Un Soir Chez Christelle
Jen rêvais depuis plusieurs jours. Le soir en me couchant, le matin en me levant et surement la nuit car je me levais le matin fatigué. Les images de son corps soffrant à moi, la dernière fois lorsque nous avions fait lamour, de sa corole rose plissée qui souvrait sous la poussée de mon gland, le souvenir de ses gémissements tous ces moments inlassablement revenaient en moi.
Jétais très chaud et avec dénormes envies de sexe.
Il était prévu que je descende chez Christelle Lundi après midi et que jy reste jusquau Mercredi début après midi. Je lui avais demandé de raser sa petite chatte.
Christelle est très sexy dans cette robe ample qui ne laisse rien voir mais tout imaginer. Son décolleté est sage mais les 2 tétons de ces seins qui gonflent le tissu semblent vouloir le percer.
En revenant du restaurant Christelle me propose un verre de digestif. Ce que jaccepte avec plaisir. Jentends le bruit des verres sur la petite table du salon que Christelle prépare. Jallume pendant ce temps la musique.
Les premières notent sélèvent à peine des HP que jentends la voix de ma belle sexclamer.
« Cela fait longtemps que tu nes pas venu aussi je vais te frustrer ce soir ».
Je me retourne surpris. Christelle le regard fixe me désigne le coussin posé au pied du canapé.
Approches et agenouilles toi. Tu vas me faire jouir avec ta langue et surtout avec douceur. Après cest moi qui te baiserai. Cest OK ?
Its OK
Quoi ? le fait de te frustrer ou que je pénètre ta petite rosette ?
Que tu me pénètres si cest avec douceur
.au début
.
Tu me connais tout de même mon chéri ? Je saurai te préparer avec mes doigts pour touvrir et après je te sodomiserai avec douceur. Et quand tu sera bien détendu et offert, je te prendrai le cul bien fort, même très fort pour tentendre crier. De toute façon je ne fais que toffrir ce dont tu as le plus envie ce soir
nest ce pas ?
Je ne réponds rien mais je sens mes joues sempourprer.
Voyant que je ne bouge pas Christelle sapproche de moi, me saisie par la nuque et mattire vers sa bouche. Nos lèvres sont proches. « Ouvre la bouche petite salope !»
Jaime me soumettre à ces désirs, et ce soir elle sait que je lui obéirai. Mon sexe est déjà dur.
Sa langue prend possession de ma bouche. Jaime cet affolement dans ma tête et ce trouble dans mon ventre, qui menvahit, prémices a beaucoup de plaisirs.
Doucement la main droite de Christelle remonte de ma nuque à mes cheveux, quelle agrippe soudain fermement.
- Suces moi maintenant tu mas fait trop attendre
Vaincu, soumis, tremblant de désir et dexcitation je mexécute.
Elle s'assoies dans le canapé, son dos bascule en arrière contre le dosseret, ses cuisses sécartent, elle remonte haut ces jambes soffrant sans retenue. Elle ne porte pas de culotte. Son sexe est rasé, sa fente déjà luisante. Elle aussi a faim de sexe
je le sais,
je le sens
.
- Tu veux ma langue où ?
- Où tu voudras, fais moi jouir, cest tout.
En ayant carte libre je ne me gêne plus: je pose toute ma bouche sur sa chatte: quelle sensation agréable: Jaime ressentie cette odeur, alliant le musc, les épices comme le girofle et autres épices plus ou moins concentrés. Si je devais la manger il me semble que je men régalerai. Pour le moment je vais lui bouffer le con. Je suis bien entre ses jambes, surtout quand je commence par lécher ses lèvres, avant de monter vers son clitoris. A cet instant elle commence à gémir fortement. Avec mes deux index je décapuchonne son gland et la lèche avec douceur mais application. Ces couinements mencouragent.
La langue toujours sur son bouton, je lui entre deux doigts de la main gauche dans le vagin, puis un autre, sa mouille coule, le pouce de ma main droite doucement force son cul.
- Oui, suces moi comme ça, jaime ce que tu me fais.
Elle me caresse la tête, jouit plusieurs fois, toujours en gémissant
Je bande fort et libérant ma main droite je desserre mon pantalon.
Doucement en soulevant lun après lautre les genoux je me déshabille.
Ma queue est dans ma main, je me caresse doucement.
Pour Christelle, je ne sais pas, bien quelle semble apprécier, mais en tout cas pour moi cest le paradis. Cest extraordinaire dêtre le nez dans sa fente, fourreau à la fois chaud et humide. Elle me dirige par la voix pour notre propre plaisir. Elle jouit je ne sais combien de fois. Je sens couler sa cyprine sur mon visage. Ma main, toujours agrippée à mon sexe, continue de coulisser faisant augmenter mon rythme cardiaque. Limage de ce sexe ouvert et la pensée de la position de ma petite salope, les cuisses ouvertes relevées très haut, maffolent. Ma verge est dure et inflexible. Je touche au but
Je suis sur le point de jouir
.quand Christelle me rejette et se redresse.
