Hélène 2 : Lingerie
Hélène 2 Lingerie
Résumé de la nouvelle précédente
Hélène quinqua divorcée se laisse aller, mais un invraisemblable concours de circonstance la met en contact avec Pierre lui aussi quinquagénaire séparé.
Ils sympathisent, et Pierre improvise une soirée au restaurant.
Quand il la dépose devant son immeuble, ils sentent le besoin de rester ensemble. Hélène lentraine dans son appartement Mais après une communion sensuelle et pleine de tendresse, Pierre disparait, et laisse sa conquête désespérée.
Une semaine après, il réapparait et lui offre une splendide parure rouge pour lui montrer tout lattention quelle lui inspire.
Récit dHélène
Depuis cette deuxième nuit, nous prenons des habitudes charmantes, et petit à petit, je me sens de plus à laise, presque impudique avec Pierre. Je me promène nue dans lappartement, heureuse de sentir son regard, et son désir sur mes formes. Je ne lui cache plus rien de moi.
Un mercredi soir, après létreinte, couchés en petites cuillères, lun dans lautre, sa main sur mon sein. Il me fait cette proposition.
- Ça te dirait de passer le weekend chez moi.
- Je suis coincée à la boutique samedi.
- Jy ai pensé, jai posé une RTT, lundi. Nous aurons deux jours ensemble, nous naurons pas à nous séparer dimanche soir.
Le samedi, vers dix-neuf heures trente, Pierre passe à la boutique. Mon petit baise- en-ville est prêt, avec les fameux dessous rouges.
Le trajet est court, jusquà la maison. Pierre ouvre la porte.
- Tu veux visiter, ou on dine dabord ?
- Visiter, Chéri, je suis si curieuse.
La maison est grande, mais classique, un grand salon, une belle cuisine au rez de chaussée, une salle de bains et lancienne salle de jeu des s reconvertie en chambre damis. Puis Pierre minvite à monter au premier, et me laisse passer devant pour profiter du spectacle de mon cul roulant sous la jupe.
- Voilà, la chambre de ma fille, celle de mon garçon, la salle de bain de létage.
Il mouvre une autre porte et me laisse le précéder.
- Cest ta chambre.
- Oui, depuis mon divorce.
En fait, il sagit plutôt dune suite, La pièce occupe la moitié de létage. Au milieu, la chambre, avec deux fenêtres entourant une commode supportant la télévision. En face, un grand lit du même bois rouge que le parquet avec deux tables de chevet assorties.
Il me guide vers le dressing, les rangements sont seulement occupés par des vêtements dhommes, ou vides. Un fugitif instant, jimagine les portants avec mes robes et les tiroirs renfermant mes dessous. Pierre sest placé derrière moi, il saisit mes hanches et pose son menton dans le creux de ma clavicule.
- Tu penses à quoi Chérie.
- Oh, je rêvais.
- Moi aussi, peut-être, était-ce le même rêve ?
Je me retourne, en lattrapant par la main, et je me dirige vers la salle de bain, aussi grande que le dressing. Rien que du classique, lavabo, sèche-serviette et une baignoire. Mais quelle baignoire ! On y tient facilement à deux, peut-être à trois. Je repère le tableau de contrôle digital, sur fond bleu.
- Tu veux lessayer, me propose Pierre.
- Maintenant ?
- Oui tout de suite, quelle température veux-tu ?
- Trente-cinq degrés, sil te plait.
Pierre pianote sur le clavier, et les deux buses remplissent la vasque.
- Jai mis trente-huit degrés, si cest trop chaud, on ajoutera de leau froide.
- Et ce bouton, il sert à quoi.
- Essaye, tu verras bien.
Jappuie sur un bouton, des lampes sallument et leau se colore, en rose, en vert puis bleu et enfin jaune. Jessaye le contacteur suivant, des bulles et des remous percent la surface de leau.
- Ça te plait.
- Oui.
- Alors à poil.
- Quelle horreur, on dirait une culotte de bonne sur.
- Tu as déjà troussé beaucoup de bonnes surs.
- Non, une seulement, et elle a une mercerie. Me répond il en baissant ma lingerie jusquaux genoux.
Je me retourne et je le débarrasse de sa chemise pendant quil déboutonne mon chemisier et me lenlève. Il glisse ses mains dans mon dos pour dégrafer mon soutien-gorge. Jen profite pour frotter mes tétons contre sa poitrine. Il pose ses lèvres sur les miennes et me prodigue un baiser tout en douceur.
