Histoire De Pierre
ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS
Dans lobscurité du cagibi ou il était enfermé, nu, pieds et poings liés, pinces aux seins et cage sur le sexe, Pierre laissa vagabonder son esprit et se remémora le chemin parcouru depuis2 ans.
Lorsque sa compagne avait découvert quil consultait fréquemment des sites sado maso, il lui avait avoué ses penchants pour cette sexualité et son envie dêtre soumis à une Dominatrice.
Elle avait accepté avec un enthousiasme qui aurait du lalerter, dêtre la Maitresse dont il rêvait !
La première fois, elle lavait sommairement attaché, sétait mise nue, lavait fessé, lui avait pincé et mordu les tétons, trituré un long moment le sexe et les couilles, provoquant une superbe érection, puis ils avaient fait lamour comme des fous. Elle lui avoua adorer ces situations.
Petit à petit, elle choisi et acheta des tenues et du matériel nécessaires à une dominante : martinet, cravache, pinces, poids, bougies, menottes, corde de bondage etc.
Quand il en exprimait le désir ou quils avaient envie, ils faisaient une séance.
Il était aux anges, et Maitresse Lucille (nom de Dominatrice de sa compagne) prenait de plus en plus de plaisir à son rôle.
Quelques temps plus tard, il lui présenta un couple damis de longue date, amateurs de SM, elle exclusivement dominatrice et lui acceptant parfois dinverser les rôles. Cette nouvelle relation permit de nouvelles expériences, échange desclave, découverte de nouveau sévices, ainsi que de lérotisme et plus entre les 2 jeunes femmes.
Tout allait donc pour le mieux pour Pierre, qui lors des séances progressait et se donnait corps et âme. Il dut même un soir sucer un sexe dhomme et malgré ses réticences, il y prit du plaisir.
Bien quil ait tout pour être parfaitement heureux, son obsession pour le sado masochisme le poussa à commettre des erreurs stupides.
Il prit contact sur Internet avec dautres domina, échangea des photos sans rien dire, se lança dans des relations virtuelles, tout cela sans en parler à sa compagne qui en fine mouche commença à se douter de quelque chose.
Elle fit une enquête discrète et découvrit le pot aux roses !
Quand elle lui en parla, sure de ce quelle avançait, il nia tout en bloc, et la discussion tourna à la dispute !
Seule, elle réfléchit plusieurs jours à tout cela et réalisa alors que cétait lui qui menait le jeu ! Il décidait du moment des séances, de ce quil voulait et elle nétait que lexécutante de ses envies.
Cette situation ne lui convenait absolument pas ! Elle voulait être vraiment la Maitresse et souhaitait quil soit soumis sinon en permanence, du moins quand elle lexigerait.
Elle commença à durcir les punitions, et progressivement, à augmenter son autorité, essayant dimposer à Pierre sa façon de vivre leur relation.
Elle voulait quil devienne totalement soumis, accepte dafficher sa dépendance et vive au quotidien sa condition !
Au debut, tout se passa bien, mais lorsquelle expliqua la finalité de sa démarche, il se rebella, en refusa lidée et se montra fort désagréable, boudant et faisant la tète pendant plusieurs jours !
Lucille profondément déçue, en parla avec Pascale et Luc, le couple damis et prit ensuite une décision importante.
Il fallait que ca passe ou que ca casse !
Elle laissa passer une semaine, nayant avec Pierre aucun rapport, tant sexuel que SM, mais continua à surveiller son comportement sur Internet. Elle se rendit compte quil continuait son manège.
Rapidement en manque, celui-ci tenta de reprendre le dialogue et se montra plus aimable et empressé.
Elle ne manqua pas loccasion et accepta de faire une séance.
Il se retrouva attaché à une colonne, les yeux bandés.
Vêtue dune tenue de vinyle noir ultra sexy, chaussée de cuissardes, incroyablement dominatrice, elle commença par une flagellation en règle du corps offert. Rapidement, elle obtint ce quelle voulait : une excitation maximum du soumis, trahie par une belle érection.
Cessant de soccuper de lui, elle lui ôta le bandeau et lui mit le marché en main : il acceptait toutes ses conditions sans restriction, ou elle mettait fin à leur vie commune et déménageait dans la semaine.
Pierre essaya bien de discuter, négocier, mais elle ne fit aucunes concessions et finalement, les yeux baisés, il accepta les désirs de sa Maitresse qui sempressa de lui faire signer le contrat de soumission quelle avait préparé dans la semaine.
