Ma Femme M'Offre À Son Amant
Ma femme moffre à son amant
Nous sommes un couple uni, très amoureux et candauliste depuis 4 ans ; si nous fréquentons les clubs libertins, nous recevons aussi à la maison après sélection sur un célèbre site de rencontre ; nous sommes bi tous les deux, mais cette rencontre allait changer le cours de nos jeux.
Pour commencer, je mappelle Jean, et malgré mes 70 ans encore très bien conservés, reste sans doute de mes nombreuses années de sport ; jai eu loccasion de rencontrer des hommes et jaime me faire prendre, moffrir, donner le meilleurs de moi-même pour satisfaire mes partenaires. Je nen reste pas moins très actif avec ma petite femme et nos rapports sont fréquents. Depuis 4 ans nous avons choisi la voie du candaulisme et je prends beaucoup de plaisir à offrir Nini à dautres hommes, généralement en ma présence ; je suis alors acteur, soit actif, soit voyeur, prenant beaucoup de plaisir à voir Nini jouir.
Lors de ces rencontres à trois, il métait arrivé de jouer avec ses partenaires, pour notre plaisir partagé. Lors de notre dernier contact, le candidat à cette rencontre, bi lui aussi, lui a demandé si jétais soumis, ce à quoi elle a répondu, je lai su plus tard, quelle en avait envie. Lors de la soirée qui a précédé la rencontre, alors que nous venions de faire lamour, comme souvent avant une rencontre, sasseyant sur mon bassin, elle ma dit :
Demain Thierry vient pour te soumettre ; jai envie de te voir devenir une petite femelle sous son jouc ; pour cela tu thabilleras en femme et tu laccueilleras comme moi jaccueille mes amants ; moi je serais avec la caméra et tu devras nous obéir ; tu nas pas le choix ou jarrête nos jeux »
Stupéfié, je comprends vite que je nai pas le choix et je lui donne mon accord ; elle sort alors plusieurs accessoires, à savoir un collant ouvert, un mini slip, un soutien sein et me les fait mettre ; je dois reconnaitre quau début, je le fais par jeu, mais rapidement alors quelle ajuste les sous vêtement, je commence à bander.
Le lendemain, elle me fait mettre les sous-vêtements et elle moblige à lui ouvrir la porte ainsi vêtu au risque que lon me voit ; heureusement personne au dehors. A peine rentré, il me plaque contre lui et membrasse, mobligeant à accepter sa langue , et devant mon manque denthousiasme, il me plaque la fesse, « mieux que çà « et me prenant la tête à deux main , il moblige à accepter son baiser fougueux, puis accompagné de nini,il se dirige vers la chambre et me jetant sur le lit, il se déshabille , libérant un sexe déjà bandé, et le présentant à mes lèvres, il me dit » suce moi , je sais que tu aimes les hommes, mais moi, tu vas mappartenir et ce devant ta femme, avant que je la possède totalement, sans que tu puisses participer ;
Pendant un long moment , il me possède la bouche, senfonçant au plus profond, alors que Nini me demande de lui faire une gorge profonde ; cest elle qui me pousse, mobligeant à lavaler, souvent à la limite de la nausée ; puis sa queue se retire , et elle me pousse le visage vers ses couilles et son anus ; à nouveau cest elle qui commande « lèches lui le cul bien profond » ma langue senroule sur lanneau, le lèche, le titille ; contre mon corps je sens sa queue devenir une barre énorme , alors que je vois Nini se branler en nous regardant, sur son visage le plaisir est évident.
Cest lui qui met fin à lannulingus et me plaçant à genoux, il frotte son gland sur ma raie, crachant sur lanneau encore serré ; je ne suis plus vierge du cul mais quand il commence à pousser, la douleur commence à poindre ; cest un gros vit que je vais encaisser et cela me fais un peu peur ; pour elle pas de problème, seul compte le fait que je vais me faire sodomiser , et elle lencourage à me défoncer la rondelle, et il sy emploie sans vergogne ;maccrochant les hanches, il me percute lanneau , essayant de me posséder dune seule poussée, mais il est trop gros ; se retirant, il recrache sur sa queue et cette fois, il senfonce jusquà la garde, déclenchant une violente douleur dans mon ventre ; je crie, je hurle, mais il ne cède pas encouragée par sa maitresse « vas-y défonce le, fais de lui une vraie femme, il va tappartenir et rien quà toi ; possède le, le plus possible, fais le devenir accro à ta queue » ces paroles le stimulent et cest par de violentes possessions quil défonce ; la douleur sestompe ou est couverte par ma jouissance qui rapidement monte dans mon ventre
« Tu aimes être une petite salope, dorénavant tu devras mobéir, être toujours habiller en femme quand je serais là, subir toutes les saillies dont jaurais envie et même si Nini est daccord, toffrir à ses amis »
« Tu es désormais notre soumis, à moi comme à Nini, tu as compris ? » Comme je ne réponds pas assez vite, une grande claque sabat sur mes fesses ;
« Répond ; tu nes plus quun petit lope que je baise »
« Oui, je vous appartiens à tous les deux » ses coups de butoirs saccélèrent altos que Nini sacharne sur ma bite et mes couilles ; elle sait que cela me fait jouir et je comprends rapidement quelle veut me faire juter ; dautant plus que dans mon cul, sa queue me laboure, entrainant une jouissance encore jamais perçue ; je comprends que cest à la fois lidée dêtre soumis et sa possesion qui me fait jouir et quand il mengrosse, je ne peux retenir un hurlement de bonheur.
Le répit est de courte durée, car me faisant massoir par terre, il me ligature les pieds et les mains. Je vais rester comme cela pendant toute la soirée, assistant à de multiples copulations de ma femme ; déchainée elle réclamera plusieurs fois quil la baisse, quil la sodomise, et me disant à chaque fois quil était plus puissant que moi, qui savait la faire jouir, et que dorénavant, je ne la toucherais plus ; je ne pourrais quassister, impuissant à ses jouissances, entendant leurs mots damour, mais aussi leurs propos sur ma soumission, ce qui me fera jouir sans que je puisse me toucher
En une soirée, elle mavait offerte à son amant, et avait fait de moi leur soumis dépourvu dorénavant de relation avec elle lors de sa présence. Par contre, nos joutes amoureuses sont devenues de plus en plus torrides ; quand nous étions seuls, ce qui était le plus fréquent, car lui, marié ne pouvait se libérer facilement, elle moffrait sans réserve sa chatte et son anneau. Mais souvent, lors de notre étreinte, elle aimait me rappeler ma soumission pour son amant, ce qui déclenchait de violentes jouissances, tant pour elle que pour moi.
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