Cocu ...Volontaire ? 13 Plus Cocu Que Candauliste !
Cocu ...volontaire ? 13 Plus cocu que candauliste !
Après deux soupirs et trois larmes de crocodile Émilie sendort les fesses serrées sur son plug anal, le moyen, et va rêver voluptueusement du marabout à gros nud qui devrait la guérir, mais pas trop vite espère-t-elle jusque dans son rêve coquin. Car les soins prodigués la comblent de bonheur au point quelle a passé commande dune nouvelle série dexercices avec cet étranger. Ses protestations contre un éventuel divorce sont de pure forme. La menace ne lempêche pas de dormir et de rêver. Le sommeil est un refuge ouateux pour des rêves inachevés, à reproduire sans fin, si agréables, si confortables, loin des petits soucis du monde réel, de la cruauté des mensonges, de la peur de se faire pincer.
Elle sourit en dormant, elle soupire :« René »
Elle dort
qui est capable de contrôler le contenu de ses rêves ? Elle est attendrissante sous lemprise de son subconscient. Elle revit le dernier événement important de sa journée, il ny a pas lieu de soffusquer. Je laime. Jaime quelle ait su se créer un monde imaginaire où elle vogue heureuse. Dors, fais de beaux rêves mon amour.
Je pars au travail et jemporte le plug anal au plus gros diamètre; je ne voudrais pas que ma belle endormie se blesse en se contorsionnant pour enfoncer seule dans son anus un écarteur aussi effrayant. Faute dobservation scrupuleuse des consignes dutilisation par la femme, René sera mortifié de ne pas réussir à franchir dès ce soir le sphincter insuffisamment dilaté. Ce nest pas fait pour me déplaire.
René va peiner à la porte, tenter de forcer le passage, faire mal, peut-être déchirer la peau du cul de ma femme, enlever de son attrait à la pénétration anale que sa victime craindra ensuite par peur dune douleur mal placée. Il perdra du temps en vains efforts et augmentera la durée de sa rencontre et par conséquent celle de ma présence chez Angèle.
Quand jen suis lauteur, jaime les farces et jen ris. Jusquà ce soir je serai de bonne humeur. La poubelle des voisins de mon bureau connaît un objet insolite, elle sen fout. Nous en sommes débarrassés.
A treize heures mon repas mattend. Émilie est nerveuse, tourne en rond, se fait douce pour madresser un reproche indirect :
- Mon chéri, tu as oublié quelque chose ce matin avant de ten aller. Tu vois de quoi je veux parler ?
- Tu dormais si bien, je ne tai pas embrassée pour ne pas te réveiller car tu sais ce qui tattend ce soir. Ce sera ta fête, ce soir, tu en profiteras mieux si tu es reposée: jai pensé à tout pour ton bien, ma chérie, dès le matin.
- Pourtant jaime être réveillée par tes baisers. Non, je parle dautre chose, tu ne te souviens pas ? Lobjet à menfiler par derrière, tu devais
- Ah ! Oui
, cela me revient. Jy ai pensé très fort au lever. Cétait inhabituel pour moi. Pour rien au monde je naurais voulu omettre ce service. Faute dêtre ton premier enculeur avec ma verge, jaurais apprécié dêtre le premier à tenculer avec un objet aussi important. Jaurais également aimé rendre ce service insigne à notre ami René, car cest pour lui que tu fais tant defforts louables. Je lai cherché partout ce jouet , je ne lai pas trouvé. Jen ai conclu que tu navais pas pu attendre mon réveil. Jai pensé que tu tétais servie toi-même au cours de la nuit, impatiente de faire bâiller tes fesses et de tarrondir le troulala au plus vite et de la plus belle manière pour recevoir dignement le sublime sexe du spécialiste en tuyauteries et boyaux.
- Tu nas pas vérifié ? Je me souviens dun temps où tu voulais toujours voir mon « joli cul ». Et là, non ?
