La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°841)
Marion au Château (suite de l'épisode N°827)
Les deux hommes se levèrent, et Monsieur Le Marquis dEvans claqua des doigts, me faisant comprendre que je devais sortir de dessous la table.
- Lève-toi ! Que vont dire les clients de ce restaurant vanille, sils te voient dans cette position ? dit-il avec ironie.
Je me dépêchais donc de me mettre debout, jetant un regard furtif autour de moi, et voyant quelques personnes me regardant avec un sourire pervers en coin. Je ne comprenais plus, jétais vraiment persuadée que les clients devaient être de notre monde, et le Noble venait daffirmer quils étaient du monde vanille
Ce qui était arrivé auparavant me revint et je rougis de honte à lidée de ce quils avaient vu !
Je suivis les deux hommes qui traversèrent le restaurant, se dirigeant vers les toilettes, me semblait-il. Sauf que je navais pas fait attention à la porte qui se trouvait juste à côté avec écrit « Salles privées ». Walter ouvrit la porte et seffaça pour laisser passer le Maître, et me fit signe de Le suivre, et il referma la porte derrière lui. Nous nous trouvions au début dun long couloir aux murs rouges, au plafond noir avec ci-et-là des petits spots de lumière colorée. Le long de ce couloir se trouvait de nombreuses portes.
- Je vais te bander à nouveau les yeux. Et tu vas évoluer comme la chienne que tu es à quatre pattes. Exécution !
Le couloir était silencieux, aucun bruit ne semblait sortir des différentes pièces qui devaient se trouvaient derrière les portes, je nhésitais donc pas trop à obéir. Je sentis un collier se refermer sur mon coup, et jentendis quon y passait une laisse.
- Lorsque tu tes habillée, tu as eu lautorisation de quitter ce collier qui montre que tu es Ma propriété, mais là, je tiens à ce que tu apparaisses comme ce que tu es, c'est-à-dire Ma chienne !
Et jentendis quon me baissait la fermeture éclair de ma robe et quon en faisait glisser les bretelles le long de mes bras.
On me dirigea dans la pièce et me fit monter sur une table. On métira les bras au-dessus de la tête et on les attacha. On me lia les chevilles aux cuisses et on les fixa solidement, jambes largement écartées, de chaque côté de la table. Jentendis le Châtelain et Walter discuter entre eux à voix basse. Impossible pour moi de comprendre ce quils se disaient, mais je doutais que ce soit un bon présage pour moi.
- Calme toi Ma chienne ! Rappelle-toi que tu nauras jamais rien à craindre tant que tu seras sous Mon joug ! Je ne voulais pas te faire savoir Ma présence, mais je ne tiens pas à ce que tu fasses un malaise. Rassure-toi, je ne te mettrai jamais en danger, et tu le sais ! Je vais te donner un peu deau, et après tu devras attendre le temps quil faudra, le temps que je déciderai, mais en toute confiance. Que je sois dans cette pièce ou non, rien de préjudiciable ne pourra tarriver !
Au fur et à mesure que le Maître parlait, mon rythme cardiaque se calmait, jarrivais à nouveau à respirer profondément. Il navait rien dit de ce qui mattendait, mais mon cur avait reconnu quIl avait toujours été dune grande discrétion par rapport au monde vanille.
Plus javançais, plus je voulais vivre ce que jétais en permanence. Mais comment pouvais-je y arriver ? Je naurais pas eu ds, de mari, jaurai pu tout abandonner pour le Noble ! Mais ce nétait pas le cas, et je me sentais malheureuse de ne pas pouvoir vivre à fond ma soumission. Et je ne pouvais en aucun cas avouer à mon mari ce que jétais profondément, je savais, pour avoir essayé un jour de savoir ce quil pensait, que pour lui ce monde était fait de personnes fortes et profiteuses abusant de personnes faibles que limite il méprisait ! Comment dans ces conditions lui avouer quoi que ce soit ?... Je neus pas le temps de pousser plus en avant mes réflexions que jentendis des murmures dans la pièce, de nombreux murmures, trop nombreux
je ne voyais rien à cause de mon bandeau, mais javais limpression que plusieurs dizaines de personnes se trouvaient autour de moi.
