Oh Ma Maîtresse

Je frémissais de plaisir à l'avance. J'étais dans la salle rouge de Maîtresse. Elle m'avait demandé de me mettre nu et de l'attendre à genoux la tête baissée.
Soudain j'entendis la porte derrière moi s'ouvrir. Je résistais à l'envie de me retourner et me concentrais sur un noeud de bois dans le plancher. Un courant d'air me parcouru l'échine. J'eûs la chair de poule mais j'étais incapable de savoir si c'etait de froid ou d'excitation.

Elle passa juste à côté de moi en me frôlant. Je gardais toujours la tête baissée. Je vis ses jambes et ses pieds enserrées par des sandales avec lanières qui lui montaient jusqu'au genoux.

"Tu m'as désobéi aujourd'hui. Je vais donc te punir.
- oui Maîtresse
- toujours la tete baissée tu vas accrocher tes poignets au cheval d'arçon et te pencher en avant. Je veux que tu mettent ton cul bien en arrière et que tu écartes les jambes."
Je répondis "oui Maîtresse" et partis toujours tête baissée obéir à ses ordres.
Je l'entendis prendre une des cravaches et je devinais qu'elle lissais le manche en cuir avec une main. Du bout de la cravache, elle leva ma tête et se penchant elle me dit:
- tu as été très vilain aujourd'hui. Tu vas patienter avant de jouir et tu ne devras le faire que lorsque je donnerai l'autorisation
Elle passa la cravache le long de mon dos et avant que je m'y attende donna une petite pichenette sur mes bourses. Je sursautai mais me garda de crier.
- mets ton pied droit sur le cheval d'arçon.
J'obéis et une pluie de tape tomba sur mes fesses. Cette position faisait ressortir mon trou du cul: je pouvais le vérifier dans les miroirs savamment agencés. Un coup en dehors, un coup sur la fesse droite puis un coup en plein dans mon trou. Elle faisait attention à déplacer les coups et à ne pas taper trop fort.
Elle caressa ensuite mon entre jambe avec la partie douce du cuir et l'effet fut immédiat. Ma bite se leva.

Je me gardait de gémir de plaisir.
Ensuite je sentis sa langue sur mes bourses. Elle remonta lentement vers les fesses et mon petit trou. Les coups portés avaient échauffaient la zone et sa salive me picoter au niveau des plaies et en meme temps me procura une décharge électrique. Je ne pus m'empêcher de me cambrer.
Elle m'introduisis alors un godemiché. D'abord doucement puis de plus en plus profondément. Quand je sentis la ceinture, elle arrêta et me demanda d'aller attendre à côté du lit.
-Relève la tête. Je t'y autorise. Maintenant lèche- moi.
Elle avait retiré le god ceinture et s'était allongée sur le lit. Son sexe rasé et blanc sur une vulve rose aux lèvres bien dessinées baillait.
Ses coups avaient du l'émoustiller car une goutte de mouille perlait sur sa vulve. J'humais avec délicatesse son doux parfum de fruits des bois et me mis à la tâche.
Quand je sentis sous ma langue un geyser de jus je dus faire un effort pour ne pas me relever et empaler pau-paul dans sa cramouille offerte.

- tu m'as satisfaite. Maintenant, enfonce ton gourdin dans ma chatte.

Je ne me le fis pas répéter 2 fois.
Son vagin épousa mon sexe comme une bouche. Chaud, humide, doux et ferme à la fois. C'etait une sensation indescriptible.
- ressors le completement et maintenant enfonce le dans mon petit trou. Puis enleve le completement je veux voir comment il se dilatte. Elle pris alors ces jambes entre ses mains pour écarter au maximum ses fesses
Son petit trou enserra mon sexe d'une pression bienvenue
Son trou se dilatait de plus en plus à chaque assaut de ma part. Je remettais ma queue juste avant qu'il ne se referme. Oh plaisir divin.
Elle gémissait en se tortillant et en se frottant rapidement le clitoris. Sa mouille couvrait maintenant tout le dessus du lit
- reste toujours dans mon trou et pillonne moi à toute vitesse

Elle haleta de plus en plus fort et tout d'un coup explosa: son cri partit en echo et résonna longtemps dans la pièce

- mmm tu as bien travaillé. Viens ejaculer sur mon visage.

Elle attendit la bouche ouverte et langue sortie que ma semence lui gicle sur la tete. Sa langue caressa de temps en temps mon chanfrein. Mon plaisir monta monta monta et explosa en un feux d'artifice qui perdura longtemps car elle se délecta de mon nectar en se léchant les babines.