La Voiture Chalereuse

Je m’appelle Fabien, 23 ans. Je ne me caractériserais pas comme un beau gosse, mais disons que j’ai mes atouts. L’histoire qui va suivre raconte une petite virée en voiture un peu plus chaude que d’habitude.
Je rentrais de soirée avec une amie de longue date, Eléonore. De mon âge et très jolie. On s’est toujours tourné un peu autours sans qu’il ne se passe vraiment quelque chose qui m’aurait suffit. Eléonore me ramenait en voiture ce soir-là, ce n’était pas la première fois. Mais cette fois, avec un verre dans le nez je cédai, et abordai le sujet…
- Je te trouve vraiment très jolie et franchement, je suis un peu frustré qu’il ne se soit jamais rien passé entre nous…
- Comment ça?
- Bah ça fait longtemps qu’on se connait, on a même déjà flirté un peu ensemble, mais rien n’a vraiment abouti, je trouve ça dommage
- Mmmh, et tu aimerais qui se passe quelque chose alors?
- Euh ouais ça me dirait bien quoi! Pas toi ?
- [Gênée] Ouais. Mouai,… je sais pas moi, pourquoi pas, euh bah motive-moi un peu…
J’ai très bien compris ce dont elle avait envie. Un peu timide et appréhendant sa réaction j’ai donc reculé mon siège, descendu mon pantalon et commencé à me masturber, déjà en érection. Eléonore essayait tant bien que mal de garder les yeux sur la route, mais j’ai bien vu qu’elle essayait d’admirer ma verge déjà bien dressée. J’ai donc saisi sa main et commencé à me masturber avec.
- Ouaw, tu es très entreprenant ! Je conduis, il faut que je reste concentrée hein !
Il faut dire que j’en avais tellement envie. Eléonore bifurqua sur une route caillouteuse. Sa main commençait à prendre le dessus sur la mienne. Lorsqu’elle s’arrêta, nous étions au bord d’une forêt. Tout était calme. Là elle se retourna vers moi.
- On dirait que tu es très excité, mmh, tu aimerais voir mes seins, je parie ?
Elle me murmurait ça sur un ton très doux et sa bouche s’approchait gentiment de mes lèves.