Puis je lécarte et je magenouille, je fais glisser ensemble le pantalon et le boxer. Sa verge sérige superbe, japproche ma bouche.
- Non Chérie, je préfère attendre dêtre propre.
Il me relève, et mentraine dans la baignoire. Depuis notre deuxième nuit, jadore la douche à deux. Alors le bain en amoureux, avec les bulles, les remous, et la luminothérapie, quel bonheur.
Pierre me savonne en jouant, massant et pinçant mes rondeurs, mon cul et mes seins. Il en profite pour me mordre la nuque et parfois même un bout de sein ou une fesse. De mon côté, je lui savonne les bourses, puis son beau membre.
Je madosse à lui, sa main se pose sur mon sein et agace mon sein, je me tourne mon visage vers lui et je pose mes lèvres dans son cou. Son autre main caresse mon mont de venus, puis glisse vers mon clitoris .Jhalète doucement, et je me retourne vers lui. Il libère ma poitrine et glisse sa main vers mon cul. Il écarte mes fesses, son majeur masse mon petit trou et frappe à la porte de derrière.
- Doucement mon chéri. Et jaccueille avec plaisir cette invasion.
Puis un deuxième visiteur veut rejoindre le premier. Je suis doublement élargie
Les deux coquins savancent et reculent sans me forcer. Je suis étonnée, je ne ressens aucune douleur, juste une onde de chaleur qui irradie de mon anus et sajoute à celle produite par mon bouton damour.
Enveloppée par la douceur tiède de leau, prise par derrière, masturbée par devant, je prononce des mots sans suite, je gémis, puis je délire murmurant
- Merci mon chat,
- Pistonne moi, Chéri,
- Branle moi cest trop bon
Un premier spasme me prend, la vague descend, puis remonte et jexplose dans un deuxième spasme. Je reprends mes esprits dans un océan de tendresse et de bulles colorées.
- Ca va ma chérie, on sort ?
Il prend la pomme de la douche et nous rince. Nous sortons de la baignoire et nous nous épongeons lun lautre, encore une occasion de se tripoter.
Une fois sec, Pierre se dégage de mes mains et fouille dans un placard et me donne un paquet enveloppé de papier de soie avec un ruban.
Jen sors un splendide kimono de soie orange, gris et vert, avec la ceinture assortie et une pièce du même tissu à nouer en turban.
Je le passe, noue la ceinture, et dresse ma coiffure.
Pierre me tend une paire de mules à talons. Ces talons me cambrent et la ceinture qui me serre la taille me fait un cul de jument. Mes tétons frottant sur la soie, se sont ériges et durcis.
- Ma chérie avec tes formes et ton turban, tu fais une sultane magnifique.
- Je ne suis que la captive soumise de mon calife pervers. Lui rétorquai- je.
Et tout doucement, je le pousse en arrière dans la chambre, puis je le fais trébucher et tomber sur le dos dans le lit. Je monte sur le lit et je mets à genoux, lui offrant le spectacle de ma poitrine pendant et ondulant en liberté. Il est nu, en érection, sur le dos. Il est à ma merci.
- Je vais te manger mon chéri.
Je me penche et je décalotte son gland. Ny tenant plus, je lembouche, il est délicieux. Je le suce, je le caresse avec ma langue et je lenglouti.
- Chérie, continue seulement avec ta bouche.
Je lui obéis, et mactive de haut en bas. Je lentends soupirer, son épieu durcissant et gonflant dans ma bouche.
Je sens alors un premier spasme courir dans son membre, puis un deuxième. Je veux reculer ma bouche, mais sa main bloque ma nuque. Je ne résiste pas. Il éjacule dans un troisième spasme. Je garde sa semence dans ma bouche, cest doux, léger, comme une crème chantilly légèrement salée.
Je lève le regard, et les yeux dans les yeux de mon amant, javale sa production, puis je passe ma langue sur mes lèvres comme une chatte gourmande. Je me couche à ses côtés.
- Chéri, jai faim.
- Me too. Me répond mon amour polyglotte.
Dans la cuisine, Pierre improvise une salade de tomates et davocats, équeute quelques fraises, met le tout dans un plateau, ajoute les couverts, deux flutes et une bouteille de Vouvray, opportunément mise au frais.
- On piquenique sur le lit. Ordonne-t-il
Je passe devant, ondulant du croupion dans lescalier, heureuse de mon impudeur. Nous nous asseyons en tailleur, le plateau entre nous.