Elle laveugla à nouveau, le fit mettre à quatre patte, lui fit lécher ses bottes en le cravachant, lui posa des pinces à seins, quelle tira, le faisant crier et supplier.
Excitée par sa victoire, elle ôta son string, sinstalla confortablement dans un fauteuil et lui ordonna de la lécher !
Il le fit avec zèle, se disant quensuite il pourrait lui faire lamour ou pour le moins être masturbé.
Elle hurla sa jouissance, puis ayant repris ses esprit, le lia à nouveau et commença à le branler, faisant encore durcir le sexe tendu. Quand il se mit à haleter, proche du plaisir, elle stoppa, lui arrachant un soupir de frustration.
En souriant, elle sortit dun sac en velours, la cage de chasteté quelle avait achetée et emprisonna la bite soumise.
Elle le fit se regarder dans une psyché et lenvoya se coucher après lui avoir expliqué que lorsquelle serait contente de lui, elle lui enlèverait cette contrainte, et lui ferait peut être lamour ou le ferait jouir ou le laisserait se masturber, ce qui ne serait déjà pas si mal !
Il obéit, conscient que rien ne serait plus comme avant.
Les semaines qui suivirent furent dures pour lui, elle commença à lui travailler le cul au gode, afin de lélargir et tant quil bloqua un peu, protesta, gemit, elle le sevra de sexe, lui laissant en permanence la cage.
Cela le motiva pour être docile et faire des efforts ! Il finit par prendre sans se plaindre un gode dans lanus et fut récompensé par une pipe !
Puis il fut à nouveau encagé, et elle recommença à lélargir avec un plus gros calibre ! Ils rencontrèrent plusieurs fois Pascale et Luc, dont il dut sucer la queue pendant que les filles le fouettaient, lui trituraient le sexe, les couilles et les seins.
Elles le godèrent ensemble, en lui faisant dire à haute voix quil nétait quune salope qui aimait se faire enculer, pendant que Luc filmait et prenait des photos.
Il neut pas droit à la jouissance même pas à la moindre caresse, durant tout le week-end. Il ne put que regarder les filles faire lamour ensemble et branler ensuite leur complice jusqu'à ce quil décharge sur les seins de sa compagne.
Ce fut pire encore lors de leur dernière rencontre ! Il subit le même traitement : fouet, cravache, pinces, gode, cire sur les seins le sexe, les couilles. Après quil eut sucé Luc avec application pour le faire bander bien fort, il fut attaché et dut assister impuissant aux câlins entre les 3 complices et surtout voir sa Maitresse se faire prendre par celui-ci pendant que Régine la caressait partout .Il en gémit à la fois de jalousie, dexcitation et de frustration ! Il eut par contre limmense joie dêtre libéré de la cage et branlé par les deux domina. Il déchargea en hurlant de plaisir et mit longtemps à atterrir !
Le soir, rentrés chez eux, il put lui faire lamour. Il le fit avec fougue et passion et ils eurent ensemble une fantastique jouissance.
Il aurait pu continuer à penser à tout cela pendant des heures, mais un bruit à létage le tira de sa rêverie ! Elle était de retour.
Un bruit de talons aiguille descendant lescalier se fit bientôt entendre et la porte du cagibi souvrit. Aveuglé par la lumière, il mit quelques secondes à voir quelle était entièrement nue, seulement chaussée de ses cuissardes. Elle le fit sortir, lui passa un collier de chien et le tirant par la laisse, lentraina dans la salle à manger. Il découvrit, assis dans le canapé, un jeune homme athlétique, au crane rasé qui le regarda arriver avec un sourire inquiétant. Il nétait vêtu que dun caleçon noir qui semblait copieusement garni.
Lucile lui détacha les mains et il dut leur servir à boire. Elle lentrava à nouveau et le fit évoluer devant eux quelques instants, avant de le faire agenouiller à ses pieds.
Sans ménagement, elle appuya sur la tète de Pierre et lobligea à engloutir le menbre, lui ordonnant de sappliquer sous peine de 100 coups de fouet à chien.
Elle demanda ensuite si sa salope suçait bien, ce qui fut confirmé par une superbe érection
Ils allèrent dans la chambre ou elle ficela son soumis sur une chaise face au lit avant de lui enlever les pinces à seins .Il hurla tant ses tétons écrasés depuis des heures lui firent mal. Elle les pinça vicieusement, lui arrachant de nouveau cri et des larmes.
Sans y prêter attention, elle sallongea et attira lhomme à elle en lui demandant en termes crus de lui bouffer la chatte ! Il sy prit si bien, quelle jouit en quelques minutes.