Elle me masturbait toujours, j’avais chaud. Lorsque nos lèvres étaient sur le point de se toucher, elle s’arrêta.
- Tu me trouves si bonne?
Je répondis que oui.
- Alors, dis-le-moi…
- …
- Allez, dis-moi que je suis bonne (elle s’arrêta de me masturber)
- Ho oui, oui tu es bonne!
- Encore
- Hoo oui, tu es bonne!
- Qui?
- Eléonore, oui tu es bonne Eléonore!
- Ah voilà tu vois que tu peux! je commençais à croire que tu ne me voulais pas!
Elle était toujours à bout portant de mes lèvres. Elle recommença à me masturber, lentement. Puis elle recula et ouvrit sa petite chemise. Elle n’avait pas de soutiens-gorges. Ses seins pointaient. Ils n’étaient pas gros, mais j’aurais bien pu les prendre en mains si elle ne m’en avait pas empêché. Elle se rua alors sur moi et me chevaucha. Je me retrouvai donc sur le siège passager, elle sur moi et face à ses seins.
- Allez suces -les!
Je m’exécutai aussitôt! Ses tétons étaient parfaits. Ils entraient parfaitement dans ma bouche lorsque je les aspirais. Ça claquait. Je passais d’un sein à l’autre et me noyait entre eux. Je léchais tout, rien n’était laissé au hasard. Elle devait aimer, je sentais son souffle devenir de plus en plus fort sur mes cheveux. Elle me passa une main, puis la deuxième derrière la nuque. Je me suis retrouvé étouffé au fond de ses seins. Lorsqu’elle me libéra de son emprise, elle sauta à l’arrière de la voiture.
- Viens-là, j’ai envie de plus maintenant! C’était un bon début, mais il va me falloir plus. Allez !
Pourtant timide d’habitude, sa fougue me surprit et m’excitait même un peu! Je passai donc à l’arrière. Elle était allongée. À peine arrivée, elle m’enleva le t-shirt et me dira vers ses lèvres. Pendant qu’elle m’embrassait elle griffait le dos et une de ses mains repris ses droits sur bite. Elle montait et descendait gentiment le long de celle-ci- Elle me regardait profondément avec ses yeux bruns. Je savais qu’ils étaient bruns mais ne voyait que peu de son visage et son corps.
Il y avait peu de lumière. Jusque des ombres. De temps à autre ma bite heurtait sa moule déjà bien mouillée et laissait une petite goutte sur la pointe de mon gland.
J’en profitai pour descendre gentiment son pantalon. Sa main lâcha ma bite pour saisir ma tête et me précipiter vers son entrejambe. Elle me colla les lèvres contre sa vulve. Elle était chaude.
- Lèche-moi! J’ai du gout tu verras!
J’avais bien deviné ce qu’il lui fallait sans qu’elle me le dise et ma langue titillait déjà son petit bouton. Dès ma première léchouille, des fils liaient ma langue et sa vulve. Elle était tellement mouillée. Je descendais et remontais ma langue le long de la fente m’attardant toujours un peu plus sur le haut pour l’exciter. Ses soupirs devenaient de plus en plus forts. Pour augmenter encore son excitation, je décidais d’aspirer son clitoris pour y faire venir son sang. À ce moment-là, elle me serra la tête entre ses deux jambes. Je ne pouvais plus bouger, j’étais coincé. J’aspirai donc encore un peu et titillais son clito de plus en plus vite ses soupires s’accélérèrent le ton de sa voix augmenta
- Continue, c’est bon! Continue encore
Son corps commençait à convulser, de plus en plus violemment d’ailleurs. Elle criait maintenant.
- Ho oui! encore! ne t’arrête pas! hooo!! hoooooo!
J’étais bloqué. La voiture trop petite ma tête coincée entre ses jambes. Je n’avais que ma langue que je pouvais bouger. Je me focalisais sur ça. Sa mouille me coulait autour de la bouche, mais aussi dans la bouche. J’aime la cyprine et la sienne était très bonne. Je me régaler à manger sa chatte de cette façon. Soudain elle s’arrêta. Elle ne bougea plus et me délivra. Pas pour longtemps. Elle me tira par la tête puis les bras et me tira vers elle. Je vis tout son corps dans la pénombre. Ses hanches arrondies, son nombril creux puis ses seins tendus et pointant au possible au point que ça devait en être douloureux. Je voulais les embrasser, mais elle me tira vers sa bouche et m’embrassa fougueusement.
Sa langue roulait autour de la mienne en s’enfonça dans ma bouche, ses mains derrière ma tête. Lorsqu’elle en ressortit, elle déposa violemment sur l’une de ses mains sur mes fesses et cambra ses hanches vers mon sexe.
- J’ai besoin de quelque chose de plus fort, de plus gros maintenant. Prends-moi!
Elle entoura ses jambes autour de mes hanches et me dirigea vers sa chatte détrempée. Ma bite la pénétra d’un cout lui laissant échapper un râle de plaisir.
- Hoo ta bite est parfaite vas -y maintenant prends-moi! Tu as ce que tu veux! Vas-y! Je n’attends plus que tu me défonces!
Il ne fallait pas me le dire deux fois. J’ai commencé mes va et viens en missionnaire sur sa banquette arrière. À chaque rentrée de ma bite, mes boules claquaient contre ses fesses et elle lâchait un petit cri. Ses mains parcouraient tout mon dos me serrant contre elle. Ses seins étaient écrasés entre nous deux. Sa bouche était au coin de mon oreille j’entendais le moindre de ses souffles. Je ressentais le moindre effet de l’une ou l’autre de mes pénétrations.
- Ha putain Fabien! Continue! Ha putain jvais jouir! hhaaa!
Ses jambes me serraient contre elle lorsque ma queue sortait trop d’elle. Elle m’utilisait totalement comme objet. Je l’empallait, coup après coup, de plus en plus vite.
- J’en peux plus! putain c’est trop bon! Continue!
Sur ces encouragements elle accélérait encore les demandes en retour de ses jambes. Ma bite s’enfonçait de plus en plus violemment dans sa chatte. Je la sentais se serrer un peu plus à chaque fois. Ses mains ne trouvaient plus où s’agripper! Elle ne me disait plus rien!
- Haaaaaaaaaaaaaaaa!
J’accélérai et ses jambes n’arrivaient plus à suivre. J’en pouvais plus j’étais excité au plus haut point. J’étais prêt à inondés sa chatte de mon sperme. Ses mains abandonnèrent mon corps, ses yeux ne me regardaient plus et roulaient en arrière! Elle était dans un état second-
- Achève-moi, je suis à toi!
Lâché de l’emprise de ses membres, je plantai mon membre encore quelques dizaines de fois le plus directement possible au fond de sa chatte.
Elle si directrice il y a quelques instants avait abandonné son corps, son esprit s’en était allé. Je ne pouvais plus tenir bien longtemps. Ses jambes tremblaient dans les aires et son corps convulsait et mes vas-et-viens secouaient toute la voiture. Je commençais à crier aussi!
- Je vais venir! tu veux ma jute? Je vais tout gycler ! haaaaaa !
Je n’eus aucune réponse.
- Haaaaaaaaaa!
Au-fond, encore, au fond, encore ! J’allais trop vite pour calculer quoi que ce soit! Je sortis ma queue de sa chatte et la posai sur son pubis. Un geyser de sperme sorti de ma queue! Tout s’étala sur son corps. Une giclée, une deuxième, puis une troisième, un quatrième et finalement une cinquième! Elle en était recouverte! Jamais je n’avais autant juté! Lorsque ma bite se reposa sur sa chatte après avoir donné ces six tires de sperme, elle poussa encore un cri! Son clito était encore sensible. Elle saisit alors ma queue sans que je ne puisse rien faire et se masturba avec. C’était bon. Le mélange de sperme et de cyprine lubrifiait sa chatte. Elle tournait autour de son ouverture et son clito. Un dernier sursaut de ses hanches. S’en est suivi une nouvelle série de giclées, mais en sens inverse! C’est elle qui me jutait dessus cette fois-ci! J’en reçus sur tout le corps, même le visage! J’en étais recouvert. Nous étions les deux recouvert des éjaculats de l’autre. Elle me tira vers elle.
Nos corps se touchèrent. Mon sperme et ses projections de mouille se mélangèrent et nous collèrent l’un à l’autre. Elle m’essuya tout le vissage avec sa langue et me susurra à l’oreille...
- J’espère que tu crois pas que c’est déjà fini…
-

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