Dans cette position, avec la complicité du kimono qui glisse sur mes cuisses, je découvre ma légère toison au naturel, ainsi que ma poitrine en liberté.
Pierre nen perd pas une miette, et la dernière fraise dévorée, il dépose le plateau, dans le dressing, et revient massaillir.
Il mallonge doucement, puis embrasse doucement mon mont de venus et entreprend de dévorer le minou, pénétrant ma fente de sa langue, mâchouillant mes lèvres, léchant mon clitoris.
Arrivée à la limite de lexplosion, il me retourne sur le ventre, remonte le kimono et dévoile mon cul, puis il écarte mes fesses et pose un baiser sur mon anus. Il dépose un peu de salive sur mon cratère et passa plusieurs fois sa langue râpeuse dessus. Puis il entreprend de forcer cette ouverture. Mon sphincter céde avec plaisir et il en profite pour introduire sa langue.
Mon anus stimulé par cette caresse, je commence à roucouler sous cette pénétration délicate. Puis il entreprend de manger mon illet, je sens ses dents mordiller mon muscle anal. Il se redresse pour contempler son uvre. Excité par ces caresses, mon il de bronze ne se referme pas complétement.
- Chéri, sil te plait. Encore.
Jamais on ne mavait prodigué cette caresse si intime et si douce.
Pierre replonge dans mon cratère, il mencule avec sa langue, tournant fouillant, explorant chaque recoin de mon rectum. Je me cambre pour faciliter cette feuille de rose. Puis jouvre mes fesses à deux mains pour mieux moffrir à cet envahissement. Du côté face, sa main agace mon bourgeon.
Sous ces deux assauts conjugués, jondule du cul, avec des gémissements entrecoupés de petits cris, et des
- Encore, mon chéri !!!
- Bouffe-moi mon amour !!
Lorsque la tension est au maximum, il me pince le clitoris et menvoie dans orgasme intense.
Quand je redescends sur terre, nous sommes emboités lun dans lautre, en petites cuillères. Je me cale, dos à lui, emboitant mon cul dans son ventre et posant dautorité sa main sur mon sein.
Puis doucement, nous sombrons dans le sommeil.
Quand je me réveille, Pierre a quitté notre lit. Sa maison est beaucoup plus silencieuse que mon appartement. Je tends loreille, et jentends quelques bruits au rez de chaussée. Je me lève, et chausse mes mules. Je descends silencieusement lescalier, vêtue de mes formes et de ma seule nudité.
Pierre sactive dans la cuisine et range notre vaisselle de la veille dans la machine. Il ne porte que son boxer, et une chemise non boutonnée. Je me colle à son dos par surprise.
- Tu es réveillée, ma chérie.
- Oui, et très bien réveillée, mon amour.
-
Et je lui remonte sa chemise pour quil sente les pointes de mes seins érigées contre son dos. Jondule contre son dos, stimulant mes tétons contre sa peau. Débarrassée de sa chemise, je fais glisser son slip. Puis je memballe comme une jument folle.
Dune main je mempare de ses couilles et de lautre jempoigne sa belle verge. Je me plaque contre lui, et je lembrasse dans le cou, et lui fait un suçon. Ma main sagite sur son beau membre, qui se raidit. Cest bon, il est à point. Je le retourne, le coince contre le mur de la cuisine. Je lui chuchote en délirant.
- Tu es à moi mon pervers chéri. Tu vas y passer, à la casserole. Ca va tapprendre à réveiller la chatte qui dort.
Dune main jattire une chaise et je pose dessus mon pied gauche. Ma vulve souvre, je glisse dedans le pénis de mon amant et jentreprends de mempaler, en aller et retour. Dans une tentative désespérée de reprendre linitiative, Pierre mintroduit son majeur dans lanus. Cela mexcite encore plus et jaccélère le rythme jusquà un orgasme si brutal que jen ai les jambes tremblantes. Je maccroche à mon Chéri, sa verge toujours ancrée en moi. Et je reste silencieuse, juste mon souffle qui se mêle au sien. Japprécie ce bonheur de sentir tout le corps de mon Pierre comme moulé dans le mien. Quel bonheur davoir des formes.
- Tu as aimé que je te viole, mon amour
- Jaurais du mal à cacher que jétais consentant, voir même enthousiaste.
- Je pourrai recommencer.
- Chérie, viole-moi autant que tu veux.
Tendre et doux silence, lun contre lautre ou plutôt lun dans lautre.
- Chéri, Il faut que je me lave .
