Hétéro Voyeur.
Je mappelle Malik, 31 ans, Marocain par la famille de mon père et Français par ma mère. Jai deux surs ainées et un petit frère (28 ans quand même !). Bien-sûr, je suis typé beur alors que je ne connais rien ou presque de mes origines maghrébines, par contre on a été élevés « à la française » comme dit ma mère : on est râleurs, de mauvaise foi, on mange du porc et on picole parfois, aucune religion nest jamais rentrée dans notre maison. Physiquement, je mesure 1m75 pour 70 kg, comme jai fait du sport quand jétais gamin et ado, je suis assez musclé. Depuis, jai un peu tout laissé tomber vu que je bosse dans le BTP, je soulève assez de poids comme ça toute la journée.
Au lycée, jai rencontré celle qui est devenue ma femme, elle fut ma première et unique partenaire jusquau mois de janvier dernier. Nous avons deux s et vivons très tranquillement et très heureux.
Lhistoire commence il y a un peu moins de deux ans, jarrive sur un chantier, mon boss (qui est aussi un vieux pote) est en train présenter le chantier aux proprios, il lui manque les plans et des papiers, il me demande daller chez lui pour les récupérer pendant quil continue la visite. Jarrive, je rentre avec ses clés et je monte au premier, je me dirige vers le bureau. En ressortant de la pièce, jentends des gémissements dans la chambre dà côté. Plutôt que de partir, après tout ça ne me regardait pas, voilà que je mapproche pour voir qui senvoie en lair. Par la porte entre-ouverte, je vois Julien, le fils de mon boss, à poil, allongé sur le ventre, le cul bien cambré, un mec dune vingtaine dannées, à poil aussi, lui bouffait le trou avec gourmandise. Jaurais dû partir mais non, jai joué les voyeurs. Le « bouffeur » sest redressé, a approché sa bite de la bouche de Julien et lui a dit :
- « Aller, suce-moi. Avant de touvrir la chatte, je veux te dépuceler la bouche. »
Je nen revenais pas, Julien se faisait dépuceler ! Cest vrai quil allait avoir 18 ans mais, pour moi, il était encore ce petit gamin qui venait nous apporter à boire sur les chantiers et qui jouait avec mes gosses jusquà lété dernier.
Je me rendis compte que la situation mexcitait, je commençais à bander et à me caresser la queue à travers mon jean. Julien avait lair de bien se débrouiller pour sa première pipe vu les gémissements que poussait lautre, il lui donnait des petits coups de reins, Julien lui caressait la poitrine et le ventre, ils prenaient bien leur pied ces deux petits PD !
Du coup, je commençais à regarder Julien dun nouvel il, cest vrai que cest un joli petit lot, mince, une belle peau blanche, des yeux verts et des cheveux châtains clairs. Il avait un piercing au nombril et un petit cul bien ferme. Je comprenais quil donne envie à ce mec, je ne lavais jamais vu nu avant mais là, en le matant, je me rendais bien compte quil ferait une belle salope !
Je bandais de plus en plus, jai dû ouvrir ma braguette, et je me suis branlé en les regardant. Je me souviens de mêtre dit que jétais dégueulasse, que je navais pas à regarder ça et, quen plus, jétais en train de mastiquer le manche en matant deux mecs. Pourtant je suis resté !
Le mec est venu sallonger sur Julien, il la embrassé, lui a suçoté le lobe de loreille. Il promenait sa bite dans la raie de Julien et donnait parfois des petits coups de reins qui les faisaient gémir en chur. Au bout dun moment, le mec a dit :
- « Tes sûr, Julien. Tu veux ? »
- « Oui, je suis prêt, prends-moi ! »
Bien le mec ! Je me suis dit que Julien aurait, au moins, un beau dépucelage et jallais voir ça !
Effectivement, tout en continuant à lembrasser, le mec a guidé sa bite vers sa rondelle et a poussé. Le gland a dû rentrer, Julien a plongé la tête dans loreiller et a poussé un cri étouffé. Le mec progressait doucement en regardant Julien avec attention. Celui-ci a soudain plaqué sa main sur le ventre de son mec pour le stopper. Le mec sest retiré :
- « On arrête si tu veux ! »
- « Non, reviens, ça va aller mieux.