A son tour elle le suça un moment puis le coucha sur le dos et sempala en gémissant sur la queue tendue. Elle ondula sur lui, plus ou moins vite selon son envie, pendant quil caressait ses seins ou pétrissait ses fesses, puis elle se mit à monter et descendre de plus en plus vite en poussant des cris de plaisir et soudain, elle prit son pied en hurlant.
Pierre était fou dexcitation et souffrait le martyre, car la cage comprimait sans merci son érection, lui arrachant des grognements de désespoir.
Lucile sétait levée et approchait de lui. La bas, le costaud, toujours allongé, bandait toujours.
Détaché, il dut monter sur le lit et se remettre à pomper la bite dressée.
Au bout dun moment, elle le fit arrêter et lui immobilisa les mains dans le dos le laissant à genoux, la tête contre loreiller.
Il comprit subitement ce qui lattendait quand elle enduisit son anus de gel. Il se mit à gigoter, supplier, rien ny fit ! Elle enfonça un doigt puis deux dans son fondement, tourna pour lassouplir, ajouta du gel et invita lhomme à défoncer sa salope, selon ses propres termes.
Pierre le sentit sinstaller derrière lui, lui écarter les cuisses et commencer à forcer doucement son intimité. Il se mit à haleter .Lucille lembrassa à pleine bouche, puis lui prodigua des encouragements, lui conseillant de souvrir, de se décontracter pour que ca soit plus facile, précisant que de toute façon il serait enculé ce soir !
La pression devint plus forte sur son anus, il se mit à gémir, puis à crier quand le gland pénétra entièrement. Il avait limpression dêtre ouvert en deux, des larmes coulèrent sur ses joues. Le violeur ne bougeait plus, le laissant shabi, puis se remit à progresser lentement, lui arrachant de nouvelles plaintes. Une nouvelle pause, puis, il sentit le sexe en lui se retirer tout doucement. Il cru que cétait terminé, mais sa Maitresse remit du gel et il fut à nouveau envahi par la queue, qui avançait inexorablement.
Lucille le débarrassa prestement de la cage et se mit à le branler doucement, en lui suçant les tétons. Lhomme le besognait lentement, avec douceur et quelque chose se passa dans sa tête ! Il commença à ressentir une sorte de plaisir confus qui le remplit de honte. Son cul sétait ouvert, habitué au membre qui le prenait, et malgré lui, il se mit à coulisser de sa propre initiative, sempalant au maximum en gémissant. Il commença à durcir dans la main qui le caressait !
Elle le lâcha immédiatement et assise à la tête du lit, commença à se masturber en regardant !
Tout en se branlant, elle commentait la scène, lâchant entre deux soupir de plaisir quil nétait vraiment quune salope qui aimait la bite, quun pompeur de chibre, et encourageant lhomme à le baiser plus fort !
Celui-ci le bourra alors à grands coups de reins, lui tirant des cris qui navaient rien à voir avec la douleur !
Elle vit également que son soumis bandait très fort, et tout cela déclencha en elle une jouissance fulgurante !
Comprenant que les 2 hommes allaient bientôt prendre leur pied aussi, elle fit arrêter le baiseur, et lui enleva le préservatif. Tirant Pierre par les cheveux, elle le fit redresser et lui ordonna de sucer la bite qui lui avait fait tant de bien. Il la goba instantanément ! Au moment fatidique, Lucille le fit reculer et il reçu le flot de foutre en plein visage. Il dut ensuite nettoyer soigneusement avec la langue le sexe encore dur.
Elle lui délia les poignets et lui ordonna daller se laver et de lattendre à genoux, pendant quelle raccompagnait lhomme.
Quand elle revint quelques minutes plus tard, il était dans la posture indiquée, mains au dos. Assise devant lui, elle lobligea à avouer quil avait adoré être enculé comme une salope, sucer et recevoir le sperme ! Elle remarqua que ces paroles lexcitaient et quil bandait. Tendant une de ses cuissardes, elle le fit branler dessus et lécher le foutre qui ne tarda pas à la maculer.
Enfin, elle lui fit savoir quelle était satisfaite davoir fait de lui un esclave lopette, et que dorénavant elle le prêterait non seulement à des Maitresses mais aussi à des Maitres qui pourraient tout lui faire, ainsi qua des amants de passage !
Il dut la remercier en léchant ses bottes, avant daller préparer le repas du soir.
Il comprit avec un mélange de crainte et de volupté que sa vie ne serait plus jamais la même !
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