Au Café L'Edelweiss

Au café L’Edelweiss.
Un petit bistrot où j’ai l’habitude d’aller prendre l’apéro et où on retrouve les copains.
Je discute avec Claude, le patron, et mes copains autour d’un verre, pour c’est mon porto comme toujours ; à quelques tables une femme qui doit bien faire les 90 kilos se rempli de bières et il me semble que la descente est facile. Un second porto, je règle Claude et pars vers le resto à quelques encablures.
Je passe ma commande, apéro, plat et un bon verre de rouge ; une heure plus tard, je reprend ma voiture et rentre chez moi, quelques bricoles à faire et vers 17h retour chez Claude. La bonne femme est toujours à la même table et les bières continuent ; c’est Mireille me dit Claude et elle est là depuis ce matin, boire, boire et ne rien manger, ce ne doit pas être super bon mais ce n’est pas mon problème après tout.
Deux trois verres avec les copains et je décide de revenir chez moi.
Je n’ai pas remarqué que Mireille est sortie et sur mon trajet je la vois sur le côté de la route contre le mur, elle doit être tellement ivre que son retour est pénible. Toujours très, voir parfois trop galant, je stoppe et lui propose de la reconduire, elle est toute heureuse et à moins de 500m on arrive chez elle.
Je l’aide à sortir de la voiture mais vu son poids ! Prise par les bras, je l’extrais et ma main glisse sur un sein énorme, on fini par rentrer chez elle et direct elle me propose une bière (encore !).
Elle s’écroule sur son divan et sa robe lui remonte très haut presque jusqu’au fesses ; je me pose à côté de ce cul sur le fauteuil et elle se colle en mettant sa main sur ma cuisse mais vraiment à l’orée de mon entrejambe, elle me masse et bien sûr la chaleur monte. Je ne pers pas de temps et passe mon bras autour de son cou en descendant vers ses mamelles que je commence à pétrir ; l’effet est immédiat, elle se penche en arrière pour me laisser le passage dans son très large décolleté, quelques secondes et la peau de son sein et dans ma main, elle n’a même pas de soutien !
Le traitement de son sein la chauffe bien plus que la bière, je continue et de mon autre main m’aventure sur sa cuisse, pas de réaction, je remonte et me retrouve sur sa toison et là aussi rien ; elle n’avait donc que cette robe sur elle !
Je poursuis mon approche et c’est un doigt qui lui frotte la chatte, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, c’est chaud bouillant, elle écarte ses cuisses et je rentre deux puis trois doigts dans son antre.

Mireille est aux anges, elle se couche de tout son long sur le fauteuil et, la robe relevée sur son ventre, je fouille l’intérieur de ce vagin, j’y rentre presque la main et la triture tant que je peux, elle monte au rideau. Entretemps j’ai baissé mon froc et mon boxer sans qu’elle ne s’en aperçoive et ma bite et au garde à vous.
Son trou béant n’attend que ça et sans problème je pousse contre ses lèvres intimes et je me retrouve au fond c’est chaud et trempé, je pousse le plus que je peux mais vu le gabarit ce n’est que les deux tiers qui rentre, je butte sur les bourrelets, je continue et fini par lui envoyer la purée.
Mireille ne dit rien, je regarde et elle dort à moitié à poil, prise par l’alcool sans doute.
Je remonte boxer et pantalon, achève mon verre et dépose ma carte près de sa bière, je quitte la maison sans qu’elle ne s’en soit rendue compte. A son réveil elle aura une sacrée surprise, à moitié nue et la chatte dégoulinante de sperme et aussi une mamelle à l’air.

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