- Pas de souci ma beauté, tu trouveras une douche en sortant à droite de la cuisine.
Je le libère à regret, et me dirige vers la salle de bain, en sentant sa semence glisser le long de mes cuisses. Jessaie maladroitement de limiter la fuite avec la main. Enfin, jarrive au receveur de la douche et jouvre les robinets. Je cherche du regard un savon quand je vois entrer mon Chéri, avec son petit sourire en coin.
- Arrête Pierre, je suis assez gênée comme ça. Peux-tu me donner du savon.
Il ouvre un placard, sort un flacon rose et un autre orange, puis entre sous la douche. Il met une noix de liquide rose et commence à me savonner, dabord les seins, les aisselles puis le ventre, et ma chatte, tout en échauffant mon petit clito. Il me fait pivoter et me lave le dos, puis les cuisses et mon valseur. Ensuite il écarte mes fesses et glisse un doigt lubrifié par le savon dans mon cratère intime.
Depuis notre première rencontre, japprécie cette intrusion. Mais un second doigt se joint à son voisin, testant lélasticité de mon illet.
Pierre les fait tourner comme sil cherchait à ovaliser mon anneau plissé.
- Pierre, arrête , je ne suis pas à laise.
Mon amant retire ses doigts, je me retourne vers lui.
- Tu veux me sodomiser ?
- Hum ! On dit sodomiser quand on boit le thé chez la comtesse. Quand on est nue, avec son amant qui vient de vous fouiller au plus profond de vous-même, il vaut mieux utiliser le mot « enculer ».
- Mon Chéri, tu veux menculer.
- Oui.
- Maintenant.
- Non ce soir.
Je me blottis contre lui
- Soit très doux mon amour, mon ex ma fait très mal quand il a essayé.
Il me prend le visage.
- Je serai attentif, ma chatte.
Et il me « roule un patin denfer » tandis que je ventouse mon corps nu au sien.
Un ange passe.
Nous nous séparons. Je menroule dans un drap de main et je me dirige vers lescalier. Jai le pied sur la deuxième marche quand je sens son regard sur moi. Sans me retourner, je défais le drap qui me cache, le laisse tomber. Puis je monte lescalier en faisant rouler mon cul. Jentends un sifflement dadmiration qui me fait éclater de rire.
Jétais en train de revêtir mon ensemble rouge, quand il me rejoint dans la chambre.
- Chéri, peux-tu maider pour mon serre taille.
- Tourne toi.
Il met un genou sur le parquet , et agrafe les six fixations . Je me retourne, ma fourrure intime à hauteur de son visage.
- Pierre veux-tu que je mépile ?
- Non, tu nes pas trop touffue, cest très doux à caresser ou à embrasser. Garde-la comme ça, ou quelque chose comme le maillot ou le ticket de métro -
- Mais épilée, cest plus propre.
- Pour être propre, il suffit de se laver, cest une façon de se respecter et de respecter lautre.
Je massoie pour enfiler mes bas à couture, il se place derrière moi, et empaume mes seins.
- Tu as beaucoup de culottes de bonnes surs comme celle dhier -
- oui, quelques-unes.
- Il est onze heures, on a le temps de régler ça. Quand tu es habillée, on y va.
- Laisse-moi passer une robe.
-
Il me regarda du haut en bas.
- Ca vaudrait mieux, sinon, il a y avoir des émeutes.
Jenfile une robe beige, au genou, à larges plis. Son tissu suit londulation de mes hanches quand je marche avec des talons. Cest aussi un choix tactique. Elle est assez longue pour cacher que je suis en porte jarretelles.
Mais je peux aussi dévoiler la lisière de mes bas et la peau de mes cuisses si je la fait tourner, comme pour un essayage, ou quand je massois en voiture ou quand jen sors.
Et nous voici en route pour un magasin de lingerie, à Nogent, dont Pierre connait depuis longtemps la propriétaire.
Mais je passe la plume à mon coquin pour la suite de cette nouvelle. Je la reprendrai plus tard pour vous conter ce que Pierre na pas vu
- Pierre, tu es venu avec Madame. Sécrie Odile.
Et elle me colle une bise sur la joue droite.
- -Hélène, permettez que je vous embrasse.
-
Sans attendre, elle lui claque deux baisers en aller-retour su chaque joue.
Odile est grande et longiligne. Un visage triangulaire, des yeux clairs et des cils interminables.
Hélène parcourt le magasin du regard, clair spacieux, des tiroirs partout.
