toi cette semaine. Je me suis masturbée devant mon cocu avec mon gode en imaginant que cétait toi qui me prenait.
Romain.-Jadore quand tu parles de sexe !
Il introduit sa main entre mes cuisses. Nous bouches sembrassent. Nos langues se mélangent. À travers mon petit string blanc, je sens ses doigts qui tâtent mon vagin. Sylvain est un mari parfait mais quand il sagit de me satisfaire sexuellement avec sa bite il est incapable. Cest sa bouche et sa langue seules qui savent me faire jouir. Cest pourquoi il me faut des amants comme Romain pour me fournir ce que mon cocu ne peux pas me donner. Mes amants le savent, cest pour cela que la plupart sattèlent à bien me baiser devant mon cocu de mari.
Je baisse le short de Romain. Son braquemart se retrouve à découvert. Une grosse bite noire en érection ! Jôte ma robe blanche. Je me retrouve en string, soutif, et escarpins blancs. Jordonne à Sylvain de venir sucer à genou la bite de Romain. Il obéit. Il na pas le choix. Il prend dans sa bouche le pénis de mon amant comme la chienne quil est ! Dune main je saisis la nuque de mon cocu et dune autre le sexe de mon amant black. Tout en masturbant Romain jappuie la tête de Sylvain contre son braquemart tendu. Je nai jamais vu mon mari saliver autant en suçant un de mes amants. Décidément il adore la bite de Romain ! Il la fait se durcir avec sa bouche pour mon vagin. Je décroche la bouche de Sylvain du pénis de mon amant. J échange un profond baiser avec Romain, le genre de baiser quune femme néchange quavec son mari. « Maintenant tu vas voir comment un homme virile soccupe dune femme ! » dis-je à lintention de mon cocu. Je mallonge sur le fauteuil en cuir prête à me faire prendre. « Enlève-moi mon string ! » ordonne-je à Sylvain avant. Il rampe en bon mari jusquà moi. Ses mains attnt les rebords de mon string blanc. Elles le décrochent de mon vagin, elles le font glisser le long de mes cuisses claires jusquà mes escarpins blancs.
Romain dépose ses lèvres charnues sur ma chatte humide. Cest tellement bon que ma bouche soupire et mes bras serrent la tête de mon amant entre mes cuisses. Romain se relève. Sa bite a un peu débandé. Je la saisit puis je lintroduis dans ma bouche pour lui donner des vigueurs. Mon amant souffle bruyamment comme un étalon excité alors que je le fellationne. Jaime sentir les bites de mes amants bien en chairs dans ma bouche ! Jaime quand ma bouche a des difficultés à engloutir les braquemarts de mes amants parce que la bite de mon mari est tellement petite que je peux la gober trop facilement. Jugeant son pénis assez dur, Romain se retire de ma bouche. Il sallonge sur moi. Je maintiens les cuisses ouvertes. Les escarpins blanc aux bouts de mes pieds flottent en lair. Il me pénètre. Alors que son long et gros pénis parcours en totalité mon vagin, nous échangeons un long baiser sensuel. Il décolle sa bouche de la mienne. Il accélère aussitôt ses coups de reins puissants. Il maintient la cadence folle jusquau moment où je sens ses eaux se répandre sourdement dans mon vagin. Il recommence à me baiser lentement. Il accélère progressivement. Jen peux plus ! Je jouis.
Romain ma fait jouir trois fois cette nuit. Quant à Sylvain, il a nettoyé autant de fois mon vagin souillé du sperme de son rival et le pénis de ce dernier
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