La Fille Du Tourniquet.
Je travaille dans une grande entreprise et il nest pas rare de voir de nouveaux venus ou de nouvelles venues. Des employés éphémères, des apprentis ou des stagiaires. Pour entrer, il faut badger pour faire tourner un tourniquet de sécurité, il y en a deux cote à cote. Un matin, en arrivant devant eux. Je vois une jeune demoiselle sacharnée à faire passer sa carte dans le lecteur, puis dans lautre. Je mapproche :
- Bonjour. Ça ne marchera pas si vous passez la carte trop vite et à plusieurs reprise comme cela. Ce sont des machines capricieuses. Il faut les traiter avec délicatesse, comme avec une femme. Dis-je, en la regardant dun air charmeur.
- Bonjour. Je suis désolée, jai commencé il y a une semaine et la carte me fait le coup chaque matin, elle refuse de passer dans le lecteur. Me dit-elle dun air confus, gêné et quelque peu troublé par ma remarque sur les femmes, je pense, en voyant ses pommettes passer du rose au rouge.
- Vous permettez que jessaie ? En tendant ma main vers la sienne, linvitant à me donner sa carte.
Elle me la tendit sans un mot, nos mains se sont frôlées, jai senti sa douceur, sa chaleur, un frisson ma traversé le corps. Je pense quelle la senti car elle a reculé sa main, me regardant dans les yeux lair encore plus troublé quavant, se tenant toute penaude devant moi. Elle ne devait pas avoir plus de vingt ans (moi 41) et je pense quelle ne sattendait pas à être troublée par moi, comme je le suis par elle.
Je veux passer la carte dans le lecteur mais une idée me vient.
- Ce serait beaucoup mieux que je vous montre avec votre main, ainsi vous pourrez sentir à quelle vitesse vous devez la passer. Ce qui nétait quun prétexte pour toucher à nouveau sa main et confirmer mon trouble.
- Euh... Dabord hésitante. Daccord, faisons comme ça. Dit-elle avec un grand sourire.
Elle me tendit sa main et son contact me troubla à nouveau. Je la vis avaler sa salive, rougir de plus belle quand nos mains se sont toucher.
On se retrouve tous les deux de lautre côté des tourniquets. Elle me remercia en espérant quelle saura le faire toute seule le lendemain.
- Je mappelle Sébastien et toi ? Si je peux me permettre de te tutoyer. Lui tendant la main pour la saluer.
- Moi cest Elodie, enchantée Sébastien, et oui on peut se tutoyer. Dans une poignée de mains légère et tactile.
- Tu travailles dans quel secteur ?
- Je suis stagiaire à la compta.
- Ah oui, ce nest pas très loin de mon bureau ça. Je suis sûr quon va se recroiser.
- Jen serais ravie. A bientôt alors.
- A bientôt.
On séloigne alors lun de lautre, mais sans se lâcher du regard. Je sens à présent une tension sexuelle entre nous. Est-ce parce que je la regarde vraiment maintenant ? Détaillant ses formes dans ma tête à mesure quelle séloigne de moi. Son visage angélique, sa poitrine généreuse, dont on devine très bien les formes à travers son haut, ses jambes fines bronzées et douces, dévoilées par sa mini-jupe bien au-dessus des genoux et enveloppant un petit cul aux formes divines.
Pendant plusieurs jours, je faisais exprès de passer devant son bureau et elle sarrangeait pour en sortir pour venir me dire bonjour. Petits croisements dans le couloir, petits sourires coquins, regards malicieux. Au fur et à mesure de nos brèves rencontres, elle semblait moins troublée et jouait à un petit jeu de séduction qui nétait pas pour me déplaire. Un jour en me croisant elle me mit carrément la main aux fesses et je lui rendis lappareil dans la journée.
Mais ce jeu commençait à me chauffer vraiment et javais envie delle. Un vendredi après-midi, je décidais dy aller franchement. Ayant moins de monde souvent le vendredi, les gens prennent des RTTs. Le couloir ou lon se croisait souvent était en trois parties.