Odile la sort de sa rêverie.
- Que désirez-vous Hélène.
- Euh, oui !!! Pierre sil te plait.
- -Odile, pouvez-vous nous présenter quelques parures.
- -Avec serre-taille. Reprends Odile.
- Oui, jaimerai beaucoup. Répond Hélène.
- -Ma chérie, je vais vous présenter quelques modèles. On va cramer la carte bleue de Monsieur. Quelle est votre taille de bonnet ?
Odile virevolte de tiroirs en tiroir et accumule les soutien-gorges sur la table au milieu du magasin
- Hélène, on fait une première sélection.
- Celui-là, celui-ci et encore celui-là et celui-ci.
- Vous voulez commencer par lequel ?
- le motif floral .
- Quelle est votre taille pour le porte-jarretelle.
- quarante-six . Répond Hélène.
- Non, un quarante-quatre. Répliquai-je
- jaime que Madame soit contrainte- Ajoutai-je.
Odile sourit.
- Hélène, allez en cabine dessayage. Je vous apporte votre parure.
Odile farfouille dans les tiroirs. Elle minterroge.
- Deux culottes , je suppose.
- Oui, mettez une italienne sil y en a une , mais présentez lui en plusieurs, mais pas de string.
Odile prend les articles, et se rend devant la cabine.
- Je peux-
- Oui, entrez.
Hélène est déjà en sous vêtement. Odile lapprécie de son il dexperte.
-Cette parure rouge vous va à ravir.
- Vous me flattez.
Odile se retire, laissant la nouvelle parure sur un petit tabouret dans la cabine.
-Quest-ce que vous avez là, Pierre . Odile glisse un doigt entre le cou et le col de chemise de Pierre et découvre le suçon.
-Jai été agressé par une folle de mon corps.
La voix dHélène monte de la cabine dessayage
-Cest une marque damour, Odile, ça veut dire quil mappartient. Pierre est à moi. Pas touche !!!
Odile sapproche de la cabine et en riant, et sadresse à Hélène.
-Vous avez pensé à le faire tatouer .
- Oui, jy pense. Pouffe Hélène. Puis plus sérieuse,
-Odile, aidez-moi pour le galbe taille. Il doit être trop petit.
- Jarrive.
Et Odile pénètre dans la cabine .Jentends des chuchotements, des éclats de rire, puis Odile ressort .
- Allez-y ma chère, montrez-vous.
Hélène sort de la cabine, juchée sur ses talons, le galbe taille lui gommant son petit bedon et lui cambrant les fesses. La grande culotte camoufle le valseur incendiaire de ma belle.
- Quest ce tu en penses, Pierre.
- Superbe, tourne-toi.
Hélène pivote sur ses talons.
-Tu as une poitrine magnifique. ajoute Pierre.
- Eh bien, on le retient, je peux voir les autres - répondit Hélène.
Les essayages continuent, un vrai défilé.
Hélène entre et sort, et à chaque ensemble, ajoute un commentaire.
- Regarde le cul que jai avec ce serre-taille ?
- Tu a vu, la poitrine que me fait se soutien-gorge ?
- Cette couleur me va bien ?
- On ne voit pas trop mon gros cul à travers la dentelle
- Oups, je suis sortie sans la culotte !
- Chéri, tu ne trouves pas que montre trop mes tétons ?
Et ces rires, et ces gloussements dans la cabine, et sans compter les ajustements quOdile effectue sur Hélène, sous mes yeux.
Je nen peux plus, les yeux me sortent de la tête. Encore une présentation, et jai une attaque cardiaque.
Le stock est épuisé, et cest lheure du choix. Odile étale les modèles essayés. Hélène sélectionne trois modèles
- Jhésite entre celui-ci, celui-là, et aussi celui-ci.
- Vous voulez refaire un essayage. Propose Odile.
- Non, non, nous prenons les trois, je nen peux plus, si vous recommencez, cest lAVC pour moi. Répliquai-je.
- Merci mon amour. Répond Hélène en membrassant.
Pendant quHélène se réajuste en cabine, Odile me prend à part.
- Prenez soin dHélène, cest une femme splendide et voluptueuse. Faites la sépanouir.
-
Ma chérie sort de la cabine, toute pimpante avec sa robe évasée autour de la hanche.
- Pierre, jai faim, je tinvite au resto.
- Allez donc au libanais, il est ouvert le dimanche. Nous propose Odile.
Nous suivons son conseil, nous commençons à nous gaver de mezzés.