- Certes tu as un cul magnifique et je men veux davoir manqué loccasion de ladmirer une dernière fois avant démolition. Je ne me consolerai pas de cette négligence coupable. Mais comme Angèle devait venir taider à le fixer au bon endroit, en cas de difficulté, il ny a pas de problème. Tu las appelée, avec retard, mais maintenant tu dois te sentir à laise. Sois gentille, montre-moi « ton joli cul »
- Non.
- Non, ça te gêne, cest pour ça que tu restes debout ?
- Non, je nai pas eu à appeler Angèle, parce que moi non plus je ne lai pas trouvé ce foutu machin. Jai fouillé la maison de la cave au grenier, il est introuvable. Cest incompréhensible. Ma fête sera foutue. Tu
?
- Ah! Non, je ne suis pas pervers à ce point. Tu crois que je menfile des machins pareils ? Je te laurais volé pour moi ? Cest trop gros et trop dégoûtant, nous navons plus les mêmes goûts. A la limite un concombre ferait laffaire si javais ce vice; ce serait dun meilleur rapport qualité prix. Regarde, je baisse mon pantalon, ton ovni na pas atterri entre mes fesses
. Tu as vu ?
Comme ça cest prouvé : es-tu contente ? Enfin, ce nest pas un objet animé, il ne contient ni pile ni moteur, il ne se déplace pas. Un voleur serait entré chez nous cette nuit ? A qui as-tu confié une clé ?
- A Angèle.
- Voilà lerreur. René se garde pour toi, ne saute pas ta copine, histoire de se remplir les burnes de la liqueur dont tu es si friande. Toi, tu joues avec le vibromasseur à son effigie. Résultat de vos intrigues : Angèle démunie de tous ses jouets se sera sentie en manque et aura récupéré le premier objet qui lui sera tombé sous la main au cours dune discrète visite nocturne chez nous. Merde alors ! Je ne me sens plus en sécurité chez moi.
- Si tu cherchais à ma place, calmement, tu trouverais. Je suis trop énervée.
- Moi je suis en colère de me savoir en danger. Hélas mes ouvriers mattendent. Hé : essaie dans le frigo, concombre ou canette de bière. A ce soir.
Il est temps de me sauver, car le fou rire le plus fou de ma vie me guette. Et je sens que lépouse me soupçonne et ne tardera pas à pousser son interrogatoire. Quelle se démerde, cest le cas de le dire.
Au coup de sonnette Émilie, en tenue de soirée, coiffée, maquillée, sest précipitée, a ouvert la porte, sest jetée dans les bras de René sans précaution. Moi javais eu droit , à mon retour à :
- Ne traîne pas. Prends ta douche et habille-toi proprement.
Puis quand javais voulu lembrasser, à:
- Fais attention, tu vas me dépeigner.
Ils ont un mal fou à se détacher et gênent lentrée dAngèle. Cela me donne les secondes nécessaires pour boucler ma chambre à coucher et en cacher la clé.
Ma femme reprend son souffle, saisit une main de son héros et savance vers moi, me défie du regard, pose sa main sur la poignée de la porte de notre chambre, veut me montrer que notre discussion sur le lieu des accouplements na servi à rien, quelle décide seule de ce qui se pratique ou non. Elle pousse, la porte résiste, je lui fais signe daller vers le salon. Elle enrage, voit mon hochement de tête et mon sourire aimable avant de se soumettre à mon invitation : nécessité oblige.
A mon tour jaccueille Angèle, nous nous embrassons sur les joues, échangeons des salutations courtoises au soulagement de ma femme qui sest retournée pour surveiller cette rencontre qui la chagrine.
- Où allez-vous ? Dans cette chambre ? Pourquoi ?
- Jai pensé que vous souhaiteriez un peu dintimité pour cette deuxième rencontre. Dans de meilleures conditions vous devriez accomplir des progrès fulgurants. Jai tellement hâte den finir avec tout ce cirque et de foutre à la porte ton taureau.