- Chers amis, quand on trouve quelque chose qui nous plaît énormément on a envie de la partager ! Aujourdhui, je viens vous présenter ma dernière acquisition. Encore à lessai et donc en apprentissage, elle est pourtant fort prometteuse ! Je vous laisserai en juger chacun votre tour tout à lheure, au vu de votre nombre, pendant 3 minutes chacun. Mais en attendant, elle mérite une punition et je laisse mon Majordome, quelle a blessé, le soin de choisir sa punition. Tout ce que jexige cest quelle soit publique et donc appliquée devant vous tous.
Jétais pétrifiée par ce que je venais dentendre ! Il y avait bien une quarantaine de personnes, ce qui faisait deux heures de « tests » à subir, sans compter le temps de la punition ! Et quelle punition cela allait être ! Humiliante du fait dêtre appliquée devant des inconnus, et entièrement le fait de Walter, qui nétait pas réputé pour faire dans la douceur !
- Merci, Monsieur le Marquis ! Comme cette chienne na pas su retenir ses dents, elle va savoir ce que des dents peuvent provoquer ! Et elle recevra vingt coups de badines !
Et il se saisit sous la desserte, où je ne pouvais voir ce qui sy trouvait, un seau de différentes pinces crocodiles de modélisme.
- Chienne, je ne veux pas tentendre !
Il me plaça une pince sur chaque téton, me tirant des grimaces de douleurs en sentant les dents se refermer sur la peau sensible de ces petits bouts de chaires. Il en plaça cinq sur chaque sein en forme détoile, puis six sur chaque flan. Lorsque le Majordome plaça une pince sur mon clitoris je ne pus retenir un gémissement de douleur, tellement la décharge avait été intense !
- La chienne, silence ! Tu viens de te rajouter dix coups de badine ! Et je te promets que tu vas les sentir passer !
Puis il finit par mettre cinq pinces sur chacune de mes lèvres intimes. Il se saisit alors de la badine. Les vingt premiers coups furent douloureux. À chaque fois, je devais les compter à voix haute et remercier Walter du temps quil prenait pour me corriger et mapprendre à maîtriser mes dents de petite chienne. Je serrais dailleurs ces dernières pour ne pas que le moindre son puisse parvenir aux oreilles de celui qui me fustiger. Les coups tombaient sur le haut de la poitrine au-dessus de mes seins, sur mes fesses, à lintérieur de mes cuisses. Et plus il frappait, plus je me surpris de mouiller abondement. Ma cyprine coulait, jétais trempée dexcitation
- Pour les dix derniers coups, tu es autorisée à crier !
Ce qui ne me rassura absolument pas ! Il prit son temps avant de commencer, laissant monter lappréhension en moi, faisant siffler la badine près de mes oreilles. La tension était à son comble, je tremblais et fermais les yeux en attendant que le premier coup tombât. Lorsque celui-ci arriva, je hurlais sous la douleur. Il navait pas retenu sa main, le coup était cinglant, et vicieusement appliqué entre les pinces des seins, les faisant bouger, au point presque, me semblait-il, de pouvoir les arracher. Il espaçait bien chaque coup laissant la douleur irradiait toute mon échine. Les larmes coulaient sans que je ne puisse les en empêcher, les cris se succédaient, déchirant le silence qui encadrait cette punition. Jai paradoxalement failli jouir ! Ce mélange de douleur et dexcitation me provoquait des spasmes jouissifs incroyables et il me fallut fortement me retenir pour ne pas lâcher mon orgasme. La punition terminée, je subis, sanglotant, le retrait des nombreuses pinces. Je fus alors détachée de la table, et alors que jallais remercier Walter, celui-ci me coupa.
- Mets-toi à genoux, cuisses écartées, mains sur la nuque. Explique à haute et intelligible voix, pourquoi tu as été punie, et ensuite tu pourras me remercier !
(A suivre
)
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