La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°846)
Marion au Château (suite de l'épisode N°842)
Walter, au moment où je le saluais respectueusement en lui souhaitant une bonne route, sapprocha de moi et me tendit discrètement, sans que le Maître le voie, un papier, et avec un sourire accompagné dun clin dil devant mon regard incrédule, puis il remonta lui aussi dans son véhicule. Et je les regardais tous les deux quitter lallée de mon terrain, le cur gros de voir partir le Maître. Une fois les deux autos hors de vue, je regardais et lisais avec attention la feuille que mavait donné Walter le Majordome.
« Chienne soumise Marion MDE, Vendredi, comme tu dois le savoir, ce sera lanniversaire de Monsieur le Marquis dEvans, le Maître. Chaque année, si tant est quelle soit disponible, si elle possède une vie vanille, la dernière acquisition du Maître est « offerte » en ce jour si spécial. Tu es la dernière arrivée, souhaites-tu et peux-tu te joindre à nous ? , je dis souhaites-tu car je ne peux pas exiger en prenant du temps que tu as prévu sur ta vie vanille. Si tu viens, il sera nécessaire darriver au plus tard le jeudi soir, afin que tu sois préparée et que lon tenseigne ce que tu devras faire. Et tu devras prévoir de rester au minimum jusquau samedi matin, ou plus suivant tes disponibilités ! Je tenvoie prochainement un texto pour te donner ladresse mail à laquelle tu devras madresser ta réponse, le plus rapidement possible, afin que je puisse contacter un ou une autre chienne pour te remplacer dans le cas où tu ne peux venir. Naie aucune crainte, personne ne te tiendra rigueur si tu ne pouvais pas te libérer de tes obligations vanille. Le Maître sattend à ce que tu ne puisses pas venir. Cependant, il ne saura pas jusquà vendredi soir qui sera Son présent. Jattends donc ta réponse. »
Bien sûr que je savais que lanniversaire du Maître était Vendredi ! Comment loublier ? Je sautillais comme une gamine, ou plutôt comme une chienne, à lidée de revoir le Maître si vite ! Et dun coup toute ma joie retomba.
Regardant lheure, je maperçus que javais tout juste le temps daller chercher les filles à lécole ! Je filais donc, jessayais de me concentrer sur la route, mais en réalité toutes mes pensées étaient tournées vers le Vendredi qui allait arriver vite. Quallait-il se passer ? quexigerait-on de moi ? Jétais excitée, anxieuse, pressée daccélérer le temps, mais tentant de le repousser
Ma vie chocolat était emplie de paradoxe ! Il fallut attendre assez tard dans la nuit pour que le téléphone sonne enfin, mannonçant un texto du Majordome. Ensuite, je me précipitais vers mon ordinateur, lalluma et peu après, rédigea un mail à ladresse du Majordome indiqué sur son texto.
« Monsieur Walter, Je vous annonce avec joie quil mest possible de venir au Château dès le jeudi soir. Je me mets à votre disposition Monsieur. Je me permets de vous prévenir que je devrai reprendre la route au plus tard à 13h. Chienne soumise Marion MDE »
Jattendis de longues minutes une réponse, qui ne venait pas. Je supposai quil devait être parti se coucher à cette heure tardive, même si jhésitais à aller moi-même me coucher. Jétais fatiguée et il était tard, mais javais hâte den savoir plus sur ce qui allait se passer dès mon arrivée ! Alors, comme à chaque fois que mon mari était absent, jinstallais dans un coin de la chambre une couverture, posée sur des boudins de façon à faire une sorte de panière que le Maître appelait ma panière de petite chienne, et je my couchais après avoir installé mon ordinateur portable et mon téléphone afin de pouvoir entendre si le Majordome menvoyait de nouvelles instructions.