Cest dans la partie de 5 mètres que lon tomba nez à nez. Elle avait bouclé ses longs cheveux bruns aujourdhui. Ils descendaient jusquà ses seins maintenus dans un petit haut très échancré qui ne cachait pas grand-chose du haut de sa poitrine. Toujours en mini-jupe comme à son habitude, avec des talons. Elle me sourit, jen fis de même. Mais contrairement à dhabitude ou lon se croise, cette fois je la pris par le bras fermement et la plaqua contre le mur près de la porte du placard. Elle se laissa faire, mais inquiète :
- Et si on nous surprenait, en regardant à droite à gauche peur dêtre vu par les quelques personnes restante dans les bureaux.
- Tinquiète pas, il y a presque plus personne. Dis-je en remontant ma main sous son haut et lembrassant dans le cou, la goutant sous de petits gémissements.
- Humm, non pas ici, on pourrait nous
Puis un bruit de porte retentit.
Elle me repoussa, ajusta son haut. Pendant ce temps jouvris la porte du placard et la poussa à lintérieur, puis referma la porte juste à temps avant dêtre surpris par une personne passant dans le couloir.
Je la tenais par les hanches contre la porte.
- On a eu chaud.
- Tu es fou on aurait pu nous voir.
- Je pouvais plus attendre, jai envie de toi.
- Moi aussi.
Mon genou simmisça entre ses cuisses remontant jusquà sa culotte, dont je sentais lhumidité et la chaleur à travers mon jean.
- On dirait que cette aventure dans le couloir tas fait de leffet en tout cas.
- Peut-être que je mouille juste quand je te croise dans le couloir.
- Humm peut être en effet, en tout cas ça mexcite.
Puis nous somme parti dans un baiser fougueux, nos langues se sont mêlées, se sont sucées mutuellement. Ma main a remplacé mon genou entre ses cuisses, entrant doucement dans sa culotte trempée de désir. Jai senti la peau lisse de sa chatte rasée, glissant mon index entre ses lèvres, frottant son clitoris au passage. Elle entrouvrit les jambes pour me laisser laccès à sa grotte et un doigt vint si loger tout naturellement. Je la doigtais pendant que mon autre main faisait glisser son haut, écartait les balconnets de son soutif, pour accéder à ses tétons déjà bien dur que je pris en bouche avec gourmandise. Elle gémissait de plaisir. Pour autant elle nétait pas inactive, elle avait entrepris douvrir ma braguette et de glisser sa main dans mon boxer et commençais à me caresser la bite déjà au garde à vous depuis un moment.
Je fis glisser sa culotte à ses chevilles et elle sen débarrassa rapidement.
- Suce-moi. Lui dis-je en lui donnant un petit baiser et en appuyant doucement sur ses épaules pour la mettre accroupit.
La tête devant ma braguette, elle fit glisser mon pantalon et mon boxer au sol, libérant mon pieu qui se dressa fièrement devant son visage. Elle le branla doucement en me regardant dans les yeux. Puis donna de petit coup de langue sur le gland pour me faire languir. Quand elle vit que je tenais plus, elle lengouffra jusquaux couilles dans un grand « hummm » de gourmandise. Elle était jeune, mais quest-ce quelle suçait bien, jamais aucune fille ne mavait sucé comme ça. Ses lèvres allaient et venaient sur ma queue et ses yeux montraient son envie, sa gourmandise. Je dû linterrompre pour ne pas jouir de suite, tellement sa pipe était bonne. Je la relevai, la plaqua à nouveau contre la porte, lembrassa tout en la masturbant avec vigueur. Un doigt, puis deux, puis trois, visages front contre front la regardant prendre du plaisir. Elle ne mit pas longtemps à jouir sur mes doigts. Mais je ne lui laissai pas de répit, je la retournai, relevai son petit cul, elle, les bras en appuie sur la porte, et je mintroduis dun coup sec dans sa petit chatte trempée.
Je la fit se relever, lembrassa tendrement.
- Merci jen avais tellement envie me dit-elle.
- Et moi, si tu savais.
Puis nous regardâmes autour de nous, et, nous voyant à moitié nus dans un placard à fourniture, nous partîmes dans un fou rire.
Après cela il lui restait une semaine de stage à faire. Mais nous ne sommes pas aller plus loin. On se croisa à nouveau dans ce couloir, on se disait bonjour, un petit clin dil en coin, mais cest tout. Ce moment nous avais suffi, cétait tout ce dont nous avions envies. Elle quitta lentreprise et nous ne nous somme jamais revu.
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