- Hélène, quest ce qui sest passé dans la cabine.
- Rien de bien grave, mon chéri.
- Mais encore.
Et Hélène reprend ce récit, à la troisieme personne, au moment où elle entre dans la cabine.
- Odile, aidez-moi pour le galbe taille. Il doit être trop petit.-
- Jarrive .
Odile pénètre dans la cabine. Hélène sest déjà déshabillée, ses seins se sont libérés du soutien-gorge , mais elle a gardé le reste de la parure rouge.
-Comment voulez-vous faire des essayages en restant habillé. Allez virez moi tout ça. Ordonne Odile.
Hélène hésite, puis se débarrasse de ses sous-vêtements. Elle nue devant cette si belle femme. Elle a gardé ses talons, et ses bas qui glissent sur ses cuisses
- Ma chère, vous êtes une femme magnifique.
- Jai un gros cul et des nichons de pouffe.
- Vos seins sont très bien, ils ont un beau volume, bien ronds, ils tombent un peu, mais cest normal vu leur taille. Vous pouvez aussi jouer de cet atout pour paraitre plus sexy. Quand ils sont en liberté sous un pull, ils doivent sagiter divinement. Avec le soutien-gorge approprié, ils vous feront un décolleté superbe.
- Et mes fesses, elles sont énormes.
- Ne vous inquiéter pas, nous allons les mettre en valeur. Pierre va adorer sen occuper, laissez moi faire.
Odile lui passe le serre taille et entreprend de lagrafer.
- Je suis serrée.
- Ma chère, être serrée présente plein davantage : cest un signal de soumission à Pierre, vous acceptez dêtre contrainte, vous aimez lui être soumise . En vous gainant, ce modèle de porte-jarretelle vous cambre, et projette votre cul en arrière. Ca le met en valeur.
- Comme sil avait besoin de ça !!!!
- Enfin vous pourrez serrer plus étroitement la ceinture de vos robes ce qui vous fera une belle taille étranglée. Un dernier truc : un serre taille serré porté avec des talons, vous fait obligatoirement rouler des hanches et des fesses.
Odile se penche pour fermer le galbe taille. Son souffle effleure la croupe de sa cliente. Helene est troublée. Odile pose un léger baiser sur la chair satinée.
- Attendez, je vais fixer vos bas. Et Odile sagenouille.
Puis elle prend Hélène aux hanches et la fait pivoter face à elle.
- Je vous passe la culotte. Levez votre jambe, voilà, levez lautre.
Odile remonte la culotte et sarrête juste au-dessus du genou.Son visage est à la hauteur de la minette de sa cliente. Sa respiration saccélère.
- Vous nêtes pas épilée.
- Non Pierre naime pas les sexes de petite fille.
- Il a raison, vous nêtes pas très fournie, on discerne bien vos lèvres.
Et posant sa main sur le mont de Venus, elle ajoute
- Cest très doux .
Elle sapproche, son souffle agite légèrement la toison d Hélène. Mais la belle larrête.
- Odile, sil vous plait, cessez. Je suis à Pierre, je lui suis fidèle.
- Quel dommage fait-elle en se relevant.
Et au passage, elle me vole un baiser sur les lèvres .
- Je passe le soutien-gorge
- Attendez, je vais vous ajuster.
-
Odile passe dans le dos dHélène , et la place face au miroir, et régle les bretelles.
- Ne bougez pas je vous place les seins.
Et dans un geste sensuel, elle glisse un doigt entre le sein et le tissu, chatouillant la pointe, et soulève les deux coques pour replacer les seins dHélène.
- Voilà tout est en place, Vous êtes sublime ma chère.
Hélène surprise, éclate de rire, Odile aussi. Dun coup, la tension retombe.
- Odile, sil vous plait, soyons amies.
-
En guise daccord, la belle lingère lembrasse.
- Vous êtes superbe, vous avez un corps à porter des dessous, avec votre beau cul insolent, et vos seins opulents. Allez-vous montrer à Pierre.
OOO
Pour le reste, tu connais la suite, mon chéri. Tu vois, il ne sest rien passé de grave.
- As-tu été tentée.
- Tentée non, mais troublée, certainement.
- Bon, mais la prochaine fois je rentre dans la cabine.
- Mon chéri, je te linterdis bien, jai droit à un peu dintimité avec mon coach en dessous.
Un silence complice.
Dun coup , Hélène lance cette demande.
- Chéri, je voudrais faire un truc de couple.
A suivre
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