« Chienne, arrive jeudi soir avant 18h. Tu nas rien à prévoir, rien à amener »
Le message était court mais clair. Je répondis aussi brièvement un :
« Bien Monsieur. À jeudi. soumise Marion MDE »
Il restait juste un petit peu plus de 24h avant de devoir prendre la route. Je me sentais excitée comme une puce. Jallais revoir le Maître beaucoup plus tôt que ce qui avait été dit la veille ! Je passai à la salle de bain pour vérifier mon corps et améliorais ce qui pouvais lêtre
8h30 de route, il fallait que je parte au plus tard à 9h30, et encore sans compter de pause. Je décidais donc de mettre mes filles à la garderie à 7h où Lucie les récupérera comme convenu, ce qui laissait du temps pour sarrêter un peu. La journée passa vite, et le moment de partir arriva. Je me demandais si Walter allait vouloir que je fasse des arrêts du même style que ce que le Maître avait exigé de moi sur la route du retour. Mais non, il me laissa tranquille, sûrement pour éviter que je puisse être en retard. En réfléchissant sur le trajet, je pensais deviner pourquoi il fallait que jarrive avant 18 heures. Le Maître rentrait à 18h30, et Il ne devait pas connaître mon arrivée, vu que jétais une surprise
Jarrivais à 17h45. Walter me fit rentrer rapidement, pour une fois sur mes deux pieds, et tendit les clés de la voiture à un esclave, pour quil aille la garer et donc la cacher dans un des garages réservés aux Invités, le plus loin possible, là où Monsieur le Marquis dEvans ne mettait jamais les pieds. Je fus conduite par des couloirs secrets et des tunnels que je ne connaissais pas jusquà la maison des gardes forestiers.
- Ici, il ny a aucune caméra, contrairement à lensemble du Château, où le Maître aurait pu te voir, sIl avait voulu surveiller le Grand Chenil, où est normalement ta place de nouvelle chienne MDE ! Mais ne tinquiète pas les gardes ont aussi un semblant de Chenil où tu seras très bien pour cette nuit ! Bien sûr, les gardes ont des consignes précises, te concernant et tu es à leur entière disposition jusquà demain ! dit le majordome avec un petit sourire pervers, juste au moment où un de gardes ouvrait la porte de la maison.
- Ah Monsieur, vous êtes arrivés ! Humm, bien appétissante cette petite chienne !
- Oui effectivement ! Mais tu connais les consignes à son sujet, jen ai besoin en forme et en bon état de fonctionnement demain, alors allez y quand même doucement ! Ne me la fatiguez pas
- Bien sûr Monsieur ! Nayez crainte ! Nous ne lépuiserons pas trop !
- Bien, alors à demain ! Chienne, soit sage et obéissante surtout ! Lanniversaire du Maître ne sera pas une raison suffisante pour tempêcher de recevoir une correction si tu la méritais !
Et je baissais la tête, plus encore que je ne lavais fait jusqualors pour bien montrer mon acceptation à ce qui devait marriver. Walter partit sur un « Amusez-vous bien ! » accompagné dun sourire carnassier et pervers. Le garde me regardait et semblait attendre quelque chose, lorsquune gifle tomba me faisant sursauter.
- Et bien la chienne ! Crois-tu que les clébardes de ton espèce se tiennent sur deux pattes ? Quattends-tu pour te mettre en position dattente ?
Je me mis donc en levrette, les bras bien tendus en avant, le cul bien relevé, quand une pluie de claques sur le cul me surprit.
- Ai-je parlé de position standard ? Ne connais-tu pas les positions et la hiérarchie de tes supérieurs, sale chienne ? Jai dit « position dattente » !
Sans perdre une minute, je me mis donc rapidement à genoux, mains derrière le dos, les fesses ne reposant pas sur les talons, buste droit, tête et regard baissés, cuisses écartées au maximum que me permettait la position agenouillée.
À vingt heures, daprès les sons de cloches qui me parvinrent du petit clocher de la chapelle du Château, on vint mamener une gamelle pour moi. Je mangeais avec avidité lespèce de bouillie sans gout et sans odeur quon me servit. Quand un garde vient pour ramener les récipients à lintérieur, il attrapa un tuyau darrosage pour « nettoyer lespèce de chienne en chaleur sale que jétais ». Jeus droit ensuite à un pelotage en règle, je fus caressée, pincer, triturer, aucune parcelle de mon corps ne fut épargnée. Il menfonça un plug gonflable dans le cul, et le gonfla jusquà ce que la douleur marrache des grimaces, puis mit en place un uf à décharges électriques dans la chatte. Il me fit mettre sur le dos, les chevilles et les poignets furent attachés chacun à un coin en hauteur de la cage. La position était loin dêtre la plus confortable pour dormir, mais je fus laissé ainsi, avec interdiction de jouir, toute la nuit. Régulièrement luf se mettait en route, me faisant me contorsionner autant que mes liens et ma position me le permettaient, jusquà me mener au bord de la jouissance puis il séteignait. Quelque chose avait dû être mis dans ma bouillie sans nom, car je me rendormis très vite, et à chaque fois dun sommeil réparateur...
(A suivre
)
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