Le mec la pénétré à nouveau, cette fois il est entré à fond, julien na pas résisté. Il est resté sans bouger un instant, juste pour savoir si tout allait bien, Julien a confirmé, les va et vient on alors commencé. Jai calqué les mouvements de ma main sur le rythme du couple. De là où je me trouvais, jai pu constater que la bite coulissait de mieux en mieux ; ça y était, Julien était dépucelé ! Cette pensée ma vraiment excité, de la mouille est sortie de ma bite, je lai essuyé avec un kleenex que jai gardé à la main, je sentais bien quil allait en essuyer beaucoup plus dans peu de temps !
Le mec a voulu changer de position, il a retourné Julien sur le dos, lui a soulevé les jambes et a recommencé à le baiser. Julien se branlait énergiquement. Je me suis rendu compte, quà presque 30 ans, je navais jamais assisté, ou même visionné, une scène porno gay. Je pensais que le mec avait bien de la chance de baiser un si beau petit lot, linstant daprès je me raisonnais en me disant que ce sont deux mecs, que je ne suis pas comme ça, nempêche je me branlais comme un fou en les matant.
Jai senti mon plaisir arriver dun coup, jai juste eu le temps dapprocher le mouchoir de mon gland pour y déverser tout mon jus. Presquen même temps, Julien a joui, il a arrosé son ventre, son mec a rejeté sa tête en arrière et sest vidé les couilles au fond de la chatte de Julien.
Jai mis le mouchoir dans ma poche, jai ramassé les papiers et je suis parti le plus discrètement possible. Sur la route, je men voulais davoir volé ce moment dintimité mais je me disais que personne ne le saurait jamais. Par contre, le plaisir que javais eu en matant la scène me perturbait bien plus.
Revenu sur le chantier, jai donné les plans à Pascal, mon boss, et je suis parti bosser. A 6h moins le quart, on a tout arrêté, on est allés se changer.
A 6h, Pascal nous demande si on peut le déposer chez lui, sa femme ayant eu besoin de la voiture. Arrivés chez lui, il nous invite à prendre un verre, on sinstalle, Julien descend de sa chambre et nous salue comme si de rien nétait. Je le regardais différemment, je cherchais des indices trahissant son homosexualité dans ses gestes, dans sa façon de marcher ou de parler mais je ne voyais rien de particulier. A un moment, Pascal me dit :
- « Vous ne vous êtes pas vu tout à lheure avec Julien ? »
Ça ma un peu gêné quil aborde ce sujet mais je nai rien laissé paraître :
- « Non, jai pris les papiers dans ton bureau et je suis ressorti. »
Julien avait légèrement rougi, il ma regardé dun drôle dair et a rajouté :
- « Tas dû passer au moment où jétais sorti. »
Une demi-heure après, jai dû partir, jai salué tout le monde, Julien ma suivi jusquà la porte et, alors que je sortais, il ma dit :
- « Tiens Malik, tas oublié ça ! Il était par terre devant la porte de ma chambre.»
Le mouchoir ! Il le tenait entre son pouce et son index, il le balançait devant son nez et arborait un sourire vicieux. Ça ma glacé, je ne savais pas quoi dire.
- « Cest pas beau de jouer le voyeurs Malik ! Tas pris ton pied on dirait. Tinquiète, on a un secret tous les deux. Tu la fermes et moi aussi, ok ? »
- « Ok ! »
Il ma dévisagé de la tête aux pieds, sest attardé sur mon paquet et sest pincé les lèvres, il a rajouté :
- « Tu sais Malik, si tu veux être le prochain, ya pas de problème, jai déjà goûté ton jus grâce à ton petit cadeau !»
Je lui ai arraché le mouchoir des mains et jai dit :
- « Même pas en rêve, je suis pas PD ! »
Je suis parti, je bandais
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!