- Montre un peu de patience, ce nest pas un cirque mais la solution pour nos retrouvailles. Je te promets de mappliquer de mon mieux pour parvenir au résultat le plus rapide. Mais comme tu le dis pour ton travail, il faut ce quil faut. Je suis prête à endurer toutes les souffrances pour retrouver le chemin des orgasmes. Ne jalouse pas linstrument de notre futur bonheur.
- Jaurais souhaité une guérison plus rapide. Plus ça dure, plus je me sens frustré
Vous avez été dérangés par notre présence la première fois. Laissés seuls, en tête à tête, vous pourrez vous livrer sans frein aux plaisirs de lamour et hâter la conclusion. Vous échappez à laspect représentation théâtrale, vous êtes vous-mêmes, plus facilement sincères et vrais, tu nauras pas à dissimuler ta jouissance pour ne pas me peiner, tu pourras téclater pleinement et aucun scrupule ne viendra ralentir les élans amoureux de ton étalon, sa saillie te comblera daise.
René écoute et approuve :
- Cest une délicate attention. Nous approfondirons mieux notre relation en duo. Tu te lâcheras plus facilement hors la présence de ton mari. Je serai plus libre sans ma marraine. Merci.
Le visage dÉmilie est rouge. Un peu à cause de ce nouvel échec. Son coup de force a raté et ensuite elle est désavouée par René. Elle tente de marquer des points:
- Allons, il y a un lit de 90 cm seulement dans cette chambre, vous ne serez pas confortablement installés.
Angèle dans un grand éclat de rire rétorque:
- Tu sais, cest largement suffisant pour sempiler. Contrairement à toi, je nai pas de problème et je sais baiser dans toutes les positions. Si Jean veut me posséder debout, je lèverai une jambe et il pourra me prendre debout sur une jambe par-dessous. Sil me veut à cheval sur lui la taille du matelas favorisera les mouvements. Une levrette se pratique facilement sur cette largeur. Tranquillise-toi, tu connais ma souplesse et mon envie de lui redonner le goût des galipettes. Ce que René peut pour toi, je le veux pour Jean
- Vous, tu es sûre? Vous allez réellement baiser, vous ? Aurais-tu lintention de me voler mon mari ?
- Est-ce que je taccuse davoir celle de me voler mon amant ?
Angèle rappelle la règle:
- Nest-ce pas ce qui était convenu? Tu me dois Jean et, souviens-toi, pour une durée double de celle qui vous sera nécessaire. Tu ne devrais pas tarder à ty mettre. Et si tu veux écourter le temps que Jean devra me consacrer, noublie pas de venir frapper à notre porte dès que vous aurez fini.
Ma femme ergote:
- Ce nest pas juste. Vous avez assisté à notre union lautre soir. Je veux voir comment mon mari t aimera. Je voudrais savoir ce que tu penseras de lui, mesurer ta déception.
Elle ménerve, je siffle le début de la partie:
- Tu pourras venir aussi souvent que tu voudras, contrôler autant que tu voudras, tout ce que tu voudras, vérifier létat de nos sexes, leur dureté chez moi ou la souplesse et les palpitations ou la lubrification dAngèle. Faisons simple, il est vingt heures, le décompte du temps commence maintenant et sarrêtera lorsque tu viendras signaler la fin de vos amours. Entre les deux extrémités, occupe-toi comme tu voudras, soit en te donnant à René, soit en venant nous observer et maider à plaire à Angèle.
- Bravo Jean !
René applaudit avec Angèle puis entraîne ma femme. Il est pressé de caramboler la belle. Il se fout du temps que maccordera sa maîtresse, il veut Émilie et tout de suite.
Angèle se réjouit à haute voix :
- Tu as bien fait de trancher. Est-ce à dire que tu es pressé de me posséder ? Merci de montrer ton empressement. Jai été présomptueuse quand je tai demandé. Je savais que ta femme ny verrais pas dinconvénient, bien que tout à coup elle fasse des difficultés. Je nétais pas certaine que tu voudrais de moi. Comme quoi il faut savoir oser. La chance sourit aux audacieux. Donne-moi un coup de main
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