Tout doux mon ami. Je dois me préparer, je reviens dans quelques minutes
.
Avec un petit sourire moqueur au coin des lèvres elle monte lescalier menant à la chambre.
Je lentends fouiller dans les boites ou sont rangés nos sextoys. Mon excitation grandit encore.
Je limagine séquipant de son gode ceinture. Durant les minutes qui suivent seules les notes de musiques troublent le silence.
Enfin jentends les marches craquées. Pour me donner une contenance jatt un verre et massieds dans le canapé.
Elle est là devant moi. Elle sest changée
.. Belle dans une petite robe printanière, très légère.
« Un verre sur la Terrasse ça te dis ? »
Je suis toujours surpris par ses sorties. Elle me regarde en souriant.
Tu attendais autre chose ?
Et naturelle elle se dirige vers la Terrasse. « Noublies pas la bouteille avec ta bite et ton couteau »
De la terrasse je lentends rire.
Souriant tout de même je retrouve la belle sur la terrasse. Lair est plus frais à cette heure et Christelle semble absorbée dans la contemplation du jardin.
Je mapproche delle et glisse mes mains autour de sa taille. Sa tête sincline sur mon épaule, nos bouches se soudent, nos langues partent a la recherche lune de lautre.
Immédiatement dans mon dos, je sens son érection. Je sors mon cul légèrement pour accen la pression de ce manche dur maintenant. Mon mec est en manque
. Mais moi aussi.
Je sens mon sexe humide. Ce soir jai envie de me faire prendre, je me sens chienne, mais je veux garder le contrôle pour éviter quil me baise trop rapidement, sans préliminaire.
Mes mains saisissent les siennes et sans les lâcher les guident sur mon corps. Cest une sensation bizarre et excitante de sentir ces quatre mains sur moi.
Nos mains caressent mes seins et ma gorge en même temps et doucement glissent vers le bas. Elles glissent dans le sillon de mes seins et effleurent à peine mon ventre. Le tissu me protège et le frustre, jadore cet état dexcitation. Nos mains ouvrent les boutons de ma robe. La fraîcheur du soir caresse ma gorge. Nos mains ont fait jaillir mes seins du soutien gorge qui les maintient maintenant en hauteur. Je les trouve arrogants avec la pointe des mamelons érigée.
Nos mains soulèvent ma robe maintenant. Je crois que je ne vais pas résister longtemps. Jai le sexe moite, il coule même. Vivement que sa queue me remplisse.
En soulevant sa robe mes mains furent surprises de sentir sas culotte. Au toucher cétait lune de ces culottes blanches enveloppantes en coton pas très sexy. Jaccentue la pression de ma queue raide contre ses fesses, bloquant ainsi la robe remontée haut et pour lui faire sentir la dureté de mon manche.
Nos mains sont toujours jointes 2 à 2. Je glisse nos doigts de par et dautre de léchancrure du slip a lavant. Nous pouvons sentir la moiteur de sa chatte mais elle le savait déjà elle. Elle se cabre légèrement, offrant son ventre et jeu la sensation que ces jambes sécartaient. Jeu un instant la pensée de la forcer à sappuyer au muret de la terrasse, baisser sa culotte et la remplir de ma queue.
Mais excité comme je suis, je vais tout lâcher à peine je laurai emmanchée. Il me faut durer pour notre plaisir commun.
Interdite jattends, il hésite, je le sens au frémissement de sa queue contre mes fesses. Ma culotte a glissée un peu sur mes hanches. Il lâche mes mains. Quoiquil décide je me laisserai faire. Jai envie dêtre comblée remplie par une queue. Ma bête est en attente, prête à avaler le monstre qui détendra ses chairs.
Je fais glisser doucement son slip sur ces hanches. A la lueur de la lune je devine la naissance de son sillon.
Christelle ne dit rien, ne bouge pas. Femelle qui sait quelle va accepter soumise lassaut du mâle.
Je me décolle libérant un espace entre ses fesses et mon ventre. Ma queue glisse dans le haut du sillon fessier. Elle sattend surement à ce que jappuie sur sa tête ou le haut de ses épaules, la forçant à se pencher en avant, comme une Femme offerte. Je mécarte encore plus. Son slip baille comme un vêtement froissé. Je lenvie de pouvoir caresser ses fesses toute la journée et recueillir sa mouille de femme active.
Jattends de plus en plus impatiente. Dire que je lui avais promis de le faire languir et me voila en attente de son bon plaisir, la chatte de plus en plus trempée. Je sens ses mains saisir le pli de la culotte la partie humide davoir épongée mon désir de Femelle en chaleur.
Et je la sens qui se glisse, se faufile cette bite raide dont je connais si bien les veines saillantes, le gland turgescent. Elles écartent mes lèvres pour se frayer le passage mais glisse sans forcer lentée.
Mon gland glisse le long de ses grandes lèvres. Ma queue est très raide et humide, me faisant éprouver des sensations extraordinaires.
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